Nos Petits Cousins En Pension
Cette année nous avons proposé de garder Margot et Jérémie, jeunes cousin et cousine de ma femme, durant juillet et août.
Avec Sylvie nous sommes partis les chercher en région parisienne et les ramenons en voiture. Nous sommes daccord pour nous amuser avec eux et les initier. Pour Jérémie, ce ne sera pas un problème vu la façon dont il regarde habituellement Sylvie, par contre Margot posera peut-être plus de difficultés.
Départ 23 heures. Dans la voiture, ma femme sinstalle à larrière avec son jeune cousin tandis que Margot me tient compagnie à lavant.
Dès lentrée sur lautoroute, nous nous arrêtons pour prendre une boisson. Celle de Margot est « arrangée ». Dix kilomètres plus loin elle dort. Ma femme ma informé que Jérémie avait déjà commencé à lui caresser les cuisses. En effet, tandis que sa sur dort innocemment à lavant, je vois dans le rétro le gamin collé contre Sylvie. Il lui caresse les seins et ma femme le laisse faire. Bientôt ils sembrassent sur la bouche et jentends les bruits humides de leur baiser. Jentends ma femme lui dire : « doucement, ne fais pas de bruit
». Comme si je ne savais pas quil pelotait ma femme. Je suis excité et je me branle en regardant le rétro. Je vois les cuisses nues de la jeune Margot. Elle dort profondément. Je les caresse et remonte sur elles. Quel dommage, elle est en short et jai du mal à aller très loin. Si seulement elle avait mis une petite robe dété. Tandis que je me bas avec la fermeture éclair du short, à larrière, Jérémie na pas ce problème. Ma femme est nue sous sa robe qui elle-même se boutonne ou plutôt se déboutonne sur le devant. Un coup dil rapide minforme dailleurs que la robe est ouverte et que le gamin embrasse le ventre de Sylvie et continue de descendre poussé par ma femme dont les doigts senfouissent dans ses cheveux. Jérémie est trop occupé avec ma femme pour voir ce que je fais avec sa sur. Son short est maintenant ouvert et ma main glisse sous son slip.
Jérémie a baisé ma femme. Entre Paris et Tours, ils nont pas arrêté. Il a fallu que je les prévienne que lon arrivait au péage pour quils se rhabillent.
Il y en a encore pour deux à trois heures de routes et excité comme je le suis, il nest pas question que je reprenne le volant. Sur laire de repos suivante, nous intervertissons les places. Ma femme conduira, Jérémie à ses côtés et Margot et moi irons à larrière. Jérémie se rend compte de la tenue de sa sur. « Mais Daniel quest-ce que tu lui a fais ? »
Il est mal placé pour me faire la leçon et je lui fais remarquer. Jaide Margot à passer à larrière. Elle dort à moitié et ne se rend compte de rien. On démarre. Je me penche sur Margot et lembrasse tendrement sur les lèvres. Elle sent bon, elle est douce, fraîche. Je sens que le trajet va me sembler bien court. Margot gémit, je soulève son teeshirt et Jérémie nen perd pas une miette. Il regarde les petits seins de sa sur et se touche en même temps. Margot se laisse embrasser et dans son demi sommeil semble y prendre plaisir. Encore vierge, je ne peux me permettre de la dépuceler sur le siège arrière mais il faut bien que je me soulage aussi je la couche sur la banquette et commence à promener mon gland sur la bouche. Jécarte ses lèvres. Je pousse pour introduire ma bite. Ca y est je peux limer dans sa bouche. Je sens sa petite langue vibrer sous ma queue. Je maintiens sa nuque fine dans ma main, elle mexcite, jaccélère, oui ! hummm jai giclé. Mon sperme coule des commissures de ses lèvres. Je lembrasse pour lui nettoyer ce sperme qui coule sur ses joues. Jérémie nen revient pas.
En effet, le lendemain je vois apparaitre Margot tout excitée. « Daniel, Jérémie vient de baisser mon short ! ».
Je mapproche delle et lui descends le short jusquà mi-cuisses. « comme ça ? ».
Interloquée elle balbutie « heu oui
»
« Et après il a baissé ta culotte comme ça ? »
Margot, le pubis à lair ne répond plus.
Japproche mon visage et embrasse son petit pubis. « et il a fait ça ? »
Margot tente de reculer mais mes mains lui tiennent solidement les fesses et je lembrasse plus loin sur sa petite fente.
Je lattire sur le canapé et lembrasse dans le cou. Je suis trop confiant et la petite en profite pour séchapper. Elle me regarde dun air de reproche et senfuit dans le jardin.
Le soir au dîner, Margot mévite mais elle doit également éviter son frère. Dun commun accord, Sylvie, ce soir, ira occuper Jérémie afin que je puisse prendre soin de Margot.
Le dîner terminé, ma femme prend son jeune cousin par la main et lentraîne dans notre chambre.
Je reste seul avec Margot devant la télé. Tendrement, patiemment, je lui explique que je suis allé trop loin mais quelle est si désirable que je ne peux mempêcher de penser à elle.
Je la compare à ma femme, je la flatte et doucement je me rapproche delle.
Jai enfin mon bras autour de ses épaules, une main sur son genoux et je me penche sur elle pour lembrasser dans le cou. Je continue à la flatter et Margot se détend.
Ma main est remontée en haut de sa cuisse et je lembrasse à la commissure de ses lèvres.
Je lui prends le menton et fais pivoter sa tête pour lembrasser sur la bouche. Doucement, longuement je lembrasse. Dabord sagement puis avec la langue. Margot est encore maladroite mais ne demande quà se perfectionner.
Sans cesser de lembrasser, je remonte ma main sous son maillot et emprisonne ses petits seins juvéniles. Elle me prend dans ses bras et se colle contre moi.
« Non, pas ça ! » me dit-elle.
« Jai envie de toi Margot »
« Oui, je sais, mais sois patient. Je te promets de faire lamour avec toi mais pas aujourdhui »
« Pourquoi ? »
« Tu sais bien... » Elle hésite « je ne peux pas
»
Je viens de comprendre. Bien que cela ne me gênerait pas, il est compréhensible quune jeune vierge répugne à se montrer dans ce moment peu engageant.
« Tu as mis un tampon ? »
« Oui. »
« Alors je vais tout de même pouvoir te caresser sans aller plus loin pour aujourdhui »
Margot me laisse faire. Et bientôt nous sommes nus sur le canapé. A me frotter sur elle ainsi je ne tarde pas à éjaculer sur son ventre. Je lui mets ses doigts dans le liquide visqueux et les lui fais lécher.
Elle me regarde effrontément. Je la saisis derrière la tête :
« Suce ! »
Elle hésite mais je ne cède pas et lui attire le visage contre ma queue.
Je lui réitère lordre : « suce Margot ! »
Elle sexécute et me nettoie consciencieusement la queue. La soirée sachève mais la nuit commence. Je lentraîne dans sa chambre où nous nous allongeons sur le lit. Je la quitte un instant. Quand je reviens, Margot constate que cest armé du caméscope que jinstalle sur son pied à côté du lit.
Elle rougit mais me laisse la rejoindre après avoir branché lappareil.
« Tu ne me pénètres pas Daniel ! »
« Non, juste ton petit cul
»
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