L'Artiste Est Mon Beauf

Là, échancre un peu plus ton col.
C’est sur ce souhait (presque un ordre) que je me rends compte de l’emprise que mon beau-frère a pris sur moi.
Mais il faut que je vous raconte comment on en est arrivés là, tous les deux.

Tout d’abord je me présente : je me prénomme Antigone, je vis en couple depuis plus de dix ans avec Charles et nous sommes relativement heureux dans notre vie sentimentale comme sexuelle, quoi que là il y ait à redire : les moments de sexe torride ont maintenant laissé place à une routine de plus en plus « pantouflarde ».
Ma sœur a épousé le frère de mon mari ce qui fait que nous formons une famille très unie  et repliée sur elle-même.
Ma sœur me fait des confidences sur mon beau frère comme moi je peux lui faire des révélations sur le frère de son mari.
J’ignore si je suis d’une nature envieuse, mais tout ce que me raconte Brigitte (ma sœur) à propos de Roland (mon beauf) me laisse pour le moins songeuse et il m’arrive de me demande si je ne me suis pas trompée de frère. « L’herbe est toujours plus verte dans le pré du voisin »
J’ai déjà eu l’occasion de voir Roland en maillot de bain : il est musclé, a le corps assez harmonieux mais surtout a un système pileux très développé contrairement à Charles qui non content d’être presque glabre s’épile soigneusement et régulièrement.
Les deux frangins ont pas mal de différences : je viens d’évoquer le physique mais je pourrais également vous parler de leur vie professionnelle, de leur parcours ou de leurs hobbies.
Charles a un cabinet d’expertise comptable qui fonctionne très bien et a embauché Brigitte au début de ma relation avec lui qui allait devenir ma moitié, ma sœur venait d’obtenir son diplôme d’informaticienne
Moi qui de tous temps n’ai entretenu que de lointains rapports avec les chiffres je suis aujourd’hui comblée : c’est mon mari qui s’occupe des comptes à la maison et ma sœur est là pour me permettre d’éviter tout dérapage financier.

Il faut dire que ces deux là se sont bien trouvés et que Brigitte a rapidement grimpé les échelons pour se retrouver responsable informatique.
Quant à Roland il est plutôt de nature bohème, artiste.
Il passe son temps entre l’écriture de contes pour s qu’il illustre de photos ou de dessins.
Ces photos, qu’il prend, et qu’il retouche et truque comme il le veut aussi bien que les dessins qu’il fait lui-même, au fusain, à la sanguine, au crayon ou à la peinture lui prennent pas mal de temps.
Hier, Charles et Brigitte sont partis pour les Pays Bas pour un important colloque sur la comptabilité européenne, mon mari se devant d’être là-bas pour découvrir la nouvelle législation comptable quant à ma sœur, elle doit s’occuper de la partie technique

Ce qui fait qu’aujourd’hui nous sommes seuls, Roland et moi, nous venons de prendre un repas de midi particulièrement arrosé (deux apéritifs, une bouteille de vin à deux et un digestif). Moi qui ne boit jamais ou presque, là j’ai fait fort. Je me suis laissée entraîner par un Roland qui a su se montrer euphorique et boute en train moi qui suis « sage » en général j’ai laissé tomber les barrières des convenances. Peut-être est-ce dû au fait de savoir mon époux et ma sœur partis ensemble.
De ce fait, Roland s’est retrouvé avec son bloc à dessin, ses fusains et m’a proposé de faire mon portrait.
Comme je ne suis pas sans ignorer qu’il a un sacré coup de crayon et qu’il m’a proposé de faire un dessin de moi pour offrir à Charles je n’ai pas tardé à accepter. Nous avons donc mangé et (bien) bu et voici qu’en ce début de cette chaude après-midi nous nous installons dans la véranda.
Je suis habillée en raison de la moite lourdeur d’une jupette de tennis noire et un corsage mi-transparent dans les tons beiges par-dessus mon bikini, quant à lui, Roland ne porte qu’un maillot de bain.
J’ai défait un bouton de mon col quand arrive cette phrase :
Là, échancre un peu plus ton col.

Tout d’abord surprise je le regarde et il insiste en m’expliquant que non seulement le dessin sera plus joli mais qu’en même temps il ne pense qu’à mon bien être par cette température. C’est vrai qu’il fait terriblement chaud et donc ma main ôte un bouton de plus.
Roland se lève et vient ouvrir mon chemisier lui-même, découvrant la naissance de mes seins.
Euh, ce n’est pas trop décolleté là ?
Mais non, mais non. Et puis si tu ne trouves pas ça à ton goût on pourra toujours organiser une autre séance de pose.
Il regagne son tabouret d’artiste et se met en devoir de « me coucher sur le papier »
Rassurée par ses propos, après tout c’est lui l’artiste, je le laisse faire en pensant que moi j’ai le nez carrément sur ma poitrine mais je me donne bonne conscience en pensant que la perspective peut être tout autre selon l’endroit où on est placé.
Après un peu plus d’une grosse demi-heure (à moins qu’il ne s’agisse d’un petit trois quarts d’heure) mon beau-frère m’appelle pour me faire voir son œuvre ou plutôt devrais-je dire ses œuvres.
En effet, c’est bien moi. Je me reconnais bien avec ma chevelure à la lionne, hirsute, mon nez mutin, ma bouche que j’aurais souhaité avoir plus pulpeuse et même le décolleté qui ne paraît pas outrancier, même s’il est assez prononcé. Non, en revanche je reste bouche bée devant l’autre esquisse : toujours la même chevelure, les mêmes traits mais là je suis seins nus !
Roland me regarde avec un petit sourire.
Est-ce que ça te plaît ?
Bah, à franchement parler, le premier me plaît bien mais pour l’autre…
Quoi ? Je n’ai fait qu’imaginer tes seins, j’espère que tu ne m’en veux pas.
Si encore c’étaient bien mes seins mais là même pas. Tu les as fantasmés. En réalité ils sont plus lourds et avec une aréole plus large et beaucoup plus sombre.
Mais pourquoi vais-je lui raconter ça ? Ce doit être l’effet de la boisson.
Ah, j’ai eu peur que tu ne sois fâchée. s’exclame Roland, te représenter avec tes atours dévoilés m’a fait quelque chose
En effet, quand il se lève j’ai droit à un spectacle édifiant : mon beau-frère bande, et il bande pour moi !
Il s’approche de moi, me fait me lever et achève de déboutonner mon haut.

Qu’est ce que tu fais ? arrivé-je à déglutir péniblement.
Je vais les représenter tels qu’ils sont et non plus tels que je les imagine.
En disant cela, il m’a enlevé mon chemisier et s’attaque maintenant à la simple cocarde qui ferme par devant le haut de mon bikini. Ce qui fait que ma poitrine lui apparaît dans toute sa splendeur. Je fais du 95D et ils n’ont plus le maintien de ma prime jeunesse, ils tombent légèrement, l’aréole en est très étendue et comble de malheur mes tétons pointent à m’en faire mal.
Eh bien, je me rends compte que je ne suis pas le seul à bander, s’exclame Roland.
Je suis très sensible des seins et j’avoue que là je suis troublée à un point dingue. D’ailleurs je laisse échapper un petit gémissement quand mon beau-frère effleure la pointe turgescente de mon sein droit.
Tout va très vite, conscient de l’effet qu’il me fait, il commence à me masser la poitrine.
Je défaille et il a tôt fait de poser ses lèvres sur les miennes, je tente bien de résister mais ses caresses continuant j’ouvre la bouche et nos langues se rencontrent, virevoltent et se mêlent en un baiser qui me semble durer indéfiniment.
Soudain je sens sa main qui dégrafe ma jupette puis qui tire sur un des lacets fermant ma culotte de maillot de bain.
Je me retrouve nue devant lui. Toujours occupés à nous sucer la langue je prends conscience qu’il me met la main sur son sexe et que par conséquent lui aussi est à poil.
Mes doigts ont du mal à encercler sa queue. Je mets provisoirement fin à notre baiser et regarde vers son entrejambes : là je suis surprise car ce que m’avait laissé entendre Brigitte se révèle bien au dessous de la vérité : sa queue est monstrueuse.
Elle est plus courte que celle de Charles mais incroyablement plus épaisse



Suite à venir

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