L'Habit Ne Fait Pas Le Moine.

Un homme, que nous appellerons Daniel, entre dans un hôtel après une nuit de travail. Il demande une chambre à la réception et se dirige vers celle-ci lorsque dans le couloir qui le mène à sa chambre, il entend des rires. Il s’arrête et écoute, sa curiosité mise en alerte. Les bruits proviennent de la chambre voisine à la sienne. Mais, fatigué après une nuit de travail, il se dit que cela n’est rien et que ça ne l’empêchera pas de dormir. Il est 6h30 du matin. Entré dans sa chambre, il se presse de prendre une douche et faisant pour se coucher, il entend les bruits plus fort et de suite il se dit que cela ne va pas être possible pour lui de se reposer. Après n’avoir enfilé que son pantalon, il sort donc de sa chambre et va frapper doucement à la porte de celle d’à côté. Personne ne répond. Il ne peux pas frapper trop fort car il ne veux pas non plus réveiller tout l’hôtel. Il pose sa main sur la poignée et tente d’ouvrir la porte. Celle-ci n’est pas fermé à clef et Daniel la pousse en pensant apercevoir quelque un, mais rien. A peine la porte entrouverte, Daniel entend des gémissements qui proviennent du fond de la pièce. Éclairé par un fin halo de lumière qui provient d’une applique, il suit le petit couloir qui longe la salle de bains et l’approche d’un lit d’où proviennent les râles. La tête appuyée sur l’arcade de la porte qui le laisse entrer dans la chambre, il aperçoit dans la pénombre deux corps allongés l’un sur l’autre, tête bêche, en travers du lit. La situation est sans équivoque . Sur le lit, un couple est occupé à faire l’amour. Ils ne doivent en être qu’aux préliminaires, car tout les deux sont encore vêtus. De suite, Daniel enregistre mentalement la scène et sourit intérieurement lorsqu’il comprend. Pas gêné par la situation, il décide de les observer un moment et compte bien même peut-être profiter de la situation. Le corps du dessous, laisse apparaître un visage radieux. Les yeux mi-clos, un sourire ravi, la fille qui s’appelle en fait Maryvonne prend bien du plaisir.

Mais qui est celle qui tourne le dos à Daniel et qui chevauche Maryvonne et qui lui fait tant de bien , car de part la tenu vestimentaire, il s’agit d’une autre femme et de suite cela enchante Daniel. Le corps de l’inconnue est revêtu d’un pull noir moulant et laisse deviner une personne assez forte. Les mains tiennent les jambes de Maryvonne repliées et écartées dont la robe retroussée laisse voir les cuisses gainées de bas nylon noir autofixants et dont les pieds sont encore chaussés d’escarpins. La tête, couverte de cheveux mi-longs châtains, n’est pas plus visible car elle se trouve du côté opposée à la porte. Mais, le visage plongé au milieu des cuisses ne laisse planer aucun doute sur l’activité qui se déroule. La partie la plus visible de l’anatomie de la deuxième personne est sans aucun doute son fessier, car situé du côté où Daniel se trouve. Une jupe courte plissée anthracite le couvre. Daniel savoure cet instant car il ne sait si il va durer. Profitant de l’occupation des deux filles entre-elles et excité par les choses vues jusqu’à maintenant, il ouvre la braguette de son pantalon et en sort sa bite qui ne demandait que ça vu qu’elle commençait à s’y trouver à l’étroit. D’une main, il commence à se branler mais en changeant de jambe d’appui, Daniel provoque un craquement de bois qui a pour effet immédiat de faire ouvrir les yeux de Maryvonne. Mais d’un doigt sur la bouche, il demande à Maryvonne de se taire car visiblement, la belle du dessus, trop occupée à son activité buccale ne s’est pas aperçu de la présence de Daniel. Avançant délicatement vers le lit avec sa queue dans sa main, Daniel se présente devant Maryvonne qui, subissant amoureusement jusqu’alors les assauts de la belle, comprend qu’elle va pouvoir enfin participer. Arrivé au dessus de la figure de Maryvonne, Daniel lâche son engin et d’une main experte Maryvonne le récupère pour
déjà le présenter à sa bouche. Tout en le branlant, sa langue pointue lui titillent déjà les couilles.
Daniel a maintenant le fessier de la belle à porté des mains. Délicatement, il relève la courte jupe en passant les doigts dessous et marque un temps d’arrêt en découvrant avec bonheur que celle-ci porte des bas maintenus par un porte-jarretelles. Le fessier séparé en deux par un string de la même couleur que le porte-jarretelles, est encore plus rond et plus ferme qu’il ne l’avait imaginé en le voyant quelques instants plus tôt. Appliquant ces deux mains un peu froide sur les fesses de l’inconnue, il n’arrête pas alors de décrire des cercles sur le postérieure de la belle, qui, agréablement surprise, relève enfin la tête. Pensant apercevoir les mains de Maryvonne, elle est encore plus surprise de s’apercevoir que leur duo se transforme en trio et bien que ne comprenant pas comment cela a pu se produire, et pas plus déconcertée que cela, elle retourne à sa besogne. Maintenant, Maryvonne a pris le sexe de Daniel en pleine bouche. Ses lèvres vont et viennent le long de sa verge tandis que sa langue humide glisse de ses couilles à son gland, pendant que ses doigts agiles lui caressent les bourses. Daniel continue de câliner le cul aguichant et bien cambré de la belle. Ses doigts courent le long des cuisses gainées de nylon, se glissent tantôt sous les élastiques de son porte-jarretelles et saisissent tantôt les hanches pour revenir dorloter ce fessier offert. Voyant que la situation se fige un peu, et attisé par le déroulement des choses, il décide de prendre la direction des opérations. Subitement, délaissant les fesses de la belle et s’arrachant à la bouche de Maryvonne, il contourne le lit pour se placer devant la belle avec la ferme intention de se faire sucer par celle-ci. Sentant le mouvement, toutes les deux comprennent la tournure des évènements et cela se passe sans échanger un mot. Lorsque l’inconnue relève la tête pour happer le sexe de Daniel qui se présente à sa bouche, quelle surprise pour celui-ci de découvrir qu’en fait, la belle était en train de sucer un god que Maryvonne s’était attacher autour de la taille.
Néanmoins, la bite que lui présente maintenant Daniel a des proportions plus importante que celle du god même si elle n’est pas gigantesque. Et donc, la belle hésite, regarde sa copine et après un mouvement de tête de Maryvonne, elle comprend qu’elle ne peux faire autrement que de prendre la bite du gars en bouche. Hésitant encore, Maryvonne se mets à genou à côté de la belle, att la bite à Daniel d’une main et de l’autre amène la tête de la belle à hauteur de la queue par le menton. Dés lors, Maryvonne enfonce délicatement le sexe de Daniel dans la bouche à la belle rester ouverte de stupéfaction. Ainsi emboucher, les mouvements de Daniel font le reste et Maryvonne veille à ce que la belle ne recrache pas cette bite offerte si généreusement. La belle est un peu maladroite. Il est vrai qu’une bite ne se suce pas comme un god. Mais, elle a l’air doué et volontaire, et après quelques hauts le cœur, Maryvonne n’a plus besoin de lui tenir la tête. La belle empoigne la bite à Daniel et continue de la sucer en le laissant à son étonnement de voir une fille capable de faire des progrès si rapidement. Comme il essaye de soustraire son sexe à la caresse des lèvres de la belle pour retourner se planter dans la bouche de Maryvonne qui en meurt d’impatience, la belle serre le gland à Daniel entre ses dents et, du bout de la langue, pénètre le méat de cette queue, délicatement mais suffisamment pour qu’il ne s’échappe pas. Elle avait déjà vu faire cette pratique dans les nombreux films qu’elle avait pu regarder en compagnie de Maryvonne. Ainsi prisonnier de cette bouche, Daniel ne résiste pas plus et commence à prendre du plaisir car, à chacun des va et vient des lèvres sur la longueur de sa queue, il pousse maintenant des râles de plaisir de plus en plus longs. Dés lors, Maryvonne se glisse hors du lit et vient se mettre debout derrière la belle, le god pointé vers l’avant. Elle rejette la jupe de la belle par-dessus ses reins, et commence par lui caresser à son tour les fesses.
De cette manière, Daniel a une vue imprenable sur ce fessier rebondi. Les mains de Maryvonne s’activent sur le fessier bombé, les cuisses charnues. Jouant avec les élastiques du porte-jarretelles et avec la ficelle du string, elle pétrit ces fesses avec ses mains, mais elle y va aussi de sa langue, en les léchant. La belle prend vraiment du plaisir à sucer la queue à Daniel car elle ne se lasse pas de se la remettre en bouche après avoir honoré ces couilles par
quelques léchouilles. Daniel apprécie et encourage la belle en lui tenant la tête, en lui caressant les joues. Sous le regard attentif de Daniel, Maryvonne porte son index droit à sa bouche, l’humidifie bien de sa salive et le plus tranquillement du monde, le glisse d’un seul coup dans l’anus de la belle. Devant la quiétude de la scène, Maryvonne commence un va et vient avec son doigt tandis que son autre main att son god. Retirant son doigt, elle pose alors le bout du god sur la rosette de la belle et pousse lentement. Devant ce gland, qui est plus gros que le doigt de Maryvonne, le petit cul étroit de la belle se dilate progressivement, ce qui lui permet d’avaler cette queue qui n’est certes pas géante mais qui devrait être suffisamment grosse et grande pour le combler. Pour habi la belle à l’engin, Maryvonne entre et sort quatre ou cinq fois en l’enfonçant un peu plus profondément à chaque mouvement. Daniel n’en revient pas et abandonne la bouche de la belle pour se reculer et mieux apprécier le spectacle qui s’offre à lui. Apparemment, les deux filles n’en sont pas à leur coup d’essai car toutes les deux savent très bien comment faire avec l’autre. Croyant le god bien planté au fond de son cul, la belle commence à savourer cette sodomie lorsque soudain, Maryvonne prend ses fesses à pleines mains et écarte délicatement les globes tout en poussant en avant avec ses reins. Cela lui a fait gagner encore un peu plus de longueur ce qui surprend agréablement la belle qui se pâme, qui se sent investi entièrement. Maryvonne entame alors un va et vient très lent , mais très profond. Daniel est venu se replacer dans la bouche de la belle qui n’arrête de le regarder depuis le début de son enculade. Alternativement, elle branle sa queue tout en lui suçant ses couilles et suce sa queue en lui pelotant les couilles. Maryvonne lime depuis un bon moment la belle qui commence, elle aussi à prendre son pied en allant au devant des coups de reins de son enculeuse. En même temps, en travers de la bouche de la belle, le sexe de Daniel se déchaîne. Sortant la queue de sa bouche en la prenant dans sa main, la belle se la promène partout sur son visage, lui caresse les bourses, les lèchent, puis engouffre de nouveau cette queue au fond de sa gorge. Maryvonne sodomise maintenant sa copine à un rythme effréné. Le cul en feu, la belle ne va pas tarder à sentir se déclencher son premier orgasme. Mais, elle veux voir Daniel jouir avant elle. Redoublant ses sucions, au bord de l’, la langue de celle-ci s’énerve. Excitée, au bord de l’orgasme, ne pouvant plus se retenir, sentant le sperme monter dans sa colonne de chair, Daniel ressort sa bite de la bouche de la belle, se la branle un peu et la lui remet dans la bouche en une fois, sur toute la longueur. Et quand son gland bute contre la paroi de la gorge de la belle, elle a l’impression d’être transpercée. Transpercée aussi dans son cul par Maryvonne qui sentant arriver l’instant fatidique s’agrippe à ces hanches et la bourre furieusement. Finalement, un violent orgasme les secoue tous les trois. Daniel décharge intensément sa semence épaisse au fond de la gorge de la belle qui occuper à son orgasme n’a pas eu le réflexe de retirer cette queue de sa bouche. Mais en gourmande qui sait apprécier les bonnes choses, la belle ne recrache rien. Maryvonne a quitté le cul de la belle pour s’empresser de venir lui rouler une pelle afin de profiter de ce liquide qu’elle aime tant. Ne voulant pas en perdre une goutte, les deux filles se pourlèche les lèvres. Elles entreprennent aussi de nettoyer la queue de Daniel en la lui léchant, en même temps. Maryvonne n’en peux plus, morte de fatigue, elle s’écroule sur le lit. Enlevant son god, elle se glisse dessous la belle afin de soustraire à sa bouche le sexe de Daniel pour y plaquer sa chatte à elle qui réclame quelques attentions. Maryvonne a besoin de sentir cette langue, qui a tant fait jouir Daniel, lui sucer sa moule dans tout les recoins. La belle ne rechigne pas et plus naturellement qu’elle l’avait fait pour Daniel, elle entreprend de sucer cette chatte offerte. Daniel ne veux pas en rester là non plus. Quittant son unique vêtement précipitamment, il fait comprendre aux filles qu’il en veux plus. Maryvonne n’est pas contre car elle aussi aimerait se faire baiser car ce qu’elle a donné à la belle la mise en appétit. Seule la belle hésite. Mais Maryvonne lui dit qu’elle ne peux plus reculer et qu’elle doit aller au bout de ce qu’elles ont commencé. La belle retourne à son délice et recommence à sucer ce fruit si délicat que
les cuisses entrouvertes de Maryvonne lui offre. Daniel décide de se faire pomper le dard, une nouvelle fois mais par la bouche de Maryvonne. Celle-ci ne se fait pas prier et englouti d’un coup la bite de Daniel sur toute sa longueur. Les bruits de sucions vont bons train des deux bouches. Maryvonne et la belle sont en fait en position de soixante-neuf. Quant à Daniel, il se tient debout au dessus de la tête de Maryvonne, avec le derrière de la belle devant lui et donc, tout naturellement, il entreprend de lui remettre les mains au panier, fesses encore humides de ce qu’elle viennent d’endurer. La belle ne veux penser qu’à ce qu’elle fait et pas à ce qu’il va lui arriver, car elle se doute bien de ce que Daniel à envie de lui faire. La belle préfèrerait que ce soit Maryvonne qui débute le bal mais elle ne veux pas non plus laisser une autre bite se planter autre part que dans la bouche de Maryvonne. Et donc, c’est la belle qui se sacrifiera et qui accueillera la queue de Daniel en son intérieur. De toutes façons, elles étaient venues pour cela, elles n’y croyaient pas mais maintenant, le rêve devient réalité. Daniel sort sa queue de la bouche de Maryvonne qui mécontente de ne pouvoir continuer sa besogne chérie, se réjouit néanmoins de ce qui va se passer, car elle se doute aussi des intentions de Daniel à l‘égard de sa copine. Daniel att sa bite et la présente au fessier de la belle avec la ferme intention de la lui planter au milieu des fesses. Alors Maryvonne réagit et saisit la queue de Daniel pour prendre la direction des opérations. D’un doigt inquisiteur, elle masse le petit trou brun de la belle et de son autre main, elle branle la queue de Daniel. Elle présente maintenant le gland de cette bite sur la rosette de la belle et commence, en écartant doucement les fesses, a y introduire progressivement le sexe de Daniel. La belle a cessé toute activité buccale sur sa maîtresse et se concentre sur cette queue qui va la pénétrer. La belle la voulait mais elle la redoutait, Maryvonne le sait et sera alors prudente. Sachant que c’est la première vraie sodomie de sa copine, avec une vraie bite, Maryvonne investit avec la queue de Daniel le cul de la belle lentement, délicatement, adroitement… bref, expertement car elle sait. La queue est entrée à la moitié de sa longueur et la belle n’a toujours rien dit d’audible, à part quelques petits grognements. Elle subit son enculade par cette vraie queue guidée de la main de sa maîtresse. Daniel se laisse faire et contemple la scène. Lui qui devrait être en train de se reposer après une nuit de travail, il n’espérait pas meilleures choses. La belle tremble de tout son corps. L’épreuve du transpercement qu’elle subit lui fait mal mais elle sait qu’il faut en passer par là si elle veux continuer à voir Maryvonne, sa maîtresse. La queue de Daniel à maintenant disparue en totalité dans le cul de la belle et Maryvonne apprécie le courage de sa suppliciée. Daniel entreprend de reprendre la direction de l’enculade de la belle par quelques petits mouvements de va et vient afin de l’habi aux proportions de sa queue qui n’est certes pas hors normes mais lorsque, comme il en a conscience, il s’agit d’une première fois. Les yeux rivés sur le cul de sa belle qui a la ficelle de son string sur le côté car ils n’ont pas pris la peine de le lui enlever, Maryvonne regarde la bite de Daniel entrer et sortir de ce cul qu’elle a si souvent possédé. La belle s’accoutume à cette intrusion car son anus se dilatant par les mouvements répétés de Daniel laisse place à un sourire retrouvé sur son visage et des râles sortir de sa gorge à la place des grognements du début de son enculade. La belle revient plaquer sa bouche sur la chatte de Maryvonne pour confirmer son acceptation à cette sodomie à laquelle elle commence à prendre plaisir. Elle lui broute tendrement le minou, puis de façon vorace et Maryvonne autorise ces léchouilles qu’elles attendaient tant. Les yeux toujours fixés sur le cul de sa belle qui se fait enculé par Daniel ainsi qu’elle le lui avait promis, Maryvonne n’entend pas en rester là. Certes, sa belle se fait enculer sous ses yeux fascinés, sa belle lui pourlèche sa chatte en la doigtant de son pouce agile, mais Maryvonne ne peux pas rester inactive. Ecartant le string de sa belle sur le devant, Maryvonne en sort une queue qu’elle savait trouver là. Une belle queue toute raide et bien proportionnée, une belle queue toute maculée de sperme que la belle a craché dans son string lorsque Maryvonne la pénétré avec son god, une belle queue qu’elle s’empresse de se mettre en bouche afin de la sucer
amoureusement. Depuis le début de leur petit jeu de la matinée, elle en rêvait car Maryvonne adore aussi suçait la queue de Jean-Michel. Jean-michel ou la belle, la belle ou Jean-michel: peux lui importe à Maryvonne, ce qui compte, se sont les parties de sexe qu’ils jouent ensemble. De part les mouvements de tête de Maryvonne sur la bite de son amant pour l‘enfourner au fond de sa gorge, Daniel, ne s’étonne même pas de ce qu’il vient de vivre tant il est vrai que la belle Jean-Michel l’a trompé car elle paraissait encore plus femme et plus belle que nombre de celles qu’il avait possédées jusqu’à aujourd’hui. Et Daniel ne s’arrête pas de sodomiser Jean-michel, et la belle accepte encore et encore sa queue au plus profond de son cul. Et afin que la séance de baise soit totale, Maryvonne change le tableau d’une seule phrase. L’une des rares qui est été prononcée depuis le début de leur trio amoureux. Alors, chacune n’enlève que le strict minimum de vêtements, c’est-à-dire leur petite culotte qu’elles avaient conservée précieusement jusqu’à maintenant. Maryvonne se couche sur le dos, en ayant pris soin de remonter sa robe jusqu‘à la taille, quittant à regrets le spectacle de cette queue défonçant le cul de sa belle, mais ainsi sa belle, à genoux entre ses cuisses repliées, peux lui planter sa queue dans sa chatte qui n’avait jusqu’à lors reçue que des caresses buccales. Maryvonne attendait ce moment et le désirait plus que tout. La bite de Jean-Michel fait des merveilles entre les cuisses de sa maîtresse. Daniel quant à lui peux reprendre possession du cul de la belle Jean-michel qui n’en attendait pas moins et c’est avec la plus grande facilité que sa queue rentre entre les fesses de la belle qui n’en souffre plus tant son anus est dilaté. Les mouvements de Jean-Michel pour baiser sa Maryvonne, ajouter aux mouvements de Daniel pour sodomiser Jean-Michel ne rendent pas facile au départ cette séance de baise à trois. Mais avec un peu de discipline, ils s’accordent, ensemble, tous les trois. Les plaintes de plaisir fusent de tous les côtés. Maryvonne a pu faire ce qu’elle voulait de son amant et celui-ci lui en a même donné plus, dans le feu de l’action. Maintenant, elle ne savoure plus que son plaisir d’être pistonné par la queue de Jean-Michel. Et l’orgasme qui monte en elle n’est pas feint et c’est tout naturellement qu’elle jouit avant même que Daniel n’en a fini dans le cul de Jean-Michel. Daniel se rendant compte que Maryvonne a prit son pied, propose à celle-ci qu’il la prenne « en sandwich ». Qui dans son cul, qui dans sa chatte. Mais, vigoureusement, elle refuse l’offre alléchante en justifiant une prochaine fois et la fatigue du moment. Daniel, terrassé par la fatigue, lui aussi, n’en demande pas plus; déjà bien heureux de ce qu’il vient de vivre et regagne sa chambre sans se faire prier. Quant à Maryvonne et Jean-Michel, comblés, ils s‘endorme dans les bras l’un de l’autre non sans que Jean-Michel est refourré sa queue au plus profond de la chatte de sa salope. FIN.

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