Damien 57 - Pascal 4
Mon mec monta sur le lit, il positionna son pénis érigé contre mon illet affamé puis me pénétra à fond d'un brusque coup de reins.
Cet assaut brutal me fit pousser un petit cri, mon homme complètement enfoncé en moi me dit "J'aime bien t'entendre avoir mal ma salope, allez souris je vais bien limer ton fouinedé".
Prenant appui sur mes cuisses mon amant se mit à me posséder violemment de toute la longueur de son phallus raide.
Au bout de quelques instants il se plaqua contre mon fessier et m'inonda le fondement en râlant.
Pascal me décula, il me mit une claque sur les fesses en me disant "Tu as vraiment un bon cul pute et je sens que je vais encore bien m'amuser avec toi. Tu sais ce qui est bien avec toi c'est qu'on peut tout te faire. Hein ?
- Oui.
- Je vois que tu es devenus toute douce, c'est bien salope, je vais boire un verre et après je vais t'en remettre un coup".
Il partit dans la cuisine et revint avec un verre de vin, il le but, rota et dit "Ca fait du bien.
Que penses-tu si après lui avoir donné à manger je donnai à boire à ton cul ?
- Que veux-tu dire ?
- Eh bien ton cul je l'ai arrosé, je lui ai donné à manger en te tirant et maintenant je veux lui donner à boire.
- Je ne comprends pas
.
- Il ne comprend pas cette pédale, alors je vais te le dire, je vais faire boire de la bière à ton fion.
- Non !!
- Comment non bien sur que je vais le faire, d'ailleurs de la manière où je t'ai ficelé, je ne vois pas comment tu pourrais m'en empêcher.
- Je ne veux pas
.
- Ah tu ne veux pas, eh bien moi je veux et je vais le faire.
- Non je t'en supplie.
- Tu peux supplier qui tu veux, ça ne changera rien, j'ai décidé de donner de la bière à boire à ton derche.
- Non pas ça.
- Bon comme j'en ai marre de t'entendre je vais te fermer la gueule".
Il m'enfonça son slip dans la bouche puis prit un mouchoir sale dans la poche de son pantalon et me bâillonna avec puis il me dit "Enfin du silence, je vais pouvoir faire de ce cul ce que je veux sans toujours entendre des non, des je ne veux pas, des je t'en supplie".
J'étais terrorisé ne sachant ce que ce monstre avait encore imaginé.
Pascal prit la bouteille de bière sur le bureau, il la déboucha et me dit "regarde salope, ton fion va prendre la première cuite de sa vie".
Il mit son doigt sur le goulot et secoua la bouteille puis il s'approcha de moi et glissa la canette entre mes fesses.
Après avoir positionné le goulot contre mon anus il ôta son doigt, le liquide sous pression gicla dans mes entrailles.
La douleur fut atroce, l'alcool me piquait abominablement, malgré mon bâillon je me mis à hurler tout en essayant de me libérer de mes entraves pour fuir cette .
Sourd à mes cris mon mec laissa toute la bière fuser en moi, quand la bouteille fut vide il me l'enfonça dans le rectum et dit "Alors pédale tu vois que ton fion a bien tout bu".
La brûlure occasionnée par la bière se calma mais je sentis dans mon ventre les signes annonciateurs d'une défécation et une nausée m'envahit.
Pascal ôta mon bâillon et avant qu'il ne dise quelque chose je lui dis "Libère-moi, je sens que ça ne va pas, j'ai mal au ventre".
Il rigola et me répondit "Tu as envie de chier ma salope, la bière t'a fait un lavement et bien ma pute chie si tu en as envie.
- Détache-moi je ne vais pas pouvoir me retenir.
- Mais ne te retiens pas ma petite pouffiasse.
- Non pas dans le lit.
- Mais si pétasse vas-y chie que je vois la merde sortir de ton cul".
J'eus un spasme et malgré tous mes efforts pour me retenir j'expulsais la bouteille ainsi que mes excréments, j'étais rouge de honte sentant mes selles sortir de moi et en même temps je ressentais un immense soulagement à me vider.
Pascal me dit "Eh bien ma salope, on peut dire que tu as fais une drôle de merde, ça pue comme c'est pas possible, tu es vraiment une grande sale à te chier dessus.
- Je t'en supplie détache-moi je ne peux pas rester comme ça.
- C'est vrai que baigner dans sa merde ne doit pas être très agréable, mais ça je m'en fous, je vais te détacher car dans l'état où tu es je ne peux plus te baiser, tu es trop sale et ça pue trop dans cette pièce, alors voilà ce qu'on va faire, je vais te détacher et tu vas aller te laver comme ça je pourrais t'en foutre un bon coup avant de partir.
- Oui merci.
- Pas de quoi".
Pascal défit mes liens et je sortis du lit en faisant attention, j'avais la raie pleine de merde ainsi que les cuisses, je partis dans la salle de bains et pris une douche m'efforçant de rendre à mon corps une propreté toute suédoise.
Quand je sortis de la pièce Pascal me dit "Vas dans le salon et attends moi, je vais me laver la bite".
J'allai m'asseoir dans un fauteuil et attendis en me demandant quand ce maniaque allait s'en aller.
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