Camping Sauvage
Cet été, cest décidé, je pars camper dans la nature, seul pour être tranquille et communier avec la nature.
Le jour du départ est arrivé, sac sur le dos, tente Décathlon prête, je me lance. Jai décidé de faire un petit tour de la région durant lété afin de visiter quelques beaux endroits sans être à la merci du temps et des contraintes liées aux réservations de chambres.
Je pensais que les vacances seraient tranquilles donc mais elles ne le furent que quelques jours. Arrivé dans un petit village au bout de 6 jours de voyage, je décide de marrêter manger dans un petit resto et par la même occasion de demander aux clients présents sil ne connaissent pas un coin tranquille où je pourrais déplier ma tente pour la nuit. Je mapproche dun groupe de jeunes gars qui étaient venus fêter leur réussite au bac et leur demande donc et là lun deux me dit que je pouvais venir chez lui si je voulais car ses parents étaient absents pour la nuit. Je lui dis gentiment que je refusais car je voulais pouvoir partager mon temps avec la nature afin de me ressourcer. Là ils me proposèrent tous de maccompagner jusquà un petit champ abandonné bordant une rivière. Heureux dentendre quun tel endroit existait par-là, jacceptais la proposition et une heure plus tard nous nous mettions en route pour ce petit paradis.
En chemin, je jetais un regard sur chacun de mes accompagnateurs. Cinq gars plutôt charmants, assez grands comme jaime et très sympas aussi, ce qui ne gâche rien. Après 30 minutes de marche nous arrivons enfin sur les lieux et il est vrai quils ne mavaient pas menti, le lieu était parfait. Lun deux à ce moment-là proposa de boire le verre de lamitié, jacceptai et il sortit une bouteille de liqueur de poire. Oulla !!! Me dis-je, ça va piquer ça et ça piqua. Après 3 verres, je commençais à avoir la tête embuée et les gestes commencèrent à être un peu plus équivoques de la part de mes 5 cavaliers.
- Tous les cinq, tu vas nous sucer puis on va te prendre un par un que tu le veuilles ou non !!! me dis lun deux.
- Euh daccord mais je préviens que jai pas de capotes pour tout le monde, je leur dit en souriant pensant quil plaisanté.
Et dun coup, je les vis chacun leur tour se dessaper et commencer à se branler face à moi. Toutes ces queues me firent vite bander. Petit à petit, les bites gonflèrent pour atteindre chacune une taille très respectable. A vue dil, je dirais que la plus petite devait faire un bon 18 cm et la plus grosse, je ne saurais le dire car je nen avais jamais vu daussi imposante. Ils sapprochèrent tous de moi pour mentourer et pris par lexcitation et lalcool, je ne pus résister longtemps et je gobai une à une les bites qui me faisaient face. Des mains caressaient ma nuque, dautres mon torse ou ma queue. Jen sentis dautres me déshabiller puis tenter une approche dans ma rondelle. Un doigt, deux puis trois sinsinuèrent dans mon cul. Je commençais à deviner leurs envies mais je leur fis vite comprendre que je ne me laisserai pas enculer comme ça. Je voulais dabord les vider un par un avec ma bouche. Je commençai donc à accélérer mon rythme de pompage enfournant jusquà deux queues en même temps. Au bout de 5 minutes à ce rythme, le premier me balança son foutre au fond de la gorge, javalai tout mais frustré, je dis au 4 autres que je voulais quil me balance leur purée sur la gueule en même temps. Je mallongeai donc sur le sol et observai ces quatre chibres se balancer au-dessus de mon visage. Je sentis vite un flot de sperme arriver sur ma face qui fût vide débordante de foutre. Jattrapai chaque goutte de mes doigts pour avaler tout ça goulument.
Par la suite, je me relevai et présenta mon fion au premier que je trouvai. Ce fût celui qui avait le plus petit chibre mais tout de même 18 cm cest pas mal surtout vu son diamètre. Je sentais quil avait du mal à entrer alors je me suis projeté en arrière si bien que sa queue déchira ma rondelle. Il commença à faire des va et viens violents, jadorai ça. Je me mis à branler les autres bites qui me faisaient face, puis je les suçais un par un.
Javais le cul béant, rempli de foutre ; la bouche écartelée. Jétais aux anges de cette partie de cul improvisée. Pour finir, les cinq gars se placèrent au-dessus de moi et un par un vinrent me baiser la bouche. Les queues reprirent vite de la vigueur et me remplir encore de foutre. Un puis un deuxième et quand le dernier arriva, javais la bouche pleine de foutre, je narrivais plus à avaler ; tout ce foutre dégouliner de ma bouche mais il vient quand même me baiser la bouche.
Ils partirent sans rien dire en me laissant là telle une loque allongée par terre baignant dans une marre de sperme. Je mendormis une main dans mon fion et le foutre collé à mes yeux, cheveux et tout mon corps. Le lendemain matin, ils virent me réveiller. Ce ne fut pas très délicat comme réveil puisque pour réveil, jeu droit à un passage en force dans mon fion et ma bouche. Ce jeu continua plusieurs semaines si bien que mon voyage pris fin dans ce village où je me faisais remplir matin et soir par de plus en plus de mecs. Je crois quils furent une vingtaine le dernier jour. Je les suçais un par un, ils me prirent chacun leur tour pour me remplir la bouche ou le cul.
A la fin de me vacances, je rentrai chez moi en leur promettant de revenir très vite et que vingt gars ne seraient pas suffisant la prochaine fois
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