Damien 56 - Pascal 3
Sans un mot je me levais et partis dans la salle de bains, je pris une douche et me lavais les dents, il fallut que je me brosse trois fois pour ôter de ma bouche l'odeur fétide.
Quand je revins dans la chambre, je vis que mon amant s'était essuyé le sexe contre les rideaux mais j'évitais de faire la moindre remarque, il me dit "Alors ma petite poulette tu ne pues plus de la gueule, allez viens donc sur le lit que j'enfile ton petit trou du cul. Et je te préviens je vais t'enfiler comme moi je le veux et pas comme toi tu le veux. Compris ?
- Oui.
- Bien ma caille, allonge toi sur le dos et écarte tes cuisses de salope".
J'obéis, une fois que je fus couché Pascal me dit "As-tu des ceintures ?
- Oui, elles sont sur la porte du placard".
Il ouvrit la porte, prit quatre ceintures et mon ceinturon, revint vers moi et posa le tout sur le lit, j'avoue que j'étais inquiet et d'une petite voix je demandai "Que veux-tu faire avec ça ?
- T'occupes pas.
- Mais..
- Ta gueule connasse, je croyais que tout à l'heure tu avais compris que j'allais faire de toi ce que je voulais, alors ce n'est pas pour que tu me casses les couilles à tout bout de champs. Tu la fermes c'est tout ou je te dérouille".
Mon mec alla dans la salle de bains d'où il revint avec un paquet de coton, il s'empara d'une ceinture et la passa autour de mon poignet droit, il ouvrit la paquet de coton et en préleva un morceau qu'il plaça sur ma peau puis serra la ceinture, il fit la même opération pour mon poignet gauche ainsi que pour mes chevilles, je compris ce que voulait faire Pascal, il voulait m'attacher au lit afin de pouvoir me baiser à sa guise.
Même si j'avais peur, j'étais de concéder que me sentir totalement soumis aux caprices de mon amant m'excitait, si celui ci n'était pas trop violent.
Je restais sans bouger attendant le moment où mon homme allait me demander de me retourner afin qu'il puisse m'attacher, je fus très surpris quand Pascal prit mes bras et les ramena pour les ficeler à la tête du lit, je ne voyais pas du tout où il voulait en venir.
Mon mec s'aperçut de mon étonnement et me dit "Tu as l'air de ne rien comprendre ma salope, et non je ne voulais pas te mettre sur le ventre, mais ne t'inquiètes pas tu vas bientôt le savoir".
Pascal prit ma jambe droite la releva au-dessus de mon corps et l'attacha à la tête du lit, il fit de même avec l'autre jambe puis s'écarta et regarda son uvre, j'étais complètement à sa merci, pieds et poings liés, je ne pouvais pas bouger mes chevilles étaient écartées et ligotées à la hauteur de ma tête, de cette manière mes fesses s'ouvraient laissant mon anus ressortir.
Mon homme sourit et me dit "Tu vois ma petite pédale comme ça j'ai ce que je veux, c'est à dire ton trou du cul, je vais pouvoir bien le bourrer sans être gêné. Mais dis-moi as-tu déjà pris une petite fessée ?
- Oui.
- Est-ce que tu as aimé ?
-
.
- Et puis on s'en fout, ce qui compte c'est qu'à moi ça me plaise hein ?
- Oui.
- Tu sais ma pute j'aime quand tu es comme ça, bien docile, prête à tout pour me faire plaisir, enfin là on peut dire que tu n'as pas tellement le choix. Hein ?
- Oui.
- Bien alors tu vois comme tu es gentille, moi aussi je vais être gentil, je vais t'expliquer ce qui vas se passer, je vais d'abord t'enculer une fois histoire de me vider un peu les couilles car voir ton trou de balle ça m'excite, ensuite je vais te mettre une bonne branlée avec le ceinturon et
.
- Non pas le ceinturon
.
- Mais si ma petite pouffiasse tu vas voir tu vas aimer ça de recevoir une correction sur ton cul de salope, ensuite quand j'aurais fini de te dérouiller je vais encore te baiser jusqu'à ce que j'ai les couilles vides, et avant de partir je te détacherai. Voilà le programme. A oui je te préviens si tu gueules je te bâillonne".
J'étais totalement sans défense, connaissant le caractère violent de mon mec, je me dis que le mieux était de me taire et le laisser faire en serrant les dents, je me préparai donc à subir ce qu'il avait prévu de me faire.
Pascal monta sur le lit et dit "Oui c'est bien comme ça, je vais bien m'amuser avec ce cul".
Il me mit une claque sur les fesses et m'enfonça violemment un doigt dans l'anus ce qui me fit gémir, mon amant retira son doigt et me dit "Ton fion est bien mou ma salope, j'ai eu raison de te défoncer tout à l'heure".
Mon homme s'agenouilla devant moi, il guida son sexe dressé à l'orée de mon canal affamé et d'un brutal coup de reins m'enfessa jusqu'à la garde.
Ce rude assaut m'arracha un petit cri de douleur qui fit rire Pascal, puis posant ses mains sur mes cuisses il se mit à me besogner à une vitesse folle de toute la longueur de son pénis érigé.
Au moment où une douce langueur commençait à prendre possession de mon corps mon mec se plaqua contre moi et éjacula en râlant et en disant "Ah ce que tu es bonne ma pouffiasse, que ton cul est bon salope".
Mon amant se retira, il essuya son phallus redevenu flaccide sur les draps, me regarda et me dit "Qu'est-ce que tu as, tu n'as pas aimé ?
- Si
.
- Mais non tu fais la gueule.
- Non je t'assure
.
- Ah j'ai compris ma pétasse n'a pas pris son pied, mais je m'en fous ce qui compte c'est que moi je prenne le mien, et j'ai tiré un bon coup. Bon allez maintenant passons aux choses sérieuses, prépares-toi à prendre ta raclée".
Mon mec se leva et sortit de la pièce, il revint avec deux bières, il en ouvrit une et la but d'une traite.
Quand il eut fini, il posa la canette sur le bureau et ramassa le ceinturon, il mit la boucle dans sa paume et entoura la lanière de cuir autour de sa main, il cingla l'air deux fois et dit "Je crois qu'on va bien rire, enfin que je vais bien rire".
Mon homme leva le bras et abattit violemment la ceinture sur mes miches offertes, l'intense douleur que me provoqua la morsure du cuir fut telle que je ne pus m'empêcher de hurler, Pascal éclata de rire et me dit "Ca fait circuler le sang hein salope".
Tel un dément l'homme se mit à me battre à coups redoublés, chaque fois que la lanière entamait la chair de mes lobes charnus je poussai un hurlement strident.
Me voir souffrir semblait exciter Pascal qui frappait de plus en plus fort chaque fois que je criais.
Je ne sais combien de temps dura ce déluge de coups, je pleurais à chaudes larmes sans réagir, en dehors de mes sanglots on entendait dans la pièce le bruit mat que faisait le ceinturon quand il claquait contre ma croupe tuméfiée.
Au fur et à mesure que les coups pleuvaient, je ressentais moins la douleur, je croyais que Pascal me battait plus doucement mais ce n'était pas le cas, j'avais atteint le point où la souffrance est telle que le corps ne sent plus rien.
Petit à petit à la place de la douleur une chaleur prit naissance dans le creux de mes reins et des bouffées de plaisir affluèrent en moi, chaque fois que la ceinture cognait mon postérieur je râlais et je me mis à rouler des hanches tout en tendant mon fessier vers l'engin qui me fessait.
Mon mec s'en aperçut et me dit "Alors tu vois salope que tu aimes ça, c'est pas croyable je suis en train de te dérouiller et toi tu tends ton fion pourri pour en avoir encore plus. Tu en veux plus et bien tu vas en avoir".
Se déplaçant pour changer son angle de frappe Pascal leva le ceinturon et l'abattit avec force, le bout de cuir heurta mon anus.
Une douleur inhumaine me submergea et je poussai un hurlement aigu, j'avais l'impression qu'on appliquait contre mon intimité un fer porté au rouge.
Mon mec éclata de rire et me dit "Ca réveille hein pétasse ?".
Excité par mes cris il continua de me battre de la sorte, la souffrance était telle que je pleurais à chaude larmes.
Pendant plusieurs minutes mon tourmenteur me maltraita de la sorte et petit à petit le mal s'estompa et commença à faire place à un mélange de douleur et de plaisir.
J'avais atteint le point où les extrêmes se rejoignent et je me mis à gémir sous les coups.
Mon amant à bout de souffle jeta le ceinturon et me dit "Je crois que tu as assez dérouillé, maintenant je vais te baiser.
- Oui baise-moi, j'ai envie.
- Pourriture tu es vraiment une salope.
- Oui je suis en feu, viens encule-moi.
- Ah tu es en feu, remarque je ne suis pas étonné, tes miches sont rouges et ton trou du cul est bien enflé.
- J'ai besoin de ta queue, elle seule peut me rafraîchir.
- Tu as raison salope, je vais te rafraîchir le fion".
Mon homme s'approcha de moi, il prit son sexe de sa main droite et se mit à m'uriner dessus, ses jets de pisse me souillèrent les fesses puis Pascal fit en sorte de finir en m'aspergeant la raie.
Quand il eut fini Pascal me dit "Alors ma poule tu as le cul un peu plus frais ?
- Il y a plein de pisse sur le lit..
- Et alors je m'en fous c'est ton pieu pas le mien, quand on aura fini tu n'auras qu'à le refaire.
- Mais
.
- Mais quoi salope ? J'avais envie de te pisser dessus et c'est tout. Maintenant que tu as le cul refroidi je vais t'enfiler car j'ai une de ces trique".
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