Wassila Et Salim 8Ème Partie. Krimo, Mon Maître
Wassila et Salim - 8ème partie.
Krimo,mon maître
Wassila mavait téléphoné quelques jours après laventure à lhôtel avec les trois hommes qui lavaient possédée et quelle navait pu voir. Ce coup de téléphone très étonnant de sa part, navait dautre but que de séclaircir les idées qui semblaient sentremêler dans sa tête : dun côté, elle était encore obsédée par toutes les belles sensations quelle avait ressenties, au cours de cette fameuse nuit à lhôtel. Au fond delle-même elle voulait revivre lexpérience pour encore avoir les mêmes sensations, quelle savait pourtant intimement liées à la nouveauté de la chose. Elle savait quune deuxième ou une troisième expérience nauront pas le même résultat sur le plaisir quelle espérait prendre.
Mais cest surtout une autre obsession qui lhabitait : elle se rappelait Krimo, le patron de lhôtel-restaurant qui lavait charmée et dont Salim lui avait vanté la virilité et lendurance. Même quand elle faisait lamour avec son mari et quil la faisait grimper aux rideaux, elle pensait à lui et limaginait sur elle, à la place de Salim. Elle nen avait rien dit à son mari, parce quelle voulait être, pour une fois, la seule maîtresse doeuvre dune nouvelle expérience érotique. Elle venait de décider de se libérer du « mentoring » de Salim et prendre, seule, ses décisions. Elle lui en parlerait bien entendu, une fois laventure terminée, ou même pendant, si elle dure plus dune journée.
Je ne fis quécouter ce quelle disait, sans rien dire qui puisse la détourner de son nouvel objectif ou qui lencourage à foncer tête baissée. En ma qualité de chroniqueur, je me devais de rester neutre. Je murmurai donc des oui et des non, ou produisis des sons sans signification particulière, qui nengageaient à rien, et la laissai prendre sa décision toute seule. Ce quelle fit dailleurs très bien. Son coup de fil, mavoua-t-elle plus tard, quand elle me raconta toute lhistoire, navait dautre but que séclaircir les idées.
Voila donc toute lhistoire, telle que Wassila me la raconta environ deux semaines plus tard.
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Pendant une quinzaine de jours après laventure de la chambre dhôtel, Salim et moi avions gardé le souvenir du plaisir que nous avions pris et de la répercussion heureuse quelle avait eue sur notre couple. Pendant cette quinzaine nos étreintes quotidiennes étaient sous influence: celle du souvenir des trois inconnus qui mavaient tirée dans une chambre dhôtel, alors que jétais dans limpossibilité de les voir. A chaque fois quil me faisait lamour, Salim revoyait en pensée la scène des trois hommes me tirant sans ménagement et devenait fou de désir. Moi aussi je me remémorais toutes les sensations que javais eues et je cherchais à les revivre avec mon mari.
Mais de plus en plus, sinsinuait en moi lidée de recommencer. Non pas avec les mêmes hommes, ni de la même manière. Je savais que plus jamais, même en revivant la même chose, je naurais le même type de sensations. Ce qui mavait emmené dans le plaisir et lextase, cétait avant tout le mystère, la nouveauté et linconnu. En recommençant la même chose, il ny aurait plus de situation nouvelle, ni donc de mystère. Ce sera du réchauffé et le réchauffé est lennemi du plaisir. Ce que javais en tête et qui devenait de plus en plus obsédant, cétait limage de Krimo, le patron de lhôtel-restaurant, que javais gardée profondément enfouie en moi.
Je revoyais cet homme grand, mince, osseux (un faux maigre) avec des épaules larges, un visage aux traits anguleux, avec une fine moustache noire qui me rappelait les mauvais garçons des films de gangsters en noir et blanc des années cinquante. Et surtout, je revoyais en imagination, cette immense bouche de prédateur, prête à croquer tout ce quelle pouvait saisir. Je me rappelais aussi, ce quen disais Salim, quand il voulait le mettre dans mon lit, en prétendant quil avait un zob immense et quil était insatiable en amour.
Au fur et à mesure que le temps passait, cette image de Krimo entrain de me tirer plusieurs fois de suite, en me faisant monter chaque fois au septième ciel, ne quittait plus mon esprit. Pendant longtemps je nen avais rien dit à Salim. Je savais que si je lui avouais ma nouvelle fantaisie sexuelle, il ne tarderait pas à le ramener à la maison, ou à memmener chez lui à lhôtel. Or ce que je voulais, cétait que moi toute seule je le séduise et lemmène à me désirer et à me tirer. Je ne voulais plus dépendre de mon mari pour le choix de mes amants. Ni pour lorganisation de mes séances de jambes en lair. Je voulais être la maîtresse absolue de ma vie sexuelle.
Mais je ne savais pas comment my prendre pour rencontrer Krimo et lui signifier que javais jeté mon dévolu sur lui, pour quil devienne mon amant et mon maître. Je ne pouvais pas, décemment aller directement à lhôtel et le draguer. Dune part, je savais quil verrait cela dun très mauvais il, parce que caurait été le comportement typée dune fille de mauvaises murs (une pute, quoi !) et dautre part, je nétais pas sûre que jaurais pu le séduire de cette manière et, surtout, le rendre accro à moi. Je décidais den parler à Salim un matin au réveil, mais en lui avouant seulement que son ami Krimo me plaisait et que je voudrai bien le rencontrer. Mon mari me regarda longuement avec ses yeux pénétrants et son sourire moqueur, qui mindiquaient clairement quil nétait pas dupe, puis tira son stylo, chercha sur son portable un numéro et le retranscrivit sur un bout de papier.
- Cest son numéro. Tu peux lappeler tous les matins vers dix heures, heure à laquelle il se lève. Je tavertis, cest quelquun de très soupçonneux, qui se méfie des coups fourrés. Il en a tellement vu dans sa vie, quil se méfie de tout. Alors si tu veux le séduire, tu devras faire preuve de beaucoup de finesse et dimagination. Si tu veux, je moccupe de te lamener.
- Non ! Je veux essayer toute seule !
Il me donna le bout de papier, membrassa tendrement sur la bouche, me lança une illade moqueuse et partit pour son travail. Je restais seule à imaginer tout ce que je devais dire et faire pour arriver à mes fins. Jimaginais toutes sortes de scénarios pour laborder et lamener à sintéresser assez à moi, pour quil me propose lui-même de me rencontrer. Allais-je lui avouer la vérité, en lui disant quil me plaisait et que javais une folle envie de me faire tirer par lui ? Allais-je louvoyer et inventer une histoire à dormir debout, pour attirer son attention et lamener à souhaiter me rencontrer ? Ou allais-je tout simplement improviser en fonction de la situation ? Je ne répondis à aucune des questions, me contentant dattendre dix heures pour décider.
Et à dix heures, toute tremblante comme si, ce que jallais dire ou faire allaient décider de mon bonheur, ou de mon malheur je formai le numéro que mavait donné Salim et attendit que Krimo décroche.
- Allo, oui !
- Bonjour ! Je suis Wassila, la femme de Salim, ton ami ! Tu te rappelles de moi ?
- Qui ?
- Wassila ! Lépouse de Salim !
- Ah ! Bonjour Wassila ! Comment vas-tu ? Comment va Salim ?
- Très bien merci !
Je restai silencieuse quelques longues secondes, ne sachant vraiment pas quoi dire. Jétais paniquée et mon cur battait la chamade. Je voulais même raccrocher, tant je me sentais ridicule ! Ce fut lui qui dégela latmosphère, se rendant certainement compte de ma gêne.
- Que puis-je faire pour toi, ma grande ? Si tu as besoin de tonton Krimo, il est totalement à ton service ! Quoi que ce soit !
- Toi !
Javais lâché ça rapidement et fort, comme si javais peur quil nentende pas et surtout quil ne comprenne pas ce que je lui demandais.
- Moi ? Quoi moi ?
- Cest de toi dont jai besoin ! Je narrête pas de penser à toi depuis la dernière fois et jai vraiment envie de te revoir et de mieux te connaître !
- Me connaître comme tu as connu les trois hommes de lautre nuit ?
- Mieux que ça ! Eux je ne savais ni qui ils étaient, ni même à quoi ils ressemblaient ! Eux cétait surtout pour mon mari ! Pour lui donner du bonheur ! Toi cest surtout pour moi !
- Tu veux dire que je te plais ? Et que tu as envie de prendre du plaisir avec moi ? Tu ne sais pas ce que tu risques avec moi.
- Je suis partante ! Salim ma déjà dit que tu étais quelquun de spécial en amour. Et un super coup ! Cela na fait quajouter à ma curiosité. Et à mon désir davoir une relation, courte ou suivie, avec toi.
- Et Salim dans tout ça ? Tu sais que cest mon ami et que je naimerais pas faire quelque chose qui le contrarie !
- Salim en sera très heureux ! Il mavait même proposé de soccuper lui-même dorganiser notre rencontre. Cest moi qui aie refusé, voulant te séduire toute seule ! Dis-moi que je te plais !
- Tu es une femme superbe ! La dernière fois, jaurais voulu moccuper de toi, moi-même ! Et tout seul ! Malheureusement Salim avait opté pour un autre scénario, avec trois hommes; et moi, je ne suis pas partageur ! Jai donc refusé de participer à lexpérience. Je suis un vrai jaloux ! Si tu deviens ma petite amie, tout le temps que tu le seras, tu me seras fidèle (à part Salim, bien entendu) ! Je naccepte pas le partage de ma chose, avec dautres hommes ! Jai la prétention de complètement satisfaire les besoins sexuels de mes partenaires et de ne laisser en elles aucune frustration qui puisse leur faire désirer un autre homme.
- Daccord ! Daccord ! criai-je presque.
Pendant toute la discussion téléphonique des sentiments bizarres métreignaient. Dune part, javais été très rapidement rassurée sur le vif intérêt que me portait mon interlocuteur. Un intérêt tout sexuel qui datait de la nuit même où nous nous étions rencontrés. Je lui plaisais et le fait quil savait ce que javais fait (ou plutôt ce quon mavait fait) dans la chambre ne semblait pas avoir refroidi son intérêt pour moi. Et cet intérêt me rendait folle de joie parce quil promettait à mes sens des tonnes de plaisir. Dun autre côté, Krimo mavait envoyé une sorte davertissement qui signifiait quil ne voulait pas que jaille papillonner ailleurs, tant que lui ne maurait pas jetée. Je nai encore jamais eu affaire avec un homme vraiment jaloux et possessif. Tous mes amants mon mari compris acceptaient de me voir butiner dun homme à un autre, et même prenaient plaisir à participer à mes égarements de nymphomane en devenir. Krimo, lui, semblait appartenir à la race des prédateurs exclusifs : tout devait nappartenir quà lui seul. Surtout sagissant de ses petites amies. Mais même cette crainte, pour le moment sourde et cachée dans un coin de mon cerveau, narrivait pas à refroidir ma joie de bientôt être la chose de Krimo, sa poupée ou sa chienne, comme il le voudra. Avant même quil ne me rencontre et quil ne pose une main sur moi, jacceptais de lui appartenir complètement. Jétais déjà dans létat dune amoureuse passionnée, ne vivant plus que pour son Homme !
- On se rencontre où ? questionnai-je, espérant fortement quil allait me répondre « à lhôtel ! ».
Je voulais vraiment que notre relation commence dans le même hôtel, où nous nous étions rencontrés. Où, sans réellement connaître lendroit, javais mes repaires. Où surtout javais des souvenirs de plaisirs intenses, que jespérais retrouver et même démultiplier. Je craignais que lui, par contre, refuse lendroit, parce quil aurait toujours présent à lesprit la nuit où javais été offerte à trois inconnus.
- A lhôtel ! Chez-moi, ce ne sera pas possible, parce quil y a mon ex et mes deux filles qui sont venues passer des vacances (Elles vivent en France et viennent passer quelques semaines tous las ans. Je leur laisse lappartement et minstalle à lhôtel). Et puis tu connais lendroit; tu peux y venir en taxi. Viens tout de suite, comme cela on mangera ensemble à midi et nous monterons ensuite dans ma chambre.
- OK ! Jarrive !
- Avant ça, tu appelles Salim et tu linformes que tu restes avec moi au moins jusquà demain. Je nai pas lintention de te tirer comme une pute, à la va-vite. Je veux que tu prennes conscience, quune fois avec moi, tu deviendras ma propriété et que cest moi qui déciderai de tout. Y compris du moment où tu devras rejoindre ton foyer et ton mari.
Je pris un taxi et au bout dune heure et demie avec la circulation infernale dAlger et de sa banlieue, ce fut un record je fis mon entrée dans le hall de lhôtel, où je trouvais Krimo qui mattendait. Il était habillé de la même manière que la fois où je lavais rencontré : un costume dété en flanelle grise, avec une chemise blanche en soie, dont les boutons supérieurs étaient ouverts et laissaient apparaitre une poitrine velue et puissante. Il était grand et semblait maigre. Ses épaules étaient très larges, ses bras longs et puissants et ses hanches étroites. Mais cétait surtout son visage qui était exceptionnel : buriné et anguleux avec une puissante mâchoire de carnassier. Et sa bouche ! Une bouche de prédateur, grande avec deux rangées de dents blanches bien plantées, mais sans la régularité des publicités pour dentifrice : cétaient des dents de fauve qui étaient faites pour mordre et déchiqueter. Il avait aussi des lèvres fine et fermes, dont la supérieure était surmontée dune moustache qui ressemblait à un trait de crayon bien noir. Il me rappelait Errol Flynn, lacteur américain des années cinquante, dont il avait la carrure et la dégaine.
Il savança vers moi, bras ouverts, comme pour minviter à aller me blottir contre lui. Ce que je fis sans hésitation. Il me serra très fort quelques secondes, me montrant toute la puissance de ses bras, puis déposa un baiser très doux sur ma joue droite. Je ressentis immédiatement comme une décharge électrique qui irradia sur tout mon corps, en ondes concentriques, dont le point central était situé à lintérieur de mon bas ventre. Nous restâmes ainsi quelque temps, silencieux, puis il relâcha son étreinte, me pris par les épaules et méloigna dune vingtaine de centimètres, pour bien me regarder.
- Tu es toujours aussi magnifique ! dit-il. Salim a bien de la chance ! Et moi aussi ! Allons manger !
Il prit mon bras gauche et le passa sous son bras droit, et bras dessus, bras dessous, comme un vrai couple damoureux, nous allâmes vers la salle de restaurant, qui se trouvait au fond du rez-de-chaussée, en face de la réception. La salle était encore vide à cette heure-ci, mis à part un couple de jeunes amoureux - probablement des nouveaux mariés, en voyage de noces - trop occupé à se noyer dans les yeux lun de lautre, pour faire attention à quoi que ce soit dautre. Notre table était prête. Krimo se comporta avec galanterie: il tira ma chaise à la manière des gentlemen, pour me permettre de massoir et, une fois assise, la poussa vers la table pour que je sois à laise. Il sassit sur la chaise en face de moi. Il me prit la main et y déposa un léger baiser sur le dos, puis la retourna pour membraser plus longuement sur la paume.
En faisant cela, il me regardait avec ses petits yeux malicieux, sachant que son léger baiser avait sur moi un effet extraordinaire: je ressentais comme un frisson qui me parcourait léchine et allait titiller toute mon intimité: je commençais à sentir ma chatte palpiter et se mouiller. Krimo ne lâcha ma main que quand le serveur apporta lentrée. Nous mangeâmes avec appétit, mais jétais vraiment pressée que le repas finisse, pour me retrouver seul avec lui dans sa chambre. Je me sentais de plus en plus excitée et je voulais sauter sur lui et le dévorer tout cru. Lui par contre, paraissait calme, sûr de lui et absolument pas pressé. Il savait que jétais entrain de bouillonner et il voyait que je tremblais dimpatience. Il me parlait de tout et de rien, de sa voix douce, qui me donnait des frissons. Il me parla de sa famille, de ses filles surtout quil adorait mais qui vivaient loin de lui avec leur maman. Il me parla de sa femme qui lavait quitté, il y a quelques années, pour aller se réfugier en France, alors que lui, il voulait rester au pays, malgré le danger mortel et linsécurité qui y régnaient à lépoque.
Il parlait, mais je nentendais plus rien. Je voyais ses lèvres bouger, mais je ne saisissais plus ce quil disait. Jétais ailleurs. Jimaginais ses lèvres se promener sur mon corps et me transporter de plaisir. Jimaginais ses mains me caresser partout et essayer déteindre le feu qui avait pris en moi et qui narrêtait pas de sétendre. Il avait transformé mon entrecuisse en brasier. Je nen pouvais plus dattendre ce diable dhomme, qui lui, ne semblait pas pressé de me posséder. Il semblait même samuser du désir quil lisait en moi comme dans un livre ouvert.
- Allons dans ta chambre ! Je nen peux plus ! Jai tellement envie de toi, que je suis capable de sauter sur toi, ici même devant les clients et les serveurs !
- On se calme ! Le plaisir nen sera encore que plus grand, parce que tu lauras beaucoup attendu ! Aller lève-toi ! On y va !
Et il mentraîna vers lascenseur. Nous montâmes gentiment, bras dessus bras dessous, et nous nous arrêtâmes au quatrième étage. Comme lautre fois ! Il ouvrit la porte de la chambre et, surprise ! Je me retrouvais dans la même chambre où je fus possédée par les trois inconnus. Cétait la même chambre et le même lit immense!
- Cest ta chambre ?
- Oui ! Elle mest réservée toute lannée. Parfois, comme la dernière fois, je la prête à des amis pour des rencontres amoureuses. Ne ten fais pas, les draps ont été changés depuis !
Je me jetais sur Krimo pour lembrasser. Je voulais goûter à ses lèvres fines et fermes et surtout connaître la chaleur de ses baisers. Je voulais quil membrasse avec violence et quil métouffe avec sa bouche. Je lui pris le visage dans mes mains et posai mes lèvres sur les siennes. Il se laissa faire un tout petit moment, puis se déchaîna comme un ouragan. Il passa ses mains sur ma nuque et emprisonna ma tête pour quelle ne puisse plus quitter le lieu. Ses lèvres aspirèrent les miennes et je sentis sa langue venir à lentrée de ma bouche. Elle était à la recherche de la mienne, qui un moment voulut sopposer à elle. Elle recula très vite, vaincue par la force de lassaillante. Elle sinstalla presque définitivement dans ma bouche et joua avec ma langue quelle titilla, avant de lui monter dessus et de senrouler autour delle.
Les baisers de Krimo produisaient de toutes petites décharges électriques. De lélectricité qui ne faisait pas mal, mais qui chatouillait et transportait ces chatouilles, comme des ondes très agréables à lintérieur de tout mon corps. Des décharges qui saccompagnaient dune chaleur douce qui irradiait partout dans mon corps en passant par ma colonne vertébrale. Il me semblait, pendant que jéchangeais des baisers avec mon amant, que tout mon corps frissonnait et tremblait. De désir et de plaisir ! Mon bas ventre me brulait et ma chatte palpitait au rythme des battements de mon cur. Ce dernier battait très vite et très fort. Jétais en état de transe et dattente de mains qui allaient me débarrasser de mes habits et semparer de mon intimité.
Mes seins étaient tellement tendus, quils me faisaient mal. Ils voulaient quune main dhomme sen emparât; quune bouche dhomme sen occupât. Ma chatte palpitait et se remplissait de mouille, que le désir commençait à produire en quantité. Même mon anus me démangeait et voulait sa part de plaisir.
- Déshabille-moi ! ordonnai-je à mon homme.
- Non déshabille-toi, toute seule ! Je veux admirer le spectacle ! Enlève tes habits en commençant par le bas ! Je veux dabord voir ta chatte et ton cul ! Peut-être même que je te baiserais sans que tu enlèves le haut !
Vaincue, et folle de désir, jobéis à lordre que venait de me donner mon maître. Je dégrafai le bouton qui tenait ma jupe et fis descendre le zip dun geste rapide. Je descendis la jupe en tortillant des hanches et me retrouvait très vite en petite culotte de soie noire. Je regardais les yeux de mon amant et vis quil était satisfait du spectacle quil avait sous les yeux. Il voyait mes longues jambes, lisses, fermes et musclées, dont les hauts talons que je portais accentuaient le galbe. De même quils accentuaient la cambrure de mes fesses, qui étaient déjà, naturellement, bien rondes, bien hautes et bien dessinées.
- Tu es exactement comme je me limaginais ! Enlève ta culotte et montre-moi ta chatte !
Jobéis très vite. En un tour de main, toujours en tortillant des fesses, je fis descendre le morceau de tissu jusque sur mes mollets. Je levais la jambe droite pour faire sortir la culotte, qui resta accrochée à mon mollet gauche. Le spectacle dut beaucoup plaire à Krimo, qui sapprocha de moi, pour venir me mater de plus près. Il porta ses mains entre mes cuisses pour me les faire ouvrir très grandes et admirer ma chatte. Ses yeux brillaient de désir et sa bouche sétait ouverte, comme pour venir semparer du trésor quil était entrain de regarder. Il fit glisser sa main droite sur mes grandes lèvres et la fit aller et venir plusieurs fois avec force. Presque avec brutalité. Le contact de sa main sur ma chatte, me fit pousser un long gémissement de satisfaction.
Je sentis immédiatement du liquide chaud et visqueux qui sortait dentre mes grandes lèvres, pour aller sur les doigts de Krimo. Il me regarda dans les yeux et me fit son merveilleux sourire de carnassier.
- Tu es en chaleur ma petite salope ! Tu mouilles ! Tu veux être pénétrée tout de suite par ton maître ! Tu veux quun gros zob vienne te défoncer la vulve. Et bien le moment nest pas encore arrivé. Je veux que tu attendes encore un peu. Je veux que tu me déshabille dabord. Lentement; en commençant par mes souliers. Je veux que lattente soit longue et que le désir et limpatience atteignent les limites absolues. Les limites au-delà desquelles, il ny a que la mort ! Plutôt mourir que dattendre encore plus longtemps la délivrance du gros zob qui pénétrera ta chatte et prendra possession delle. Aller viens menlever les chaussures !
Je me mis à genoux devant lui, tout le bas de mon corps nu et le haut portant un chemisier en soie rouge et un soutien gorge à balconnets de la même couleur. Je me mis à défaire frénétiquement les lacets du soulier droit de mon homme, à lui faire soulever le pied et à lui ôter la chaussure, puis la socquette, avant de passer au pied gauche et refaire, tout aussi frénétiquement, les mêmes gestes. Javais jeté pêle-mêle chaussures et socquettes et voulut moccuper, immédiatement après, du pantalon. Jétais pressée de voir le gros zob de Krimo et de memparer de lui. Mais lui, voulant toujours me rendre folle de désir et dimpatience, mordonna de passer à son haut: sa veste de costume et sa chemise en soie. Je my mis aussitôt, en faisant aussi vite que je pouvais. Je ny tenais plus. Javais les mains qui tremblaient et qui avaient du mal à réussir du premier coup, les gestes quil fallait faire.
Je dus mettre plus de deux minutes pour venir à bout de la veste et de la chemise. Il faut dire que mon homme mettait du sien pour me compliquer la tâche. Son objectif avoué était de me mettre les nerfs à vif, à force dimpatience. Quand je réussis enfin à mettre Krimo torse nu, il mattrapa par la nuque et obligea ma tête à venir se coller contre sa poitrine.
- Embrasse-moi ! fit-il. Je veux sentir tout ton désir dans les baisers que tu me donneras sur la poitrine. Je veux quavec tes lèvres et ta langue, tu memmènes aux portes de lorgasme. Tu as une bouche, des lèvres et une langue faites pour ça ! Vas-y !
Toujours tremblante de désir et, commençant à ressentir la frustration de garder ma chatte vide, je me mis à promener mes lèvres et ma langue sur la poitrine velue de Krimo. Il avait les muscles pectoraux fermes, durs, mais très sensibles aux caresses de mes lèvres et aux titillements de ma langue. Je sus très vite, en sentant sa main se crisper sur ma nuque quelle ne lâchait plus, quil aimait ce que je lui faisais. Pendant que je continuais de promener mes lèvres et ma langue sur la poitrine de mon homme, en insistant très longuement sur les tétons, je lançais ma main droite vers le devant du pantalon, pour tâter le monstre et tester sa grosseur et son degré de désir.
Non seulement, je mis la main sur une bosse monumentale, montrant le degré dexcitation de mon amant, mais je sus maintenant quil ny avait pas que moi qui tremblait dimpatience. Krimo aussi, qui jouait à celui qui pouvait attendre encore toute une éternité, était en fait aussi excité que moi et quil était donc, lui aussi, en mon pouvoir. Jarrêtais immédiatement mes baisers, pour moccuper de sortir lengin de sa cachette. Je me mis à genoux devant lui, et les mains toujours aussi tremblantes, je commençais à défaire la ceinture, à déboutonner le pantalon et à descendre le zip. Je voulus faire sortir immédiatement le zob, qui palpitait sous ma main à travers le tissu du slip, mais Krimo men empêcha. Il voulait que je lui enlève totalement le pantalon, puis le slip, pour rester nu et me présenter son manche, dans toute sa splendeur.
Je fis ce quil me demandait et me trouvais, toujours à genoux devant lui, face à un énorme zob, très brun, long, gros, lisse et surmonté dun gland tuméfié et pointu. Il frémissait de désir. Je tendis la main pour enfin le toucher, le caresser et le serrer. Il était enfin à ma portée ! Il mappartenait ! Je le voulais ! Je regardais Krimo dans les yeux pour essayer de deviner ce quil voulait que fasse. Je me demandais sil voulait que je lui fasse dabord une belle fellation ou si je devais me lever de par terre et le trainer par son magnifique zob, pour lamener sur le lit où il pourra me tirer. Rien de tout cela ! Il tendit la main pour prendre la mienne et la tira de manière à me mettre debout.
Il me prit par la taille et me souleva de quelques centimètres et me porta ainsi jusquà la porte dentrée, qui était à environ deux mètres de nous. Il me plaqua contre elle, me souleva la jambe gauche, en me prenant par-dessous le genou et se plaça de manière à me pénétrer debout. Il plia légèrement les genoux et mit son gland tuméfié entre mes grandes lèvres, qui souvrirent toutes seules, tant elles étaient mouillées. Il dona un puissant coup de rein et je me retrouvais complètement empalée sur limmense zob. Cétait divin ! Le manche de Krimo dégageait une superbe sensation de force et de puissance dans mon vagin. Il était le maître des lieux ! Il était chez lui ! Krimo le faisait monter et descendre par de puissants coups de reins. Il limait les parois de mon vagin avec une telle force, que je sentais lendroit sembraser et se consumer.
Ma chatte produisait des quantités inouïes de mouille que je sentais couler le long de mes cuisses et mes genoux, pour aller sétaler par terre. Mon bel amant, au cou duquel jétais solidement accrochée, poussait des han de boxeur sentraînant contre un sac à sable. Et moi je nétais pas en reste. A chaque pénétration, je poussais un grand cri de plaisir que jessayais vainement d, par peur dêtre entendue de lextérieur. Je ressentais la force du zob et adorait cette sensation. Ce zob était mon maître ! Il était mon Dieu ! Il allait memporter au septième ciel ! Et my laisser ! Je voulais crier que jaimais ce zob ! Quil était le plus gros et le plus puissant qui ne mait jamais possédée ! Mais je nosais pas encore me laisser aller complètement. Javais peur dêtre entendue et surtout javais peur que mes cris et mes mots crus, ne plaisent pas à lhomme qui me tirait en ahanant, mais en ne disant rien.
Je sentais le plaisir minonder. Il rayonnait à partir de ma vulve et allait partout dans mon corps, en se concentrant aussi sur le bout de mes seins, que je sentais durcir et me faire mal, tant ils étaient excités. Jaurais aimé avoir une main libre pour les caresser en même temps que le zob me faisait du bien à lintérieur de ma chatte. Jaurais aimé que mon amant eût une troisième main pour soccuper de ma poitrine et de mes seins qui appelaient au secours. Et même dune quatrième main pour semparer de mes fesses et de mon cul, dont lanus narrêtait pas de palpiter. Et puis narrivant plus à me retenir, je me mis à soliloquer, doucement dabord, puis en hurlant :
- Jaime les gros zobs ! Jadore les immenses zobs ! Jaime les zobs qui me remplissent la chatte ! Qui font mal en pénétrant dans mes trous ! Jai le hatchoun en feu ! Cest bon, ton gros zob dans mon hatchoun ! Dis-moi que tu aimes mon hatchoun ! Hatchoun ! Zob ! Zob ! Dis-moi que tu aimes mon hatchoun !
- Jadore ton hatchoun ! Il est fait pour mon zob ! Mon zob dans ton hatchoun ! Je vais jouir ! Je vais jouir !
Et moi aussi, tout en hurlant ces mots et ces phrases, je montais très vite et très haut dans le plaisir. Le plaisir que me procurait le magnifique manche sur lequel je métais empalée, était fortement accru par les mots et les phrases que nous prononcions presque ensemble et en même temps. Je sentais un orgasme monumental arriver. Et il déboula en moi avec la force dune avalanche. Il balaya tout sur son passage et me fit hurler de plaisir. Javais vaguement conscience que je hurlais à la mort et que tout le monde dans lhôtel devait mentendre. Mais je narrivais pas à me contrôler, ni même à un peu lintensité de mes hurlements.
Je narrêtais de crier que quand je sentis Krimo accélérer le rythme de ses coups de boutoir et intensifier leur amplitude. Maintenant, il sortait de quelques centimètres de ma chatte et la réinvestissait aussitôt, avec plus de force. Il eut une première éjaculation au fond de mon vagin, accompagnée dun puissant râle quil tenta d. Tout le sperme quil venait de lâcher ressortit aussitôt de ma chatte pour couler, chaud et visqueux, le long de ma cuisse droite et aller rejoindre, par terre, toute la cyprine que javais produite. Il continua à pilonner ma vulve encore une trentaine de secondes, éjaculant encore trois ou quatre fois, avant de sarrêter épuisé. Il relâcha ma jambe et me reposa par terre. Je pliai les genoux et tombai par terre, entraînant Krimo dans ma chute. Nous nous retrouvâmes par terre, à genoux, serrés lun contre lautre.
Il avait passé sa main droite dans mon dos, sous le chemisier que je portais encore et se mit à me caresser, tout en membrassant tendrement sur le visage et sur a bouche.
- Tu es vraiment un super coup ! Un coup superbe ! Je sais que nous allons passer une nuit merveilleuse ! Je crois même que je vais tout faire pour tenlever à ton mari et te garder pour moi seul ! Tu as bien joui ?
- Oui, jai eu une superbe jouissance ! Ton zob est magnifique de beauté et de force ! Jespère seulement quil est aussi endurant que tu le dis !
- Plus que ça ! Regarde-le ! Il est toujours au garde-à-vous ! Il a envie de ton cul !
Oh le bonheur ! Mon homme voulait menculer ! Et tout de suite après mavoir donné tant de plaisir par ma chatte ! Et ce nétait pas quune promesse ! Le monstre de Krimo était vraiment debout, dressé comme un javelot et frémissant dimpatience. Il en voulait encore et il le montrait ostensiblement. Je ne voulais pas perdre une seule seconde. Je décidais donc que la sodomisation allait se faire ici même, par terre. Je ne voulais pas perdre le temps daller jusquau lit. Je me mis à quatre pattes sur place et relevai les hanches pour permettre à mon homme dêtre au niveau de mon cul et de me défoncer le fion.
Il ne se fit pas prier pour se placer derrière moi et ajuster son manche, pour être en bonne position pour que je mempale dessus. Parce que mon homme voulait que ce soit moi qui mempale sur son manche et non pas lui qui me défonce lanus. Il cracha dans sa main pour recueillir un peu de salive dont il enduisit lanneau de mon cul et recracha encore une fois pour enduire son gland pointu de salive. Il jugea que cela suffisait pour faciliter la pénétration. Il posa son gland sur mon anus, en me prenant fermement par les hanches avec ses puissantes paluches et, au lieu de donner lui-même un puissant coup de rein pour me pénétrer, il tira très fortement sur mes hanches pour empaler mon cul sur son zob.
Et le zob, malgré sa grosseur démesurée, pénétra facilement dans mon cul, me procurant un plaisir immense. Je le sentais parfaitement. Il tait moulé par mon anus et mon boyau, comme sil avait été fabriqué à leurs dimensions. Il repoussa mes hanches pour leur faire entamer un mouvement de va-et-vient et minviter à le faire moi-même. Je poussais ma croupe vers larrière pour mempaler encore sur le manche et revint vers lavant. Cétait moi qui faisais leffort des allers-retours. Cétait la première fois que je me faisais enculer de cette manière. Mon maître voulait que ce soit moi qui aille à la recherche de son monstre, pour my empaler. Lui ne voulait pas faire deffort. Cétait moi qui étais lesclave du beau vit. Pas lui qui létait de mon cul. Jy allais avec frénésie, poussant et retirant mes hanches à un rythme de plus en plus rapide et en essayant de faire aller mes fesses de plus en plus loin.
Krimo tenait mes hanches de manière à ce quelles restent dans laxe de son monstre. Je lentendais qui gémissait doucement, mencourageant à maintenir le mouvement dallers-retours de mes hanches. Je sentais toute la force et la puissance du manche et son vigoureux frottement sur la paroi de mon rectum. Je sentais la chaleur que le frottement dégageait dans mon cul. Il me faisait mal et en même temps, il me faisait tant de bien ! Je sentais un plaisir de plus en plus intense grandir en moi et me faire perdre pied. Il prit une telle ampleur que je me mis à me comporter comme une poupée désarticulée. Ma tête partait dans tous les sens, sans que je puisse la retenir.
Ma bouche lâchait des quantités impressionnantes de salive qui allaient sétaler par terre et mes hanches étaient devenues complètement indépendantes : elles allaient et venaient sur le manche, frénétiques et farouches, ne cherchant rien dautre quà faire durer le plaisir qui était en moi et à accroître son intensité. Jentendais les gémissements de Krimo qui prenaient de lampleur et devenaient de plus en plus sonores. Cétait tellement excitant ! Je voulais lui dire que jaimais ses gémissements ! Quils mexcitaient encore plus ! Que je voulais vivre toute ma vie avec ce beau zob enfoncé dans mon cul ! Je voulais aussi crier ces mots et phrases impudiques et indécents qui participaient tant à mon plaisir ! Je ne pouvais plus me retenir ! Surtout que je sentais arriver une très forte jouissance !
- Cest bon les gros zobs dans le cul ! Zob dans le cul ! Zob ! Zob !
Et en même temps que je déchargeai bruyamment, je sentis mon maître prendre la relève des va-et-vient et commencer à me pilonner le cul. Je savais quil nallait pas tarder, lui aussi, à jouir très fortement. Il y alla tout aussi vigoureusement, que moi tout à lheure, mais lui, il faisait sortir son gland de mon cul, prenait un élan dune dizaine de centimètres et repartait encore plus fort à lintérieur. Il recommença ainsi cinq ou six fois, jusquà ce que je le sente se crisper et menvoyer une première giclée de sperme à lintérieur du cul, puis, tout de suite après une deuxième et une troisième, toujours à lintérieur de mon boyau. Son zob produisait maintenant, en continuant ses vigoureux va-et-vient dans mon cul, des clapotis indécents, mais tellement érotiques. Tout le foutre ressortait en dehors. Je le sentais qui coulait le long de la raie, se concentrer sur mes grandes lèvres et tomber par terre, sous leffet de la gravitation.
Les quatrième et cinquième giclées, beaucoup moins abondantes et épaisses, allèrent mourir à lentrée même de mon anus. Krimo arrêta de me pilonner, mais resta un long moment derrière moi à regarder, les yeux brillants de luxure, tout le sperme blanc qui coulait de mon anus. Je tournais la tête pour le regarder et vit quil avait le sourire satisfait de carnassier repus.
- Cest tellement beau, ton cul qui coule de sperme. Au début cétait du sperme coloré en marron par tes sécrétions, mais par la suite ce nest que du sperme blanc comme du lait ! Cest vraiment très beau ! Jadore ton cul ! Je crois que je vais y faire le nid permanent de mon manche !
Je massis par terre pour mieux me rapprocher de Krimo, qui était resté à genoux. Son zob avait un peu ramolli, mais avait encore une masse respectable.
- Tu le nettoies !
Ce nétait pas une question ! Cétait un ordre ! Et moi je mexécutais ! Avec plaisir ! Je pris le zob entre mes doigts et je me mis à le nettoyer avec la langue et la bouche. Avec beaucoup de soins. Très rapidement, il redevint aussi propre et brillant quun sou neuf. Et miracle de la nature ! Il recommença à bander comme un âne. Je compris que cétait ma bouche chaude et humide et le titillement de ma langue, qui avaient produit cet effet. Il voulait encore une fois prendre du plaisir. Cette fois-ci dans ma bouche. Je me mis donc à lui appliquer une belle fellation, que je voulais lente et douce. Mais rapidement elle se transforma en une opération de démolition de ma bouche.
Pratiquement tous mes hommes de ma vie, avaient pris ma bouche pour une chatte et sen étaient emparés comme si cen était vraiment une. Krimo ne fit pas exception à cette règle. Il se mit à pilonner ma bouche en essayant même daller au fond de ma gorge ; et même au-delà. Je tenais fermement le dard qui sétait emparé de ma bouche pour lempêcher de m, mais le laissait aller et venir de plus en plus vite et de plus en plus fort dans ma bouche, sachant quil voulait jouir à lintérieur. Lopération dura longtemps et faillit à plusieurs reprises me couper la respiration et même me faire vomir. Puis, jentendis comme un long râle de plaisir et sentis le gros zob sarrêter une brève seconde à lentrée de ma gorge et éjaculer une première fois, une belle giclée de sperme brûlant.
Jétais prête à recevoir le jus, donc je neus aucune peine à lavaler en totalité. Puis il reprit ses allers-retours pour faire sortir le reste de foutre. Je retirai subitement ma bouche et retins le membre à lextérieur. Il était bien mouillé et me permettait donc de le branler vigoureusement, pour faire gicler le reste du sperme sur mon visage et mon cou. Il éjacula encore deux fois, sur moi et remplit tout mon visage et mon cou de foutre blanc, chaud, mais moins épais que tout à lheure. Quand il termina, il sassit par terre, fatigué et heureux. Il me regarda et sourit de toutes ses dents.
- Tu es vraiment à croquer avec tout ce sperme sur ton visage. Dommage que tu naies pas enlevé ton chemisier et ton soutien gorge, jaurais aimé que tu en aies aussi sur ta poitrine et tes seins. Nettoie avec tes doigts et lèche. Je veux voir ça. Cest sûr que ça va encore me faire bander !
Et je commençais, toujours avec délectation, à ramasser avec mes doigts tout le foutre et le lécher. Lopération dura longtemps, sous le regard émerveillé de mon maître. Je voyais son sexe commencer à frémir et je sus quil voudra très vite semparer encore dun de mes trous. Et ce fut effectivement ce qui se passa. Nous montâmes enfin sur le lit et continuâmes à faire lamour toute la journée. Nous passâmes par contre une nuit plus sage, après avoir pris un repas copieux servi dans la chambre et une douche bien chaude. Nous avions finis tous les deux sur les rotules. Je ne retournais à la maison, retrouver Salim, quen fin de journée. Krimo voulait me garder encore pour la nuit et ne me laisser partir que le lendemain. Javais fini par le convaincre que javais aussi des devoirs envers mon mari. Il fallait donc que jaille le retrouver.
- Je veux absolument te garder ! Je crois que je suis tombé amoureux de toi ! Promets-moi que tu reviendras dès que je tappellerais ! Promets-moi aussi que tu me resteras fidèle et que tu ne chercheras pas à te faire tirer ailleurs. Que Salim et moi serions tes seuls amants !
Il ne me laissa partir que quand je lui fis la promesse solennelle que je lui serai fidèle, tant que lui-même ne maurait pas jetée. Je retournais à la maison vers vingt heures, accompagnée par Krimo, qui me déposa devant la porte du bâtiment. Je trouvais Salim qui mattendait, tout en terminant la préparation du diner. Il membrassa tendrement, me fit assoir à la table de la cuisine et tout en servant le diner, me demanda de lui raconter mon aventure avec son ami. Ce que je fis, sans omettre le moindre détail. Salim, en mécoutant, avait les yeux qui brillaient. Je connaissais mon homme; je savais quil était entrain de bander. Il me raconta lui aussi la nuit quil avait passée seul dans notre grand lit à imaginer tout ce que jétais entrain de faire avec son ami Krimo. Et tout le plaisir que je prenais sous ses coups de reins :
- Tu sais jai dû me masturber au moins trois fois, pour calmer un peu le désir qui embrasait mes sens ! Et jai rêvé toute la nuit de toi dans les bras de Krimo, entrain de hurler ton plaisir de te faire tirer par son immense zob ! Viens, allons dans notre chambre et tu me raconteras encore !
Cette nuit là Salim se comporta ave moi, comme un vrai taureau ! Un taureau en rut et en manque ! Il me fit monter trois fois au septième ciel ! Et il visita le lieu autant de fois que moi ! Quand nous arrêtâmes nos étreintes, je lui répétais ce quavait exigé de moi Krimo qui mavait déclaré son amour, qui voulait me garder avec lui, mais qui refusait que je continue ma vie de libertine.
- Quen penses-tu ? Moi je lui ai fait la promesse de lui être fidèle et pour le moment, je sais que je respecterai ma promesse, tant je suis devenue accro à lui. Mais je ne sais pas si cela pourra durer longtemps.
- Tu feras exactement ce que tu voudras ! Moi je suis déjà heureux de te partager avec lui ! Bien que je sache quil nacceptera jamais de te posséder en ma présence ou au contraire dassister à une de nos séances damour tant que tu me raconteras toutes tes sensations, je veux bien que tu te contentes de nous deux, pour prendre ton pied. Et si un jour tu as envie de butiner ailleurs, moi ton mari, je tautorise à le faire. Krimo aussi sen tiendra à ton choix. Il se séparera de toi et ce sera tout !
Et jusquà maintenant je suis restée avec mes deux hommes : Krimo mon maître et Salim mon mari et mon amant. Jusquà quand ? Dieu seul le sait !
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