Trip En Voiture
Bonjour à toutes et à tous.
Je vais vous conter une petite aventure qui mest arrivée lannée dernière pendant un voyage de travail avec des collègues. Je vais tenter de vous raconter les diverses actions et situations avec le maximum de détails pour que vous sentiez bien tous les aspects de mon aventure. Pour vous faire vibrer au fur et à mesure de lhistoire, je vais utiliser le présent comme si vous étiez présents avec moi. Bonne lecture.
Je travaille dans une société de financement et nous avons souvent des séminaires pour nous informer et nous former aux diverses modifications du système bancaire. Sans vouloir vous importuner avec ma petite vie professionnelle, le contenu de ces réunions est important pour connaître létat dexcitation qui en découle. On se fait chier très souvent avec des formateurs qui nous gonflent et nous prennent pour des cruches. Le seul côté excitant de laffaire, cest le déplacement et les sorties entre nanas qui en découlent.
Je ne suis pas lesbienne et travailler dans un monde presque exclusivement féminin ne me pousse pas à le devenir un jour. Cest une ambiance des plus négative avec des coups bas, des médisances, des méchancetés gratuites à longueur de journée. Dès quun homme passe dans un service, cest à celle qui lui fera tourner la tête en premier en jouant dune quelconque manière dite féminine.
Mes collègues me désolent tellement elles se dégradent leur image de femme. Pour moi, ce ne sont que des putes en manque de reconnaissance. La plupart a une vie désastreuse avec un mari qui les ignore, ou un divorce ou encore une vie de célibataire malheureuse. Quoi quil en soit, elles sont aigries par tout ce qui les entoure.
Heureusement, certaines collègues sortent du lot et sont devenues mes copines. Un petit groupe bien à part des poufs du service. Les combats font rage entre notre groupe et les autres mais lunité et notre état desprit a souvent le dessus.
Personnellement, je suis célibataire et je vie avec une collègue en coloc. Sophie est une copine qui travaille dans la même boite mais dans un autre service. Nous cachons le fait que nous vivons en coloc sinon les ragots iraient bon train. De coloc, nous sommes devenues doucement des amies et nous partageons de nombreuses idées. Cest une nana sympa avec un physique très bien proportionné. Nous pourrions échanger les vêtements tellement nos formes et nos styles se ressemblent.
Comme je lai dit, je ne suis pas lesbienne et Sophie non plus. Nous avons chacune notre vie et nos rencontres. A ce jour, aucune de nous na trouvé lhomme qui pourrait combler notre vie mais jai 26 ans et Sophie, 25 ans. Nous avons encore quelques années devant nous avant de nous inquiéter.
Personnellement, je nai pas de besoin sexuel. Certaines filles parlent de gode ou de masturbation ou encore dun mec au service courrier qui peut être un bon coup. Cest pour vous dire le niveau !
Quand mon frère me raconte son idée des femmes avec des conversations élaborées, des sujets légers et une douceur très féminine, je me demande sil ne lit pas des Arlequins en douce ! Si les mecs sont malpolis et grossiers, les femmes ensembles ne valent pas beaucoup mieux même si elles font les mijaurées.
Un jour, je reçois une convocation pour un séminaire sur le redressement quinquennal des taux de remise du système monétaire national. Quand je vous dis que cest excitant ! Le séminaire est à Brive la Gaillarde avec un déplacement en voiture de Bordeaux à Brive.
En regardant les personnes convoquées, je maperçois que je peux faire un groupe avec des nanas pas trop connes. Cest toujours le jeu quand nous recevons des convocations. Aller trouver le plus vite possible les nanas pour faire un groupe et être en voiture ensemble.
Colette, une vieille fille qui ne se mélange avec aucun groupe vient me voir et me demande si je peux aller avec elle.
La description de Tatiana me font penser à la mienne. Je fais 1m72 et cette taille est soulignée par de longues jambes effilées. Jai des tendances végétariennes avec des repas équilibrés. Cela contribue à avoir une ligne presque parfaite même si jai limpression que mes fesses sont un peu trop développées. Ma fierté vient de ma taille et de mes formes mais surtout de ma poitrine qui a le dessin dun modèle du genre. Courbe parfaite avec les mamelons dans la continuité de ma peau. Téton sombre et fin encadré par une auréole de diamètre restreint. Jaime bien mon corps même sil y a des petits détails que jaimerais rectifier ou effacer. Mais existe-t-il une nana totalement satisfaite de son corps ?
Bref, nous voilà, un lundi matin, à 5 heure au départ pour Brive la Gaillarde. Sur la parking, la jacasserie acerbe de la basse-court agace rapidement Colette qui veut prendre le volant pour utiliser son esprit et oublier ces « blondasses mal baisées ».
Colette est tellement partie quelle nous avoue quelle est lesbienne et que jamais elle navait vue femme aussi répugnante. Colette lesbienne ! Comment une femme peut aimer une autre femme ? Dans cette voiture et pour la énième fois, je me pose cette question. Colette étant une femme assez sérieuse et assez secrète, je me mord les lèvres pour lui poser des questions et connaître ce quelle peut trouver dans les rapports lesbiens. Pour moi, je ne conçois pas lamour son lapport du sexe masculin en moi. Cela vient sûrement de mon éducation et dun besoin de rester dans une normalité rassurante.
Larrivée sur Brive se passe assez bien après sêtre perdu à deux ou trois reprises pour trouver lhôtel. Nous sommes les premières et nous avons donc le choix dans les chambres. Tatiana choisi dêtre avec moi dans une chambre car nous avons le droit (ou lobligation !) dêtre à plusieurs pas chambre. Deux par chambre, pas de chambre individuelle sont les ordres de la direction. Après négociation, on a le droit dêtre trois dans une chambre plus grande. Colette ne se voit pas dormir avec une des poufs qui ne va pas tarder à arriver. Nous voilà donc avec nos bagages dans la grande chambre. Un lit double et un lit simple. Colette nous laisse le choix du côté dans le lit double car elle, elle prend le lit simple et donc, la chambre pour avoir son intimité. Soit !
Tatiana ne se formalise pas et nous choisissons chacune un côté de lit. Une semaine dans cet hôtel pour toute la durée de la formation, autant que personne ne se prenne la tête pour des détails dès le début !
La première journée se passe bien. La formation semble assez fourni et le formateur a lair assez sympa pour une fois.
Aucune de nous navons de mec, ni d. Nous parlons de la formation, du boulot, de la carrière et de trucs de nanas. Les sujets sont nombreux et cest lors du troisième repas que le sujet sexe arrive. Au début, cest une critique sur une collègue qui allume avec des décolletés et des tenues dignes dune prostituée au travail. Ensuite, vient le sujet des mecs et, puisquil ny a pas grand chose à dire, Tatiana commence à poser des questions à Colette sur son homosexualité. Il y a 15 secondes de silence lourd de signification puis Colette répond aux questions. Petit à petit, Colette se livre. Je découvre des désirs et des sensations que je croyais réservés au couple hétéros. Tatiana écoute avec la plus grande attention. Colette fini le repas en nous demandant la plus grande discrétion sur ce sujet dans la boite pour lui éviter des problèmes relationnels.
Le soir arrive et je me couche à côté de Tatiana. Pour la première fois, je la regarde en me demandant si je pourrais avoir des rapports avec elle. Elle porte une liquette pour dormir et en sallongeant à mes côtés, jai mon esprit qui fourmillent didées perverses. Toutes les descriptions faites par Colette rodent en moi et perturbent mon équilibre. A voix basse, je demande à Tatiana ce quelle pense des propos de Colette. Tatiana me dit quelle la comprend parce quelle a une idée de la sexualité beaucoup plus ouverte que moi. Je lui demande avec étonnement si elle se verrait avec une autre femme. La réponse positive de Tatiana me sidère.
Tatiana se tourne de son côté et sendort doucement pendant que je lis. Je narrive pas à me concentrer sur mon livre et ma tête est encombrée dimage de Tatiana faisant lamour avec Colette. Et moi ? Que fais-je ? Une vague de chaleur menvahie et je sens mon corps se contracter. Je nose bouger de peur dalerter Tatiana de mes intentions. Tatiana se retourne vers moi et jai peur quelle me regarde car je serais incapable de cacher mon état. Je nose respirer alors que londe de désir continue de descendre en moi et atteint mon ventre. Je contracte mes cuisses et sers les jambes par petites pressions. Ces mouvements invisibles me procurent un petit massage de mon sexe et augmentent les sensations de plaisir. Jaimerais glisser ma main dans ma culotte et me caresser comme lors de mon adolescence mais la présence de Tatiana à mes côtés men empêche. Mon sexe est bouillant et doit être ouvert comme un lys. Je narrive plus à me contrôler, coincée entre le désir de me masturber et une partie de moi qui refuse de tomber si bas dans léchelle de lévolution. Je suis en train de devenir une salope qui veut atteindre un plaisir personnel en pensant à ma collègue allongée à mes côtés. Je regarde Tatiana pour vérifier si elle bouge ou si elle me surveille. A sa respiration, elle doit dormir. La faible lumière de ma liseuse fait ressortir la peau blanche de sa poitrine entre les pans de sa liquette. Dans ma tête, cest une révolution. Je veux voir les seins de Tatiana. Cétait une image mais maintenant, ça devient une idée qui prend de la force et ne vas pas tarder à devenir un but sacré. Tatiana dort et ny tenant plus, je glisse ma main vers elle et son décolleté. Si elle se réveille, je vais mourir de honte mais je narrive pas à me raisonner. Jai de la fièvre et ma respiration est saccadée. Le bout de mon doigt touche le tissu à côté de la boutonnière. Je suis gauche et je risque de réveiller Tatiana si jamais je narrive pas à me contrôler. Mon ventre est toujours aussi bouillonnant et mes seins me font mal tellement ils sont crispés. Si jétais seule, je me caresserais avec une frénésie frôlant lhystérie. Je suis frustrée de ne pouvoir me laisser aller et cette situation mexcite encore plus. Mes doigts glissent et je ressens la résistance de la poitrine de Tatiana sous le tissu de la liquette. Sa respiration est toujours aussi calme et cela me rassure. Je suis au bord du gouffre et je risque de partir dans un orgasme énorme si je narrive pas à me contrôler. Cest dur ! Mes doigts se glissent entre les seins de Tatiana et tentent de soulever le vêtement pour voir un peu plus de sa poitrine. Impossible dy arriver donc je pince le premier bouton et le retire avec une grande facilité. Le bouton lâche et la tension du tissu se détend. Le sein supérieur de Tatiana glisse doucement pour savancer vers celui qui est posé sur le matelas. Jai peur que ce mouvement réveille Tatiana mais elle ne bouge pas et je continue ma course vers ses boutons. Le deuxième saute avec la même facilité et je peux maintenant ouvrir lécrin pour voir son sein. La lumière est faible mais je vois clairement la frontière de sa peau blanche et son auréole. Sans men être aperçu, mon autre main est dans ma culotte et je glisse sur ma toison pour amener mon index en contact avec les chairs sensibles de mon vagin. Tatiana me montre un sein et je lui vole son intimité. Mon excitation est extrême et je prend le risque de poser ma main chaude sur son sein. Cest la première fois que je touche une autre femme et je suis étonnée de prendre plaisir à le faire. Tatiana fait un petit bruit et prend une grande respiration. Jai peur ! Elle se retourne de lautre côté et retrouve son calme. Son sein à glissé sur ma main avant de séchapper et jai senti le relief de son téton contre ma paume. Si Tatiana retrouve un rythme endormi, jen suis incapable. Je dois me lever et misoler pour me calmer.
Je me lève et vais dans la salle de bain. Ma main dans ma culotte continu sa danse sur moi. Je ne suis plus moi-même et ma tête est envahie dimage de Tatiana, de moi, de Colette. Je suis dans le noir de cette petite salle de bain dhôtel dune ville inconnue. Je me met à genoux par terre et je me penche en avant. Ma tête sur le tapis de sorti de bain, ma main dans ma culotte, mes doigts jouent avec mon sexe. Je suis trempée à me faire du bien et joublie tout ce qui mentoure. Une vague de plaisir minonde et jétouffe mes cris de plaisir qui veulent hurler à la face du monde mon envole dans cet état second. Combien de temps ici, seule ? Mon esprit se réveille et mon corps se refroidi. Jai un frisson qui me réveille et je me remet doucement de ma folie. Jai honte de moi ! Comment ai-je fait pour en arriver là ? Je retire mon protège slip trempé et inutilisable pour le reste de la nuit. Dans le noir, avec juste un filet de lumière venant de lextérieur, je trouve la poubelle et jète ma protection. Ma culotte est à peu près sèche et je me rhabille. Je me lave les mains en silence et retourne vers le lit où je retrouve Tatiana tournée de mon côté. Je résiste à la tentation de regarder ses seins et jéteins la lumière. Je dors
Je tente de dormir
Le lendemain, jai un mal de fou à me lever. Tatiana ne semble pas se rappeler de quoi que ce soit. Toute la journée se passe normalement. Le soir, dernier repas sur Brive mais Colette est mal et préfère rentrer rapidement. Avec Tatiana, nous restons dans le hall de lhôtel à papoter. Elle mavoue quelle a eu du mal à dormir et quelle a eu des images bizarres après la discussion avec Colette. Elle semble mettre sa mauvaise nuit uniquement sur la conversation et non sur moi. Tatiana me dit sous couvert de la confidence quelle sest levée le matin avec les seins presque à lair et quelle se soupçonne de sêtre un peu caressée durant la nuit. Je suis extrêmement embarrassée mais elle ne semble pas y faire attention. On monte dans la chambre et on croise Colette qui va se coucher. Colette nous dit quelle vient de prendre un somnifère pour se reposer et quelle est complètement caisse. Tatiana lui en demande un pour passer une meilleure nuit. Dans la demi-heure suivante, Tatiana est au lit et sombre très rapidement dans un sommeil réparateur. Colette avait averti Tatiana de ne prendre que la moitié dun comprimé car il était puissant mais Tatiana a avalé un comprimé complet. La puissance de ce somnifère est avérée car Tatiana ne réussi pas à me dire une phrase cohérente avant de sombrer.
Je lis et mon esprit recommence à me jouer des tours. Comme un coup du sort, mon roman raconte un moment torride où lhéroïne rencontre son amant dans un parc. Les révélations de Colette la veille, mes débordements de la nuit passée et ce roman remettent le feu en moi. Je refuse cette pression sexuelle en moi. Je range le livre et jéteins la lumière. Le noir se rempli dimages. Une petite voix me souffle que Tatiana et Colette sont es et endormies. Je peux faire nimporte quoi ou presque. Non ! Je refuse ! Mais
mon corps prend les décisions à ma place et je men veux. Finalement, cest la dernière nuit avec Tatiana et autant en profiter avant de retourner dans ma petite vie. Je me laisse aller et rallume la petite veilleuse. Je reste allongée sur le dos dans cette chambre. Jécoute la respiration de Tatiana profonde et lente. Jécoute les bruits de lhôtel. Je regarde lheure et compte mentalement le temps passé. Il est 22 heure et nous sommes couchées depuis presque 1 heure. Tatiana est tournée de son côté.
Je me laisse aller à mes pulsions bestiales perverses et accepte de me laisser guider par mes envies tordues. Juste pour cette nuit, jaccepte de devenir esclave dune sorte de démon en moi. Je relève les draps et regarde le dos de Tatiana. Pour vérifier si Tatiana dort pour de bon, je lui att les épaules et lattire vers moi pour quelle se retourne. Sa position est résistante et je dois lui attr la hanche pour pouvoir la retourner et la mettre sur le dos. Je la regarde inerte et le petit diablotin en moi est satisfait. Jécoute sa respiration et elle est toujours aussi profonde. La drogue semble vraiment efficace. Sans pouvoir me raisonner, je retire tous les boutons de sa liquette. Jécarte les deux côtés du vêtement et je découvre la poitrine de Tatiana. Je suis presque déçue car les seins dans cette position nont pas le même dessin que la veille. Je trouve Tatiana belle et la blancheur de sa peau me donne envie de lembrasser et de me frotter contre.
Je me penche sur son corps et la sent. Son odeur rentre en moi et créé une sorte de réaction chimique ouvrant les portes du plaisir. Je dépose un baiser sur son ventre et je remonte vers ses seins. Je couvre tout le corps de Tatiana de mes baisers. Je ne me reconnais plus et je profite de lendormissement de Tatiana pour profiter de son corps. Au début avec douceur, mes baisers deviennent de plus en plus insistant. Je lui couvre un téton de ma bouche et lui caresse la pointe avec ma langue. Le contact de son sein dans ma bouche me fait fondre. Mon sexe commence à mouiller ma culotte et sa frêle protection. Occupée à embrasser Tatiana, je ne moccupe pas de moi. Je gourmande ma collègue sans mapercevoir que le corps de Tatiana répond à mes caresses. Les seins de Tatiana se durcissent. La respiration de Tatiana est plus rapide et elle commence à émettre quelques gémissements. Les quelques bruits quelle produit augmentent mon excitation et je glisse ma main sur le ventre de Tatiana pour me faufiler entre sa peau et sa culotte. Mes doigts passent sur sa toison souple et fuient jusque sur la moiteur de son sexe. Comme pour le mien la veille, mes doigts se trouvent glissants dans le sexe de Tatiana. Elle se contorsionne doucement, se cambre avec volupté. Dans la faible luminosité de la chambre, sans aucune peur que Tatiana ne se réveille tellement je suis perdue dans ma folie sexuelle, je vois Tatiana se cramponner aux draps et se dresser suivant le rythme de ma main en elle.
Mes seins sont durs et jai envie quelle les prenne, quelle les embrasse. Jai envie quelle glisse sa main en moi. Je la trouve belle et épanouie dans cet état. Tatiana lâche le drap et envoi sa main dans linconnu. Elle touche ma hanche et touche ma cuisse. Elle remonte sa main le long de ma jambe et son autre main se pose aussi sur ma hanche. Dun mouvement malhabile, ses mains saccrochent à ma culotte et la force à descendre. Me voici la culotte à mi-cuisse. Avant de réagir, une main matt le sexe et me fouille. Elle me cherche, me masturbe, me pénètre, me fait lamour. Cest ça lamour avec une autre femme ! Je suis aux anges ! Tatiana garde les yeux fermés et elle accède au plaisir de lorgasme dans un silence retenu. Je ne glisse pas mes doigts en elle, cest elle qui me fait entrer dans son corps. Elle bascule son bassin lentement pour se frotter sur ma main. Sa main en moi est hésitante et absente. Elle a une tendance à étaler ma mouille sur mes cuisses. Dans un moment de lucidité passagère, je maperçois quelle dort encore à moitié et quelle est plutôt dans un rêve. Jen profite encore un peu plus.
Dune main, je lève mon tee-shirt et le passe par la tête. Il descend le long de mon bras et je me baisse pour poser mes seins lourds sur les siens. Mes pointes touchent sa peau. Je lâche la possession de sa culotte et de son sexe pour me permettre de mavancer et glisser ma poitrine sur la sienne. Mon tee-shirt sabandonne sur le lit et je promène mes seins devant le visage de Tatiana. La bouche de Tatiana bouge doucement et fini par souvrir sur mon téton quelle happe. Je regarde, dans la semi-ombre, la bouche de Tatiana me prendre ma pointe et je ressent des ondes électriques me parcourir de la tête à la pointe des pieds. Pour ne pas crier, je place ma main sur ma bouche et jétouffe un cri de plaisir qui déborde. Ma main sur la bouche, je sens lodeur du sexe de Tatiana. Loin dêtre dégoûtée, je laisse ma main en place pendant que Tatiana me tête machinalement. Petit à petit, Tatiana relâche mon sein et retombe dans les limbes du sommeil qui ne relâche pas son étreinte. Mon Dieu, quai je fait ?
Tatiana est redevenu la jeune femme endormie. Sa respiration reprend doucement un rythme souple et lent. Je me redresse et la regarde toujours aussi belle dans le faible halo. Je me met à genoux à côté de Tatiana et lembrasse sur la bouche. Pas de réaction de sa part alors je lui redonne un baiser sur chacune de ses auréoles relâchées. Petites tâches sombres dans la nuit. Je me dois de rhabiller Tatiana mais jai encore envie de me vautrer contre elle et de profiter de sa chaleur. Je commence par sa culotte qui est légèrement défaite. Je suis attirée par le contenu de la petite culotte colorée. Moi, la femme hétéro vivant seule dans mon monde parfait, me voici complètement étrangère à ces idées venant du fond de mon être et me poussant à faire des choses que jaurais considéré comme horribles encore quelques heures plus tôt. Je veux remettre la culotte en place mais
non
Je veux la voir. Je me lève, toujours torse nu et vais doucement vers la table de chevet, prendre mon portable.
Retour auprès de Tatiana et mise en route de la lampe de mon téléphone portable. Eclairage puissant dans cette chambre noire qui ouvre pour moi la vue sur la toison débordante de Tatiana. Jécarte la culotte et regarde ses poils joliment taillés dans un petit triangle parfait. Tâche à lintérieur de laine avec une rose stylisée en guise de tatouage. Je sens encore une fois lodeur de son sexe et empli mon esprit de cette trace qui restera en moi tout le reste de ma vie. Je remet le vêtement et referme la liquette. Pas complètement fermée pour faire croire que Tatiana sétait encore laissée aller au jeu des caresses nocturnes. Je prend Tatiana par la hanche et lépaule et la bascule pour la coucher sur le côté. Je prend mon portable et éclaire les seins de Tatiana qui pendent doucement avec un volume retrouvé. Je la trouve belle et en profite une dernière fois pour lui embrasser. Nouveauté pour moi, ma langue se tend et lèche la peau fine pour se glisser sur les mamelons et les tétons. Jadore ce contact et je me fais violence pour arrêter. Je couvre ma belle et je lui laisse la poitrine sortie de sa liquette. Je me couche et avec un petit effort, je trouve le sommeil qui maccueille.
Le matin, jouvre les yeux avec la sonnerie de mon téléphone portable qui sonne. Impossible de le trouver. Je dois me lever et je le trouve à terre du côté de Tatiana. Oups ! Oublie de ma folie nocturne. Tatiana se redresse et moffre sa poitrine complètement dénudée. Elle ne saperçoit de rien dans limmédiat. Jai peur de sa réaction mais rien narrive. Elle se regarde les seins et croise mon regard. Les yeux encore gonflés, elle arrive à me sourire et me dit quil est temps que la semaine sarrête sinon, elle va finir nue. Sans y faire attention, je lui répond par un haussement dépaule comme un assentiment. Jusquà la reprise de la session de formation, tout se passe bien sans que ma folie de la nuit ne soit découverte. Je sens quand même des regards pesants sur moi de la part de tatiana. Se doute-t-elle des jeux de la nuit ? Je moblige à lignorer et quelques sourires silencieux séchangent dans la journée. Jai hâte que cette semaine se termine et que je retrouve ma tranquillité dans mon appart. Sophie ne comprendra pas mais je vais menfermer dans ma chambre et essayer de voir plus clair en moi. La journée est terminée et avec elle, la semaine et une histoire à oublier.
Avant la route, tout le monde se regroupe dans un bar pour boire un verre et profiter encore un peu de cette semaine difficile à supporter avec cette formation très loin de nos besoins journaliers. 19h00 arrive et chacune monte dans la voiture pour le retour. Colette a envie de prendre les petites routes et de prendre son temps. Le plein est fait et le temps est beau. Fatiguée, je demande pour aller derrière. Tatiana est aussi fatiguée de la journée et me rejoint à larrière pendant que Colette prend le volant et nous ramène tranquillement sur Bordeaux. La position en voiture est désagréable pour dormir et ma tête narrive pas à supprimer les images des deux nuits passées. La présence de Tatiana à mes côtés narrange rien à ma situation. Petit à petit, bercée par les mouvements de la voiture, je sombre dans un sommeil tant attendu.
Les rêves agréables me perturbent et mempêchent de trouver un repos desprit. Mon corps est parcouru par des ondes électriques qui réveillent en moi des sens érotiques. Difficile de trouver une sérénité avec les restes dimages de Tatiana nue ou presque. Je sens ma respiration saccélérer et jai des fourmillements dans diverses parties du corps. Mes rêves se font de plus en plus précis et je ressens presque les caresses de Tatiana sur moi. Je cherche à émerger de ce rêve mais une partie de moi désir continuer à ressentir les ondes de plaisirs. Je gémis de plaisir et mon esprit se rend compte que je suis en voiture et loin dêtre seule. Je retrouve rapidement mes sens.
Je suis allongée dans la voiture, ma tête posée sûrement sur les cuisses de Tatiana. On me caresse la poitrine et les cheveux. Mon rêve nétait que la transposition de la réalité. Que cest bon ! Je me demande ce que je dois faire. Rester et profiter des caresses ou me redresser et redevenir la femme équilibrée que je crois être ! finalement, je me laisse aller aux plaisirs. Tatiana me rend mes caresses des nuits et elle est peut-être comme moi, éveillée par les discussions de Colette.
Ses caresses sont précises et mexcitent très fortement. Jen veux plus et elle doit le sentir car elle saventure sur mes bras pour descendre vers mes hanches. Je suis en robe et si elle veux, elle peut accéder rapidement à mes fesses. Tatiana est aussi en tailleur et jai envie de la caresser. Je bouge et me redresse. Tatiana retire ses mains et japerçois son regard dans un voile encore endormi. Elle est inquiète et attend ma réaction. Pour la rassurer, je lui dis que cétait bon comme réveil. Elle me sourit et Colette nous demande si on veut un coin tranquille pour faire nos affaires. Je nose comprendre de quoi elle parle et cest Tatiana qui lui répond par laffirmative.
Tatiana me dit quelle a adoré les nuits avec moi et je deviens rouge comme une pivoine. Je suis piégée et jai honte de moi et de mes débordements. Si javais le pouvoir de disparaître, je le ferais. Tatiana pose sa main sur la mienne et savance pour membrasser sur la joue. Je tente de mexcuser mais elle marrête aussitôt pour me dire quelle regrette seulement de ne pas avoir été assez éveillée pour en profiter. Moi qui croyais vivre une petite aventure en secret, me voici confrontée à une réalité que je navais pas envisagée. Je ne sais plus quoi faire et je narrive quà dire que je ne voulais pas. Tatiana a lil coquin et malicieux. Elle avance ses mains vers mon chemisier et retire les boutons. Je suis tétanisée et je la laisse faire.
Tatiana écarte le chemisier et regarde mon soutif. Elle pose sa main sous un de mes seins et le caresse doucement. Je ne bouge pas et laisse la gentille me toucher et peser mon sein. Jai une poitrine trop lâche à mon goût avec un bonnet C qui donne à mes seins une forme tombante avec mes mamelons larges. Tatiana promène ses doigts sur mon galbe et le bord supérieur de mon soutif. Elle glisse entre mes seins et enfonce un doigt sous le tissu. Elle glisse son doigt entre le soutif et ma peau et avance jusquà toucher mon téton durci. Elle sattarde à lexciter. Cest comme un bouton directement relié à mon système sexuel et je chauffe rapidement. Ma ain se pose sur sa cuisse et je me glisse vers son entre-jambe en me faufilant sous le tissu de sa jupe droite. Tatiana me dit quelle me préfère comme ça. Sa cuisse est chaude et mon avancé est lente pour profiter au maximum de se contact doux.
Colette quitte la grande route et commence à rouler doucement sur des petites routes de campagne. Il fait sombre mais je vois mieux que les nuits passées. Tatiana est remontée vers ma bretelle de soutif et commence à la faire glisser. Je sens mon sein tirer sur le bonnet de tout son poids. Ma main atteint la culotte de Tatiana et elle écarte les cuisses pour me laisser le chemin libre. Ce contact sur elle la fait accélérer le mouvement de sa main et elle tire vers le bas la bretelle. Mon sein fait de la résistance et reste caché dans son écrin. Ma main se glisse entre les cuisses de Tatiana et je longe sa culotte pour poser mon pouce sur sa toison et mon index vers son anus. Tatiana avance son bassin pour forcer le contact de ma main. Elle att mon sein quelle libère complètement.
Nous navons plus nos ceintures depuis un moment et nous nous sommes avancées pour nous embrasser sur la bouche. Ma première fois avec une femme et jai autant de plaisir quavec un homme. Cest même mieux par certains côtés. Colette gare la voiture au fond dun chemin, au bord dun champ désert. Elle se retourne et nous regarde sans rien dire. Tatiana balance son bassin en rythme et se masturbe avec ma main. Je sens sa protection féminine sans pouvoir accéder à la douceur de son sexe. Colette me dit que je suis une belle femme. Elle motive aussi Tatiana pour quelle aille plus vite avec les caresses. Tatiana gémit de plus en plus fort et je sens dans son baiser quelle perd pieds. Jen profite pour basculer ma main et tenter de me glisser sous sa culotte. A la troisième tentative, jy arrive et ma main se retrouve sur le sexe de Tatiana trempé. Ses lèvres sont écartelées et ma main entière glisse sur toute la longueur de sa magnifique fente. Colette pelote les seins de Tatiana et elle fait glisser ma deuxième bretelle. Tatiana pousse de petits cris qui deviennent de plus en plus rauque au fur et à mesure que lorgasme lenvahie. Elle arrête de membrasser et se lève presque pour que je puisse lui caresser le sexe.
Mes doigts sont dans le sexe de Tatiana et elle gémit dans latmosphère chaude de cette voiture. Elle narrête pas de basculer son bassin et son sexe est toujours aussi trempé. Le mien nest pas mieux et jai envie que Tatiana vienne sur moi. Elle lâche ma poitrine et retire la fermeture de sa jupe. Je quitte son sexe pour la laisser retirer jupe et culotte. Les fesses à lair, elle savance vers moi et sassoit sur ma jambe nue. Son sexe se pose sur moi et je sens ses poils me toucher la cuisse, son sexe me mouiller la peau. Sans me poser de question, je dégrafe mon soutif et vire tout sur le côté. Tatiana me prend les seins à pleine main et caresse les pointes avec les pouces. Jadore ses caresses et je moccupe à lui déboutonner le chemisier et dégrafer le soutif.
Tatiana est nue et la buée emplit les vitres de la voiture. Jadore sentir le sexe de Tatiana sur ma cuisse. Colette narrête pas de parler en nous disant que nous sommes magnifiques. Elle est sur le siège passager, assise sur les genoux et elle nous regarde en nous flattant. Tatiana membrasse dun gros baiser gourmand qui me fait perdre mes sens. Sa main se glisse entre mes jambes et remonte sur lintérieur de mes cuisses. Elle atteint ma culotte et lécarte sans gêne pour se glisser sur mon sexe. Le contact de sa main chaude sur ma sensibilité extrême de mes chairs déclenche en moi une onde de plaisir qui me fait presque tousser. Tatiana me fouille en enfonçant ses doigts en moi. Je suis tellement excitée quelle na aucun mal à entrer un, deux, trois doigts et presque sa main entière en moi.
Je suis aux anges et cest la première fois quon me travaille le sexe de cette manière. Tatiana est une fine experte de lanatomie féminine et elle maîtrise avec brio chaque millimètre carré pour donner du plaisir. Je me retrouve avec une jambe sur le dossier du conducteur et une autre allongée sur la banquette arrière. Impudique comme jamais je nai été et offerte aux jeux de Tatiana et à la vue de Colette. Colette se masturbe sans arrêt en nous regardant. Elle a la poitrine à lair et moffre ses petits seins pointus loin dêtre aussi beaux que ceux de Tatiana. Mon corps tout entier est offert à Tatiana qui ne sen prive pas. Elle a réussi à entrer sa main complète en moi et je la sens me caresser lintérieur de mon vagin. Elle est penchée sur moi et me procure par tous les moyens à sa disposition des sensations quasi irréelles. Jarrive à un orgasme qui nen fini pas et jai mal tellement les électrisations sont multiples et continues. Tatiana me tête les seins de temps en temps et je nai pas un moment de répit.
Colette passe son temps à se caresser et à se lécher les doigts. Je trouve cela déplacé mais je narrive plus à savoir où est le bien et le mal. Lapothéose arrive quand Tatiana me donne ses doigts couvert de ma mouille dans la bouche. Je narrive même plus à décider ce que je veux faire et je nai plus la force de décision. Je lèche les doigts et avale ma propre mouillure. Pas dégoûtant mais juste inconcevable encore quelques minutes avant. Finalement, jy prend goût et Tatiana samuse à me faire augmenter le désir de lécher du jus de femme. Elle glisse en enfonce un doigt en moi et me le donne à lécher. Elle fait pareille avec son propre sexe et javale son jus sans honte. Jai dépassé ce stade et je nai plus de limite.
Tatiana me fait mallonger sur la banquette et se met au dessus de moi avec une jambe à terre et lautre sur la banquette. Elle matt la tête par la nuque et mapproche de son sexe. Elle me soulève la tête et la pose sur son sexe. Ma bouche rencontre un sexe de femme ouvert, chaud, humide et sensible pour la première fois. Les poils du sexe me chatouillent et la mouillure sétale sur mon visage. Je bave tellement cette situation dêtre utilisée comme outils du plaisir dune femme mexcite. Je suis devenu une chose sans conscience, sans contrôle, sans éducation et jaime ça. Jenfonce ma langue dans chaque endroit disponible que Tatiana moffre. Jentend comme un écho aux gémissements de Tatiana et aux bruits de succion que je produis, Colette gémir et pousser de petits cris de bête. Jatt comme je peux les hanches de Tatiana et je passe ma langue partout. Je lui lèche aussi lanus et remonte vers les fesses. Je mouille tout sa raie avec ma salive. Pas une once de sa jolie fente nest pas couverte avec la caresse de ma bouche.
Tatiana vibre et gémit avec sa façon très particulière datteindre son orgasme. Javale son clito, ses lèvres, son jus, ses poils et je laccompagne dans sa folie sexuelle. Cest à son tour de demander du répit et elle me retire de ses cuisses. Lespace contraint de la voiture nous interdit de nous allonger lune contre lautre mais nous nous prenons dans les bras pour nous embrasser. Tous nos fluides se mélangent, toutes nos odeurs, tous nos plaisirs de rejoignent. Colette nous dit que nous allons très bien ensemble et que nous sommes magnifiques. Je suis daccord avec elle et pour preuve, je ne peux pas marrêter de caresser et dembrasser Tatiana. De son côté, elle me caresse le ventre et les cuisses.
Je demande à Colette pourquoi elle est restée seule. Pour réponse, jai juste une fausse excuse de lâge et son goût pour le voyeurisme. Quimporte, cest Tatiana qui mattire et jimagine que cette folie en voiture nest quun échantillon de ce que nous pouvons faire à deux filles. La voiture est couverte de buée et le faible espace est couvert dun mélange dodeur de sueur et de mouillure. Cette odeur joue sur mon mental et jai envie de recommencer. Tatiana anticipe mon désir et me caresse les seins en jouant avec mes tétons qui se raidissent aussitôt. Colette demande à Tatiana de me lécher. Oui ! Cest aussi ce que je veux et je me cale contre le dossier en écartant les cuisses pour offrir ma toison brune aux caresses de ma copine. Tatiana se glisse entre les sièges avant et la banquette. Je profite de ma souplesse pour me mettre en grand écart. Jamais je naurais cru que les années de danse étant jeune allaient me servir à me donner à une autre femme pour me faire lécher dans une voiture. Tatiana nhésite pas et elle écarte mes lèvres pour enfouir son visage sur moi.
Dun coup, la langue de Tatiana me donne des fourmillements dans le bas ventre. Tellement ces baisers au cur de ma féminité sont puissants, jen ai des spasmes dans le bassin. Je ne peux mempêcher de basculer le bassin et Tatiana maspire le clito. Les appuis de sa langue sur ma vulve déclenchent en moi un désir énorme et je pose mes mains sur les cheveux de Tatiana pour la forcer à me lécher avec plus dénergie. Elle répond à ma demande et entreprend des baisers plus rapides et plus gourmands. Ses mains écartent mes lèvres et sa bouche me dévore. Une vague puissante de plaisir menvahi et Tatiana doit le sentir car elle commence à entrer ses doigts en moi en même temps quelle me lèche. Je ne sais plus comment me mettre et je résiste à lenvie denfoncer la tête de Tatiana sur mon sexe. Les picotements et les brûlures du plaisir menvahissent et je ne peux plus garder ma respiration aussi normale. Tout mon corps semballe et Tatiana explore tous les points sensibles de mon sexe pour me faire venir au sommet du plaisir. Jatteint le sommet en fanfare et mes cris déclenchent les gémissements de contentement de Tatiana qui se régale de moi. Colette atteint encore une fois son orgasme seule. Je me cramponne à ce que je peux pendant toute la durée de mon orgasme qui me donne autant de douleur que de plaisir. Jamais auparavant, je nai atteint autant de plaisir. Jamais un homme ne ma donné autant de plaisir.
Jétais transformée et gourmande des plaisirs entre femmes. Je voulais encore de Tatiana avec moi. Je voulais boire à son sexe, ses lèvres, sa bouche, ses seins. Je voulais lexplorer avec mes mains, ma langue, mes seins, mon sexe. Jétais tellement en transe après cette vague de plaisirs que Colette mattirait. Ses seins qui sautaient ne demandaient quà se trouver dans ma bouche. En négociant, Colette accepta de nous donner le sein à chacune. Etre avec Tatiana, accrochée sur un sein de Colette à la téter est un vrai plaisir et nous faisons toutes les figures possibles. Nous léchons ensemble un sein ou nous sommes chacune sur un téton. Nos langues se rejoignent et jouent ensemble avec les mamelons gonflés de Colette qui chante nos louanges. Colette nous force à nous arrêter et décide de rentrer sur Bordeaux. Elle se refait et nous laisse derrière, nues à nous caresser et nous embrasser.
Colette allume la voiture et elle est obligée de ventiler fortement pour voir lextérieur. Avec Tatiana, nous sommes allongées sur la banquette et nous nous frottons lune contre lautre. Mon ventre est en feu et je narrive pas à marrêter. Tatiana semble être dans le même état et elle saccroche à mes seins avant de descendre sur mon ventre et ma toison. Elle enfoui son visage entre mes cuisses et me dit que je sens bon. Les mouvements de la voiture nous incommodent et nous sommes obligées darrêter et de nous remettre dans une position assise pour ne pas avoir le mal des transports. Avec regret, nous reprenons nos affaires éparpillées et piétinées. Tatiana me demande ma taille de poitrine et nous avons presque la même si on oublie le bonnet ; C pour moi et B pour elle.
Elle me propose un truc de dingue pour pouvoir continuer à être ensemble dans nos vêtements. Nayant plus de limite, jaccepte lidée de Tatiana et je prend son soutif et je me masturbe avec. La scène est étrange et nous sommes deux folles à nous masturber avec le soutif de lautre. Jimagine les seins de Tatiana qui auront ma mouille dessus. Lidée que la mouille de ma collègue soit sur ma poitrine mexcite et mon sexe donne sans problème. Jécrase mon clito en imaginant les seins de Tatiana comme si javais mon sexe sur elle pendant la fin du voyage et le temps quelle gardera son soutif dans cet état. Mon sexe mouille comme jamais il navait mouillé et mes lèvres sécartent sans problème pour donner du jus de plaisir au vêtement. Tatiana laisse échapper quelques mots pour mindiquer quelle coule comme une fontaine. Jai aussi cette sensation davoir une fuite vaginale tellement je suis excitée de partager cette folie. Chaque bonnet est humide et je rend le soutif à Tatiana qui me rend le mien. Dun mouvement commun, nous humons nos soutifs et nous nous sourions. Tatiana à complètement trempé mon vêtement et je la félicite. Elle sourit et enfile son soutif en mettant sa poitrine bien en place. Jen fait autant et jai un frisson en sentant lhumidité sur mes seins. Tatiana me fait promettre de recommencer cette folie mais directement en mettant nos seins sur nos sexe. Jaccepte sans aucun problème.
Jai du mal à remettre ma culotte car jai encore envie de Tatiana. De son côté, elle glisse sa culotte dans son sac à main et reste le sexe libre sous sa jupe. Décidée, je lui tend ma culotte et elle fait léchange pour que je parte avec la sienne. La suite de la route se passe entrecoupée avec des baisers et des caresses sur nos toisons. Arrivée à Bordeaux, Colette nous laisse à nos voitures et Tatiana minvite chez elle pour la nuit. Oui ! Nous finissons la nuit ensemble dans un mélange amoureux de tous les diables. Le réveil le lendemain à midi est aussi torride que la nuit passée. Je ne me reconnais plus et je nai aucune envie de me reconnaître tellement je suis bien. Mon corps me fait découvrir des capacités que je ne croyais pas atteignable. Il suffit que je regarde Tatiana pour que mon sexe shumidifie, mes seins se tendent et ma respiration saccélère. En un voyage en voiture et une nuit, jai fait lamour plus souvent que le reste de ma vie passée.
Entre deux coucheries, jai réussi à appeler Sophie, ma coloc, pour la rassurer sur mon absence. Le dimanche est là sans que je le vois. Nous sommes toujours nues et les vêtements ne nous manquent pas. Tatiana me fait découvrir des sensations que jimagine à peine possible que dans des films pornos. En fin de week-end, Tatiana ma tout fait. Jai eu sa main complète dans mon sexe, mon anus a été pénétré par un manche de tournevis enduit de crème lubrificatrice, elle ma rasé et taillé ma toison en tout petit triangle, jai eu son sexe partout sur moi, jai pris des poses dune obscénité extrême. Rien ne me choque et je suis partante pour chacune des expériences que Tatiana me propose. Malheureusement, tout à une fin et le retour chez moi est obligatoire avant la nouvelle semaine de travail.
Mon retour à lappart est un déchirement et Sophie ne comprend pas mon état mental si bas après un week-end chez une copine. Je passe la soirée à chialer comme un bébé et Sophie narrive pas à me consoler. Jai envie de retrouver Tatiana et je suis comme déchirée de lintérieur. Sophie me berce en me prenant contre elle mais rien ny fait, je chiale. La nuit est une horreur et le lendemain, je tente de masquer les marques de fatigue. Ce lundi est un jour spécial car je dois retourner dans le monde du travail avec une collègue qui ma vue dans une scène digne dun porno et une autre que je désire au moindre regard. Pas facile de concilier tout ça avec la bande de harpies qui guète le moindre défaut pour sabattre sur la proie et faire la mise à mort.
Cette journée est la plus horrible de ma vie. Trois chocs successifs me tuent petit à petit, avec chaque fois, la brutalité.
Le premier a été de devoir attendre midi et le repas pour revoir Tatiana. Toute la matinée, jai essayé de la joindre par messagerie interne ou par téléphone mais rien ! Mon boulot est une galère et je narrive pas à me concentrer. Chaque information que mon regard voit devient un lien avec Tatiana et je frémis dimpatience. Midi arrive et jai mal au ventre davoir attendu aussi longtemps. Je dois prendre une pastille pour calmer mon ventre et pouvoir poursuivre la journée sans me tordre de douleurs. Je ne croyais pas possible que le retour dans le monde normal puisse être aussi dur ! A la cantine, je cherche Tatiana du regard et jai des palpitations quand je laperçois au loin avec ses collègues. Je me faufile et mavance vers elle.
Le second choc est le regard de Tatiana qui magresse. Elle fait la polie mais je vois et ressens de lagressivité envers moi. Il ny a plus rien de la femme avec qui jai eu des rapports sexuels endiablés. Le repas se passe avec ses collègues à table et Tatiana mévite. En fin de repas, elle me prend à part et me donne une grande leçon. Elle me dit que le week-end est fini et la récré aussi. Elle sest bien amusée et que cest moi qui avait cherché. Maintenant, chacune doit reprendre sa vie sans faire chier. Pour finir la mise à mort, elle me pria daller faire un test du Sida. Je ne suis pas la première à passer dans son lit pour une moule partie ! Tatiana sen va et me laisse sur un banc du parc. Je suis vidée et tout mon être sarrête. Mon corps réagit à cette information de manière aussi brutale. Jai à peine le temps daller au toilette que je vomi tout mon repas. Mon ventre explose et je dois aussi me vider par le bas. Jai des spasmes dans tout le ventre et je suis blanche comme un linge quand je retourne à mon poste. Quelques filles sinquiètent mais on me laisse avec ma vie foutue.
Le dernier choc arrive en fin de journée, quand mon chef de service me convoque. Il me trouve en piteux état mais me livre quand même linformation quil me destine. Il me demande si la formation sest bien passée et quand je lui répond que tout cest bien passé, il me dit que les retours à mon sujet ne sont pas aussi positifs. Je métonne et il me dit que certaines de mes collègues mont désigné comme perturbatrices et non sérieuses. Ensuite, viens la litanie sur le sérieux de la société et le professionnalisme que chacun de nous doit avoir. Il ne dit rien des personnes qui mont attaqué mais cela mimporte peu finalement. Mon responsable, dans sa grande mansuétude, ne fera pas davertissement officiel mais il tient à mavertir quil ny aura pas de deuxième chance. Je lui demande de mexcuser et je dois partir pour aller chez mon médecin. Il me sort la petite blague pour finir : « Nallez pas vous jeter sous le train ! ».
Je pars et erre dans les rues jusque chez mon médecin qui me trouve une tension très basse et une mine de déterrée. Quand il me propose un arrêt, japprouve de suite et je me calfeutre chez moi, au fond de mon lit. Sophie me trouve inerte et me dorlote. Je suis resté dans cet état pendant plusieurs jours à dépérir. Le médecin se déplace et me prolonge mon arrêt. Sophie plaide pour moi au travail mais rien ny fait. Trois semaines plus tard, une inspectrice de la sécurité sociale passe pour vérifier mon état car mon patron a de sérieux doutes sur la véracité de mon arrêt. La vue de mon état a été bien plus efficace que toutes les paroles de Sophie pour me défendre. Elle a quand même demandé si je me droguais mais cétait juste pour vérifier. Je lui dis dappeler mon médecin directement sur mon fixe. Ce quelle fait pour vérifier si des tests de dépistage de drogue ont été pratiqués. Finalement, elle valide mon arrêt comme justifié. Je peux retourner dans mon mutisme et ma dépression.
2 mois et demi de coupure. Presque 90 jours depuis mon aventure et je commençais à revoir le jour. Sophie a toujours été à mes côtés. Je lui ai tout raconté et elle ma écouté avec attention. Elle ma toujours aidé. Elle ne ma jamais accusé, ni même rabaissé. Aujourdhui, je vois la fin de cette épreuve et je commence à réagir. Je recommence à manger, à sortir un peu, à rire. Chaque pas est un réel plaisir pour Sophie qui me motive pour quitter la boite car elle sattend à me revoir tomber au premier contact. Les informations quelle récolte incognito dans ce panier de crabes sont très négatives à mon sujet. Colette naurait rien à voir avec le rapport sur la semaine de formation. Sophie a des informateurs, ou plutôt des informatrices dignes de confiance qui laffirment. En gros, pas mal de personnes mattendent pour me descendre et se débarrasser de moi sous nimporte quel motif. Sophie refuse de me voir détruite par cette bande de cons ! Une semaine avant ma reprise, jenvoi ma lettre de démission. Curieusement, je prend ça comme une libération et mon état saméliore encore plus vite.
Mon aventure avec Tatiana ne seffacera jamais. Je ne regrette rien. Mon corps et mon esprit sont changés depuis ce jour. Je ne conçois plus le sexe avec un homme. Je suis lesbienne et fière de lêtre. Aujourdhui, je vis toujours avec Sophie dans notre petit appart à côté de Bordeaux. Une petite vie tranquille avec mon nouveau boulot dans une société de taille raisonnable loin, très loin des relations zoologiques entre gonzesses en mal de reconnaissance. Entre Sophie et moi, une grande amitié se met en place chaque jour. De petites attentions en petites attentions, notre relation sendurcie et devient de plus en plus forte.
Jour de septembre dans les sous-bois, en promenade en vélo, Sophie me dit quon est un vrai couple. Sur le coup, linformation passe mais le calme de ce sous-bois et la beauté des rayons du soleil qui se faufilent entre les branchages maide à confirmer le fait. Oui, nous sommes un couple. Un couple qui sentraide dans les coups durs. Pas de couple comme ce que jai pu vivre avec Tatiana avec le sexe en avant. Non, juste un couple de deux êtres saimant dans un respect et une écoute de lautre quasi infinie. Jattend la pose pour prendre la main de Sophie dans la mienne. Contact tout à fait anodin pour deux filles mais quand nos regards se croisent, aucun mot nest nécessaire. Mon cur fait un bon. Sophie me propose juste de rentrer.
Sur la route du retour, je suis heureuse. Nous discutons de lavenir. Sophie a envie de refaire lintérieur de lappart. Je lui propose de quitter Bordeaux. Lidée nest pas bête et Sophie construit déjà des scénarii pour la suite. Tout est possible maintenant quun équilibre est trouvé. Avec Sophie, nous nous aimons. Nous vivrons un maximum de temps, toute la vie si on peut car lune nest rien sans lautre. Sophie me la si souvent dit et je lai si souvent ignoré que je lui dois une reconnaissance éternelle pour cette patience. Très loin des scènes torrides vécues avec Tatiana, je ne pense pas à cela avec Sophie. Cest beaucoup plus beau et je crois que ce serait détruire une pensée pure que de mélanger du sexe comme celui que jai vécu. Sur mon vélo, je ne me pose aucune question sur les désirs de Sophie. Je laisse venir. Je me surprend même à être aussi philosophe sur la vie. Moi qui avait une attitude directive sur ma vie, mes envies et mon futur, me voici profitant du moindre moment pour être heureuse.
Arrivées à la voiture, les vélos accrochés. La route ensoleillée nous sourit avec une franche certitude davoir un avenir tout rose devant nous. Rose comme deux femmes saimant dun amour profond. Sophie ma accompagné et ma assisté lors de mon aventure avec Tatiana. Aucune colère de sa part, juste une profonde compassion pour moi et un support dune femme avec toute la sensibilité possible par la gente féminine. La route se déroule devant nous et nous parlons de tout et de rien. Deux copines dans une voiture, sans plus !
Nous arrivons à lappart, nous rangeons les vélos et nous entrons chez nous. Enfin dans notre intimité ! Un désir monte en moi mais je nose prendre les devants avec Sophie. Jai peur que cela brise ma relation avec elle et que ma folie passée ne recommence. Sophie me propose daller me laver en première. Une bonne douche me permet de retrouver un calme tout relatif. Ma tête est prise entre le désir dêtre beaucoup plus intime avec Sophie et le plaisir de faire partie dun ensemble solide comme un roc de cristal, fragile et dur à la fois. Sophie entre dans la salle de bain et se déshabille sans gêne. Comme dhabitude mais je dois me forcer pour ne pas la regarder. Sans sinquiéter de moi, Sophie ouvre la porte de douche et entre avec moi sous le jet deau.
La cabine est petite et nos corps se touchent. Sophie à la même taille que moi et elle membrasse doucement sur la bouche. Elle me murmure quelle attend ça depuis une éternité. Je lui rend son baiser et nos langues se rencontrent dans un mouvement langoureux et presque électrique tellement tout mon être réagi de ce jeu de langues. Leau nous coule dessus et Sophie se presse de plus en plus contre moi. Sa poitrine se colle à la mienne et notre baiser devient de plus en plus fort. Des « Je taime » fusent et ponctuent notre corps à corps. Nous nous frottons et je me colle le dos contre la paroi de la cabine. Nos mains se promènent sur nos bras et nos hanches, le cou et notre buste. Tout est purement sensuel et leau chaude qui nous coure dessus créé des bruits de succion entre nos seins et notre ventre. Ces bruits nous font rire et le rire nous aide à accepter cette scène partagée dans cet espace extrêmement réduit.
Je prend la savonnette et je commence à la passer sur les épaules de Sophie. Le savon glisse et ça me donne une excuse pour parcourir le corps de Sophie. Je glisse sur sa poitrine et tourne autour de chacune de ses belles mamelles. Elle me tourne le dos et je le lui frotte avec douceur en descendant vers ses fesses. Je me met à genoux et passe la savonnette le long de ses jambes. En remontant entre ses cuisses, je nose aller trop haut pour ne pas prendre le risque de devenir obscène. Sophie écarte les cuisses en mettant une jambe sur le bord du bac de douche. Entre les flux deau coulant sur ses reins, japerçois son sexe pour la première fois. Comme un fruit trop mûr, gonflé et rose avec sûrement quelques poils blonds comme les cheveux de ma belle. Jai envie de lembrasser mais je résiste. Sophie me demande si ça me dérange de la nettoyer complètement. Je lui répond que jai peur dêtre trop
directe. Sophie ne se vexe pas et passe sa main dans sa fente pour louvrir et la laver avec leau chaude qui lui glisse dessus. Je regarde les doigts glisser sur son sexe pour le nettoyer. Rapidement, Sophie mautorise a lui faire ce que je veux car elle mattend avec impatience depuis trop longtemps. Je franchi la petite chute deau chaude et dépose au jugé un baiser sur sa vulve libérée de sa main. Sophie se cambre en poussant un gémissement bruyant. En apnée, jembrasse son sexe en enfonçant mon visage entre ses fesses. Ma langue fouille et joue avec les lèvres. Je glisse sur larrière de son sexe et je lui lèche aussi son anus. La pointe de ma langue glisse de son sexe jusquà ses reins en maintenant la pression.
Sophie se retourne et maide à me relever. Elle membrasse à pleine bouche en mettant ses mains sur mes fesses pour me caresser. Je lui rend ses caresses et le bruit de succion recommence entre nos poitrines. Sophie sécarte légèrement et se penche pour mattr un téton en bouche. Jai limpression que mon sein est gonflé tellement le désir ma envahi. La langue de Sophie est habile et elle me procure dénorme plaisir. Elle me lèche et me suce les tétons. Je vibre totalement et mon sexe doit être une vraie fontaine. Sophie att aussi la savonnette et la passe sur moi. Rapidement, elle descend sur mon ventre et se met à genoux. Elle matt les fesses et pose sa joue sur ma toison. Elle me fait un câlin sur mon bas ventre. Je lui dis quelle nest pas obligée mais elle glisse sa main entre mes jambes et se faufile entre mes lèvres pour placer ses doigts en moi. La chaleur de sa main et la pression sur mes chairs môte un cri de plaisir. Je me surprend moi-même de ce cri et je rigole de ma réaction. Sophie rit aussi et continu de me caresser avec son pouce qui mécrase le clitoris. Mes mains se posent sur sa tête trempée et je la caresse doucement.
Finalement, Sophie se relève et me propose de sortir de ce petit réduit pour aller dans le lit. Nous coupons leau et sortons de la douche pour nous essuyer rapidement. Nues toutes les deux, nous allons dans sa chambre et nous nous glissons dans les draps. Chacune glissa la cuisse de lautre entre les jambes et nous nous sommes embrassées très longtemps en nous frottant le sexe contre la jambe. Lenteur et délice sensuelle nous accompagnent tout au long de ce moment dune grande tendresse. Sophie commence à membrasser dans le cou, puis elle descend sur mes épaules et mes seins. Elle ne sarrête pas et glisse ses baisers sur mon ventre. Les draps se lève et elle descend toujours plus bas en passant sur ma toison, mes jambes et mes pieds. Ensuite, elle commence une remontée sur les mollets et je sens sa langue qui trace un sillon à lintérieur de ma cuisse pour atteindre mon sexe. Mes jambes sécartent naturellement pour laisser accès à mon trésor. Sophie me prend en bouche directement et elle laisse sa langue titiller les zones sensibles. Ma respiration semballe et je veux moi aussi échanger avec Sophie ces caresses.
Les draps sont jetés sur le côtés et nous nous allongeons tête-bêche. Allongée sur le côté droit avec ma jambe gauche relevée, joffre à Sophie mon sexe. Elle en fait autant en moffrant le sien. La tête posée sur la cuisse, nous jouons avec nos sexes et rapidement, la fièvre du plaisir nous emporte et les baisers se font plus intenses. Les électrisations me poussent à un niveau dexcitation extrême et je dois maccrocher aux fesses de Sophie pour ne pas perdre pied. Ma langue se promène sur toute la fente de Sophie et dès que je la sens semporter, je lui enfonce deux doigts dans son vagin tout en lui léchant le clito. Sophie déclenche en moi une avalanche de plaisirs et nous nous rejoignons dans un orgasme commun. Nos cris se mêlent dans un concert désordonné et nous sommes toutes les deux en transe. Nos gestes se font imprécis. Nos corps sont agités de soubresauts à cause des spasmes et de la sensibilisation extrêmes de nos sexes. Ce double orgasme nous fait rire et nous rions de bon cur.
Combien de fois ? Je ne sais plus mais nous avons passé notre week-end et tous les jours suivants dans un état très érotique. Sans pour autant devenir des bêtes de sexe, nous étions dans une unité merveilleuse. Encore aujourdhui, nous ne pouvons pas nous passer lune de lautre et il nest pas rare davoir une dizaine de mails par jour, sans compter les textos. Un mail juste pour dire, en code que nous nous aimons. Oui, en code et nous nous amusons à lutiliser. Cela nous permet de vivre notre amour en cachette sans que cela puisse nuire à notre vie sociale.
Maintenant, si vous voyez, encore pour quelques mois, deux nanas dans Bordeaux avec le sourire rayonnant de la femme comblée, vous pourrez peut-être vous rappeler de nous deux. Cest effectivement peut-être deux lesbiennes qui aiment le sexe, qui aiment en parler, qui aiment le vivre mais qui aiment aussi le respect et la tranquilité.
Je ne vous lai pas dit
Je mappelle Evangéline. Sophie mappelle « Ange » car, pour elle, depuis quelle me connaît, je suis sa lumière. Drôle didée alors que pour moi, cest elle qui ma soutenu plus quà mon tour !
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