Villa Cannelle Sanctuaire De L Amour 1

VILLA CANNELLE SANCTUAIRE DE L’EROTISME
Voila trois ans que je suis revenu m’installer dans mon Ile natale l’Ile Maurice. Je voulais profiter des dernières années de ma vie et fuir la pression et le stress de la Région parisienne où j’avais passé une grande partie de ma vie professionnelle comme cadre dans un grand groupe international.
J’avais fait l’acquisition près de Mont Choisy d’une belle villa avec piscine avec l’argent de ma propriété de Cannes que j’avais vendue. Villa Cannelle était une magnifique villa de 360 m² avec une varangue en bois exotique. La haie de filaos au fond du terrain me séparait de la plage de Trou aux biches et me protégeait des voyeurs.
Divorcé j’avais pris la décision de profiter de la vie et de ne pas m’en priver. Je venais de franchir le cap des 62 ans, mais j’en faisais aux dires de tous 10 ans de moins et j’en étais fier. Ancien athlète de demi-fond mon corps était resté en parfait état et mon bronzage intégral me donnait l’allure d’un homme en bonne santé.
Villa Cannelle avait un parc de 3500M² et j’avais du abattre un certain nombre de pins et de filaos pour installer ma piscine. Désiré mon gardien avait mis tout son savoir pour paysager l’ensemble du chantier et j’avoue que le résultat était parfait. Je recevais beaucoup d’amis dans ma propriété et cela permettait à ceux-ci de profiter d’un agréable séjour à moindre frais.
Mes amis Richard et Agnès avec leur fille Anaïs de 18 ans avaient programmé de venir passer quelques jours en aout avant de partir pour Madagascar où ils devaient faire une excursion dans le sud de l’Ile. J’avais du annuler pour ce faire un voyage que j’avais prévu vers l’Afrique du Sud où vivait ma petite amie Colleen, une magnifique Néozélandaise de 41 ans que j’avais connue lors d’un séminaire à Prétoria. En fait j’avais décidé de différer mon voyage en Septembre ce qui arrangeait Colleen car elle pouvait prendre, pour cette époque deux semaines de congé.

Nous avions décidé de faire un safari photo dans le fameux Parc Krüger.
Mes amis Richard, Agnès et leur fille arrivèrent comme prévu et nous sommes, Désiré et moi dans le Range Rover venus les chercher à l’aéroport de Plaisance. Richard était médecin et sa femme Agnès pharmacienne. Jeune couple la quarantaine, il s n’avaient eu qu’une que j’avais connue très petite ; Anaïs.
Richard était un amoureux des voyages et organisait chaque année des excursions hors du commun qui lui permettaient de prendre des milliers de photos. Agnès était d’origine Chinoise. Magnifique femme asiatique aux longs cheveux jais elle pétillait de vie. Après un accueil chaleureux je remarquais qu’Anaïs avait bien changé.
-« tu es devenue une belle jeune fille, ma grande »
-« merci me répondit elle en baissant la tête un peu intimidée
Nous prîmes la direction de Villa Cannelle où nous arrivons après 1 heure de route. J’installais mes invités dans la chambre d’amis du premier étage, celle qui donne sur cette superbe terrasse à baldaquin. Anaïs choisit la chambre du bas, celle qui donne directement sur la varangue à côté de la mienne. Chacun déballa ses affaires, Agnès en profita pour se faire couler un bain.
Anaïs sans se prier enfila un maillot de bain rouge qui allait à merveille à son teint déjà hâlé. Je me surpris à contempler sa belle et jeune silhouette et me dit que pour une gamine de quinze ans elle était déjà belle en formes. Elle passa devant moi en me demandant si je venais plonger une tête dans la piscine. Je lui répondis que j’avais à œuvrer pour que le séjour soit le plus agréable. Anaïs sans hésiter plongea directement dans la piscine sous l’œil admiratif de mon chauffeur Désiré.
Je sautais dans la Range et je filais vers la Pointe aux Piments chez mon ami Sandiranh acheter 4 belles langoustes. Je savais que cela ferait un énorme plaisir à Agnès et Philippe.
Lors du repas Agnès me demanda si je ne voyais pas d’inconvénient à ce qu’Anaïs reste à la Villa Cannelle durant leur séjour à Madagascar.
Ils avaient peur de la sécurité et ne voulait en aucun cas prendre de risques à l’emmener avec eux dans une brousse parfois incertaine.
Je demandais à Anaïs ce qu’elle en pensait et sans réfléchir elle me donna son avis inconditionnel.
-« C’est trop ici….je suis bien, je veux rester si Jessey le veut bien ?
Elle me répondit en plantant dans mes yeux son beau regard amande agrémenté d’un sourire d’un charme fou. Cette jeune fille avait pour son âge une forte personnalité qui ne manquait pas d’attirer mon attention !
Le séjour d’Agnès et de Philippe s’achevait et nous les conduisîmes au petit matin vers l’aéroport de Plaisance. Avant de partir Agnès fit les dernières recommandations à Anaïs ;
« Chérie, promets moi d’être sage et de ne pas te mettre trop au soleil. N’oublies pas tes médicaments le soir ? Je te promets de t’appeler le plus souvent possible.
-Oui maman je suivrai tes consignes… Soyez prudents papa et toi je vous aime.
-Bisous chérie et profites de Villa Cannelle ! Je t’aime aussi à bientôt !
Je vis mes amis disparaitre par la porte opaque de l’entrée et je devinais Agnès écraser une larme sur sa joue en faisant un dernier signe de la main auquel nous répondîmes en cœur.
De retour à Villa Cannelle, Anaïs alla se changer et ressortit avec jupette brésilienne et chemisier
Blanc qui lui allaient à merveille.
-« Tu vas où comme cela lui demandais-je ?
-Tu ne vois pas d’inconvénient que je me promène le long de la plage
- Non mais tu me promets d’être à l’heure pour le repas ? Prends ton téléphone avec toi c’est plus prudent.
-Promis Jessey.
Rentrant dans la villa, je passais devant sa chambre. Je m’arrêtais devant la porte et par curiosité je décidais d’entrer dans sa chambre. Je reconnus le désordre traditionnel d’une adolescente, ses vêtements étaient éparpillés dans toute la pièce. J’allais vers la valise ouverte où s’échappait un tas de vêtements je m’arrêtais devant sa culotte de coton qui traînait sur le tapis.
Une culotte en coton blanc style petit bateau. Je la regardais comme fasciné puis je la ramassais. Je me dis que j’avais là dans mes mains une part de l’intimité de cette belle gamine. Instinctivement je la portais à mes narines et je me mis à humer l’odeur qui s’en échappait, odeur de femme ; son odeur à elle.
J’étais comme dans un état second presque honteux de cette situation. Je reposais sa culotte là où je l’avais trouvée. Poussé par la curiosité je retournais vers la valise d’Anaïs. Je passais une main sous les vêtements comme si j’étais sûr de trouver quelque chose. Ma main butta sur un objet bien caché dans des chaussettes. Je le pris en main et fut stupéfait de découvrir un petit gode à piles. Je restais bouche bée surpris de découvrir qu’une gamine de 18 ans puisse se donner du plaisir avec un tel jouet. Qui avait pu le lui donner…certainement pas avec l’aval d’Agnès ! Je connaissais trop bien Agnès ce n’était pas son genre ! Je regardais ce petit jouet et le mis en marche. Il vibra dans ma main avec un bruit caractéristique. Cette fille me perturbait. Je remis délicatement le sex toys à sa place puis je sortis le cœur battant de cette chambre.
J’imaginais cette jeune fille allongée sur ce lit les jambes largement écartées le sexe luisant de plaisir en train de passer sur ses petites lèvres le jouet vibrant la conduisant à l’extase.
J’allais rejoindre ma gouvernante Mama Ginette, une vieille doudou qui était l’âme de Villa Cannelle. Je donnais des ordres pour le repas, puis j’allais dans mon grand salon à la décoration très coloniale me servir un vieux rhum. Je mis en marche ma chaîne en choisissant un cd de Zero chanteur italien que j’adorais. Je saisis le journal local, mais mon esprit était ailleurs je me dis qu’Anaïs avait réussit à éveiller en moi mes sens les plus érotiques. Nous allions passer trois semaines ensemble, allais je pouvoir résister à ces pulsions qui me serraient à cet instant le bas de mon ventre.
Je fus surpris dans mes pensées par Anaïs qui revenait de la plage.
Elle remit en ordre ses beaux cheveux bruns.
« Tu ressembles à ta mère comme cela ma chérie… vous avez beaucoup de points en commun !
-C’est un compliment Jessey. J’adore maman…j’aimerais être comme elle plus tard.
-Tu seras encore plus belle…le déjeuner est bientôt près. Dépêches toi de te changer.
-une minute je vais me changer j’ai trop chaud d’accord ?
-Allez file et ne mets pas une plombe !
-Promis ! dit elle en sautillant vers la porte de sa chambre.
La regardant disparaître dans sa chambre, je me surpris à la désirer encore plus. J’étais fou ! Me dis je cette gamine n’est pas pour toi. Pour me changer les idées et calmer l’émoi que j’avais en moi je me replongeais dans le journal national.
Quelques minutes après, Anaïs ressortit en short blanc large, elle avait mit un top rouge qui laissait apparaître la pointe saillante de ses jeunes seins. Elle n’avait pas mis de soutien gorge. On devinait facilement sous le tissu, la forme jeune du galbe de ses seins.
» Tu restes pieds nus ? lui demandais-je
« oui j’aime bien… je peux ?
« Fais attention au parquet de la varangue, de ne pas te blesser !
Nous déjeunâmes en tête à tête sous le grand ventilateur du salon. Anaïs me parla durant tout le repas de ses copines d’école, de ses profs, de ce qu’elle escomptait faire plus tard… Puis termina en me disant qu’elle s’était faite draguer sur la plage vers le Club méditerranée.
-« fais attention tu sais les mauriciens ont une réputation de dragueur !
-« Il était sympa un vendeur de bijoux de plage !
« Ce sont les pires !
« T’inquiètes pas.
A la fin du repas, je ne pus résister à lui demander si elle avait un petit copain.
« Comme ci comme ça…il est très maladroit avec moi.
« Comment cela ?
« Bof il sait pas embrasser et il est très timide.
« Tu as….disons tu as…..
-Quoi que veux tu savoir … si j’ai fait l’amour avec lui ?
Gêné je me mis à tousser pensant que j’avais peut être osé aller trop loin dans mes question
-Tu n’es pas obligée de me répondre….
-Tu crois que je suis encore vierge ?
-Tu es belle et très désirable jeune fille cela peut être possible…
- ne le dis pas à maman.
-Promis.
-C’est le frère de mon prof de math qui m’a….qui m’a..
Anaïs rougit. Je trouvais cette situation très complice entre nous. Anaïs parlait déjà comme une femme.
-Qui t’a ?
-Qui m’a fait femme…il avait 28 ans.
-Avait ?
- Je ne l’ai connu que lors de notre séjour à l’Ile de Ré depuis je ne l’ai plus revu.
-Et après ?
- Mais tu es curieux ? Après… rien.
-Bon si tu veux te reposer, tu peux te mettre dans le baldaquin.
Anaïs ne se fit pas prier.Elle sauta dans le baldaquin et saisit un large coussin qu’elle blottit contre elle. Elle semblait si femme et si fragile en même temps.
J’allais me resservir un verre de vieux rhum, puis je m’installais devant la télé jetant de temps en temps un coup d’œil sur Anaïs allongée sur le baldaquin. Elle s’était endormie le coussin serré dans ses bras une jambe allongée et l’autre repliée contre le dossier du baldaquin. J’admirais ses longues cuisses satinées. Je me levais pour aller me servir un autre verre et en revenant dans le salon je m’approchais d’Anaïs. Elle dormait ses longs cheveux recouvraient son visage. Je me penche vers ce corps merveilleux.
Entendant son souffle calme presque rythmé par le bruit des palles du ventilateur qui brassait un air déjà surchauffé, je remarquais que le short très large baillait sur sa jambe repliée.
Je me demandais si elle était nue sous son short ? Tout à l’heure, je n’avais pas remarqué la forme d’un slip sur ses fesses. Je m’approchais lentement espérant ne pas la réveiller et là je découvris le haut de sa cuisse gauche et je pus apercevoir quelques poils de son pubis quelle devait épiler. Je devenais voyeur et ce spectacle me tétanisait !
Je sentis mon sexe se durcir dans mon pantalon de flanelle. Le cœur battant, je l’admirais dans cette position érotique, puis je retournais m’asseoir dans mon fauteuil. J’espérais qu’Anaïs allait bouger et me dévoiler une plus grande partie de son intimité. Le temps me semblait long. Puis elle bougea et allongea sa jambe repliée et celle de gauche, elle la replia en écartant celle-ci. Le cœur battant à rompre, j’espérais que cette position allait me dévoiler encore plus de son anatomie.
Dormait-elle toujours aussi profondément ? Au bout d’un certain temps je ne résistais pas à l’envie de revenir vers elle. Mon cœur battait la chamade. Je posais le verre sur le guéridon près du sofas et lentement sur la pointe des pieds, faisant attention de ne pas faire craquer le parquet en palissandre je m’approchais. Ce que j’espérais me combla de plaisir. Je pouvais apercevoir par l’entrebâillement de son short son pubis et le début de sa jeune fente. Elle était désirable dans cette position que je trouvais, d’un érotisme torride.
Mon sexe me faisait de plus en plus mal je la désirais.
Allais-je oser ? N’allais-je pas au devant de problèmes avec mes amis ? Je décidais de m’asseoir à côté d’elle. Le baldaquin craqua sous mon poids réveillant Anaïs qui dégagea une mèche de ses cheveux, me regardant.
« Tu es belle Anaïs…tu es superbe.
Je constatais qu’Anaïs ne chercha pas à bouger ses jambes. De là où j’étais, je voyais parfaitement le haut de ses jambes et une partie de son pubis. Elle ne dit rien, elle devinait parfaitement mon regard planté sous son short. Elle resta silencieuse. J’avais l’impression que les battements de mon cœur résonnaient dans tout le grand salon.
Nous restâmes ainsi, moi, le regard posé sur ses cuisses et elle, me regardant silencieuse entre ses cheveux éparpillés autour d’elle. Elle fit ce que j’étais loin d’imaginer. Lentement, elle écarta ses deux jambes. J’étais fou ! Je devais fuir, ne pas me laisser tenter par cette gamine qui semblait jouer avec moi…….(a suivre)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!