Mise A L'Eau
Jétais un petit peu novice en la matière. Et je ne savais que peu de choses sur ce que les femmes avaient derrière la tête. Non pas que je navais jamais fait lamour à une femme. Ça métait déjà arrivé quelques trop rares fois, mais jétais juste moins mature. Jamais je naurais pensé que lhistoire que je vais vous raconter pouvait marriver.
Cétait au mois daoût, dans une station balnéaire très connue de la côte atlantique. Il faisait très chaud cet été-là. Deux amies que je connaissais depuis le lycée attendaient mon arrivée. En effet, elles louaient un studio durant le mois daoût et on se relayait pour occuper le logement entre copains en fonction de nos calendriers respectifs. Une semaine pour certains, un week-end pour dautres, etc. En ce qui me concerne jarrivais de quelques jours chez mes grands-parents, plein de dynamisme. Jétais prêt à tout pour passer de vraies vacances de djeunz. Chose qui mavait été difficile chez mes grands-parents où les vacances étaient, disons, plutôt « diplomatiques ».
Enfin jarrivai et je fus accueilli à bras ouverts par mes deux amies Céline et Carole qui étaient là depuis plus dune semaine déjà. Elles venaient de passer la semaine avec la sur de lune des deux et son petit ami. La sur et son compagnon étaient déjà rentrés depuis trois jours sur Paris quand jarrivai. Entre mes deux hôtesses et moi, jusquà présent, il ny avait que des rapports strictement amicaux. Jamais il ny avait eu jusqualors de quelconques avances faites ni de ma part, ni de la leur. Cétait une vraie franche et pure amitié.
À mon arrivée, une mauvaise surprise mattendait. Lambiance était quelque peu morose. Les vacances tournaient mal, car elles sétaient disputées et se tiraient la tronche. En bref, javais limpression darriver comme un cheveu sur la soupe. Entre elles, il y avait une sorte de rivalité. Une histoire de jalousie au sujet dun garçon, un play-boy des plages qui avait semé la zizanie dans leur duo la semaine davant.
Voyant en ma présence et en mon arrivée un espoir de vent frais dans lappart, aucune des deux ne se décida à partir, ne voulant pas me laisser seul et gâcher mes vacances. Jimagine aussi quelles pensaient que je leur apporterais peut-être une bouffée de bonne humeur, leur permettant déviter de trop se côtoyer lune lautre. Autant dire que la pression était sur mes épaules et je mefforçai durant le début de mon séjour de maintenir une meilleure humeur que celle qui planait à mon arrivée. Ne voulant pas accen cette mauvaise ambiance, jai fait de mon mieux pour essayer de faire revenir la gaieté sur leurs visages. Toutefois, comme jétais gonflé à bloc et que jétais venu pour mamuser, ce ne fut pas trop difficile.
Nous passions nos journées à nous promener, à nous prélasser à la plage, à manger des glaces ou à boire des pots aux bars, et même à sortir en boîte le soir. Je maperçus vite quelles étaient bien contentes de ma présence, car en mattendant elles nosaient pas trop sortir toutes seules. Deux jeunes filles en boîte, sans chaperon
Elles étaient effrayées par lidée de se faire aborder par de louches et lourds inconnus.
Je ne sais plus si cest le deuxième ou le troisième jour après mon arrivée que laction débuta réellement. Action que tu attends avec impatience, lecteur et pour laquelle tu lis ces quelques lignes.
Un lendemain de sortie en boîte, nous étions restés au lit très tard. Joccupais seul létage dun lit superposé situé dans lentrée du mini studio où nous logions. Mes deux amies, elles, préféraient dormir ensemble dans un lit à deux places dans la pièce principale. Cétait un arrangement quelles avaient convenu avant mon arrivée, afin déviter une mixité nocturne et ainsi préserver leur « pudeur » féminine.
Ce matin-là - après notre grasse matinée - et comme ça marrive souvent en vacances quand je suis le premier levé, jai commencé à mamuser à réveiller les filles avec le flash de mon appareil photo. Une mauvaise habitude qui ne fait rire que moi. Daccord, ça fait potache, mais le tout savère en général comme étant très amusant. Et leffet est double : lair ahuri des personnes prises au réveil et immortalisée sur la pellicule constitue un souvenir très drôle, et un réveil énergique grâce au flash permet une matinée dynamique. Cest ce que je fis ce matin-là. Jarrivai en catimini dans le séjour où elles dormaient pour les prendre en photo.
La chaleur de la nuit avait fait que les draps avaient glissé vers le bas du lit et que je pouvais voir comment elles sétaient habillées pour dormir. La première, Céline, était vêtue dune sorte de pyjama qui pouvait ressembler à un pyjama dhomme à lancienne. Un pyjama à rayures bleues et blanches composé dune chemise et dun pantalon. Elle était très sexy dedans étant donné que la chemise du pyjama nétait tenue devant que par un seul bouton. Juste celui qui suffisait à cacher sa poitrine à mon regard. Lautre jeune et magnifique femme, Carole, portait une sorte de longue robe de nuit qui tenait du croisement entre une liquette et un long tee-shirt coloré. Lavantage de sa tenue, est quelle laissait apercevoir ses longues et magnifiques jambes.
Flash ! Flash !
Les premières photos étaient faites. Elles se réveillèrent avec une colère feinte qui débuta par une rapide vengeance au moyen de coups doreillers sur ma pauvre tête. Je pus ainsi sauter sur le lit afin de rendre les coups en leur arrachant leur traversin.
Ah ! Jai toujours voulu me retrouver dans un lit avec deux charmantes filles !
Cest bien un fantasme de macho ça ! me répondit Céline.
Tiens, je vais prendre ce grand moment en photo, cest loccasion dimmortaliser un événement qui ne se reproduira peut-être pas, annonçai-je.
Je serrai mes deux amies entre mes bras pour les rapprocher et je tendis lappareil photo à bout de bras afin de prendre le cliché.
Flash !
Ça ne fait pas réaliste, fit Carole amusée. Si cest pour te vanter plus tard, rien ne prouvera sur cette photo que tu as couché avec nous. Nous sommes tous habillés.
Tu as raison. Peut-être devrions-nous reprendre cette photo sous les draps. Seules nos têtes sortiront de la couette .
Pff ! Cest ridicule, répliqua Carole en marrachant lappareil des mains. Tu vas voir ! Enlève ton tee-shirt, me dit-elle. Et toi, Céline, enlève ton haut de pyjama. Tu te colleras à lui et on ne verra pas tes seins à limage, mais on croira que vous êtes nus tous les deux et que vous venez de faire lamour.
Jhallucinais. Je venais de basculer dans la quatrième dimension.
Je fus tout de même pris par le jeu. Mais je trouvais curieux que lidée vienne de lune des filles. Cette petite mise en scène mamusait et la situation commençait aussi à mémoustiller car Céline, habituellement pudique, glissa sous les draps pour enlever son haut. Je nen revenais pas ! Elle acceptait de se prêter au jeu. Jenlevai mon tee-shirt, dévoilant mon torse légèrement velu.
Voilà, cest bien, dit Carole.
Flash !
Oui, mais dis-moi, fit Céline toujours contre moi. Je suis sur la photo mais toi tu ny es pas. Ça ne prouve toujours pas quil ait couché avec nous deux en même temps.
Eh non, cest vrai, ajoutai-je de plus en plus amusé par la situation .
Daccord, répondit Carole. Je vais faire comme toi Céline.
Elle lui jeta lappareil photo et se glissa sous les draps. Dun geste réflexe, Céline attrapa lappareil, ce qui me permit enfin de voir furtivement et pour la première fois de ma vie ses deux superbes seins qui bien que menus étaient magnifiques. Ses deux tétons pointaient légèrement. Puis Céline sécarta de moi en se cachant les seins sommairement. Elle se mit en position de prise de vue. Un bras en travers de la poitrine et lautre tenant lappareil. Pendant ce temps, sous les draps, Carole avait enlevé sa chemise de nuit. Et, comme son amie peu de temps avant, elle se glissa contre moi. Comme pour Céline, je pouvais sentir sa poitrine contre mon torse. En la serrant à la taille, sous les draps, mes doigts glissèrent sur ses fesses et je maperçus ainsi quelle était entièrement nue. Elle dut sentir mon étonnement car elle me dit :
Eh oui, quoi ! Je suis complètement à poil. Ça te gêne ? Tu dors avec un slip, toi, sous ton pyjama ? Mais, attention nen profite pas ! Hein ?
Je lui souris. Pendant ce temps-là Céline, debout sur le lit, seulement vêtue de son pantalon de pyjama, visait pour nous prendre en photo.
Tinquiète pas Carole, dit-elle en riant. On ne verra rien du tout de ton intimité sur la photo, je contrôle, dit-elle dun air taquin.
Car, avec son pied, elle tira brusquement le drap vers le bas du lit. En un éclair, je pus voir défiler le drap sur le corps à la ligne harmonieuse et sur les fesses galbées de Carole.
Oh ! Lautre ! répliqua-t-elle avec un sursaut faussement gêné.
Ne tinquiète pas, si tu te mets de profil et que tu te colles bien à lui, on ne verra rien de compromettant sur la photo. Mais là, on ne pourra pas dire que la photo nest pas réaliste.
Carole se colla à moi à ma gauche et passa sa jambe sur mon bas-ventre. Sachant son pubis collé contre mon caleçon et tout son corps pressé contre moi, je ne contrôlais plus mon excitation. Mon membre commençait à durcir fortement. Jespérais quelle ne sen apercevrait pas bien que sa cuisse fut posée sur mon sexe. Peine perdue, car Carole me souffla à loreille en souriant :
Jai limpression que je te fais de leffet.
Embarrassé, je ne pus que lui répondre par un sourire.
Flash !
La photo avait été prise. Je fis signe à Céline de nous rejoindre. Décomplexée par ce petit jeu, elle ne me cachait plus ses seins.
Maintenant, il me faut une photo avec toutes les deux.
Céline sallongea à côté de moi à lopposé de Carole qui était toujours nue. Celle-ci aussi, oubliant visiblement quelle était nue, prenait ses aises et perdait toute pudeur inutile. Elle ne me cachait rien. Ni ses seins, ni sa flamboyante toison pubienne. Javais presque une fille nue à chaque bras. Une aventure inespérée, jétais aux anges. Céline tendit le bras vers le ciel, lobjectif tourné vers nous pour prendre une photo générale de nous trois.
Flash !
Jai une idée ! sécria Carole en arrachant lappareil des mains de Céline. Enlève ton bas de pyjama toi aussi. On va faire une série de photos
disons, un peu plus hot ! nous annonça-t-elle en riant.
Comment ça ? demanda Céline.
On va faire semblant que vous faites lamour devant lobjectif.
Carole se leva sur le lit avec lappareil entre les mains. Définitivement, elle avait oublié toute pudeur et quelle offrait son corps pulpeux au regard de deux autres personnes de la pièce. Cétait une très belle rousse tachetée de grains de beauté. Elle était assez ronde au seins lourds, aux fesses galbées mais au ventre plat.
Céline hésita à exécuter la proposition de son amie. Elle me regarda avec une grosse indécision visible dans les yeux. Je lui souriais.
Ça peut être drôle, lui dis-je lair de rien.
Elle se glissa alors sous les draps comme tout à lheure. Elle enleva son pantalon de pyjama et sortit de sous les draps en se glissant à plat ventre sur le lit, pour nous cacher son sexe. Je remarquai tout de même quelle avait de magnifiques petites fesses.
Assis-toi sur son ventre, Céline. Tu seras dos à lappareil, on ne verra rien sur la photo et on croira que tu le chevauches, expliqua Carole qui prenait en main les opérations.
Elle sapprocha et sinstalla sur le haut de mes cuisses. Je ne sais pas si elle avait vu mon érection sous mon caleçon. En tout cas, elle ne me fit aucun commentaire. Jétais allongé et javais une très belle fille châtain aux yeux dun bleu intense au-dessus de moi. Je la voyais avec un nouvel il. Elle ne mavait jamais fait cet effet-là jusquà présent. Je la regardais de haut en bas, son visage, son cou, ses seins, ses hanches et enfin la fine touffe clairsemée de son sexe. Elle était vraiment très jolie.
Mais je vis quelle était gênée par mon regard panoramique. Jimagine quelle se demandait quand Carole allait se décider à prendre cette photo. Je lui souris, timidement pour la rassurer. Elle me rendit mon sourire.
Tu es très jolie, dis-je.
Je me retenais comme je pouvais de ne pas la caresser, la prendre et lembrasser. Mais lenvie était très forte. Au lieu de ça, je me contentais de laisser bien sagement mes mains sur ses épaules, prenant la pose.
Ah ! Ça ne va pas ! sécria Carole. On voit ton caleçon sur les côtés. Ça fait faux ! Vire-le, sil te plaît.
Cest là que je sentis que la séance photo dérapait vers lincontournable. Je jetai un coup dil à Carole toujours debout sur le lit, lappareil dans les mains. Elle sacharnait à essayer de mettre au point, avec sa mine sérieuse et la langue tirée sur le côté. Mais je pus rapidement distinguer que son joli sexe était gonflé et humide. De toute évidence, la situation lexcitait autant que moi.
Alors, ça vient ? demanda-elle.
Je jetai un coup dil à Céline, toujours assise sur mes cuisses. Elle me sourit timidement et se souleva légèrement. Jattrapai mon caleçon et le fis glisser le long de mes jambes. Céline maida à lenlever complètement. Elle vit alors létat de mon pénis. Haussa un sourcil et madressa un clin dil suivi dun sourire complice. Sa timidité senvolait ? Mais elle ne dit rien. Elle se remit en position sur le haut de mes cuisses de manière à ne pas entrer en contact avec mon vit. Elle se tenait à seulement quelques centimètres de ma verge turgescente. Jétais fou de désir.
Flash !
Attendez, encore une de profil, annonça Carole en se déplaçant sur le côté du lit.
Par réflexe, Céline se pencha et se colla contre moi. Elle ne voulait pas que nos sexes apparaissent sur la photo. Elle avait son nombril directement en contact avec mon sexe tendu. Je sentais très nettement le grain de sa peau contre mon gland bouillant. Je crus que jallais exploser tellement je narrivais plus à contenir mon excitation.
Cest bien, annonça Carole à côté. Céline, toutefois, si tu pouvais remonter un peu plus ton corps, ta position nest pas très crédible.
Céline sexécuta et on se retrouva presque lèvre contre lèvre, sein contre sein, sexe contre sexe.
Plus de conviction sil vous plaît, demanda Carole.
Je sentais ses poils pubiens frotter contre mon gland. Je pouvais sentir que la toison de Céline était humide. Sa cyprine suintait sur moi. Elle me regardait droit dans les yeux. Nos lèvres se frôlèrent. Je métais trop longtemps retenu. Je nen pouvais plus. Cétait trop de pression pour moi.
Flash !
Jattrapai Céline par les fesses et la guidai vers mon sexe en érection. Je me glissai à lintérieur de sa vulve trempée comme dans du beurre. Céline poussa un petit cri presque inaudible, mais nopposa aucune résistance.
Flash !
Au contraire, elle commença delle-même à effec des petits mouvements de va-et-vient. Elle me regardait droit dans les yeux en souriant.
Flash !
Voilà qui est très bien ! sécria Carole. Là ça fait réaliste.
Céline commençait à haleter. Ses tétons hérissés glissaient contre mon torse. Je sentais son clitoris frotter contre mon bas-ventre et sa paroi vaginale contre mon membre.
Flash !
Carole continuait à prendre des photos. Ce nétait pas possible quelle ne se rende compte de rien. Je suis sûr que maintenant tout apparaissait sur les photos. Que lon pouvait y voir, de la poitrine de Céline à mon sexe aller et venir dans celui de Céline.
Je me tournai vers Carole pour voir comment elle réagissait. Le flash crépitait toujours. Mais elle prenait les photos au jugé. Elle madressa un large sourire. Elle tenait lappareil dune main et se caressait le sexe de lautre.
Elle lâcha ensuite lappareil et approcha son visage de moi. Cest alors quelle membrassa à pleine bouche. Nos deux langues se mélangeant langoureusement. Pendant ce temps, Céline se redressa à cheval et accéléra ses va-et-vient. Elle gémissait les yeux fermés, emportée dans son mouvement.
Carole sagenouilla sur le lit et enjamba mon visage, me présentant sa vulve naturellement lubrifiée. Je la pris à pleine bouche, fourrant ma langue dans ses moindres replis, léchant ses lèvres, mattardant sur son clitoris. Le fantasme dont je parlais en plaisantant au début de cette matinée était en train dêtre réalisé. Je couchais avec deux filles en même temps. Jen étais tellement stupéfait que jen oubliai de mabandonner.
Pendant que Céline sexcitait sur mon ventre comme une folle, Carole se caressait les seins, ondulant son corps sensuellement, les yeux fermés alors que je faisais rouler son clitoris entre mes lèvres. Céline quant à elle adaptait le rythme de ses mouvements sur mon phallus à son propre plaisir. Elle accélérait le mouvement de son bassin tout en labourant mes cuisses avec ses ongles. Ses seins tressautaient tandis quelle criait de plaisir. Puis, son rythme se fit beaucoup plus lent, elle venait de jouir. Elle se retira.
Jen profitai pour prendre les choses en main. Jattrapai Carole, me retournai et la mis sur le dos. Nayant pas joui, mon sexe était encore tout dur et brûlant. Je pénétrai sans peine le vagin de Carole qui avait grand ouvert ses cuisses pour maccueillir.
Je me mis à prendre mon désir en main. Je me mis à pomper Carole comme un dératé. Visiblement elle prenait du plaisir, car sa respiration se faisait de plus en plus forte et ponctuait chaque aller-retour par des cris marqués. Pendant ce temps, sur le côté du lit, Céline reprenait son souffle en nous caressant et en nous embrassant sur tout le corps.
Elle nous regardait faire avec un grand sourire aux lèvres. Satisfaite. Quant à moi, jétais absorbé par le visage de Carole qui prenait du plaisir sous moi. Le mien montait de plus en plus aussi. Je nallais plus pouvoir me retenir.
Flash ! Flash !
Céline avait pris lappareil photo et mitraillait. Je nen pouvais plus et je me mis à gémir. Tout de suite accompagné par Carole, ce qui me rassura. Nous gémissions en cur. Et, enfin je jouis intensément. Jéjaculai au plus profond du sexe de Carole. Repu, je restai un peu immobile tout contre elle. Pendant quelques secondes, nous sommes restés là tous les trois, enlacés. Puis je me retirai de Carole, mon pénis pantelant, laissant une filet de sperme sétirant entre nos deux sexes.
Eh bien si javais su ça plus tôt, nous dit Céline, je taurais sauté dessus tout de suite.
Tu nes pas un mauvais amant, confirma Carole.
Jétais aux anges. Je planais littéralement. Je narrivais pas à me rendre compte de ce qui venait de marriver. Je pus tout de même dire quelques mots :
Jespère quon ne sarrêtera pas à ça.
Il manquerait plus que ça, me dit amusée Carole. Il nous reste environ cinq jours de vacances avant que les autres arrivent, je te rappelle. Et je compte bien en profiter.
Comme quoi, ajouta Céline en désignant lappareil photo, il suffit dun rien pour débloquer nos inhibitions.
Il se faisait tard, nous avions faim. Nous décidâmes de préparer le déjeuner. Débloqués, comme lavait dit si bien Céline, le déjeuner se prolongea par dautres jeux de séduction, par des caresses et nous reprîmes nos ébats durant presque tout le reste de la journée.
Nous ne sommes sortis de lappartement que tard dans laprès-midi pour faire un tour sur la plage et prendre un bain de mer. Il me semblait que le visage de mes vacances avait radicalement changé. Ça se voyait aussi dans lattitude des deux filles. Elles étaient de nouveau de bonne humeur, elle ne se boudaient plus. Elles rayonnaient même.
Nos ébats ne cessèrent pas dès ce jour. Et, je me sentis comme un roi durant le reste du temps que nous passâmes au bord de la mer
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!