Partouze Entre Mecs
Je suis un mec de 55 ans, vicieux et pervers, qui aime les femmes. Alors si on m'avait dit un jour que je partouzerais avec des mecs! Comme quoi rien n'est acquis.
Il y a bien des années je m'offrais des putes, mais c'était cher payer pour un plaisir furtif d'autant que les filles ne pensaient qu'au fric et je ne les sentais motivées pour le sexe.
Et puis j'ai découvert les sex-shops et leur salle de cinéma. Que des mecs aussi putes que mes prostituées pour la plupart: ça s'exhibe, ça se branle, ça se suce, ça s'enfile sans modération. Je m'y suis mis à mon tour et je sais maintenant que quand je pousse la porte du hot-vidéo j'ai la certitude de sucer, me faire sucer et de baiser.
J'ai pris goût aux hommes, j'aime les embrasser, les caresser, les pomper mais pas à fonds. J'aime surtout me faire turlutter à fonds et enculer. Au final c'est bien mieux que mes filles onéreuses. Ils sont aussi putes qu'elles mais s'offrent sans compter le temps pour le simple plaisir sans question d'argent. Ils n'ont que deux trous mais c'est largement suffisant, et certaines queues valent bien des chattes.
Je me suis fais quelques relations dont un toubib de mon âge. Une fois par mois il organise une partouze dans son cabinet. Ils sont dix ou douze à chaque séance. Tous sauf deux ont les mêmes envies que moi: ils sont actifs mais aiment embrasser et sucer. Les deux autres sont des putes finies, soumises et obéissantes:
L'un deux est toujours présent. C'est un vieux de 72 ans qui ne vit que pour la queue. Il suce et se fait sodomiser depuis l'âge de vingt ans et n'est toujours pas rassasié. Seul petit défaut, il ne bande plus, il suce à fonds mais n'avale pas, et il se fait prendre avec préservatif.
Aussi ce groupe de queutards a recours à une deuxième salope qui soit une décharge à foutre.
Il y a des glory-holes dans le ciné et les occasion de dénicher cette perle ne manquent pas.
Il me propose de participer et le jour attendu arrive.
On est douze et on se retrouve tous à poil. On se masturbe face au vieux pour dresser nos manches et lui faire voir ce qui l'attend. Je matte les mecs et suis admiratif de certains engins. Je pense avoir une belle bite, mais je me sens léger à la vue de quelques participants, dont un grand black monté comme un âne.
Le vieux se retourne, crache dans sa main, se lubrifie le cul et attend nos assauts. Pas besoin de préliminaires, son fion en a tellement pris qu'on y rentre comme dans du beurre. On enfile des capotes et on le prend debout, à tour de rôle, sauf le noir qui passera en dernier pour qu'on profite bien de sa rondelle avant qu'il ne l'élargisse davantage.
Quand le premier mec est prêt à jouir, il se retire, enlève sa protection, et viens dans la bouche de notre videur de couilles. C'est un jeune de 23 ans, très mignon, jolie queue. On lui a mis du rouge à lèvre bien voyant pour faire ressortir sa bouche gourmande, et la planter comme le milieu d'une cible. Notre premier pote le pénètre va et viens jusque dans sa gorge. Il décharge rapidement et l'insulte en lui ordonnant de tout bouffer. Notre jeune chéri s'exécute et avale tout. Il continue à le sucer jusqu'à ce que le deuxième enculeur se retire pour venir prendre sa place dans sa bouche.
On va ainsi tous passer du petit trou de notre enculé et cette bouche goulue et avide de sperme. Le black passe enfin entre les reins de notre pute et le fais jouir comme une chienne en chaleur. C'est le seul cul capable de l'accueillir et il prend son pied. Puis il vient finir dans la bouche du jeune qu'il remplit de son gland avant de décharger en abondance.
Le vieux est fatigué et on lui accorde une pause. Il s'allonge sur une banquette et sachant sa passion pour les jeunes et beaux mâles on demande à notre suceur de charme de s'exhiber devant lui, de se caresser, se masturber.
Le toubib met une musique douce, des slows, et on forme des couples. On se roule des pelles, on se caresse, les seins, les hanches, le manche, les couilles.
On est à nouveau opérationnel, le vieux est reposé, et on va pouvoir remettre ça, le temps que le jeune jouisse dans sa main et bouffe tout.
Notre monture est à quatre patte et on l'enfile tous avec de nouveaux préservatifs. On le monte comme des chiens monte une chienne, on l'encule jusqu'à jouir. Même s'il ne sent pas nos chaudes semences l'inonder, il aime sentir les saccades et soubresauts de nos triques victorieuses. A chaque fois que l'un de nous a éjaculé, il se retire, enlève le caoutchouc et se fait nettoyer la queue par le jeune. Puis il lui tend le préservatif. La salope écarte l'ouverture de ses mains, le porte à ses lèvres et aspire. La capote se retourne peu à peu et disparait dans sa bouche. Il suce, mâche, la retire toute propre et monte sa bouche vide. Il va ainsi tout nettoyer, nos dix queues, nos dix étuis plus ou moins remplis de foutre.
Le vieux est lessivé et s'allonge à nouveau. Le jeune lui offre à nouveau un spectacle d'amour en solitaire. Il se masturbe et il se gode le cul pour se l'ouvrir. On veut baiser une dernière fois, et c'est lui qui va nous offrir son adorable petit cul.
Pendant ce temps on se suce réciproquement, en 69 à deux, ou alors à trois, quatre et plus formant un cercle de queutards vicelards.
On est prêts. Il jouit dans sa main, puis se torche la raie pour se graisser la rondelle et mieux nous accueillir. Il est à quatre pattes sur une table basse, nous debout et on le défonce sans préservatif. Le premier décharge dans son anus et il pousse des cris de plaisir à sentir cette chaude semence entre ses reins. Il se retire, vient dans sa bouche se faire nettoyer, tandis que le suivant a pris place.
Au bout de trois vidages de couilles il a son trou bien remplit. Le toubib prend un saladier, le pose sur la table. Notre enculé s'accroupit et déverse le contenu. Les trois suivant l'enfilent et il pisse a nouveau du sperme par le cul.
Il déverse tout dans sa bouche qui est alors pleine à ras bord, et recrache dans le saladier. Il déverse à nouveau, en plus faible quantité, et en trois fois parvient à tout ingurgiter. Plus salope tu meurs.
Notre orgie entre mecs est terminée et chacun rentre chez soi, en apparence au moins. On sait que certains se retrouveront chez eux ou au ciné pour continuer les festivités. Pour ce qui est du vieux, il est venu à pied comme à chaque fois, mais il faut le ramener. On tire au sort l'heureux chauffeur qui aura droit à monter chez lui pour une très bonne et très longue pipe en remerciement de s'être si bien fait baiser.
Je suis enchanté de cette expérience et pense déjà à la renouveler.
Faute de grives on mange des merles.
Par manque de femmes on se fait des mecs.
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