Manon, La Petite Salope De Jules. Épisode 11/18
Manon eut du mal à sendormir cette nuit-là, si elle navait pas souffert lors de la sodomie vécue pour la première fois avec Jules, elle avait un peu mal au cul. Ce nétait pas les claques reçues sur les fesses mais bien son anus qui la titillait, toutefois la douleur était supportable. Elle repensait à ce que lui avait ordonné Jules, la veille avant son départ, elle navait pas pensé du tout à cela, même si elle ne le refusait pas. En effet, il ne voulait plus quelle porte un seul sous-vêtement quel quil soit, chez elle, chez lui, ni même à lextérieur.
Dautre part, heureuse de se retrouver seule après le départ de sa mère, elle avait prévu de vivre avec lui, tout au moins pendant le confinement, mais pas du tout. Elle ne pouvait monter chez lui que pour faire son ménage, son repassage et tous ses repas et à des heures imposées. Elle serait désormais sa « bonniche » comme il avait dit. Elle devait également tenir lappartement de sa mère à la perfection. Tout devait être rangé, le linge lavé et repassé et aucune poussière nétait tolérée. Il passerait toutes les semaines inspecter.
En ce qui concernait le sexe, il ne la baiserait que lorsquil en aurait décidé et elle ne devait plus se masturber sans son autorisation. Elle devait tous les matins, venir le réveiller en lui faisant une fellation et avaler son sperme sans en mettre une seule goutte à côté. Puis lui apporter le petit déjeuner au lit, avant de faire la chambre à fond, aspirateur compris, pendant que lui, faisait sa musculation et ses abdominaux au salon, avant daller courir dans le parc pendant une heure.
Elle devait donc aller à la boulangerie 6h45 afin dêtre à la maison à 7 heures pile. Pendant son footing, elle devait faire la vaisselle, ranger son matériel de sport, nettoyer le salon avant quil ne rentre pour donner ses cours sur internet. Elle ne pouvait revenir quà 11h30 préparer le repas, le servir, refaire la vaisselle et nettoyer la salle de bain avant de redescendre chez elle à 14 heures.
Pendant les quatre premiers jours, Manon avait respecté à la lettre toutes les consignes de Jules. Même si elle avait pris quelques petites fessées pour ses retards ou un ou deux oublis lorsquelle fit les courses, la dernière quelle prit fut bien plus violente lorsquil sétait aperçu quelle était sortie au supermarché avec une petite culotte et quelle nétait pas rentrée tout de suite. Jules lavait malmenée jusquà ce quelle lui avoue quelle était passé chez Lydia sa meilleure amie.
Ce soir-là, ses cuisses et ses fesses la brulait, Jules avait frappé fortement. Bizarrement malgré la douleur, lorsquil avait passé sa main douce sur la rougeur de sa peau, elle mouilla, sa petite chatte était trempée, à croire quelle aimait cela. Depuis quelques jours, elle donnait limpression quelle faisait exprès dêtre en retard afin de prendre une fessée. Jules sen était aperçu et voulant passer la vitesse supérieure il lui montra le martinet, mais nayant jamais fait cela, il sétait dit quil remettrait ça à plus tard :
Bientôt, ce sera ta punition. Tu voulais devenir ma chose, ma soumise, le veux-tu encore ?
Oui Jules ! Je suis déjà ta petite salope
Je ne te lai pas encore prouvé ?
Je reconnais que tu mimpressionne vraiment, mais es-tu capable daller encore plus loin ?
Que veux-tu dire ? Ce que je veux cest ton plaisir uniquement. Ce que tu désires, je le désire aussi.
Le moment voulu. Pour le moment continue comme ça, tu es presque parfaite. Par contre, dorénavant, dit-moi « vous » et « Monsieur Pennys.
Manon nétait pas contrariante, elle obéissait et ce jeu lui plaisait beaucoup, cela lexcitait même. Ce fut comme les claques sur les fesses, Jules ne frappait pas de toutes ses forces et adorait la caresse qui sen suivait.
Merci Monsieur Pennys ! Puis-je à mon tour, vous demander une faveur ?
Dis toujours, je réfléchirai avant de donner mon aval ou mon refus.
Manon tenait beaucoup à sa ligne et cela faisait plus dune semaine quelle nétait pas allée au parc faire, elle aussi son footing, elle aimerait pouvoir le faire au moins deux fois par semaine comme par le passé. Jules navait pas répondu et attendait quelle prouve sa soumission. Pour le moment, il était très étonné, cette petite coquine de Manon lui montait à la tête, elle était tout le contraire de Tamara pour son plus grand bonheur.
Sa princesse des îles lui ayant laissé encore un espoir, il tentait de renouer avec elle. Néanmoins, il se sentait pris au piège, Manon était bel et bien une bombe sexuelle et se montrait dune docilité sans pareil. Rien à voir avec toutes les filles quil avait pu connaitre. Il se demandait, comment allait-il pouvoir se passer delle, lorsque Tamara reviendrait au moment du déconfinement. Pour le moment tout allait pour le mieux et il ne voulait plus trop y penser.
Comme Manon fut exemplaire pendant toute la semaine, Jules venait daccepter sa demande. Ce dimanche matin, après quelle lait réveillé avec sa fellation magistrale, il lui demanda de sallonger un instant à ses côtés, Manon était aux anges et lorsquil lui annonça la bonne nouvelle, elle sétait penchée sur lui et lembrassa tendrement : « je taime Jules » Lui avait-elle dit sincèrement. Jules appréciait de plus en plus sa docile petite salope. Il saperçut que cétait beaucoup plus que de laffection et se demandait sil ne laimait pas mais cétait un peu trop tôt pour lui de se lavouer. Avant de se lever pour lui apporter le café au lit, Jules lui dit dattendre un peu quil avait quelque chose à lui dire. Lorsquil lui avait expliqué ce quil avait lintention de faire, pendant ce footing, Manon était toute excitée et était partante, ce nouveau jeu lui plaisait beaucoup.
Un peu plus tard, pendant que Jules faisait des pompes, en slip et torse nu sur le tapis du salon, elle avait laissé laspirateur fonctionné et se plaça dans lencadrement de la porte entrouverte de la chambre, afin de pouvoir lespionner tout en se caressant. Elle savait quelle prendrait une fessée sil la voyait mais cétait le but recherché. En effet, tout de suite, celui-ci sen étant aperçu, se releva, sassit sur le fauteuil et lappela :
Non Manon ! Tu viens de déroger à la règle, tu mérites une punition. Tu iras courir le cul tout rouge.
Manon savait ce qui lattendait et ne craignait plus les fessées. Elle pencha tout son corps sur ses genoux, posa ses bras au sol et attendit, le cul relevé :
Allez-y Monsieur Pennys, je suis une sale petite fille qui mérite dêtre punie.
Jules souriait, il nen revenait pas, cette Manon ne se plaignait jamais et acceptait tout, à croire que ce jeu lui plaisait. Cétait un pur bonheur dêtre avec elle. Ne voulant pas rire, il reprit son sérieux et lui mit trois claques sur chaque fesse. Manon navait poussé que quelques petits « Ah ! » au contact de sa paume tendue, puis lorsquil lui caressa du plat de la main ses rougeurs, elle commençait à ne plus ressentir la douleur, cétait presque du plaisir, à en croire ce quelle dit :
Merci Monsieur Pennys, je lai bien mérité.
Bon ! Va te préparer, nous allons courir au parc.
Jules avait remarqué que depuis le confinement, de nombreux hommes, beaucoup à la retraite venaient passer au parc un moment à cette heure-là, histoire de se dégourdir les jambes. Manon était redescendue se vêtir comme Jules lui avait demandée. Elle portait une petite jupe quelle mettait lorsquelle faisait du tennis, sans rien dessous et un débardeur trop large, laissant voir ses seins par la large échancrure de ce petit haut blanc. Lorsquelle courait ainsi vêtue, les badauds venant prendre lair, las de rester à la maison pendant ce confinement, la regardaient tous avec envie, faire son footing, dévoilant ses jolies fesses nues et sa belle poitrine qui ballottait, à chaque foulée.
Jules était aux anges, courant plus vite quelle, il lavait doublée plusieurs fois et à chaque dépassement, il regardait tous ses voyeurs restants assis sur leur banc, en train de commenter avec leurs voisins, à chaque passage de Manon. Il aurait aimé entendre ce quils disaient, mais il sen doutait bien. Après une quarantaine de minutes de footing, Jules sarrêta et se mit assis sur un banc, non loin des quelques personnes qui étaient restés là, attendant le passage de la jeune exhibitionniste.
Jules lappela et lui dit de se mettre assise sur lui, ils avaient répété dans la cuisine ce quelle devait faire, ils étaient tous les deux attentifs, en observant, ils ne virent aucun gamin à lhorizon. Sachant que tout devait être subjectif, elle remonta sa jupette délicatement et se frotta le cul sur son sexe afin de le faire bander, il navait pas fallu longtemps pour que sa queue soit en érection, la situation étant bien trop excitante, pour lui comme pour elle, cétait la première fois quils allaient baiser en public. Manon nhésitait pas à monter et descendre sur sa verge, tout en gémissant. Lorsquelle cria sa joie, Jules éjacula en râlant de plaisir mais également pour celui des voyeurs qui avaient pu deviner ce qui sétait passé sous la jupette.
Pour ce jour de repos, Jules avait tenu à ce que Manon, ne fasse rien dautre que lamour, il voulait la récompenser de tous les efforts quelle faisait. Comme le premier jour, ils avaient renouvelé toutes les positions et tous les lieux insolites de lappartement pour baiser sans retenu et surtout sauvagement. Manon était devenue en une semaine la reine du sexe, elle était tout simplement douée. Dotée dune souplesse, dune agilité et dune grande habilité, elle était capable de se faire prendre nimporte où et surtout dans des conditions incroyables. Pour la sodomie, cela ne pouvait se faire quen fin de soirée et en levrette, cétait le choix de Jules et seulement sil en avait envie. Bien entendu, Manon devait redescendre chez elle pour la nuit. Avant quelle ne le quitte, il lui avait demandé si ce quelle endurait lui plaisait vraiment et il fut assez surpris de sa réponse :
Pour être franche, javais pensé vivre avec toi comme un vrai couple mais ton choix fut tout autre. Jadore être à tes côtés, baiser avec toi. Japprécie beaucoup les petits jeux que nous faisons ensemble. Te faire le ménage, tes repas à heures imposées ne me dérange plus trop, même si javais aspiré à autre chose. Ce sont les nuits que je passe seule qui me dérangent le plus. Néanmoins à présent, jaccepte cet état de fait et nen demande pas plus car je taime tant Jules.
Tout ceci nétait pas tombé dans loreille dun sourd, il en prit note et si un jour il devait la remercier, il linviterait à passer une nuit avec lui. Son amour pour Manon semblait augmenter de jour en jour, Jules prenait beaucoup de plaisir avec elle depuis une dizaine de jours, il nen avait pas oublié Tamara pour autant. Tous les jours ils correspondaient par mails et quelques fois par téléphone, lorsquils le pouvaient, vu le décalage horaire. Pourtant, Tamara sentait que depuis deux, trois jours, il ne lui disait plus de la même façon ses : « je taime » ou « reviens moi vite », il semblait beaucoup plus distant. De son côté, elle sétait rapprochée de Grégoire, son ami denfance avec lequel elle se sentait bien, sans en être amoureuse.
Le jeudi soir, Jules nayant pas répondu à son dernier mail, Tamara fut inquiète, elle était très triste et en parla à Grégoire qui essayait de la rassurer mais par quelques sous-entendus bien placés, il disait à son amie que les hommes ou les femmes avaient des besoins physiques. Que malgré leur amour, sils leurs arrivaient dêtre séparés trop longtemps, il était possible que sexuellement, ils pouvaient se satisfaire dans les bras dun autre ou dune autre, sans quil y ait ment de lamour. Ce nétait que du désir sexuel. Grégoire la voyant triste, la prit dans ses bras pour une tendre étreinte, il la caressait, la câlinait sans l'embrasser tout en parlant :
Tu crois quil me trompe ? Cest ce que tu veux mexpliquer ?
Regarde nous Tamara, que faisons-nous ensemble ?
Prise dans un élan de rage mais surtout par manque daffection, elle se blottit contre lui tendrement. Sapercevant de son erreur, Tamara sexcusa et Grégoire lui fit une bise sur la joue, espérant toujours quelle pourrait bientôt se donner à lui. Il en était encore amoureux et il avait plus dun mois pour y parvenir. Elle avait attendu 18 heures en Martinique, 23 heures en France pour joindre son chéri par téléphone.
Chez Jules, Manon était sur le tapis du salon dans la position que lon nomme en gymnastique « le pont ». Les jambes écartées, les pieds et les mains posés bien à plat sur le sol, le corps tendu en arc de cercle, la tête à lenvers, offrant sa petite chatte à Jules qui, placé devant elle, sen donnait à cur joie. Il la ramonait sauvagement avec de puissants coups de rein, la maintenant fermement par les hanches, lorsque le téléphone, posé sur la table basse sonna. Jules le saisit dune main et sapercevant que lappel provenait de Tamara, décrocha, tout en continuant ses va et vient :
Allo ! Ma princesse ! Comme
je suis content de tentendre.
Tu me manques mon chéri. Que fais-tu en ce moment ? Pourquoi nas-tu pas répondu à mon mail ?
Positionnée dans une posture inconfortable, Manon fit signe à Jules de la relever. Dun bras, il la saisit comme une plume et la releva en laissant son sexe fiché en elle, tout en continuant de parler à Tamara. Elle saccrocha à lui en le prenant par le cou et en lui enserrant les jambes autour de la taille. Manon tenait le portable à loreille de Jules, pendant quils continuaient à baiser. Elle montait et descendait le long de sa verge lui imposant un rythme si soutenu quil en gémissait autant quelle :
Que fais-tu mon chéri en ce moment, cest quoi ces bruits ?
Je suis dans mon lit, je me masturbe en pensant que je te fais lamour. Lui dit-il. Tout en lui expliquant en détail, comment il était en train de prendre Manon.
Tamara à lautre bout du fil, devenait toute chose, en entendant tous ses râles et gémissements, elle devenait très excitée et posait de nombreuses questions en se prenant au jeu. Jules était sur le point de jouir, Manon avait accélérer encore le mouvement et se mordait les lèvres afin de ne pas crier. Nayant pu se retirer à temps, Jules lâcha tout ce quil avait et éjacula à lintérieur du vagin de Manon, en poussant un grand râle :
Oh cest bon ! Man
chérie. Se reprenant immédiatement.
Il allait faire une énorme erreur en prononçant le prénom de Manon qui navait pu se retenir de rire en posant la main sur le micro du téléphone. « Je ne tentends plus Jules que ce passe-t-il ? » Criait la jeune Martiniquaise. Il déposa sa « petite salope » sur le sol, lui fit une bise discrètement et reprit la conversation avec Tamara :
Oh ma princesse, tu viens de me faire jouir comme jamais. Je suis crevé, on sappelle demain, je nai plus de batterie.
Toujours assise sur le canapé à côté de Grégoire, Tamara posa son portable, elle était triste dêtre à des milliers de kilomètres de Jules. Grégoire en profita pour la reprendre dans ses bras puis se laissant emporter, Tamara accepta son baiser. Cette fois, elle y mettait du cur et de lénergie avec sa langue, ce quelle venait de vivre en direct par téléphone lavait rendu chaude comme de la braise, pour le plus grand bonheur de Grégoire, avant de le repousser gentiment en disant : « Non ! Je ne peux pas ! » puis continua à lui poser des questions :
Tu crois quun flirt et quelques caresses, sont considérés comme tromper celui quon aime, Grégoire ?
Perso, Non ! Comme je te lai dit tout à lheure, lêtre humain a besoin de temps à autres, de petits câlins.
Pendant ce temps-là dans lappartement de Jules, ils avaient ri tous les deux pendant plus dun quart dheure, la situation dans laquelle ils sétaient trouvés étaient tellement cocasse quils en riaient encore. Ils étaient restés allongés, nus sur le tapis du salon, blottis lun contre lautre. Jules revint sur son éjaculation interne et sen excusa auprès de Manon qui répondit dun ton ironique, poursuivant sa complicité dans sa soumission :
Ne vous inquiétez pas Monsieur Pennys, je prends la pilule.
Ils avaient une nouvelle fois bien ri et sembrassèrent un long moment. Manon navait jamais été aussi heureuse que depuis quelle fréquentait son prof adoré, même si quelques fois il était un peu trop sévère. Néanmoins elle prenait cela comme un jeu entre eux, en se donnant à lui comme sa chose. Elle savait que cela faisait plaisir à son homme et sa plus grande joie à elle, était de le rendre le plus heureux possible.
Il était bientôt lheure quelle retrouve son lit à létage inférieur, Jules lui demanda avant quelle le ne quitte :
Ça te dirait de faire lamour à deux hommes en même temps ?
Si tu fais partie dun des deux hommes, pourquoi pas. Enfin !!! Je ne sais pas
Monsieur Pennys.
Tu nas jamais fantasmé de te faire prendre en double pénétration ?
Jules ne se trompait pas, cétait bien le cas, Manon fantasmait bien sur le sujet, malgré cela, même si elle était prête à beaucoup de chose pour satisfaire Jules, elle ne répondit pas dans laffirmative, elle resta vague en disant quelle nétait pas contre mais avait encore certains doutes. Jules savait que sa « petite salope » quil appréciait de plus en plus en avait déjà fait beaucoup et ne voulant pas aller trop vite et trop loin avec elle, lui déposa un petit baiser sur la bouche en disant :
Ce nest pas grave ma puce, nous avons le temps pour y réfléchir. Au fait noublie pas que ta mère vient avec Richard diner demain soir
Oui Monsieur Pennys ! Merci ! Vous mavez fait passer une excellente journée. À demain 7 heures.
Non Manon ce soir tu dors avec moi.
Tu es un véritable amour mon chéri. Non ! Monsieur Pennys mon cul est votre disposition.
Manon et Jules prirent encore beaucoup de plaisir ce soir-là avant de sendormir profondément jusquau petit matin.
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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