Damien 55 - Pascal 2

Une fois arrivé dans la pièce Pascal se déshabilla, si sa verge était moins grosse et longue que certaines que je connaissais, elle possédait quand même de belles dimensions.
Je m'avançai vers l'homme et je lui caressai les testicules, il me dit "Ah je vois bien que ma bite te fait envie salope, mais ton cul aussi me fait envie, allez fous toi à quatre pattes sur le pieu et tends bien ton fion.
- Tu ne veux pas que je te suce un peu.
- Non tout à l'heure, pour l'instant j'ai envie de te défoncer la pastille.
- Comme tu voudras, tu sais la première fois il faut faire doucement car mon trou est encore fermé et ça fait mal.
- T'inquiète pas ma choute, allez mets-toi en position, je vais bien te ramoner".
Je me mis à genoux sur le lit puis je me penchai jusqu'à reposer sur mes avant-bras puis me cambrant j'écartai les cuisses.
Pascal me regarda et dit "Tu sais que tu as l'air gironde comme ça, quand j'y pense jamais je n'aurais cru voir ça un jour. Jamais je n'aurais pensé que le copain de mon grand frère tende son cul devant moi et se mette en posture pour que je l'enfile. Au fait dis-moi salope tu as donné ton cul à Denis ?
- Non.
- Enfin je m'en fous la seule chose qui compte c'est que je vais te bourrer l'oignon".
Pascal s'approcha de moi il passa sa main sur mes fesses chaudes puis il glissa un doigt dans ma raie.
Ce contact me fit frémir et quand du bout de son majeur l'homme força ma rosette je ne pus retenir un gémissement.
Tout en continuant d'enfoncer lentement son doigt en moi Pascal me demanda "Tu aimes ce que je te fais ?
- Ouii !!
- Toi alors tu es vraiment une drôle de salope".
Pendant quelques instants Pascal continua ses lents mouvements, puis au fur et à mesure que mon trou s'élargissait un deuxième doigt puis un troisième voit rejoindre le premier.
Dans l'état de manque où je me trouvais cette douce caresse me fit partir, je tendis encore plus ma croupe vers cette main qui me faisait tant de bien et je ne pus m'empêcher de râler.


Voyant à ma réaction que ce traitement me plaisait Pascal se mit à faire tourner ses doigts chaque fois qu'il les enfonçait en moi, cette action a eu pour but de me faire monter d'un cran dans le désir.
Tout en me travaillant la pastille Pascal me disait "Quelle salope mais quelle salope, je te fous trois doigts dans le cul et tu as vraiment l'air d'aimer ça. Ah tu aimes te faire mettre pouffiasse, attends que ce soit ma grosse pine qui t'encule".
Ses paroles fouettaient encore plus mon désir, j'avais envie que sa bite remplace sa main et qu'elle me défonce le cul, j'étais complètement en nage et dans un long soupir je dis à mon homme "Prends-moi, je t'en supplie mets-moi ta bite dans le cul, fais moi du bien, viens baise-moi je n'en peux plus.
- A une telle invite on ne peut que répondre oui, ma petite pute veut que je la baise alors d'accord je vais te baiser salope".
Pascal monta sur le lit et s'agenouilla derrière moi.
J'écartai encore un peu plus les cuisses et je me cambrai au maximum pour m'offrir totalement, mon amant s'en aperçut et me dit "Eh bien c'est vrai que tu as envie de ma queue, à voir de la manière dont tu tends ton fion vers moi c'est que tu veux que je te défonce".
J'entendis mon homme se racler la gorge puis il écarta mes deux lobes charnus et cracha entre eux.
Son crachat frappa juste sur l'entrée de mon anus, mon mec glissa son phallus érigé le long de ma raie, le positionna contre mon antre affamée puis me dit "Maintenant salope on va passer aux choses sérieuses, je crois que mon mollard t'a bien graissé le derche et que ma pine va pouvoir rentrer dedans sans problème.
- Ouii, vas-y défonce moi, fais-moi jouir.
- Tu vas jouir salope je te le jure".
Me prenant aux hanches Pascal commença à peser sur mon orifice, quand son gland turgescent écarta mes chairs je poussai un petit cri de douleur qui fit rire mon amant qui me dit "Ca te fait mal, c'est bizarre car moi je ne sens rien".

Sans tenir compte de moi mon mec s'enfonça en moi jusqu'à la garde d'un brutal coup de reins, bien que je fus un peu ouvert par les doigts de Pascal, le passage du priape dressé fut douloureux.
J'eus l'impression qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge entre les reins, je poussai un hurlement de souffrance et des larmes inondèrent aussitôt mes yeux.
Plaqué contre mon postérieur mon homme me dit "Arrête de chialer, c'est bien toi qui voulait que je t'encule, et puis n'importe comment maintenant que je suis complètement dans ton trou à merde je n'aurais plus a y rentrer donc tu as eu un tout petit mal mais ça y est c'est fini.
- Je t'avais demandé de faire doucement et au lieu de ça tu m'as défoncé sans ménagement.
- Et alors, d'ailleurs je suis sur que ce putain de fouinedé en a vu d'autre et puis je m'en fous ce qui compte c'est que je sois au fond de ton fion. Allez calme-toi je vais bien te limer et tu vas voir tout ceci ne sera plus qu'un mauvais souvenir.
- Mais je t'en prie au début ne me baise pas trop fort, attends que mon anus se soit relâché.
- Bien sur ma salope, je vais faire tout doucement".
Au lieu de cela Pascal posa ses mains sur mes épaules et commença à me posséder avec une violence inouïe m'arrachant à chaque fois des cris de souffrance.
J'avais l'impression d'avoir fait un retour en arrière, un jour un black m'avait baisé de la même manière à la différence près c'est que le sexe de Pascal était quand même moins imposant.
Pascal me baisait avec une telle violence que j'avais peur qu'il me déchire complètement.
Au bout de quelques mouvements il plaqua son ventre contre mes fesses et éjacula en râlant.
Je n'avais ressenti aucun plaisir, il faut dire que j'avais été pris comme une bête Pascal ne cherchant simplement que son plaisir.
Toujours fiché entre mes reins Pascal me dit en me mettant une claque sur les fesses "Alors pédale tu vois que c'était pas la peine de faire doucement, tu as un bon cul et ma pine est rentré comme dans du beurre.

- Mais tu m'as fait mal et d'ailleurs j'ai toujours mal, mon cul n'a pas eu le temps de se relâcher.
- Ca je m'en fous tapette, ce que j'avais envie c'était de tirer mon coup car j'en avais très envie.
- Si tu avais si envie que ça tu aurais du me laisser te sucer.
- Non c'est dans ton fion que je voulais tirer mon premier coup mais ne t'inquiète pas j'ai encore des réserves et tu vas pouvoir me sucer et ensuite je vais bien baiser ton petit cul et cette fois-ci je te l'ouvrirai bien avant de te foutre.
- D'accord parce que tu sais moi aussi j'aime bien prendre mon plaisir pendant une baise.
- Bon maintenant tu vas m'écouter roulure, ton plaisir je m'en fous, ce qui compte c'est le mien de plaisir, si j'ai envie de te défoncer le cul comme ça pendant toute la journée et bien je le ferais. D'ailleurs rappelle-toi on a fait un marché tout à l'heure, je t'ai dit que si tu étais bien gentille avec moi je garderai pour moi que tu es une pédale. Tu t'en souviens ?
- Oui mais..
- Il n'y a pas de mais pétasse, tu vas faire ce que je veux un point c'est tout. Aussi souviens toi que pour moi celui qui commande c'est celui qui a une paire de couilles, étant donné que ta paire à toi ne sert à rien je considère que je suis le seul à en avoir, donc le patron c'est moi. Toi la seule chose que je te demande c'est d'ouvrir ta gueule pour me pomper le dard et d'écarter les cuisses pour que je puisse te casser le derche. Compris ?
- Oui Pascal.
- Bien salope je vois que tu as compris que j'étais le maître, alors maintenant que les choses sont bien claires, je vais sortir de ton cul et tu vas me faire un pipe parce qu'il paraît que tu es la reine de pompeuse".
Pascal se retira de moi, s'assit sur le lit puis il me dit "Alors pute j'attends, c'est pour aujourd'hui ou pour demain cette turlutte ?
- Mais….
- Mais quoi encore ?
- Tu ne vas pas te laver la bite.
- Il ne manquerait plus ça, elle est propre je l'ai lavée ce matin.

- Peut-être mais depuis elle est entré dans mon cul et elle est couverte de merde.
- Et alors ?
- Eh bien ce n'est pas très agréable de sucer une bite dans cet état.
- Bon je crois que tu n'as rien compris tout à l'heure, d'abord cette merde c'est la tienne alors c'est ton problème, c'est pas de ma faute si tu as le cul qui pue, ensuite je te rappelles que le patron c'est moi et que si je ne veux pas me laver la bite avant de te la foutre dans la gueule
eh bien je te la fous dans la gueule comme ça. Et maintenant assez parlé suce pouffiasse ou je te file une raclée dont tu vas te souvenir, allez dépêche-toi amène toi vite et pompe crevure.
- Ecoute..".
Une violente baffe m'atteint en plein visage me faisant l'équilibre et Pascal me dit "Alors maintenant tu suces et vite ou je continue. Tu vas voir je vais te dresser moi espèce d'ordure de salope".
Vaincu je descendis du lit et me mis à genoux entre les jambes de mon amant.
Surmontant mon dégoût je me penchai sur le sexe flaccide et maculé de mon amant, comme je m'approchai une odeur pestilentielle m'agressa et je ne pus m'empêcher d'avoir un haut le cœur.
Pascal s'en aperçut et me dit "Alors salope, qu'est ce qui t'empêche de me sucer, tu trouves que ma bite pue la merde, mais salope c'est ta merde et tu vas vite me nettoyer la queue avec ce qui te sert de langue, me faire bander et me sucer comme ta bouche de pute sait le faire".
Voyant que j'hésitai mon homme posa une de ses mains sur ma nuque et d'un mouvement brusque me plaqua le visage contre sa pine.
Sans me lâcher Pascal frotta ma figure contre son entre jambe jusqu'à ce que ma face soit souillée.
M'attrapant par les cheveux il m'écarta de lui et dit "Voilà, maintenant que ta gueule est comme ma bite tu peux la sucer et magne toi sinon je te files une danse dont tu te souviendras".
Complètement abattu je pris le pénis d'une main et me mis à le masturber tandis que de l'autre main je caressai les bourses duveteuses.
Mon mec me prenant délicatement par le menton releva ma tête et me dit "Tu vois pétasse qu'il suffit d'obéir pour que tout aille mieux, une fois que tu m'auras sucé je te laisserais aller te laver la gueule et maintenant enfourne mon braquemart et pompe le".
Tel un zombie je baissai la tête et ouvrant la bouche je me mis à suçoter le gland turgescent, mon amant posant ses mains sur ma nuque me força à engloutir entièrement son priape en disant "Et voilà pouffiasse tu vois que ce n'est pas difficile de sucer ma bite, il suffit de le vouloir".
Voyant que la situation était sans issue, j'enroulai ma langue autour de la tige de chair et la mordillant légèrement je me mis à la téter.
La pression des mains de mon homme diminua et je pus aller et venir tout le long du membre, au fur et à mesure de ma fellation le pénis de Pascal devint entièrement propre.
Mon mec commença à réagir à ma lente fellation, il me caressa la tête et me dit "C'est vrai que tu pompes bien morue, ta langue de pute me caresse bien la queue, vas-y continue que je te crache une bonne giclée dans ta gueule de raclure".
Au bout de quelques instants Pascal plaqua mon visage contre son pubis et explosa en râlant, ses jets de foutre crémeux fusèrent contre mes amygdales et je les avalai avec délice.
S'écartant de moi l'homme me dit "C'était une bonne pipe, allez vas te laver la gueule et reviens sur le pieu".

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