La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1428)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1411) -

J'entendis comme un brouhaha avec de nombreuses chaises qui bougeaient et des personnes qui se levaient, puis des bruits de pas se déplaçant dans la salle. J'entendis aussi certains coups de cravache et de fouet claquant sur des croupes et résonnant dans cette grande salle de réception. D'autres soumises et soumis se déplacèrent en quadrupédie et furent aussi attachés à d'autres carcans disposés à égale distance au milieu de cette pièce chargée d’Histoire. Il y avait aussi des commentaires de Dominants. Toujours attachée au carcan, tout d’un coup, je sentis un contact sur mon corps nu. Une première main se posa sur mon dos penché en avant, puis une autre main baladeuse me caressait avec douceur et fermeté mon épine dorsale, les épaules et le bas de mes reins. Ensuite ces deux mains anonymes se saisirent alors fermement de mes hanches.

Je sentis alors un gland épais d’un volumineux sexe masculin se présenter contre mon anus et se frotter contre celui-ci quelques instants pour ensuite, d’une forte poussée, forcer mon passage anal et se mettre à m'enculer sans aucun préambule, alors qu’on me claquait mon cul arrondi d’une volée de fessées. Je sentis passer cette rapide intromission par une douleur subite qui se mélangea avec un plaisir excitant. Au même moment, je vis une grosse verge dressée d'un autre Dominant se présentant devant ma bouche de salope. Immédiatement, j'ouvris ma cavité buccale et me mis à lécher, aspirer, pomper, sucer cette grande hampe aux veines gorgées de vigueur, avec application et détermination pendant que je me faisais enculer en même temps. Mes deux orifices étaient alors baisés dans un tempo à l’unisson, cadencés à la perfection par des va-et-vient rythmés… Cette soirée s'annonçait à l’évidence orgiaque. Plusieurs Maîtres prenaient et profitaient à loisir de soumises et soumis mis à leur disposition et étaient utilisés sans modération.



On entendait, à certains moments, des râles et cris de jouissance de Dominants, quand les soumises attendaient avec obéissance l'autorisation de jouir. Je sentis les va-et-vient s’accélérer en moi, alors que la grosse et bien dure queue dans ma bouche allait et venait jusqu’à ma gorge. Après un long moment à être besognée de la sorte, les deux Dominants se mirent à jouir en même temps en déversant leur semence profondément dans mon cul et dans ma bouche au fond de ma gorge. Des râles de mâles en rut fusèrent pendant leur éjaculation dans ces deux étreintes possessives de mon corps pris bestialement en cette saillie anale et buccale. J'avalais alors le sperme pour ne pas en laisser une seule goutte tomber au sol. Puis je nettoyais par la même, sa bite pour qu'il n'y ait plus aucune trace de souillures. Après avoir visiblement servi de vide-couilles, ils se retirent et je restais ainsi attachée au carcan immobile et silencieuse. Après quelques minutes passées, j'entendis la voix du Maître de cérémonie s'élever et s'adresser à ses nombreux Invités présents à cette soirée:

- Mes chers amis, j'ai vu que vous avez pu profiter pleinement des soumises et des soumis ici présents pour votre plaisir lubrique. Je vous propose maintenant de vous divertir d'une autre manière. Vous avez une multitude d'instruments posés sur cette table. Je vous laisse choisir l'instrument de votre choix. Vous avez aussi à votre disposition, des bandeaux noir afin de bander les yeux de la chienne ou le chien de votre choix. Et vous appliquerez une série d'une dizaine de coups aussi sur celui-ci. Chaque dominé devra supporter les coups sans compter et dans le silence le plus absolu. Puis la, ou le soumis, devra vous dire à haute et intelligible voix, le nom de l'instrument qui lui a marqué son corps. S’il ou elle n'a pas trouvé le bon instrument, une autre série de dix coups supplémentaires lui sera rajouté et le nom de l'instrument lui sera révélé après. Une fois terminé, il est évident que vous pouvez renouveler l‘exercice avec tous les dominés attachés aux autres carcans et aussi vous pouvez vous échanger les instruments avant de passer au carcan suivant.
Je pense que cette petite animation pourra vous apporter du plaisir supplémentaire, entre deux copulations, conclut Monsieur le Marquis d'Evans de sa voix charismatique

Sa proposition de divertissement fut accueillie par de nombreux applaudissements des membres de son cercle privé. J'entendis alors des bruits de pas se regroupant tous vers la table où étaient déposés les instruments que choisissent les Dominants. Des chuchotements se firent entendre entre différents Dominants. Après un court silence, on s’approcha de moi et on me banda de nouveau les yeux. J’eus juste le temps d’entrevoir l’ombre d’un instrument que je ne saurai deviner se positionner à ma diagonale. Un autre silence se fit comme si on attendait un signal et ensuite je sentis alors dix coups puissants et mordants sur ma croupe ainsi que sur mon dos qui commençait très certainement à rougir. Après les dix coups reçus, j'entendis la voix d'un Dominant qui s'adressa à moi d'une voix autoritaire :

- chienne Maera MDE, quel instrument ai-je utilisé sur ton corps de chienne en chaleur ?, me questionna-t-il
- La cravache, Monsieur, répondis-je d'une voix sûre et respectueuse, étant certaine de l’instrument infligé
- Bonne réponse, chienne Maera MDE me dit-il d'une voix satisfaite, tout en s'éloignant

La soirée continua ainsi avec bon nombre d’autres instruments reçus sur mon cul et dos par d'autres Dominants et j’avoue que je n’ai pas toujours su deviner. Plusieurs fois, j’ai eu en punition le double de coups soit pour chaque fois dix de plus, ce qui m’excitait malgré la douleur infligée, même je ne faisais pas exprès de ne pas deviner. A mon souvenir, j’ai reçu des coups de martinet, de badine, de chat à neuf queues, de fouet, de ceinture, de paddle, de raquette de ping-pong ...

A la fin de cette animation, alors que je pensais qu’on viendrait me détacher, on me laissa ainsi attachée au carcan, les yeux bandés. Je compris que la soirée orgiaque continuait car j’entendais le bruit de nouvelles copulations ci-et-là… On ne s’occupait pas de moi durant un gros quart d’heure et je me demandais si on ne m’avait pas oubliée ! Il n’en fut rien car je sentis tout d’un coup, comme un liquide très chaud, couler sur mon dos et mon cul.
Je compris très vite qu’il s’agissait de la cire de bougie. C’était très cuisant sur mon corps meurtri par les coups précédemment reçus. J’essayais de ne pas crier quand je sentis un objet entrer simultanément dans mon sexe, sans préambule. Je compris très vite qu’on me fourrait un gros gode d’une énorme taille, très certainement XXL. Il entra presque comme dans du beurre, ce qui me rappelait que les traitements sur ce carcan m‘excitaient plus que je l‘aurai pensé. On me besognait vigoureusement la chatte.

Et celui qui manœuvrait ce gode d’une main allergique ne se privait pas de me défoncer la chatte jusqu’au plus profond de mon vagin. La cire chaude coulait en même temps de plus belle... Alors qu’on continuait à me goder sauvagement et m’inonder de cire, je sentis qu’on m’installait des pinces à mes tétons et je ne pus retenir un cri de douleur. On joua ensuite à m’étirer les seins sans ménagement. Ma cyprine coulait abondamment aussi par ce vif gode me baisant sans modération… Toujours les yeux bandés, je sentis ensuite qu’on me planta un plug anal dans mon cul. On força un peu, mais il entra assez aisément. Je me sentis bien remplie, bien pleine par mes deux orifices. Ensuite, on me tira par les cheveux pour me faire relever la tête à son maximum qu’elle pouvait se relever à cause du carcan. Je sortis alors ma langue, persuadée que je devrais sucer une grosse queue, mais je m’aperçus que c’était un sexe de femme qui se présentait à ma bouche de salope.

La Dominante plaqua son bas-ventre contre mon visage, me maintenait ma tête fermement et m’obligeait ainsi à la lécher. Je le fis en bonne soumise obéissante et en une bonne chienne qui lèche. Je passais ainsi ma langue sur son clitoris, puis entre ses lèvres intimes en essayant de lui procurer un maximum de plaisir. Tandis qu’on me faisait toujours couler de la cire, qu’on jouait avec mes tétons pincés, qu’on me godait bestialement et qu’un plug était manœuvré dans mon cul, ce qui me laissait penser que plusieurs personnes s’étaient penchées sur mon cas ! J’activais ma langue sur les parois du vagin de la Dominantes, je lui léchais de bas en haut ses lèvres intimes, frottais, titillais son clito, ce qui au bout d’un moment provoqua un orgasme en elle et sa cyprine coula sur mon visage qu’elle tenait bien plaqué contre elle.
Je fus obligée de boire son abondante mouille … Elle relâcha prise et sans un mot me tapota le cuir chevelu comme pour me féliciter… Toujours godée, au bout d’un moment on retira ce sexe factice et sans attendre, une énorme verge d’homme, très épaisse et dure comme du bois, prit sa place et me baisa ainsi longuement et profondément à grands coups de reins puissants…

Durant toute la soirée, je fus ainsi utilisée par mes trois orifices, parfois à tour de rôle, parfois tous à la fois… Je n’eus pas d’autorisation à l’orgasme et il fut très difficile de me retenir à ne pas jouir un bon nombre de fois… Quand la soirée fut terminée, très tardivement au cœur de la nuit, je reconnus le bruit des pas du Majordome se rapprochant de moi. Il me détacha avec douceur du carcan puis me tira avec la laisse pour que je me remette à quatre pattes. Je le suivis ainsi tenue en laisse dans les couloirs et les escaliers du vaste Château et après quelques minutes de progression, il s'arrêta. Nous arrivâmes alors dans une immense salle de bain entièrement carrelée. Walter me dit d'une voix chaleureuse :

- Le Maître est très fier de toi, tu t'es comportée de manière exemplaire pendant toute cette soirée et tu as fait honneur à Son éducation devant ses Invités comme une soumise MDE se doit de savoir le faire et à te retenir de jouir car tu n’y as pas été autorisée. C'est pourquoi, tu as le droit au repos car tu es certainement fatiguée et tu peux prendre un bon bain chaud, tu l'as bien mérité, alors profite en bien. Je reviendrais te chercher par la suite. J'ai fait couler un grand bain d'eau chaude, il n'attend plus que toi, me dit le Majordome en quittant la grande pièce avec une mine réjouie. Je me sentais heureuse d’avoir été tant utilisée lors de cette soirée orgiaque …

(A suivre)

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