Entre Le Pont Du Carrousel Et Le Pont Royal 2 Une Aventure De Chantal Avec Un Inconnu.

Depuis notre ballade sur les quais de Seine quelques jours auparavant, une envie m’obsédait
Je voulais faire des photos de Chantal sur ce même quai et illustrer ce que nous avions vécu ce soir de fête. Chantal a fini par accepter devant mon insistance et sans trop réclamer de précisions sur mes véritables objectifs. Je voulais qu’un inconnu joue mon rôle. Si je le lui avais demandé elle aurait refusé.
Ce lundi soir, nous allons d’abord tous les deux dîner. Léon de Bruges : moules frites. Elle porte une robe d’été à fleurs entièrement boutonnée sur le devant et recouverte d’une légère veste en lin mauve. Des chaussures noires aux talons assez hauts soulignent ses jambes et ses mollets fins. A cette période, Chantal est un peu enveloppée. Dessous une simple culotte blanche à fleurs, flottante sur les cuisses et bien dégagée aux fesses. J’ai pris soin moi même de l’habiller. Il fait très chaud. Tout incline à l’érotisme.
Après le dîner on achète quelques CD. Il faut avancer dans la nuit pour réussir mon projet.
Je l’invite à prendre le café sur la même péniche qu’un mois auparavant, sur le pont supérieur. Chantal est détendue, heureuse. Aucune ambiguïté pour elle : on va faire des photos d’elle au bord de la Seine. Elle sait que j’ai pris mon appareil photo.
Vers minuit, on descend et on se dirige vers le pont du Carrousel peu de monde.
Comme le soir de la fête, je la prends par le cou. Sa veste mauve n’est pas boutonnée. Je passe la main sur son épaule dans la robe et me saisis d’un sein. On déambule lentement le long du quai face au Louvre; on croise des couples en ballade. Les quais s’étendent au loin et on peut surveiller les gêneurs éventuels. La chaleur de son sein dans ma main et la douceur de sa peau me rendent déjà fou d’excitation.
On arrive lentement sous le pont du Carrousel. Les arches sont très bien éclairées. On entend le clapotis de l’eau le long des berges. Personne en vue, seules les voix des passants sur la rue au dessus nous parviennent.

Au loin devant nous un homme seul apparaît. Il marche vers nous. Alors qu’il est encore loin, je m’éloigne de Chantal et je sors l’appareil Photo. Elle pose, se tourne, elle collabore. Elle voit bien que l’inconnu est maintenant tout près, mais ce soir elle a décidé de me faire plaisir, alors elle collabore. On se dirige vers un escalier de pierre qui monte à la rue.

L’escalier
Je la fais asseoir sur les marches. L’homme nous a suivi et en restant à distance nous épie. Il a senti le bon coup. C’est un homme d’une soixantaine d’années, bedonnant. Il n’a rien de sexy.
Je demande à Chantal d’écarter un peu les jambes pour montrer sa culotte. Elle le fait sans hésiter. Le voyeur s’est approché. Il a une tête sympathique avec un large sourire. Il mate c’est certain mais semble respectueux. C’est ce qui plait à ma femme. Son sourire jovial aussi. Elle le laisse regarder. Comme il a compris, il s’approche encore plus.
Là, je lui demande s’il veut bien participer à ce roman photo. Chantal s’en amuse et bien sûr lui, il accepte.

Sur le bord du quai
Je lui demande de la poster face à la Seine et de la déshabiller lentement face à l’autre quai où passent des gens. Des bateaux également. J’espère ainsi que de nombreuses personnes vont profiter du spectacle. Il s’arrange pour bien me montrer les appâts de mon épouse. Personne bien près mais leur présence est là. Soudain un bateau mouche approche, notre compère s’empare de Chantal par la taille, l’attire à lui, plaque son visage contre le sien pour lui cacher le bateau. Quand celui-ci passe sous le pont sous ses milles lumières, il ouvre la robe, retourne Chantal et exhibe aux touristes ses seins et ses cuisses. Elle s’en rend ment compte mais elle se laisse faire. Je prends toujours des photos.
Il la reprend dans ses bras, lui relève la robe, lui pelote les fesses et à ma demande lui baisse sa culotte mettant ses fesses exposées à la lumière des lampadaires du quai. Il la retourne de face pour me montrer les poils de sa chatte. Chantal n’est pas rassurée mais elle se laisse faire. L’homme de complice devient maître de la femelle. Je laisse faire excité et jaloux. Je deviens spectateur.
Je me positionne en contrebas. Ils s’approchent de l’eau, bien en vue depuis l’autre rive. L’homme, malin (cette exhibe lui plait bien), prend Chantal dans ses bras, offrant son dos à l’objectif. Il remonte la robe découvrant lentement les cuisses nues puis le slip très réduit sur les fesses. Il tire dessus pour tendre le tissu et le faire pénétrer dans la raie pour mettre en valeur la rondeur du cul de Chantal. Celle-ci ne bouge pas et semble même apprécier ! Le type est plutôt doué pour assouvir mon fantasme.
Il lui remonte encore un peu plus la robe et exhibe ses fesses jusqu’à la taille, puis il lui baisse sa culotte à mi-cuisses et son cul tout blanc apparaît à la lumière des lampadaires. De l’autre côté de la rive on doit tout voir tant ses fesses se distinguent nettement sous le fort éclairage. Je devine des passants qui s’arrêtent pour regarder. Puis il la retourne et ouvre sa robe un peu plus en haut et en bas en défaisant bouton après bouton. Les seins apparaissent à leur tour, puis le ventre. Un dernier bouton reste attaché à la taille, il le défait. Il baisse son slip à mi-cuisse, écarte bien la robe et je flash ma femme à nue sur les berges de la Seine. Je bande. L’inconnu ne se gêne pas pour lui caresser son sexe poilu.

L’arbre
Moi je prends toujours des photos avec l’idée de les montrer.
Chantal se rajuste et on repart tous les trois vers le pont Royal. On croise quelques personnes qui flânent. Au bout du quai, il y a un saule pleureur près d’un escalier qui remonte rejoindre la rue. On se cache dessous. Le cadre est paradisiaque. L’inconnu, qui maintenant prend les initiatives appuie Chantal contre l’arbre et commence à la peloter tout en la dénudant. Il ouvre à nouveau un à un les boutons de la robe et très vite elle est nue les seins et le ventre et les jambes. Je n’ai pas besoin de lui demander d’ouvrir complètement la robe sur le devant et de la peloter. Il baisse le slip, qu’il enlève, me le montre puis il s’écarte, s’éloigne laissant Chantal nue contre l’arbre alors qu’on entend au dessus les voix des passants et les voitures. Il s’accroupit devant elle, lui suce les seins, puis descend et s’empare de sa chatte qu’il lèche sans hésiter. Il la retourne et lui appuyant les mains contre le tronc de l’arbre il la fait se courber en avant et se cambrer pour bien exhiber son cul. Il saisit ses fesses à pleine main, les écarte pour contempler son intimité. Elle se laisse toujours faire de plus en plus soumise à cet inconnu.
Je suis là, maintenant cocu, tout à la regarder et à mitrailler quand un bruit m’attire. Un homme est passé et s’éloigne, qu’on n’a pas vu venir. Il a tout vu mais sans un mot, il s’éloigne. Chantal reste nue et je prends des cliches. Puis notre inconnu lui demande de revenir poser pour lui sur les marches de l’escalier. Elle s’amuse alors à s’exhiber pour lui faire plaisir obéissant à ses commandements :
- remonte ta robe, ouvre tes jambes, écarte le bord du tissu de ta culotte (qu’elle a remise) pour faire voir les poils de ton pubis, montre tes seins, ouvre-toi… le tutoiement est installé.
Chantal amusée et effrayée en même temps obéit. Je bande.

Le banc de pierre
On repart chercher un autre endroit. Il la fait asseoir à ses côtés sur un banc de pierre contre le mur de la berge pour échapper à la vue de l’enfilade du quai car pas très loin des couples flânent. Il la caresse mettant ses seins à nus après avoir déboutonnés à nouveau une partie de sa robe. Il défait les boutons du haut et dénude d’emblée un sein qu’il caresse sans attendre. Puis le second est exposé à son tour. Sans s’émouvoir, il déboutonne un autre bouton du bas de la robe cette fois et découvre les jambes, puis les cuisses et me montre la petite culotte aux couleurs de la robe qu’elle avait remise. Sa main se glisse entre les cuisses, remonte et s’empare du sexe qu’il caresse au dessus du tissu. Chantal a peur mais se laisse aller au jeu.
Il lui suce les seins. Il la fait ensuite se lever et mettre face à lui, la culotte à mi cuisse. Son cul, un peu gros à cette époque, s’expose en pleine lumière. Puis il lui demande de venir s’asseoir sur ses genoux. Je le vois alors qui porte sa main sur sa braguette et j’imagine qu’il sort sa bite et au balancement des hanches de Chantal je sais qu’il est en train de la pénétrer et de la baiser devant moi. Et elle se laisse tringler, dans cet endroit public. Moi, je suis au bord de l’éjaculation sans me toucher partagé entre la jalousie et l’excitation.
Chantal maintenant soulève ses fesses au rythme de la queue qui la perfore. D’où je suis je vois bien la colonne de chair lubrifiée de la mouille entrer et sortir du vente de Chantal. J’entends même le clapotis de sa mouille. Elle jouit la salope. Elle s’accroche au coup de son violeur qui la ramone. Elle accélère et soudain, Je la vois qui se raidit, se plante sur la queue pour recevoir son jus au fond de son ventre. Repue, elle finit après un grand soupir par se laisser tomber sur les épaules de notre inconnu dont je devine qu’il vient de déverser sa semence dans le ventre de ma bien aimée. Quand elle se relève, du sperme s’écoule d’entre ses fesses. Elle ne s’essuie même pas, remonte sa culotte avant de rabaisser sa robe pour retrouver sa dignité et cacher sa lubricité de salope mariée qui vient de se faire tringler devant son mari comme une vulgaire salope.
Le retour au premier pont se fait lentement. Je n’ai plus de pellicule. Par moments l’inconnu qui s’est approprié ma femme, la prends dans ses bras, l’embrasse et la pelote en la dénudant partiellement. Moi je suis derrière, on m’a oublié.
Les images de cette aventure sont à voir. Réclamez