Amour De La Baise ?

Elle s'appelle Odette, jeune de 25 ans, très portée sur le sexe. Bien faite, brune à la peau mate elle a des yeux couleur bleu ciel. Elle dort toujours nue et dans la nuit elle se réveille quand sa main est sur son con. Elle écarte légèrement les lèvres et mouille deux doigts avec sa salive pour venir doucement flatter son clitoris. Elle jouit et se rendort. Au réveil elle prend son godemiché de bonne taille et se le met au con. Elle le fait aller et venir jusqu'à l'orgasme. Elle se lève ensuite, et toujours nue petit déjeune et prend ensuite une douche et, c'est plus fort qu'elle elle se passe le jet sur le sexe: elle écarte encore les lèvres du con pour que l'eau chaude lui donne encore une jouissance. Elle ne s'habille qu'après. Oh, ce n'est sorti d'un grand couturier, mais elle sait surtout mettre son corps en valeur: t-shirt tout simple un peu transparent, muni jupe qui n'arrive qu'au tiers supérieur de ses jambes. Quand il fait froid, elle se met quand même un manteau qu'elle laisse ouvert.
Elle travaille dans un bureau, seule: c'est une responsable chef de service. Elle fait toujours rapidement ce qu'elle doit faire et en suite elle appelle sa secrétaire, Aline pour lui dicter les premiers courriers. C'est l'occasion de tester les qualités de sa subalterne. Elle est assise les fesses sur son bureau, la jupe ne cachant rien de son anatomie: la Aline peut voir très en dessus du bas de la jupe et souvent le sexe rasé et mouillé. Il est très rare qu'Aline ne regarde pas le con de sa patronne, quelque fois elle ose y poser une main curieuse. Odette la laisse faire. Elle ouvre d'avantage ses jambes et donne le libre accès à son abricot. Là, Odette se laisse faire, elle aime se laisser branler, surtout par une autre fille. Elle se passe les mains sur sa poitrine pendant la durée de la masturbation.
Odette n'est pas égoïste: elle rend toujours le plaisir qu'on lui donne. Elle demande à Aline de se mettre à sa place elle enlève le léger string et les jambes ouvertes montrent un bas ventre rasé lui aussi.

Odette ne branle pas: elle aime le goût d'une vulve et passe sa tête entre les cuisses pour aller sucer le bouton de son employée. En principe personne ne les dérange et elles recommencent plusieurs fois dans la journée de travail.
Pourtant un matin le patron des patron de la boite, un homme de 50 ans environ les surprend pendant qu'Odette suçait Aline. L'arrivée intempestive aurait du faire cesser le manège. Au contraire la présence d'un tiers provoquait chez Odette une envie de triolisme. Elle aimait baiser à trois, surtout avec deux hommes. Mais sinon baiser avec deux femmes et un homme ne la rebutait pas. Le patron interloqué par ce qu'il voyait commençait à bander. Aline, se payant de culot lui prenait la queue dans son pantalon et la branlait doucement. Aline était sensuelle aussi.
Mais comment faire dans un bureau à trois ? Odette demandait à son patron de s'asseoir sur le fauteuil et elle se posait, le dos contre lui pour se faire mettre dans le cul. Aline s'installait entre les jambes du patron et venait sucer Odette. Cette dernière faisait des mouvements de plus en plus rapide. Elle sentait jouir son patron dans son anus. Aline finissait elle de se branler. Odette à son tour jouissait. Mais le patron lui était lessivé et ne demandait qu'à les laisser seules. La partouze avait était brève. Les deux filles se consolaient en se branlant une dernière fois.
En sortant du bureau Odette, comme tous les jours allait prendre un verre dans un café fréquenté par des hommes à la recherche d'aventures. C'était justement ce que recherchait Odette. Ce jour là elle avait convaincu Aline de venir avec elle chassait les perles rares. Elles trouvaient facilement: deux copains étaient près d'elle et leur faisaient du plat. Pourquoi pas eux Ils devaient bien baiser. Ils les invitaient dans un restaurant connu pour la qualité de sa cuisine. Ils s'installaient dans un coin retiré de la salle à manger: il y faisait sombre. Chacun à coté d'un homme, les filles se montraient entreprenantes: elle posaient les tête sur les épaules et ne rejetaient pas les lèvres qui se posaient sur leur bouches. Des mains se posaient sur leurs cuisses. Celui qui était avec Aline était le plus empressé: il montait rapidement sa main. Excitée elle le laissait faire jusqu'à ce qu'il lui mette la main au con. Il la branlait doucement et elle mouillait de plus en plus.
Le cavalier d'Odette était sans doute plus timide: il tardait à oser. Odette lui passait sa main sur le pantalon: il commençait à bander. Comprenant qu'il pouvait à son tour aller sur le sexe de la fille, il était étonné de ne pas rencontrer de sous vêtement. Finalement il embrassait Odette qui lui massait toujours la bite.
Aline se laisser aller à une jouissance sous la main de son "fiancé". Elle sortait la queue et se penchait pour la sucer. Malheureusement le maître d'hôtel arrivait. Quand il n'était qu'à trois mètres l'ordre était de rigueur à la table. Ils attendaient le serveur et ensuite ils reprenaient là où ils s'étaient arrêtés. Ils mangeaient d'une façon bizarre: une bouchée et ensuite un baiser ou un continuation de fellation.
En sortant ils allaient chez Odette: chez elle tout était fait pour baiser dans de bonnes conditions: lit et divan, tapis très épais et surtout plusieurs godemichés (peut-on dire qu'un godemiché est bisexuel ?). Odette offrait un verre, personne ne voulait quelque chose. Ah si baiser.
Pour exciter encore plus les deux garçons, les filles s'embrassaient à bouche que veux-tu. Les hommes se levait et entreprenaient les deux garces. Odette mettait le holà: chacun devait être nu. C'était très facile pour elle, à peine un peu plus pour Aline, les hommes mettaient plus de temps. Enfin les deux filles voyaient les bites bandées des deux garçons. Chacun avec sa chacune ils commençaient à se peloter. Odette aimait qu'on s'occupe de sa poitrine pendant qu'elle mettait une main sur les fesses de son amant. Aline prenait les choses comme elles venaient. Une main entre ses jambes écartée cherchait son bouton; elle guidait la main et gémissait quand enfin elle était branlée. Enfin le quatuor prenait place soit sur le divan soit sur le tapis. Le deux garçon s'encourageaient pour baiser le mieux possible: ce n'étaient pas des amateurs. Ils baisaient mais ne débandaient pas facilement. Les filles avaient une bite dans leur con et jouissaient pleinement de l'y avoir. Évidemment l'ambiance faisait que les filles jouissaient beaucoup et que les orgasmes s'enchaînaient. Enfin les queues crachaient leur venin dans les cons.
Pas de répit: Odette voulait qu'on la lui mette au cul. Satisfaite elle sentait que le gland passait le sphincter et que la bite allait bien au fond: elle aimait être sodomisée et pour parfaire son plaisir elle se branlait. Elle jouissait plusieurs fois avec cette bite dans son anus et sa main qui la branlait
Aline baisait tranquillement, c'est à dire qu'elle se donnait et accompagnait les mouvements de son amant. Elle n'aimait pas tellement être enculée, elle préférait être baisée ou alors faire des fellations: avoir une bonne bite dans la bouche lui permettait d'avoir l'homme en entier à sa merci. Son mec, lui aimait aussi sucer les filles: ils faisaient des 69. Odette les voyait faire et sortait un godemiché et allait le planter dans le cul de l'amant de sa copine. La réaction était particulière: refus au début et ensuite acceptation totale du cul visé. Odette laissait Aline enculer son amant.
Ils jouissaient toujours en couple. Odette disait que le couple était dépassé et qu'il fallait baiser ensemble, tous les quatre. Elle demandait une partie carrée où chacun suce un autre que celui que le suce. Avec peine, ils étaient enfin en position pour jouir tous les quatre. Les filles ouvraient beaucoup les jambes pour permettre aux deux hommes de venir les sucer. Elles prenaient en bouche les bites sans trop savoir ce qu'elles avaient fait auparavant. Elles jouissaient toujours autant quand les deux hommes leur jouissaient dans la bouche. Bien sur elles aimaient le sperme et le dégustaient.
Ils finissaient de baiser tard. Tout le monde partait de son coté et Odette, juste avant de se dormir se mettait encore une dernière fois le gode dans son cul.