Mon Maître À Dit (Partie X)

MON MAÎTRE A DIT
(Partie X)



« Moi, je ne change rien à mes plans ! Je pars demain matin avec Amandine ! »
J’ai entendu Cathy pleurer la moitié de la nuit.
Qu’est ce qu’elle espérait ? Que j’attendrais bien sagement toute une semaine, qu’elle veuille bien descendre avec nous à Saint Raphaël ?
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ses petits rendez vous, ses petits jeux avec Sir Jefferson, ne me dérangent plus.
Bien au contraire.
Elle a retrouvé, ou c’est découvert, une passion pour le sexe.
Elle a retrouvé un sourire que je ne lui connaissais plus.
Elle a retrouvé une joie de vivre.
L’état de cocu dans lequel elle m’a enfermé, ne me dérange plus non plus. L’imaginer ou la voir avec d’autres hommes mon rendu jaloux et malheureux, au début.
Aujourd’hui, ça m’excite comme un fou. Je me masturbe comme un forcené dès que j’en ai l’occasion, en imaginant Cathy dans les bras d’un autre.
Mais là, s’en est trop. Me laisser tomber à la veille de partir, pour répondre à l’appel de Jefferson…non !

Je m’installe dans le studio que nous louons tous les ans. Amandine ne pose pas de question. J’en suis étonné, mais heureux. Que dire à cette ?
Le lendemain, direction …la plage.
Ma fille dans l’eau, moi en mode bronzage, tout va bien, sinon, bien sur, l’absence de mon épouse.
Elle me manque terriblement.
Il fait un temps superbe et la plage est bondée.
Une jeune adolescente s’installe près de moi. Elle pratique les seins nus.
Bien sur, je ne suis pas contre, mais je trouve que pour une ado, ce n’est pas très prudent. Le monde est fou. Mais je ne suis pas son père.
Donc, pour ne pas risquer de passer pour un satyre, je ne la regarde pas. Mais…
« Excusez-moi, monsieur ! Mon portable n’a plus de batterie. Pourriez-vous m’autoriser à utiliser le votre ? Juste deux minutes ? »
Elle a la voix douce et sucrée.

Elle habille sa frimousse d’un sourire ravageur. Comment dire non.
« Ho ! Merci monsieur, c’est très gentil ! »
Elle prend mon portable et s’éloigne vers l’eau, pour être plus tranquille.
Je ne pense pas qu’elle se sauve avec mon téléphone, surtout les seins nus et en laissant son sac près de moi.
Je m’allonge et me laisse glisser de nouveau dans mes pensées.
« Monsieur ! Monsieur ! Houlàlà ! Je suis désolée ! Qu’est ce que j’ai fait ! Qu’est ce que je peux être conne des fois ! »
Je sursaute. La jeune fille est à genoux près de moi, mon portable à la main.
« Hein ? Quoi ? Qu’est qui ce passe ? »
« Vous allez gueuler ! Je l’ai fais tomber dans l’eau. Je suis navrée, vraiment ! »
Elle me tend mon appareil, dégoulinant de flotte.
« Ha ! Ben bravo ! Tu ne pouvais pas faire gaffe ! Merde ! »
« Je vous promets, je vais arranger ça ! »
« À part me le rembourser, je vois pas comment tu pourrais arranger ta connerie ! »
« Je suis responsable d’une boutique spécialisée dans la téléphonie mobile. Je vais vous en trouver un tout neuf ! »
« Bien sur ! Et moi, je suis Napoléon ! Tu veux me faire croire qu’une gamine de seize ans est déjà responsable de magasin ? Me prends pas pour un con, veux tu ? »
Elle fouille dans son sac et en sort une carte d’identité ainsi qu’une carte de visite.
« Sabrina Bouchon, responsable de magasin et j’ai vingt cinq ans ! Convaincu ? »
Elle penche sa tête sur le coté, faisant couler ses long cheveux auburn sur son épaule, en arborant le plus beau des sourires.
« Heuu ! Je suis désolé d’avoir été un peu brusque, mais vous faite si jeune ! »
« Oui, c’est ce que l’on me dit tout le temps. »
« Dans quelques années, Vous serez vieille que vous serez encore désirable. »
Elle me donne une tape sur l’épaule.
« Arrêtez ! Charmeur ! »
Du coup, je m’autorise à la détailler un peu plus, en commençant bien sur, par ses seins.

Un beau quatre vingt dix B, je pense. Ils se tiennent bien et semblent fermes.
Sa peau est couleur pain d’épice. J’y planterais mes dents volontiers.
« Bon, revenons à nos mouton ! »
Elle s’allonge sur le ventre.
Je regarde le long canal qui creuse son dos au niveau de sa colonne vertébrale.
Il prend naissance au bas de son joli petit cou, là ou il y a encore un léger duvet, puis glisse entre les omoplates qui roulent et ondulent sous sa peau soyeuse. Il descend ensuite le long de son dos. Comme j’aimerai y faire courir ma langue de haut en bas. Puis il disparait dans le maillot de bain, à la naissance de deux jolis et menus hémisphères.
Deux fossettes créent une légère dépression dans le bas du dos de part et d’autre de la colonne vertébrale.
« Hum ! Vos fossettes sacro-iliaques sont superbes ! »
Elle éclate de rire.
« Mes quoi ? »
Je suis fièr de ma science, même si c’est une des seules choses que je connaisse de l’anatomie. Mais ça, je me garderais bien de lui dire.
« Fossettes sacro-iliaques. Ce sont ces deux petits trous là ! »
Je les effleure du bout du doigt.
Sa peau trahie une jolie chair de poule. Elle frissonne.
La jeune femme est sensible. Elle se sent un peu gênée, je le vois.
« Revenons à nos mouton ! J’ai dis ! »
Décidément, son sourire est ensorceleur. J’ai une envie terrible de l’embrasser. Je suis frustré.
Soudain Amandine déboule, me sortant de ma léthargie.
« Bonjour madame ! C’est qui, dis papa ? »
« C’est une dame qui vas changer mon téléphone. Elle travaille dans un magasin. »
« Ha oui ? Et tu vends des consoles de jeux, aussi ? »
« Oui, bien sur ! »
« La mienne, mon père il arrive pas à la faire marcher sur la télé d’ici ! C’est nul ! »
« Amandine ! Ne parle pas comme ça ! »
« Ben quoi ? C’est vrai ! Tu viendras me la brancher, dis ? »
« Amandineee ! Excusez-la, je suis désolé ! »
« Ben non, pourquoi ? Je la comprends ! ça doit être frustrant d’avoir des jeux et de ne pas pouvoir s’en servir.
»
Avant même que je ne réagisse, ma fille donne notre nom et notre adresse.
« Bon ! Promis, je viendrais et j’amènerais le téléphone de ton papa en même temps. »
Amandine lui saute au cou et lui fait un gros bisou.
« T’es trop géniale, toi ! »
Puis elle coure de nouveau jouer dans l’eau.
« Ne vous sentez pas obliger de satisfaire ma gamine. Elle est en vacances. Ce n’est pas pour se planter devant la télé. »
« Des orages sont annoncés. Il faudra bien qu’elle s’occupe ! À bientôt ! »
Elle se sauve, ne laissant comme seule trace que sa carte de visite sur le sable et une effluve de parfum.

La journée se passe et le visage de la douce Sabrina peuple mon esprit tourmenté. J’en oubli presque Cathy. Mais elle, au moins, est présente.
Je sais que je me cache derrière de faux prétextes, mais cette fille m’a envoûté.
Sous le couvert de fausses courses, j’entraîne Amandine dès le lendemain, dans les rues et les ruelles de Saint Raphaël, espérant tomber « par le plus grand des hasards » sur la boutique de Sabrina. Sans résultat.
A la plage, je guette toutes les silhouettes féminines, espérant apercevoir les courbes de ma belle. Pas mieux.
Dépité, je rentre tôt, sous la désapprobation d’Amandine.
« Bon, allez ! Ne fais pas la tête et on commande une pizza, d’accord ? »
« J’veux la plus chère ! »
« La plus chère, ok ! Je commande. »
Une demi-heure plus tard, on sonne à la porte.
« Tient, voilà les pizzas ! »
J’ouvre la porte.
« Coucou ! Je ne dérange pas ? »
« Ouaiiii ! Tu viens brancher ma console ? »
« Si ton papa veut bien que je jette un coup d’œil, alors oui ! »
« Hein ? Heu, oui, bien sur ! »
« Ben pousse toi ! Laisse-la passer ! »
« Hein ? Oui ! Où ai-je la tête ? Entrez ! »
Je suis ridicule. On dirait que je n’ai jamais vu de fille de ma vie.
Faut dire aussi…
Non seulement, elle fait ado, mais elle s’habille comme une ado.

Deux longues couettes pendouillent sur un tee-shirt noir moulant. Sur le devant, en rouge, on peut y lire « JE NE SUIS PAS UNE FILLE FACILE ! », et dans le dos « C’EST MOI QUI CHOISIS ! ». Son joli fessier est enfermé dans un short en jeans, si petit que la naissance de ses fesses est très largement visible. D’une taille moyenne, elle se grandit sur des sandales à talons hauts. Elle est plus que sexy, elle est…bonne !
Je sens mon cœur qui s’emballe et ma bouche s’assécher.
« Vous boullez un perre ? Vous bouvez un verre ?...Vous avez soif ? »
« Hihihi ! Oui, je veux bien un perre ! Hihihi ! »
Je me sens rougir comme jamais auparavant.
Qu’a-t-elle comprit ? Qu’a-t-elle dit ?
A-t-elle joué sur mon bégaiement ou a-t-elle dit « Oui, je veux bien un père ! » ?
On sonne de nouveau à la porte.
Cette fois, ce sont bien les pizzas.
En revenant dans la salle, je manque de les laisser tomber.
Sabrina est à quatre pattes, la tête derrière le téléviseur. Ce petit cul moulé dans ce mini short…. J’en peux plus et mon membre gonfle malgré moi.
« Tu vois, papa ! Sabrina a trouvé, elle ! Tu t’es trompé dans les branchements ! »
« Voilà ! Ca devrait fonctionner ! »
Elle recule pour se sortir de derrière le téléviseur. Moi, je pose rapidement les pizzas sur la table basse et m’assois dans le canapé, les bras croisés sur mon émoi.
« Ca vas ? Vous êtes tout pale ? »
« Oui, ça vas ! Sans doute la chaleur. Amandine, tu ne veux pas nous servir un verre ma chérie ? »
« Ho non, papa ! Je joue ! »
Aille ! Je suis foutu ! Je me lève d’un bond et je me précipite au placard, en espérant qu’elle n’ait rien remarqué.
Je respire calmement et j’arrive à faire tomber cette foutue pression dans mon pantalon.
« Les pizzas sont énormes, vous resterez bien manger, non ? »
« Volontiers. Ha ! J’oubliais ! »
Elle fouille dans son grand sac de toile et en ressort une boite qu’elle me tend.
« C’est le tout dernier modèle. Voilà ma bêtise réparée et encore toute mes excuses. »
« Il est magnifique, mais c’est beaucoup trop ! Vous savez, l’autre n’était plus tout jeune. Comment puis-je vous remercier ? »
« Disons…une bonne part de pizza et un autre « perre » ! Hihihi ! »
La voilà qui recommence. Et moi qui ne sais toujours pas si c’est du lard ou du cochon. Je rougi une fois de plus et elle semble beaucoup s’en amuser.
La soirée est excellente. Nous rions énormément et l’ambiance est très détendue.
Amandine, fatiguée par une longue journée, finit par s’endormir.
« Vous avez une fille très mignonne et très drôle. Pas de maman ? Vous êtes divorcé ? »
Qu’est ce qui me prend. Voilà que je vide mon sac et raconte tout ce qui ce passe dans ma vie depuis quelques mois.
Didier, Sylviane, les trois Maîtres et les deux soubrettes, le jeune neveu de Jefferson, les absences de Cathy, mon cocufiage. Tout, je dis tout, je ne cache rien.
Sabrina ne dit rien. Elle écoute avec attention, ses yeux plongés dans les miens.
« Voilà toute l’histoire. Alors j’ai décidé de venir à Saint Raphaël, sans elle. »
« Hé bien ! Quelle histoire ! C’est complètement fou, même si je trouve tout cela très excitant. Mais c’est bien malheureux de voir un beau couple voler ainsi en éclat. Je suis navrée pour vous, vraiment navrée.»
« C’est gentil Sabrina. Mais vous-même…pas d’homme dans votre vie ? »
« Ha non ! Je les aime trop pour m’enchaîner à un seul ! La vie est courte, je veux en profiter. »
La soirée a été longue et c’est sur ces paroles que nous nous quittons.
« Sabrina, nous reverrons nous ? »
« Vous avez mon téléphone ? Appelez moi, c’est avec plaisir que je prendrais un « père » célibataire. Bonsoir. »
Cette fois, pas de doute. Elle vient de me faire une proposition.
Je regrette déjà de ne pas l’avoir retenu.

« Allo, Sylviane ? Oui, merci, tout va bien. Ecoute, Cathy insiste pour que tu viennes passer quelques jours avec nous. Bien sur nous t’offrons le train. Ok ? Super ! Je te prends à la gare dès ton arrivé. Appelles sur mon portable, celui de Cathy est en panne.»
Je n’ai pas l’habitude de mentir, mais elle ne serrait jamais venu si je lui avais dis que Cathy n’était pas là.
Elle est arrivée le lendemain matin. Bien sur elle a été furieuse de mon mensonge, mais j’ai tout de même obtenu qu’elle ne téléphone pas à Cathy pour lui dire.
Je ne lui ai pas dis non plus que c’était pour être plus libre, mais seulement qu’il m’était difficile de m’occuper seul d’Amandine. Je ne me savais pas autant menteur.
Le soir même, je suis en tête à tête avec Sabrina, dans un gentil et romantique restaurant du port.
Elle porte une mini jupe et un caraco à fleurs, très léger et très décolleté. Ses cheveux détachés encadrent son joli visage. Sur la table, une bougie. La flamme de celle-ci danse dans ses yeux et éclaire son sourire d’adolescente.
Au milieu du repas, j’ose poser ma main sur la sienne. Nos doigts se découvrent, se caressent, s’entremêlent.
« Sabrina, j’ai terriblement envi de toi. »
« Humm ! Moi aussi Eddy ! J’ai envi d’un père célibataire. Je vous l’ai dis. La preuve ! Regardez comme je bande des seins. »
Avec un doigt, elle écarte le décolleté de son caraco et dégage un sein, discrètement.
Son téton est fièrement dressé. Il ne semble attendre que mes lèvres, mais en attendant, je tends mon bras et le fais rouler entre mes doigts.
Sabrina semble apprécier cette première caresse et ferme les yeux en se mordant légèrement les lèvres.
Bien calée dans un angle du resto, la belle tourne le dos à la salle et personne ne peut la voir dégager son autre sein. Elle empoigne celui-ci et le malaxe sans ménagement.
Je bande comme un fou, à en avoir mal.
La vision de cette jeune fille, presque nue et dans cet endroit, ne peut que rendre fou de désir.
Elle délaisse son sein et glisse sa main sous la table.
« Qu’est ce que tu fais ? »
« J’ai envi de jouir ! J’ai envi de me masturber ! Branlez vous aussi ! Allez-y ! Vous allez voir, ça vas être bon ! »
Je vois déjà son bras s’activer de l’autre coté de la table. J’imagine sa main glisser entre ses cuisses, écarter son string et astiquer son clito.
La nappe est longue. Personne ne devrait me voir. Je passe ma queue raide et mes couilles gonflées par-dessus l’élastique de mon short. La sensation est fantastique et terriblement enivrante.
« Hummm ! Je me pénètre ! J’ai deux doigts en moi. Je suis trempée. Et vous ? »
Ses yeux brillent. Son visage reflète la luxure et le dévergondage. Je ne la reconnais pas. Ce n’est plus la mignonne petite ado de la plage, mais une femme licencieuse, vicieuse et perverse qui se branle devant moi, sans aucune retenue.
« Tu me rends fou ! Je n’ai jamais bandé si fort ! Je ne tiendrais pas très longtemps ! »
« Ho ouiii ! Joui, mon salop, jouiiii ! »
A mes paroles, elle parait encore plus excitée et semble oublier ou elle est.
Elle se laisse glisser sur le bord de sa chaise pour poser sa nuque sur le haut de son dossier. Je l’imagine les jambes très largement ouvertes et au mouvement de son bras, je sais qu’elle se masturbe avec force.
De son autre main, elle se caresse les seins comme une démente, pinçant et étirant ses pointes.
J’ai très peur que l’on se fasse prendre, mais ivre de plaisir et d’excitation, je continu à m’astiquer de mon coté.
« Sabrina ! J’en peux plus ! Je vais jouir ! Viens, sortons, je vais te baiser comme une reine. »
Perdue dans sa folie sexuelle, je ne crois pas qu’elle comprenne tout ce que je lui dis.
« Hummm ! Moi aussi, je viens ! Ouiii ! Jouiii ! Jouiii avec moiii ! »
Elle parle la mâchoire serrée, sans doute pour ne pas crier.
Soudain, je sens qu’elle ressert ses jambes et je vois ses yeux se révulser. Elle a toutes les difficultés du monde, à contenir un violent orgasme qui l’emporte brusquement.
Je sens ma queue se contracter.
Je la lâche immédiatement et je me concentre pour ne pas jouir. Mais trop tard. J’ai sans doute fais une ou deux caresses de trop. Elle est prise de spasmes et largue soudain sa cargaison liquide en de grands jets, sous la table.
Sabrina ouvre de grands yeux, étonnée tout d’abord, satisfaite ensuite. Elle se redresse sur sa chaise, reprenant une position moins équivoque, à mon grand soulagement.
« Humm ! C’est chaud ! »
« Quoi dont ? »
Elle se penche un peu et remonte une de ses mains qui était restée sous la table.
« Ca ! »
Sur son index, un gros paquet de foutre blanc, ne demande qu’à couler, en long filet, dans son assiette.
« Merde ! J’ai éjaculé sur tes jambes ? »
« Mais, c’est bien ce que j’espérais. Hihihi ! »
Elle porte le doigt à sa bouche et me déguste avec gourmandise. Elle répète l’opération plusieurs fois, sans me lâcher des yeux, tout en arborant un petit sourire triomphateur.
Je fini de m’essuyer avec une serviette en papier tandis qu’elle, savoure son troisième ou quatrième doigt de foutre, quand soudain…
« Vous désirez un dessert ? »
Perdu dans notre folie passagère, je n’ai pas remarqué le serveur revenir à notre table.
Je me penche en avant, les mains sous la table pour cacher mon sexe sorti et la serviette maculée que je tiens encore.
Sabrina sursaute et croise ses bras sur sa poitrine toujours exposée aux regards.
C’est plus fort que nous. Nous explosons de rire.
Sous le regard énervé du serveur qui pense qu’on se moque de lui, je commande deux banana split.
Sabrina rigole tellement qu’elle en pleure mais elle parvient tout de même à dire…
« Hahaha ! Avec plein de Chantilly ! Hahaha ! »
Le serveur s’éloigne, furieux. Il nous faut plusieurs minutes pour retrouver notre calme.
Lorsque nos desserts arrivent, nous présentons nos excuses, expliquant que nos rires ne lui étaient pas destinés.
Lorsque nous sortons, j’enlace Sabrina devant le restaurant et nous échangeons notre premier baiser.
La jeune fille se frotte et ondule contre moi, réveillant mon ardeur instantanément. Je sens son corps si frêle entre mes bras, qu’il me semble que je pourrais la casser, en la serrant trop fort.
« Venez ! Je voudrais vous montrer un endroit que j’adore. »
Nous grimpons dans sa petite voiture et nous sortons de Saint Raphaël. Je ne peux pas détacher mon regard de ses cuisses bronzées qui se soulèvent, chaque fois qu’elle change de vitesse.
Nous roulons un bon moment, puis la voiture s’arrête sur un petit terre-plein surplombant la mer. L’endroit est sombre et désert. Nous descendons et nous nous installons sur un banc. La vue est magnifique. On peut voir toute la ville et ses lumières se reflétant dans l’eau.
« Peu de gens connaissent cet endroit. Ca vous plaît ? »
« Non seulement ca me plais, mais en plus en ta compagnie, ca devient carrément idyllique. »
Je l’enlace et l’embrasse longuement. Je glisse une main sous le caraco et la douceur de ses seins dans mes mains, me fais bander de nouveau.
Elle, fait glisser le bout de ses doigts sur ma cuisse, me provoquant de longs frissons. Puis, elle plonge sa main dans mon short et extirpe mon membre dressé. Elle me branle lentement, le long de mon ventre.
« Humm ! Vous avez une belle queue ! »
« Tu la veux ? Elle est à toi ! »
Mais soudain, de petits cris se font entendre derrière une bordure faite d’arbustes. Sabrina déchiffre tout de suite les sons qui nous parviennent.
« Ca…c’est une fille qui jouit ! Venez allons voir ! »
« Je ne sais pas si… »
Mais elle me tire déjà vers les arbustes. Nous passons entre deux et à ma grande surprise, je vois une fille, totalement nue, allonger dans l’herbe et se faisant prendre par un homme, tandis qu’un autre l’embrasse et lui caresse la poitrine.
Accroupis, nous regardons le trio s’éclater.
« Ca, ça m’excite ! Venez, allons les rejoindre ! »
« Ha non ! Je te veux toi ! Rien que toi ! »
Elle me fait un grand sourire.
« C’est trop mignon ! Venez, retournons à ma voiture. »
Discrètement, nous rebroussons chemin jusqu’à la voiture. Elle pose ses petites fesses sur le capos et m’enlace de nouveau.
Habillement, elle ressort mon sexe et le frotte sur son string sous sa jupette relevée.
« J’en peux plus ! Donne-moi ta chatte ! »
Je la pousse sur le capot et remonte ses jambes sur mes épaules. J’écarte le string et pose mon gland sur un joli petit vagin, aussi bien taillé qu’une pelouse de golf.
« Ho ouiii ! Prenez-moi fort ! Tapez dans mon ventre, bien au fond ! Baisez-moi fort ! »
Ce que je fais. Je la pénètre d’un violent coup de reins et je sens mon gland frapper l’utérus. Elle fait une grimace, mais je répète le mouvement encore et encore.
Cette fille est une vraie fontaine. Sa mouille éclabousse mes couilles dans d’extraordinaires clapotis.
« Ha ouiiii ! C’est bonnnn ! Défoncez moiiii ! Ouiii ! Haaaaa ! »
Elle cris fort et bien sur, le trio ne peut faire autrement que d’entendre. Nous entendons les feuillages bouger et les trois amants s’approchent de nous.
Sabrina, au bord de l’explosion, laisse enfin tomber le vouvoiement.
« T’arrête pas ! Pilonne-moi bien à fond ! Ne t’arrête pas ! Laisse-les venir, baise moiiii ! Haaaaa ! »
« T’aime ca putain ! T’aimes te faire voir, hein ? T’aimes te montrer ? Ca t’excite, salope ? »
Elle tend un bras vers la fille encore nue.
« Viens ! Embrasse-moi chérie ! »
La fille s’approche et se penche sur le capot, écrasant ses seins sur le métal chaud, pour atteindre les lèvres de Sabrina. Voir ces filles mélanger leurs langues, augmente encore mon envie de la remplir.
Un type s’approche de la fille et profite de sa position pour la prendre. Le troisième larron, caresse les seins de ma salope, semblant attendre son tour.
Il n’attendra pas longtemps. J’explose dans le ventre de mon amie dans de longs jets de foutre chaud.
Je suis à peine retiré, que déjà, le type la prend de nouveau.
Je me sens tout à coup inutile et je m’assois sur le bord du banc. Ca ne m’était jamais arrivé, mais je crois bien être victime de la petite dépression qui peut survenir à un homme, après sa jouissance.
Je me sens triste. J’en aurais presque envi de pleurer.
J’aimerai tellement que ma Cathy soit là, pour me consoler et me câliner.
Les hommes se vident dans les filles avec des beuglements ridicules.
Sabrina, épuisée, reste allongée sur le capot. La fille s’accroupie et lui lèche le minou de longues minutes, offrant un nouvel orgasme à Sabrina.
Puis, le trio s’en va après nous avoir remerciés pour cette agréable fin de soirée.
La belle vient s’asseoir sur mes genoux et me prend dans ses bras.
« Qui y a-t-il ? Ca n’a pas l’air d’aller. »
« Un peu de cafard. Rien de grave. »
« Ta femme ? Ne pense pas à elle. Ce n’est pas bien ce qu’elle t’a fais. Tu ne mérites pas ça ! »
« Merci Sabrina. Tu es gentille. Nous nous voyons demain soir ? »
« Je pars demain matin pour le cap d’Agde, pour quinze jours. Viens avec moi, si tu veux. Je loue un studio. »

Sylviane dort à point fermé sur le canapé, couchée de coté. Elle est juste vêtue d’une nuisette noire transparente qui laisse voir ses seins, et d’un tout petit string.
Je m’assois près d’elle et caresse son bras nu. Dommage que cette fille soit lesbienne. Elle est jolie et super bandante.
Cathy, Sabrina, les vacances, l’amour, le sexe. Perdu dans mes pensées, je m’égare et pose ma main sur la cuisse de Sylviane. Sa peau est douce, chaude. Je la caresse, plus fort, plus entreprenant.
« Qu’est ce que tu fais ? »
Elle sursaute, et s’allonge sur le dos en se frottant les yeux.
« Ho ! Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller. »
« Mais oui, c’est ça ! Tu voulais juste me peloter dans mon sommeil ! Hein ! »
« Mais non ! Je voulais juste te réveiller pour te dire que…je pars. Ne t’inquiète pas, je suis sur que Cathy sera là dans quelques jours. Je vais te laisser de l’argent. »
Je m’apprête à me lever, mais elle me retient par le poignet et pose ma main sur sa poitrine.
« Tu sais Eddy ? Si tu veux me baiser…il suffit de le dire ! »

A SUIVRE…

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