Damien 54 - Pascal 1

Cela faisait maintenant quelques mois que j'allais de l'un à l'autre de mes amants, baisant environ une fois par semaine.
Ce samedi là j'avais été au marché faire quelques courses et, revenant vers ma voiture, j'avais croisé Mustapha.
Nous avions discuté tout en marchant et Mustapha avait profité d'un moment où nous étions seuls pour me caresser les fesses tout en me disant "Ah ce que ce cul me plaît, dommage que je parte pour le Maroc".
J'avais passé ma main sur sa braguette en lui répondant "On baisera à ton retour si tu veux, appelle-moi.
- D'accord, alors réserve ton prochain week-end.
- C'est dommage car ce week-end je suis tout seul, vous êtes tous partis.
- Tu n'en seras que plus chaude la semaine prochaine.
- Oui et j'ai hâte d'y être.
- Bon allez au revoir.
- Au revoir".
Je venais d'ouvrir mon coffre quand un coup de Klaxon m'a fait me retourner, l'homme qui était au volant me demanda "Excusez moi vous vous appelez bien Damien ?
- Oui mais….
- Je vois que tu ne te souviens plus de moi.
- Non pas du tout.
- Je suis Pascal.
- ..
- Le frère de Denis.
- Non !!
- Et si.
- mais que fais-tu par ici ?
- J’habite en Belgique et suis en vacances.
- Veux-tu venir prendre un verre à la maison ?
- Volontiers.
- Alors suis-moi".
Je suis monté dans ma voiture et j'ai guidé Pascal jusque chez moi.
Après avoir déchargé mes courses et mis les choses au réfrigérateur j'ai rejoint Pascal dans la salon et je lui ai dit "voilà c'est fait, on va pouvoir discuter. Mais d'abord que veux-tu boire ?
- Un Ricard si tu as.
- Bien sur".
J'ai servi un Ricard à Pascal et un whisky pour moi puis après avoir sorti quelques amuse gueules, je me suis assis dans un fauteuil et j'ai demandé "Alors quelles sont les nouvelles de la famille ?
- Denis est marié et travaille, Philippe est quelque part en Normandie, Joëlle vit sur un voilier quand à moi toujours célibataire comme toi je vois.


- Oui.
- Je trouve qu'ici les choses n'ont pas changé enfin presque.
- C'est à dire.
- J'ai eu l'impression de voir des drôles de choses.
- Quoi par exemple ?
- Oh trois fois rien.
- Mais encore ?
- Je ne pensais pas que pour se dire bonjour entre mec il fallait se laisser mettre la main au cul.
- Je ne comprends pas.
- sachant que ça n'avait pas l'air de te déplaire puisque toi tu lui as touché la pine.
- Mais….
- Il n'y a pas de mais, je t'ai vu avec le type. Dis-moi tu es une tante ?
- Je ne vois pas en quoi cela te regarde.
- Tu as raison ça ne me regarde pas mais….
- Mais quoi ?
- Je ne sais pas je pourrais en parler autour de moi.
- Tu peux.
- Je vois que tu aimes les grosses bites des arabes.
- Je t'ai déjà dit que ça ne te regardait pas.
- Je sais mais je ne sais pas je pourrais peut-être en parler à tes parents par exemple. Je suis sur qu'ils seraient ravis de savoir que leur fils est une fiotte, qu'il se fait bourrer le fion.
- ….
- Je vois tu ne voudrais pas que ça se sache.
- Mais enfin ce n'est pas vrai que cherches-tu ?
- Moi rien, ce n'est quand même pas moi qui me fais trancher.
- Ecoute Pascal..
- Non attends salope c'est toi qui va m'écouter. Mais quel plaisir prends-tu à te faire défoncer le derche ?
- Je….
- Tu l'as déjà dit ça ne me regarde pas.
- C'est ma vie et je ne vois pas pourquoi je devrais te la raconter.
- Ca c'est vrai.
- Alors l'incident est clos, n'en parlons plus.
- L'incident est clos d'accord, tu fais ce que tu veux avec ton cul mais ne plus en parler, ça non.
- Mais enfin que veux-tu ?
- Eh bien c'est assez simple, je suis ici en vacances et je suis seul, je tombe sur un mec que je connais et qui est pédé, donc je me dis qu'il peut très bien baiser avec moi. Tu vois ce n'est pas compliqué.
- Parce que tu veux….

- Pourquoi tu ne veux pas me donner ton cul, tu penses peut-être que je ne suis pas assez bien pour toi pédale.
- Ce n'est pas ça, mais….
- Mais quoi ? Tu attends quelqu'un aujourd'hui ?
- Non….
- Alors je ne vois pas où est le problème, ça fait maintenant quelques jours que je n'ai pas tiré mon coup et je vais me rattr.
- Enfin….
- Bon maintenant tu vas fermer ta grande gueule de pétasse, c'est ça ou je vais dire à tous les gens que je connais que tu n'es qu'un cul vide couilles. Tu as compris ?
- Oui.
- Bien alors tu vas me resservir un autre Ricard puis tu vas lever ton fouinedé et tu vas aller préparer la bouffe car j'ai faim. Une fois qu'on aura mangé je t'enfilerai. Est-ce que le programme convient ?
- Je crois que je n'ai rien à dire.
- Je vois que tu comprends vite. Ah que la vie est bizarre, ce matin je ne croyais pas que je me farcirais une pédale cet après midi. Au fait si tu es bien gentille, si tu fais tout ce que je veux je ne dirais rien à personne.
- Merci.
- De rien, mais dis-moi pour servir un verre ou pour préparer la bouffe tu n'as pas besoin d'être habillé. Allez ne perdons pas temps fous-toi à poil".
Je me suis dévêtu en me disant qu'au fond ce n'était pas plus mal que Pascal est fait cette découverte car comme ça au moins je ne passerai pas le week-end seul.
Si en plus il baisait bien eh bien j'aurais l'occasion de bien jouir.
Quand je fus nu Pascal me dit "Approche, que je vois ton cul de plus près."
J'obéis, il posa sa main sur mes fesses, ce contact me fit tressaillir et une douce chaleur embrasa mes reins.
Pascal s'en aperçut et me dit "Eh bien je crois que tu es une sacrée salope, à peine ai-je posé ma main sur tes miches que déjà tu décolles, tu sais que tu as un très beau cul, je sais maintenant que je vais me régaler tout à l'heure. Mais au fait dis-moi est ce que tu suces aussi ?
- Oui je suce et je baise.
- Bien pouffiasse, allez va préparer la becquetance".

Pascal accompagna sa phrase d'une claque sur mon fessier, je partis dans la cuisine et je préparai le repas.
Quand nous eûmes fini de déjeuner Pascal, qui avait pas mal bu, avait le regard brillant, il me dit "C'était bon, voyons maintenant si c'est aussi bon en ce qui concerne ton cul. Allez allons dans ta chambre".

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