Les Histoires Érotiques Du Couple Warda Et Slim Episode Huit : Le Retour Du Père
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Episode huit : Le retour du père
Je ne revis Warda que deux semaines plus tard. Deux semaines au cours desquelles je me suis beaucoup morfondu. Non seulement Warda me manquait, mais jétais aussi très inquiet pour elle. Elle mavait raconté que Mohand le père de Sofiane et de Kamel sétait de nouveau manifesté pour réclamer son épouse. Et en même temps, mavait-elle annoncé, il exigeait sa présence à elle. Elle ne men avait pas dit plus. Toutes sortes de mauvaises pensées sentrechoquaient dans ma tête. Et mon imagination délirante aidant, toutes sortes de scénarii, tous aussi noirs les uns que les autres, envahissaient ma pensée.
Jétais plusieurs fois tenté dappeler Slim, pour prendre des nouvelles de sa femme et minquiéter de son silence. Je voulais lui demander de méclairer sur ce qui était entrain de se passer et surtout de me rassurer sur la situation de son épouse. Je navais pas osé aller jusque là. Il me fallait rester dans mon rôle de chroniqueur et ne pas interférer dans la vie de Warda et de Slim. Mais cette période de silence de Warda, mavait fait vraiment prendre conscience de limportance quelle avait prise dans ma vie. Elle métait devenue aussi indispensable que lair que je respirais. Bien que sachant que je navais absolument aucune chance de faire partie de sa vie réelle, je ne pouvais mempêcher de rêver delle et despérer quun jour, elle soit fatiguée de sa vie de libertine et quelle finisse par déposer ses bagages déternelle voyageuse de lamour, pour venir jeter lancre auprès de moi. Je voulais devenir son nouveau et dernier port dattache.
Jen étais là dans mes pensées, quand au bout du quinzième jour, Warda, me téléphona pour me donner rendez-vous pour le lendemain. Elle voulait que je linvite à diner. Elle avait beaucoup de choses à me raconter me dit-elle. Dune part elle devait mexpliquer son silence de deux semaines et dautre part, mannoncer quelle préparait un voyage en France, pour y rencontrer quelquun dexceptionnel.
Je sentais avec angoisse, que jétais entrain de devenir jaloux. Je ne voulais pas quelle parte en France. Il me semblait que si elle quittait le pays, même pour un simple voyage dagrément, elle ne reviendrait plus et que je la perdrais pour toujours. Mais quand je la vis pénétrer dans notre petit restaurant du centre dAlger, plus belle et sensuelle que jamais, toutes mes angoisses seffacèrent. Il ne restait plus que le bonheur discret et secret de lavoir à mes côtés pour une heure ou deux.
- Bonsoir ma grande ! lui dis-je en guise de bienvenue. Voilà une trotte que je ne tai vue. Tout va très bien pour toi, jespère !
- Bonsoir ! Oui tout va très bien ! Tu ne vois donc pas que je suis heureuse !
- Raconte !
Et voilà comment Warda, redevenue Shahrazade, me raconta ses aventures amoureuses pendant cette quinzaine de jours, au cours desquels elle ne mavait plus donné de ses nouvelles et mavait laissé me morfondre.
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Quelques jours seulement après le retour en France de Kamel et Emmy, Aïcha reçut un coup de fil de son mari qui venait de rentrer dun voyage daffaire en Allemagne. Il demandait à sa femme de rejoindre le bercail, pour tout le temps quil restera à la maison. Il lui demanda aussi exigea serait plus juste que je vienne avec elle. Il ne lui expliqua pas une telle exigence, quil navait encore jamais formulée auparavant.
Dun côté Aïcha était assez contente de retrouver son mari et ses coups de reins de taureau, mais dun autre, elle appréhendait un coup fourré de sa part. Il en avait déjà beaucoup montés, depuis quelle était devenue son épouse. Elle supposait quil sétait simplement rappelé tout le plaisir quil avait pris à me tirer la dernière (et seule) fois où il mavait rencontrée et quil espérait recommencer une autre fois.
- Aïcha a raison, dit Slim. Cest sûr que Mohand est en manque de sexe et quil veut une autre femme, à côté de la sienne. Deux superbes nanas pour un seul mec ! Quel pied ! Je pense quil faudra y aller, pour ne pas lenrager et le pousser à garder définitivement sa femme. Ce serait une catastrophe pour nous ! Et puis, je pense que toutes les deux meurent denvie de gouter une fois de plus au formidable coup de rein de Mohand. Jai tort ?
- Non ! répondit Aïcha. Cest vrai que Mohand est un vrai taureau au lit ! Il me fait chaque fois grimper aux rideaux ! Il ne tombe jamais en panne ! Et Warda aussi, ma avoué quelle avait beaucoup aimé se faire piner par mon mari ! Donc nous y allons ensemble et advienne que pourra !
Nous partîmes donc, dans la fameuse voiture noire de Sofiane, qui nous accompagna jusquà lentrée de la belle villa de Mohand et Aïcha. Il nous lâcha là, après avoir donné à chacune de nous un léger baiser et nous avoir envoyé une illade coquine en guise dencouragement. Aïcha avait ses clés. Elle ouvrit la porte dentrée de la maison qui donnait sur le jardin et nous entrâmes, nous attendant à trouver Mohand sur le palier de la maison. Il ny était pas. Il devait donc être à lintérieur. Aïcha ouvrit donc la porte de la villa et nous y entrâmes. Un bruit de musique de la musique classique !- totalement incongrue dans ce lieu, parvenait du salon. Nous y allâmes et trouvâmes, non pas Mohand, mais un géant blond, véritable armoire à glace, immense et massif. Il ne nous vit pas tout de suite, occupé quil était à écouter un morceau de musique joué par un grand orchestre (je sus par la suite quil sagissait de la symphonie héroïque de Ludwig van Beethoven, joué par lorchestre dHerbert van Karajan) et à mimer le chef dorchestre avec ses bras et ses mains.
- Bonjour ! dis Aïcha pour manifester notre présence.
Lhomme arrêta la direction fictive de lorchestre qui jouait, se retourna et sembla étonné de se trouver en face de deux belles femmes.
- Bonjours ! répondit-il avec un fort accent, que je mis un peu de temps à reconnaître. Je suis Frantz, un ami et partenaire de Mohand. Il est sorti régler un petit problème et ma demandé dattendre gentiment son épouse. Vous êtes certainement Aïcha, la femme à Mohand, dit-il en regardant mon amie.
- Oui ! Et voici Warda, mon amie ! Mettez-vous à laise et faites comme si on nétait pas là. Continuez à faire le chef dorchestre ! Cétait très mignon, se moqua-t-elle gentiment.
- Je vais éteindre la chaîne ! Vous êtes splendides ! Toutes les deux ! Mohand mavait averti que je serais ébloui par la beauté de son épouse ! Il avait tout faux ! Je suis aveuglé par la beauté de deux merveilles !
Flattées, nous nous mîmes à dévisager lhomme sans vergogne et sans honte ! Il était vraiment à croquer, même avec sa carrure darmoire à glace. Il se dégageait de lui une telle force et une telle virilité, que je sentis tout de suite mon corps parcouru par des frissons. Des frissons que je connaissais maintenant parfaitement, et qui étaient annonciateurs de désir et dexcitation sexuels. Dans la seconde même où il se retourna pour nous regarder, je savais que je voulais cet homme là ! Quil me le fallait ! Je regardais Aïcha et je sus tout de suite quelle était dans le même état desprit que moi. Mais là, javais lavantage sur elle : elle se devait en priorité à son mari et moi jétais libre !
Lhomme était blond aux yeux bleus. Un bleu acier, qui semblait durcir son regard et le rendre menaçant. Mais la dureté de son regard était atténuée par la douceur du sourire quil avait en permanence sur les lèvres. Des lèvres fines, très légèrement ourlées, entourant une grande bouche, avec à lintérieur deux rangées de dents blanches, régulières, avec des canines pointues de carnassier. Il était vraiment massif, malgré sa très forte taille supérieure à un mètre quatre-vingt dix.
- Asseyez-vous, mesdames, dit-il avec son merveilleux accent chantant germanique. (Cétait un allemand originaire de Frankfurt, limmense port fluvial sur le Main). Je vais vous servir un rafraichissement.
Et comme sil était le maître de maison, il alla directement au bar, au fond du salon, prit deux verre, y versa du jus dabricot et nous les ramena. Nous lui prîmes les verres des mains et y trempâmes nos lèvres. Notre esprit à toutes les deux, était trop occupé à jauger le bonhomme, pour avoir vraiment envie dun rafraichissement. Moi je regardais Frantz (je trouvais ce prénom vraiment viril !) qui était debout devant nous et cherchais à deviner la taille de son sexe, dont le pantalon de jogging trop ample quil portait, ne laissait rien entrevoir. Je supputais un énorme vit, proportionnel à la taille du bonhomme. Jen bavais déjà.
Ce fut le moment que choisit Mohand pour faire son apparition. Javais entendu vaguement le moteur dune voiture qui sétait arrêtée devant la maison et repartir presquimmédiatement. Mais jétais tellement occupée à dévorer mon allemand des yeux, que je ny prêtais aucune attention. Il entra dans le salon silencieusement et se mit à observer la scène que nous formions tous les trois. Deux femmes assises sur le canapé entrain de baver devant un bel apollon.
- Fermez un peu votre bouche ! Vous bavez tellement que cen est indécent ! Il est beau nest-ce pas ! (Cétait moi quil regardait). Jai besoin de toi pour toccuper de lui ! me dit-il. Frantz et moi sommes en affaires. Je lai invité à passer une dizaine de jours de vacances dans le pays et je lui ai promis de lui faire visiter le Grand Sud. Nous partirons tous les quatre, demain matin, vers Djanet. Nous ferons un safari de quelques jours dans le Tassili et le Hoggar.
- Mais moi je ne peux pas partir, sans laccord de mon mari ! rétorquai-je, plus pour dire quelque chose, que pour mopposer à la décision quil avait prise sans nous consulter, sa femme et moi. Et puis, il y a mon travail ! Je ne peux pas mabsenter comme cela, à ma guise !
- Cest déjà réglé ! Ton patron ne peut rien me refuser et je lai déjà informé que tu tabsenteras une dizaine de jours. Quant à ton mari, tu lappelles et tu linformes ! Idem pour Sofiane, qui devra lui aussi patienter avant de retrouver Aïcha, ma femme et sa belle-mère.
Il disait cela dun air moqueur, sachant quaucune de nous nallait sopposer à lui. Il tendit le bras vers sa femme pour linviter à le suivre. Je devinais bien pourquoi ! Aïcha ne se fit pas prier pour prendre la main tendue et partir avec son mari vers une chambre à létage. Nous restâmes seuls Frantz et moi, nous regardant, presque timidement. Jattendais quil fasse le premier pas. Je savais bien que Mohand nous avait laissé seuls pour que lallemand, à qui il avait certainement parlé de moi et de mes tendances de nymphomane, passe du bon temps dans mes bras.
- Vous êtes marié ? dis-je, juste pour dégeler latmosphère.
- Oui ! Et jai deux s ! Un garçon Herbert et une fille Mercedes. Dix-huit et seize ans ! Ma femme est restée en Allemagne pour gérer mes affaires, pendant que je prends un peu de bon temps.
- Elle a confiance en vous ? Elle sait que vous allez la tromper avec une algérienne ?
- Elle me trompe aussi ! Pour cela, nous sommes un couple libre ! Nous ne faisons plus lamour ensemble depuis une dizaine dannées. Elle a ses amants et jai mes maîtresses ! Et cest très bien ainsi ! Même les s sont au courant et acceptent la situation.
- Tu me trouves belle ? (Je passais subitement au tutoiement, pour lui montrer que jétais bien disposée envers lui, et que cest maintenant à lui de conclure)
- Plus que cela ! Mohand mavait promis une femme extraordinaire de sensualité ! Et tu es bien cela ! Tu es belle ! Tu as les formes dune vraie pin-up et, si tu regarde le devant de mon pantalon, tu verras combien il est tendu !
Cest vrai que le devant de son pantalon ressemblait à une tente, tant il était tendu. Il était toujours debout devant moi, à environ deux mètres. Je tendis les bras pour lui signifier de sapprocher. Il le fit, dun pas encore hésitant, comme sil ne savait pas encore comment sy prendre avec moi. Je tendis la main droite vers le sexe qui tendait le tissu du pantalon de jogging et eut une vraie secousse électrique en le touchant. Il paraissait vraiment énorme ! Mes lèvres eurent immédiatement un sourire de lionne affamée. Le plat me paraissait vraiment prometteur. Je le caressais tout doucement, rien que pour mhabi à le toucher, puis je memparais fermement du manche en essayant de le prendre dans ma main. Jeus du mal à en faire le tour avec une seule main. Il était vraiment gigantesque.
Je voulais le voir. Sans plus attendre je glissai deux doigts de part et dautre de lélastique du pantalon et dun coup brusque je le rabaissai jusque sur les genoux. Et le miracle de la nature, libéré de sa prison de tissu, vint narguer mon regard et mes sens. Il était long, gros, lisse avec un chapeau pointu. Il était complètement épilé et frémissait de désir. Je le repris dans ma main et essayait de le branler. Un autre miracle se produisit, non seulement il était beau, mais en le branlant je me rendis compte que la peau était mobile et quen le masturbant, elle recouvrait le gland. Un zob non circoncis ! Avec un prépuce qui nétait pas totalement tendu et qui recouvrait et dénudait le gland en fonction des allers-retours de ma main. Je me dis que le zob de mon partenaire pouvait encore grandir ! Un bonheur pour la nymphomane que jétais entrain de devenir !
Je regardais Frantz dans les yeux pour essayer de deviner ce quil pensait et surtout ce quil voulait que je lui fasse, ou que lui me fasse. Il avait ouvert la bouche pour mieux respirer et il poussait des petits gémissements de plaisir. Il aimait ce que jétais entrain de lui faire. A son regard qui brillait de mille étoiles, je compris quil me laissait la conduite des évènements. Quil était à mes ordres ! Que je pourrais lui faire faire ce que je voulais ! Je voulais embrasser le monstre et sentir son odeur. Je voulais sentir sous mes lèvres les palpitations de la grande veine bleuâtre que je voyais battre au dessous du gland. Je voulais lécher les couilles qui étaient tellement contractées quelles ressemblaient à une belle pierre ronde, un peu mate et très dure.
Japprochais ma bouche du monstre et immédiatement je fus frappée par lodeur dhomme qui se dégageait de lendroit. Une odeur forte et aphrodisiaque: une odeur de propre et de musc. Une odeur qui menivra immédiatement. Je humais avec délectation, avant de poser mes lèvres sur le gland et sortir ma langue pour le titiller. Je le sentis qui se crispa et qui posa ses immenses paluches sur ma tête, sans appuyer; rien que pour me faire comprendre quil adorait la sensation que lui procurait mes lèvres et ma langue sur son sexe. Il semblait surtout aimer que je lui titille le gland. En effet à chaque fois que mes lèvres revenaient sur lui, je sentais une pression plus forte de sa main sur ma tête et entendais un gémissement plus sonore. En même temps que jembrassai et léchait son sexe, je continuais à le masturber en jouissant presque à la vue du gland que la peau du prépuce recouvrait puis dénudait. Cétait une vision de paradis, quaucun des zobs des hommes que jai connus jusquici, ne mavaient encore donnée.
Jétais curieuse de connaitre la sensation quun tel sexe, non circoncis, allait me procurer quand il soccupera de ma chatte et de mon cul. Il me semblait que lélasticité de la peau du prépuce allait encore accroitre la longueur du chemin, que le beau vit allait faire à lintérieur de mes tunnels. Jen bavais par avance. Je voulus me faire tirer tout de suite. Je voulais connaître immédiatement la sensation dêtre possédée par mon allemand; mon « gaouri », non circoncis. Je savais que lui attendait que je lui fasse dabord une belle fellation et quil ait une première jouissance dans ma bouche. Mais moi je voulais dabord jouir, avoir un très fort orgasme. Peu importe le trou par lequel, il arrivera.
- Baise-moi ! ordonnais-je subitement.
Il semblait surpris par ma demande. Et ne répondit rien. Je me levais, enlevais ma jupe en un tour de main et restait en petite culotte de soie noire. Jallais immédiatement me mettre à quatre pattes en travers du canapé et attendis quil prenne lui-même la décision de me piner par le cul ou par le vagin. Je tournai la tête pour regarder ce quil allait faire. Il resta un long moment immobile à regarder, avant de savancer et poser son énorme main droite sur mon cul. Il tâta un court moment mes fesses et je sentis un doigt, puis deux aller et venir le long de la raie de mes fesses, par-dessus ma culotte. Le cochon voulait menculer ! Jattendis avec impatience ce quil allait faire.
Je sentis ses doigts sinsinuer à lintérieur de lélastique de ma petite culotte et tirer de manière à ce quelle descende jusque sur mes genoux. Puis les mêmes doigts que tout à lheure reprirent possession de la raie et allaient et venaient lentement, en sattardant, chaque fois un peu plus longuement, sur lanneau de mon anus. Il avait été largement ouvert par les gros zobs de mes amants, mais il me semblait que les gros doigts de mon allemand avaient du mal à y pénétrer. Il retira ses doigts un court instant. Je me retournais pour voir ce quil était entrain de faire. Je le vis cracher sur sa main et venir enduire mon anus avec la salive quil avait crachée. Il recommença deux fois en essayant de faire pénétrer les deux doigts à lintérieur de mon boyau. Il y arriva au bout de la troisième fois.
Il fit faire à ses doigts des mouvements de pénétration de mon cul, tout en les tournant et retournant à lintérieur pour ouvrir encore plus mon anus. Il les retira au bout denviron une minute et je le vis qui cracha une fois encore dans sa main droite pour en enduire, cette fois-ci, son zob pour quil pénètre plus facilement mon cul. Je fermais les yeux et me mis en attente du monstre qui allait me défoncer le cul. Je savais quil allait me faire très mal. Mais je voulais absolument ressentir cette sensation dêtre possédée par cet immense zob deuropéen non circoncis. Je voulais connaître leffet quil ferait dans mon boyau. Je sentis le gland dur et pointu se poser un moment à lentrée de mon anus, attendre un court moment et pénétrer, dun coup brusque, jusquau fond de mon cul.
- Aiiiiieeeee ! hurlai-je. Doucement ! Ça fait trop mal !
Javais beau mattendre à ressentir de la douleur, mais pas avec une telle intensité !. Cétait vraiment comme sil me déchirait lanus. Je mattendais dailleurs à sentir couler le sang, tellement javais limpression quil mavait blessée. Frantz ne tint aucun compte de mes protestations. Il avait lhabitude dentendre crier ses maîtresses, victimes de son monstre. Il revint lentement vers lentrée de mon cul et repartit aussitôt avec la même force que tantôt. Je criais encore très fort, dans lespoir quil arrête un moment; le temps que la douleur sestompât. Il nen fit rien. Il repartit de plus belle, avec la même puissance. Puis petit à petit, mes cris de douleur sestompèrent, remplacés par des petits cris de plaisir, qui devinrent rapidement des hurlements.
Je sentais maintenant toute la douceur du membre. Je me limaginais à lintérieur, sallonger jusquà vouloir ressortir par ma bouche. Jimaginais le prépuce qui recouvrait et découvrait le gland au fur et à mesure quil allait et venait dans mon cul. Et jentendais, par-dessus mon épaule, entre lintervalle de mes hurlements, les gémissements de mon amant, qui semblait être monté au ciel en même temps que moi. Il me tirait, toujours à la hussarde, avec la même énergie, à un rythme de plus en plus rapide et avec de plus en plus de vigueur. Je savais quil nallait pas tarder à jouir. Mais moi je voulais quil reste encore longtemps dans mon cul. Je me sentais tellement bien avec le monstre à lintérieur de mon rectum, que javais peur de la sensation de vide quil allait créer en en sortant.
Je continuais à hurler de plaisir et javais envie de parler ! Javais envie de dire ce que je ressentais ! Je savais que mon « gaouri » ne comprendrait rien ! Mais je voulais quil mentende lui dire que jadorais son zob ! Son gros zob dans mon cul ! Jhésitais encore à y aller, puis incapable de me retenir surtout que les mots, les phrases et les grossièretés que je voulais prononcer, étaient indispensables pour maccompagner dans ma jouissance.
- Plus fort avec ton gros zob ! Plus vite ! Déchire-moi le cul ! Jaime les gros zobs comme le tien ! Jadore les gros zobs dans mon cul ! Je le sens bien dans mon cul ! Il a trouvé sa maison ! Je suis aussi pressée quil soccupe de ma chatte ! De mon Hatchoun ! Zob ! Hatchoun ! Hatchoun ! Zob !
Et lorgasme arriva en moi comme un tsunami ! Il menveloppa totalement et me fit perdre toute conscience de mon corps et de moi-même ! Je nétais plus dans mon corps ! Dailleurs, je ne savais pas où jétais ! Je jouissais et cétait tout ! Et je jouis encore plus quand je sentis la première giclée dun sperme, brulant et visqueux, inonder mon cul et ressortir aussitôt, expulsé par le gros zob qui continuait à aller et venir à lintérieur de mon boyau. Jentendais mon « roumi » pousser un énorme cri de plaisir qui dura une éternité, avant de se transformer en sifflement. Il continuait à bombarder mon cul avec autant de force quau début et ne sarrêta que quand il neut plus une seule goutte de sperme à moffrir. Il saffala sur mon dos en lançant ses mains vers mes seins, pour les caresser un moment.
Je reprenais ma respiration, en restant à lécoute de ces immenses paluches qui malaxaient ma poitrine avec beaucoup de douceur. Jen étais toute étonnée: des mains si puissantes capables dune telle douceur ! Je me mis à ronronner comme une chatte repue et heureuse. Mon « roumi » pesait lourd et me fatiguait, mais je voulais quil reste encore longtemps comme cela, le sexe un peu ramolli toujours dans mon cul, les mains entrain de caresser mes seins et la tête posée entre mes omoplates. Il comprit que jaimais ce quil me faisait, mais ne tarda pas à se lever parce quil savait que je nen pouvais plus de supporter son poids. Il sortit de mon cul et vint sassoir à côté de moi sur le canapé. Comme mon cul coulait encore de tout le sperme quil avait reçu, je ne voulus pas me retourner pour massoir moi aussi à ses côté. Je descendis du canapé et me mis à genoux entre les jambes de lallemand.
Je regardais son bel engin, maintenant au repos, avec le gland complètement recouvert par le prépuce. Il avait pris la couleur marron de mes sécrétions anales. Je le regardais un moment, puis levais la tête pour faire un beau sourire à Frantz, comme pour lui dire : « tu nas encore rien vu ! ». Je pris son sexe repus et mou entre deux doigts et avançai la tête. Je le regardais encore une fois en lui souriant, puis me mis à le lécher et à le sucer pour le nettoyer. Javais pris cette habitude avec mes hommes de leur nettoyer leur sexe après quil meût enculée. Mais dévidence Frantz ne sattendait pas à ce que je lui fasse une telle chose. Il se crispa un peu, puis se relâcha très vite avec la sensation de douceur et le plaisir quil prenait à se faire sucer ainsi.
Je voyais le beau zob de mon homme se remettre à frémir et donner des signes dérection. Oh bonheur ! Jallais voir le gland sortir de sa cachette, au fur et à mesure que le zob allait prendre du volume. Quel spectacle ! Je crois que jamais de ma vie, je ne me fatiguerai à regarder un magnifique zob non circoncis se mettre en érection ! Voir le gland tuméfié, sortir ainsi de dessous sa capuche et se dresser comme un sabre prêt à pourfendre chattes et culs, cest certainement le plus beau des spectacles pour une femme comme moi : une femme aimant le sexe et allant allègrement sur la voie de la nymphomanie aigüe.
Le zob de Frantz atteignit très vite des proportions monumentales. Je le regardais longuement (en bavant presque, tellement je le voulais encore en moi !) et levais la tête pour regarder le visage de mon homme. Il souriait en bavant lui aussi (un filet de salive coulait du coin de sa bouche, sans quil nen fût conscient) et gémissait de plaisir. Il avait aimé lopération de nettoyage de son engin et continuait de tenir ma tête pour que ma bouche poursuive son uvre. Mais moi je voulais maintenant autre chose. Je voulais mempaler sur le monstre et le sentir me remplir le vagin. Je ne voulais pas mallonger ou même me mettre à quatre pattes comme tout à lheure, pour quil me tire en levrette. Non ! Ce que je voulais cétait de massoir sur son sexe et me lenfoncer moi-même à lintérieur de mon vagin. Je voulais le faire aller le plus loin possible dans mes entrailles.
Je me levai et allai me mettre à califourchon sur ses cuisses. Il comprit très vite mon désir et fit tout pour me faciliter la tâche. Il prit son engin dans une main et positionna le gland de manière à le mettre en dessous de mes grandes lèvres, qui coulaient de mouille, tellement jétais excitée à lidée de chevaucher le gros zob de mon « gaouri ». Quand je sentis le gland qui pénétrait doucement entre mes grandes lèvres, je massis brusquement et ressentis lune des plus belles sensations de ma vie de baiseuse. Le monstre glissa avec douceur le long de la paroi de mon vagin, qui le moulait parfaitement, et alla jusquau fond. Javais limpression quil avait parcouru des kilomètres à lintérieur de mon tunnel. Il me semblait aussi quil cognait sur quelque chose de dur à lintérieur de mon ventre et quil voulait le détruire. Ce furent mes fesses, cognant brutalement sur le pubis de Frantz, qui arrêtèrent cette sensation dun engin qui perforait mon ventre pour aller dans ma gorge et ressortir par la bouche.
Je maccrochais à la nuque de taureau de mon amant, en le regardant dans les yeux, avec le sourire gourmand de la lionne en chaleur. Pour la première fois, javais envie dêtre embrassée en même temps que baisée. Javais la bouche de mon homme en face de la mienne. Je nattendis pas quil fasse quoi que ce soit. Je lui roulai une pelle, tellement torride et humide, que tous les deux nous perdîmes toute notion de temps et de lieu. Plus rien ne comptait plus que ma langue qui occupait la bouche de mon homme et qui samusait avec sa langue et buvait toute la salive quelle pouvait ramasser. Plus rien navait de signification que ses énormes paluches qui tenaient ma taille et qui soulevaient mon bassin de plus en plus haut et de plus en plus vite. Plus rien ne comptait plus, sinon, cette sensation de douce brulure dans mon vagin, qui provenait du frottement du gland sur la paroi de mon tunnel.
Plus rien navait dimportance que cette jouissance que je sentais arriver avec force et puissance et qui allait minonder de bonheur dans quelques minutes. Et plus rien navait de valeur que le bonheur que je voyais dans les yeux de mon homme, que je sentais sur le point de jouir et déjaculer avec force. Lui et moi eûmes en même temps un orgasme très puissant qui le fit crier de plaisir et me fit hurler de bonheur. Quand il sarrêta de me soulever le bassin et de le redescendre pour que je mempale sur son engin, il membrassa sur les yeux et sur le front et fit la remarque suivante :
- Tu es une femme superbe ! Je croyais les femmes algériennes, et musulmanes en général, plus discrètes quand elles font lamour. On ma toujours affirmé que leur jouissance était discrète, parce que cétait mal vu de montrer son plaisir en se faisant tirer par un homme. Je suis heureux dêtre tombé sur une exception !
- Et moi, je suis heureuse de tavoir connu ! Je métais toujours demandée comme cétait que de se faire tirer par un zob non circoncis ! Et bien, jen redemande ! Cétait super !
- Quest-ce qui est super ? dit une voix derrière mon dos. Ne me dis pas que tu préfère le zob dun « gaouri » au mien ou à celui de tes autres amants !
Je ne répondis pas. Je me retournais seulement pour voir Mohand qui matait mon cul, encore posé sur le pubis de Frantz dont le sexe, un peu ramolli, était encore enfoncé à lintérieur de ma chatte. Il était nu et tenait par la main Aïcha elle-aussi, toute nue. Je voyais sa grosse moustache bouger comme si elle était entrainée par un tic de sa lèvre supérieure. Je connaissais ce regard de prédateur ! Je connaissais aussi cette expression de désir quil avait dans les yeux. « Il veut te tirer » me dis-je en moi-même. Je ne savais pas ce que je ressentais à ce moment précis: étais-je déçue dêtre dérangée alors que je navais encore atteint les limites du plaisir avec mon allemand ? Etais-je contente de retrouver la brutalité de Mohand, que je connaissais et que javais appréciée, les fois où il mavait tirée comme une chienne ? Etais-je jalouse de voir Aïcha, toute nue et belle comme le jour, devenir lamante de mon allemand, pendant que son mari allait soccuper de moi ?
- Viens toccuper du beau zob de Mohand, pendant que Aïcha soccupe de refaire bander ton boche !
Il me prit brutalement par le bras pour me faire quitter les cuisses de Frantz et mobliger à magenouiller par terre contre le canapé et à me mettre en position de levrette. Il bandait très fort. Je crois que cétait lidée quil allait me faire comparer deux types de zobs un non circoncis et un circoncis qui le faisait bander autant. Je neus même pas à retourner pour voir ce qui aller se passer. Je connaissais parfaitement mon homme. Je savais quil nallait prendre aucune précaution pour me tirer comme une chienne. Il baisait toujours comme cela, Mohand. Ses partenaires de jeu, nétaient que des chiennes, quil pinait sans état dâme et quil savait rendre heureuse parce quelle jouissait beaucoup, sous ses coups de reins et sous son magnifique zob.
Cétait bien comme cela que les choses se passèrent. Mohand me pénétra en force, en ahanant comme un bucheron. Et contrairement à Frantz qui était un amant silencieux, lui il adorait hurler des insanités, qui électrisaient ses sens et les miens.
- Dis à Mohand que cest lui qui te baise le mieux ! Dis lui que cest lui le maître de ton hatchoun ! Dis lui que tu adore mon zob dans ton hatchoun ! Dis-le ! Dis-le !
- Ouuiiiiii ! Ton zob dans mon hatchoun ! Zzzzzoooob ! Hatchooooooouun ! Zzzzzoooob !
Mohand continua à pilonner ma chatte à la hussarde et en puissance ! Je sentais quil nallait pas tarder à me faire jouir ! Je narrivais pas faire la différence entre les sensations que javais eu auparavant avec lallemand et celle que javais à présent ! Jétais bien ! Et javais encore envie de jouir ! Quimporte le zob ! Je voulais prendre mon pied et jallais le faire ! Sous les vigoureux coups de boutoir de Mohand, le mari de Aïcha qui était entrain de tailler une superbe pipe à lallemand ! Je sentais que mon partenaire aussi était sur le point de partir. Ses mots et ses phrases narrivaient plus à passer les limites de ses lèvres. Il bavait sur mon dos et avait du mal à respirer. Il allait avoir très rapidement une crise dapoplexie. Il accéléra encore plus ses coups de reins et je lentendis prendre une profonde inspiration et éclater dans mon vagin. Je sentis le sperme, moins abondant que dhabitude il avait dû beaucoup arroser sa femme, avant de soccuper de moi inonder mon vagin et ressortir en même temps que le jus que je déversais en quantité, en jouissant à mon tour. Ce fut une belle jouissance, plus calme que les deux premières, mais très agréable.
- Comment cétait ? dis Mohand, avec une voix dont je sentais percer un peu dinquiétude. Il baise mieux que moi, ce salaud qui est entrain de remplir ma femme de son sperme ?
- Cest différend ! Chacun de vous avez un super coup de rein ! Lui en plus, il un zob non circoncis qui donne un autre type de plaisir que le tien et ceux de mes autres petits amis ! Demande à Aïcha !
Aïcha ne pouvait pas répondre. Elle était entrain de pomper avec application le monstre que Frantz avait entre les jambes. En regardant le visage de lhomme, je sus quil nallait pas tarder à éjaculer ce qui lui restait de foutre (pas trop me dis-je, après les deux grosses éjaculations quil avait eu avec moi). En effet au bout de quelques secondes, je le vis qui retira brusquement son engin de la bouche de Aïcha, ouverte comme un hangar, tant elle avait du mal à faire pénétrer limmense zob, et se mettre à se branler vigoureusement. Jétais comme hypnotisée par cette peau qui recouvrait le gland puis qui le laissait apparaître. Aïcha aussi regardait avec admiration lengin qui allait cracher son foutre sur son visage. Je voulais aussi quil crache sur moi. Je vins me mettre à côté de mon amie, bouche ouverte, quémandant ainsi ma part du jus du « gaouri ».
Javais tout faux en pensant quil ne lui en restait pas beaucoup. Et bien il lui en restait assez bien que moins épais que les premières fois pour nous inonder Aïcha et moi. Une partie vint directement dans ma bouche, que javalais avec délectation. Une autre alla se nicher entre les seins de la belle Aïcha. Une autre encore lui inonda le cou et se mit à glisser vers son épaule. Elle était magnifique avec tout ce foutre sur elle. Elle me regardait avec ses yeux coquins, sachant que dès que notre amant aura cessé de déverser son foutre, jallais me jeter sur elle pour la lécher, la sucer et lembrasser. Je reçus la dernière gicle sur les lèvres, avant que notre merveilleux Frantz ne seffondre, complètement vidé, sur le canapé.
Je me tournais vers Aïcha et lui tendis les lèvres pour quelle membrasse et avale le foutre que javais à lentrée de ma bouche. Nous nous mîmes à nous lécher mutuellement, pour ramasser et avaler tout le foutre qui était sur nous. Nos hommes nous regardaient avec des yeux brillants. Sils nétaient aussi fatigués, jétais sûre quils nous auraient sauté dessus et repris une autre séance de tirage torride. Heureusement pour nous, ils étaient vraiment sur les rotules et se contentèrent de nous regarder faire et de se moquer de nous. Nous quittâmes rapidement les hommes pour aller nous doucher. Toutes les deux ensembles. Nous continuâmes à nous caresser et nous embrasser sous la douche pendant au moins une heure. Quand nous revînmes dans le salon, nous le trouvâmes vide, nos hommes étant allés eux aussi se doucher.
Nous passâmes le reste de la journée à nous promener Frantz et moi, surtout dans le jardin et au bord de la piscine. Mon amant allemand, semblait vraiment bien à mes côtés. Il me tenait par la main, comme un véritable amoureux et ne la lâcha pratiquement plus de la journée. Nous dormîmes ensembles lui et moi, sans rien faire de la nuit, sinon à nous serrer lun contre lautre. Mais au matin, je fus réveillée par un magnifique zob qui essayait de trouver sa route entre mes fesses. Il cherchait à me piner par la chatte, allongé derrière moi et en faisant des acrobaties pour trouver la bonne position : celle qui permettrait à son monstre, qui bandait très fort, davoir accès à mes grandes lèvres et à mon vagin. Ce fut bien sûr moi qui trouvai la bonne solution, en me mettant dans la position du ftus, offrant ainsi ma chatte baveuse et ouverte au maître zob. Ce matin là encore, je jouis comme une folle, en hurlant mon bonheur et en réveillant lautre couple, qui était resté très sage.
Nous partîmes tous les quatre à Djanet et passâmes une dizaine de jours extraordinaires, faite de découvertes touristiques et damour torride, à circuler dans limmensité du Tassili et du Hoggar. Frantz était le plus souvent avec moi. Tout ce temps là javais été sa femme et sa maîtresse attitrée; tout comme Aïcha était la femme de Mohand. Cela ne signifiait pas que lune et lautre, ne soffraient pas des instants de plaisir aussi intenses avec le mec attitré de lautre. Je crois que la dizaine de jours que nous avions passée ensemble avait vraiment été heureuse. Même Mohand, pourtant volage et inconstant, semblait très heureux de la manière dont se déroulaient les évènements. Il sétait comporté tout ce temps là, comme à son habitude, bourru et désinvolte, sauf en ce qui concerne le sexe.
Dans ce domaine, il rivalisait vraiment avec lallemand. Autant jaimais la force du sexe de Frantz qui avait aussi beaucoup de douceur et de tendresse au lit autant jadorais la brutalité de Mohand en amour. Quand il délaissait sa femme et venait vers moi, cétait un taureau en rut que je voyais arriver. Celui qui réagissait au quart de tour à la vue du chiffon rouge en loccurrence, mon cul dont il était devenu accro et qui fonçait tête baissée et zob en bandoulière. Jaimais vraiment sa manière de me posséder, de faire de moi, sa chose, linstrument de son plaisir. Je crois quà aucun moment, il navait cherché à me faire plaisir, pas même à me faire jouir. Mais il était tellement puissant, tellement endurant, que pas une seule fois, il navait joui seul, sans memmener avec lui au septième ciel.
Aïcha aussi mavait dit la même chose. Il ne cherchait jamais, à lui donner volontairement du plaisir, mais elle avait toujours eu son compte avec lui. Elle mavait même avoué quelle avait eu, en plusieurs occasions, deux ou trois orgasmes successifs, pendant que son mari la pinait et que lui nen avait eu quun seul. Il savait retenir léjaculation, non pas pour faire plaisir à sa partenaire, mais pour accroitre au maximum, lintensité de sa jouissance à lui. Il était égoïste, mais tellement puissant et endurant, que Aïcha et moi qui ne laimions pourtant pas beaucoup, adorions nous faire tirer par lui.
Puis ce fut le retour sur Alger et le départ de Frantz pour son pays. Il nous fit promettre de lui rendre visite à Frankfurt où dit-il, il nous accueillerait avec bonheur et nous offrirait un séjour aussi agréable que celui que nous lui avons offert ici. Peut-être bien que, Aïcha et moi, le prendrions au mot un de ces jours !
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