Mes Femmes De Ménage
La maison est grande, à tel point qu'une seule personne ne peut s'en occuper, en tout cas c'est-ce que me ressasse Mado, ma vieille bonne, servante, gouvernante, cuisinière et j'en passe. Bon, il y a 15 pièces, elle a sans doute raison. Je fais passer une annonce pour trouver au moins une autre personne. Mado doit s'occuper de faire le tri parmi les éventuelles candidates. Au bout d'un mois elle a reçu plusieurs filles dont trois feraient l'affaire. Si elle le dit !!! Il me reste à faire un choix. Je sais ce que je veux, Mado a du en tenir compte : une fille assez jeune pour travailler dur en aidant Mado. Les rendez vous sont fixés pour un samedi matin. Mado me laisse me débrouiller seul.
Voici la première munie des certificats demandés par Mado. C'est une fille de 25 ans, assez robuste, l'air un peu hommasse qui me déplait beaucoup. Elle ne fait pas long feu : je profite de la crise de l'emploi. La deuxième, elle, a pour elle le fait d'être féminine. Les certificats sont comme toujours élogieux: je ne m'y fis pas du tout. J'approfondis la question avec elle: avant de venir elle était employée par un vieux monsieur malade, décédé aujourd'hui. A 39 ans elle l'avait servi pendant plus de 18 ans. Elle ne me déplait pas. Je lui téléphonerai dans l'après midi pour prendre le service dès le lundi.
Enfin la dernière, elle aussi dans la trentaine, mise à la porte sur des soupçons de relations sexuelles avec le mari. Ce genre de fille, si le principe de relation est vrai ne me déplairait pas. Ce serait sans compter sur Mado qui ferait la police. Je fais la même réponse qu'à la deuxième, je lui téléphonerai dans la soirée.
Nous tenons une séance du Soviet Suprême avec Mado. Nous adoptons une position commune: nous allons engager les deux dernières filles : le travail ne manquera pas. C'est encore Mado qui passe les coups de fils. Elle précise, ce que j'avais omis de leur dire qu'elles seront logées et nourries. Cet avantage ajouté au salaire est une aubaine pour elles.
Le lundi arrive : dès 7 heures du matins elles sont déjà au travail. La première arrivée, Lucette est blonde aux yeux bleus lavande, moyenne de taille avec une poitrine assez petite. L'autre, Julie, est grande, brune aux yeux bleus, avec une poitrine pas très développée. Ce genre de détails laisse Mado totalement indifférente. Je vais dans la cuisine pour le petit dej, Mado donne ses ordres : faire le ménage, l'aider en ceci ou cela en cuisine, etc. C'est elle la chef. Elle demande à Lucette de me servir dans les règles (alors que jusqu'ici tout se passait à la bonne franquette). Je me trouve devant un plateau avec des jus de fruits, du café, du lait, des croissants, du beurre et de la confiture. Un véritable festin. Je grignote ce qui me plait et m'en vais gagner la croûte dans mon entreprise plutôt florissante, d'où mon train de vie.
En rentrant le soir la maison est resplendissante. Mado me fait un rapport détaillé. Je la coupe, au fond ce qui m'intéresse est simplement de savoir si les deux filles se sont bien tenues : rien à redire. Ce soir c'est au tour de Julie de faire le service de table. Je n'ai pas à m'en plaindre, au contraire. Elle débarrasse la table et va se coucher. Quelques jours passent. Je suis étonné de ne pas les voir prendre leurs jours de congés. Mado qui ne rate jamais son dimanche me dit quelles préfère l'une et l'autre rester à la maison.
Le dimanche donc Mado parti je me lève toujours assez tard. Les deux filles sont à la cuisine bavardant. Elles se taisant dès que je faire du bruit en arrivant. Je me demande ce qu'il leur prend de se taire ainsi : des secrets de bonnes femmes sans doute. Par contre l'après midi j'ai un doute : je n'entend aucun bruits dans la maison alors qu'elle on toutes les deux un téléviseur dans la chambre. Je monte lentement au 2° étage en tendant l'oreille. Je n'entends qu'un sorte de murmure venant de la chambre de Lucette. Ce murmure se précise par des paroles :
- Oui, Oui, c'est bon encore.
Je commence à comprendre pourquoi elles ne prennent pas de congé : elles préfèrent, ce que je comprends se donner du plaisir. Je me demande si les relations sexuelles reprochées à l'une n'étaient pas avec madame?
Je préfère les laisser se faire l'amour? Mais à 40 ans à peine, toujours célibataire pas obligation et pas par choix, j'aimerai participer à leurs amours à ma façon.
Je me couche et excité je n'ai qu'une seule solution, une des seules que je pratique : me branler. Mes fantasmes ont pour unique objet leur deux corps enlacés en jouissance. Je fais durer ma branlette plus longtemps que d'habitude. Je vais vite pour arrêter avant de recommencer en me serrant la queue fortement à me faire mal. Enfin je jouis. Il me semble que le jet de foutre est plus puissant que les autres fois. Je m'endors rompu. Ma nuit est agitée je rêve toujours à deux corps féminins.
Le lendemain je regarde la prépose au petit déjeuner avec un regard plus appuyé que d'habitude. Elle ne remarque rien, pas plus que Mado. La journée suit son cours. Le soir arrive et les deux filles regagnent leurs pénates. J'attends un bon moment avant d'aller nouveau au 2°. J'entends à nouveau les mêmes plaintes de filles qui se donnent du plaisir. Cette fois il me semble que je n'entends pas la même voix. Je commence à bander. J'ai besoin de savoir: j'ouvre la porte sans bruit: elles sont toutes les deux enlacées, une main sur le sexe de l'autre, la bouche de l'une sur le sein de l'autre. Elles se masturbent donc. Je tente le tout pour le tout: je suis nu en un quart de seconde. Je me montre ainsi. Elles poussent un cri de surprise. Voyant que mes intentions sont pacifiques, elles continuent leurs caresses. Je me glisse entre elles. Elles se jettent sur moi comme si elles allaient me dévorer: il s'agit un peu de ça. Julie avoue qu'elles cherchaient un moyen de me faire venir baiser avec elles. Lucette ne dit rien, elle agit rapidement de peur que je m'en aille: elle prend ma queue pour commencer une masturbation qu'elle finit en fellation.
Je suis le maître des deux filles. Je demande à Julie d'aller sucer Lucette en se branlant. Elle le fait avec le plaisir de sucer toute la féminité de Lucette. Fatalement je jouis ans la bouche de Lucette qui tient à partager ma semence avec Julie. Elles sont l'unes contre l'autres les lèvres jointes par un long baiser. Elles se caressent avant de se mettre en 69. Elles sont tournées de telle sorte que je vois la langue de Julie sur le con de Lucette. C'est un 69 d'anthologie. Elles doivent en avoir pas mal pratiqué pour arriver à cet art parfait. Si je vois la langue de Julie, je vois aussi le cul de Lucette, un anus bien excitant avec ses petits plis que j'ai envie de flétrir à ma façon. Je me mets par-dessus la figure de Julie, pose ma pine sur ce cul, Julie en mouille bien le début. Elle me prend même dans la bouche pour y déposer de sa salive. Je rentre très lentement dans ce cul offert. Lucette commence à gémir quand je rentre. Elle continue pendant toute la durée de la sodomie. Elle jouit ainsi plusieurs fois. Elle me fait sortir, ou plutôt Julie m'en fait partir: elle aussi veux ma pine au cul. Elle me fait coucher sur le dos, se pose le cul sur ma bite et le rentre en elle rapidement elle s'occupe des mouvements. Lucette vient l'embrasser sur la bouche. J'en profite pour branler le clitoris de celle que je sodomise. Je n'ai plus de jus pour continuer. Je me contente de les sucer. Elles ont des moules plus qu'appétissantes, bonnes à lécher partout.
Le lendemain, au petit déjeuner, rien ne transpire de la baise de la nuit.
Et pourtant presque chaque soir nous nous retrouvons pour une baise à trois, en y ajoutant quelques fois des godes que je leur ai achetés.
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