Ma Première Infidélité

Bonjour, je m'appelle André et je voulais par cette petite histoire confesser
une charmante relation suivie qui m'est arrivée depuis quelques années. Les prénoms ont été changés pour la discrétion mais tout cela est parfaitement authentique. J'ai aujourd'hui 26 ans et vit en couple pacsé avec ma petite amie, installé depuis 6 mois, aboutissement d'une relation qui a maintenant 9 ans.

Tout commence au lycée, à 17 ans, et ma rencontre avec Madeleine et Céline. N'ayant jamais
vraiment eu de petite copine à l'époque, et étant naturellement puceau, me faire deux amies
filles la même année était quelque chose d'inespéré, et j'en attendais du coup beaucoup.
Peut-être arriverais-je à sortir avec l'une d'entre elle ? Il s'est avéré qu'au bout d'une
année scolaire pleine de complicité entre notre trio de choc, j'ai eu effectivement
l'embarras du choix, et c'est finalement Céline qui l'emporta, Madeleine acquérant alors le
statut de meilleur amie, mais sans que nous nous mettions au point clairement avec des mots.
L'histoire continuera très bien avec Céline car à ce jour nous sommes donc toujours ensembles et amoureux l'un de l'autre.

Mais tout ce bonheur ne m'a pas fait oublié Madeleine. A la fin du lycée elle était partie à
l'autre bout de la France, retournée chez sa mère pour y suivre ses études. Notre belle
amitié de deux ans qui est passée à côté de quelque chose au profit de Céline s'est donc
muée en une calme correspondance longue distance, nous avions nos numéros et nos adresses
msn, alors nous nous souhaitions bon anniversaire et laissions quelques nouvelles de temps
en temps. Et puis un beau jour, elle m'annonça qu'elle revenait passer quelques jours chez
son père, près de chez moi, pour les vacances. Trois ans avaient passés depuis notre
dernière rencontre, les trois premières années après le bac que beaucoup passent à coucher à
droite à gauche profitant de l'insouciance étudiante, trois ans que je passais à rester
fidèle à Céline, ce qui était bien, mais qui ne satisfaisait pas entièrement mes envies de
sexe peut-être trop importante, d'autant que la fréquence de nos rapports allait et venait
de l'acceptable au très insuffisant (nous habitions chacun chez nos parents et Céline
prenait très au sérieux ses périodes de révisions étudiantes).

Alors quand Madeleine me
proposa de passer une après-midi chez elle, où nous serions seuls tous les deux, des débuts
de fantasmes commençaient timidement à germer dans mon esprit.

J'arrivais donc chez elle un début d'après-midi, sans que Céline, pourtant son amie aussi,
ne soit mise au courant par l'un de nous. Salutations d'usage avec grands sourires, nous
étions très heureux de nous revoir tous les deux après tout ce temps. Nous sommes
directement montés dans sa chambre, assis sur le lit, pour discuter de choses et d'autres.
Trois ans à rattr, les sujets varièrent de comment se passent nos études respectives à
ce que deviennent nos anciens camarades de classe en passant par l'état de nos amours
respectifs. Je lui raconte donc que ça se passe bien avec Céline, et elle me dit qu'elle est
très contente pour nous. Elle me dit que de son côté, elle n'est avec personne et que c'est
le cas depuis 3 ans, son dernier petit-ami avait été vers la fin du lycée. Du coup, on en
vient à se dire des choses par rapport à notre situation passée, que si ce n'avait été pour
Céline nous aurions pu finir ensemble, que c'est dommage pour nous mais que c'est la vie et
que c'est bien si nous sommes heureux avec Céline finalement. Mais un ton de regret se fait
bien sûr sentir dans cette discussion, et c'est là que nous nous sommes aperçu qu'au fur et
à mesure de la conversation nous nous étions passablement rapproché, au point d'être
maintenant l'un contre l'autre. En fait, ma main était sur son bras et je la caressais
tendrement depuis déjà quelques minutes, et ça n'avait pas l'air de la déranger.

Nous nous sommes tus alors tous les deux quelques instants, profitant de ce moment agréable
ensemble. Elle s'était maintenant blottie dans mes bras, profitant de la douce étreinte de
celui qui aurait pu être son petit ami, et moi je lui caressais le bras doucement, pensant à
la situation présente qui pourrait bien être en train de dér.
Nous nous sommes alors
regardé l'un l'autre, hésitants, mais dans nos regards respectifs se lisait sans aucun doute
possible l'envie de découvrir ce qu'il aurait pu se passer entre nous. Plongés dans les yeux
l'un de l'autre, plusieurs longs instants se sont écoulés, chacun hésitant à faire le
premier pas mais nos visages se rapprochait doucement. Chacun savait ce qu'il était sur le
point de se passer, mais ce moment d'attente et d'hésitation était tellement délicieux qu'il
pouvait bien durer une éternité que nous en profiterions jusqu'au bout. Et puis le moment
arriva, nos lèvres se rapprochèrent, sans que le premier pas ne viennent précisément de l'un
ou l'autre et nous nous sommes embrassés. Quel délice, moi qui n'avait vraiment connu que
Céline et un ou deux smack de gamins, donner et recevoir un vrai baiser passionné d'une autre
femme me faisait vraiment quelque chose. Nos lèvres ainsi en contact ne se quittèrent pas
pendant de longues minutes, sauf pour laisser passer nos langues qui se cherchèrent et se
trouvèrent pour exprimer plus encore la délivrance de se laisser aller à ce que nous
voulions faire depuis si longtemps. A mesure que nous nous embrassions, nos corps
s'étreignaient et nos mains se baladaient. Je lui passais ainsi les miennes le long de ses
hanches, elle sur mes fesses, et notre ballet dura ainsi de longues minutes.

Quand nous nous arrêtions enfin, nos regards s'alignèrent à nouveau pour se poser la
question de jusqu'où cela pourrait aller maintenant ? Madeleine tenta la première d'apporter
un élément de réponse. "C'est pas bien". Je lui répondis "Mais c'est si bon". Elle sembla
tout à fait d'accord avec cette réponse car elle m'embrassa de nouveau à ses mots, cette
fois en portant ses bras autour de mon cou. Je lui caressais les cheveux en lui rendant son
nouveau baiser et je commençait à me dire que parti comme on est parti, il serait dommage de
s'arrêter là.
Étant la célibataire des deux, Madeleine sembla comprendre qu'elle devrait
être celle qui ferait glisser la situation vers quelque chose de plus érotique, ou peut-être
était elle simplement moins timide que moi ou bien encore elle en avait trop envie pour
risquer que je stoppe notre élan en prenant conscience de ce que je faisais avec ma
meilleure amie. Toujours est-il que c'est elle qui prit le premier devant en allant glisser
sa main vers mon entre-jambe, sentant à travers mon jean que ce petit manège m'avait déjà
facilement provoqué une belle érection. Elle me caressa ainsi à travers mon pantalon alors
que nous nous embrassions toujours et moi j'aventurais une main sous son t-shirt pour aller
caresser ses angéliques petits seins. Puis sans crier gare, elle est allé défaire les
boutons et la fermeture éclair de mon pantalon pour aller sortir mon sexe de mon slip. Nous
commencions ainsi tous les deux à céder à la tentation par ce premier attouchement sexuel,
elle commença à me caresser le membre ainsi dressé hors de mon vêtement d'une manière
surprenament agile. C'était la première fois que je pratiquais quelque chose de sexuel avec
une autre femme que Céline. C'était bon.

C'est alors que, prenant définitivement l'initiative, Madeleine se décida à descendre d'un
étage. Elle descendis mon pantalon le long de mes jambes pour me l'ôter, et fit prestement
de même avec mon boxer : j'étais alors tout à sa disposition. J'ai été de fait extrêmement
surpris, alors que j'avais du attendre d'avoir eu plusieurs fois des rapports avec Céline
avant qu'elle ne se décide à pratiquer du sexe oral, de contempler Madeleine, sans
hésitation aucune, porter mon sexe à sa bouche pour se mettre à me sucer, tout en continuant
à me caresser. A cet instant, nouvelle surprise de taille : c'est divin. Jamais je n'aurais
cru, étant donné sa relativement faible expérience avec les garçons, qu'elle aurait su me
donner autant de plaisir par la fellation.
En fait, c'était bien meilleur qu'avec Céline
alors même que, même de façon trop ératique à mon goût, nous pratiquions cela assez
régulièrement depuis 3 ans déjà. Je me suis allongé à moitié pour profiter du moment,
relevant juste la tête suffisamment pour la regarder faire. Mon gland allait et venait entre
ses douces lèvres, elle me suçait avec appétit, pompant mon bout pour me donner un
maximum de plaisir, faisant glisser sa langue tout autour du gland avec habileté, tout cela en
continuant ses va et vient de haut en bas avec sa main pour me branler en même temps.
Parfois, elle stoppait sa succion pour me lécher le membre tout entier, elle descendait
jusqu'à mes couilles, les léchait à leur tour, me branlant alors le gland énergiquement,
avant de vite remonter pour continuer sa pratique buccale. Quelques minutes de ce traitement
vinrent vite à bout de mes résistances et lorsque je sentais le plaisir monter je me suis
alors posé intérieurement la question de la prévenir ou non. Je n'avais jamais joui dans la
bouche de Céline. En fait, nos rapports avec Céline était assez classique, alors à part nos
orgasmes de rapports habituels, je n'étais quasiment jamais venu ailleurs que dans son
intimité, sauf une fois par accident entre ses seins lors d'une branlette espagnole (Céline,
contrairement à Madeleine, possède une poitrine assez forte) et une autre alors qu'elle
avait ses règles, elle m'avait branlé jusqu'à ce que je jouisse dans un mouchoir qu'elle
avait dans l'autre main. Ma réflexion trouva cependant très vite une réponse et je décidais
de profiter de cette occasion qui ne se représenterai peut-être jamais, je n'ai rien dit et
la laissa continuer son manège. Après tout, elle me suçait et me branlait en alternance
alors il y avait une chance sur deux. En fait la sensation de plaisir qu'elle me prodiguait
avec sa langue et sa façon de sucer était tellement plaisante que ça ne faisait aucun doute
quand à comment elle me ferait jouir. A mesure que sa fellation progressait, mon plaisir
montait, et soudain, ce fut l'orgasme. J'éjaculais dans la bouche de ma meilleure amie, pris
de spasme de plaisir sous l'effet combiné de la succion de ses lèvres sur mon membre,
l'habileté des doigts qui me branlaient et de la langue qui léchait mon gland. Plusieurs
jets de sperme sont allé se perdre au fond de sa gorge et je laissais échapper des
gémissements de plaisir accompagnant les tressaillements de mon sexe. Madeleine est alors
remontée vers moi, caressant toujours mon sexe mais bien plus doucement maintenant. A ma
grande surprise je ne trouvais aucune trace de ma semence coulant de mon pénis ou tombée sur
mes cuisses. Elle aurait tout avalé ? Mon amie cachait décidément des ressources
insoupçonnées. "Tu aurais pu prévenir" me dit-elle tout simplement, "Désolé", lui
répondis-je, en l'embrassant fougueusement pour me faire pardonner et la remercier de ce
délicieux traitement.

Savourant l'instant, nous nous sommes alors allongés sur le lit, se caressant tendrement
mutuellement. Puis je décidais de passer à l'action. Je me suis approché de son pantalon à
elle et l'ai déboutonné pour m'en débarrasser. Puis se fut au tour de sa culotte, un mignon
sous-vêtement rose en tissu simple, pas sexy pour deux sous mais la situation n'ayant pas
été préméditée je n'étais pas étonné. En tout cas elle ne se fit pas prier pour disparaitre,
me révélant alors ce fruit particulièrement défendu. La chatte de ma meilleure amie était
la seconde seulement qu'il m'était donné de voir, et je comptais bien la découvrir comme il
faut. Elle eut l'air surprise d'ailleurs que j'approche mon visage de son entre-jambe,
peut-être ne s'attendait-elle pas à ça ? Je ne sais si elle avait déjà reçu un cunnilingus
auparavant ou non, mais en tout cas moi j'avais envie de le lui administrer. Ses jambes nues
était ainsi surplombée par une petite touffe de poil abritant ce que je mourrais envie de
lécher pour son plaisir. Cependant, je voulais prendre mon temps et faire monter le plaisir
tranquillement. Je commençais donc par des petits bisous sur l'intérieur de ses cuisses,
ainsi que de tendres petits coups de langues. Je lui caressais les jambes se faisant. Sa
peau était si douce. Petit à petit, j'approchais ma bouche de son but et bientôt j'en vins à
déposer un premier baiser sur l'une de ses lèvres, suivi d'un second sur l'autre. Du coin de
l'œil, je surveillais ses réactions et là je la vis fermer les yeux comme pour profiter au
maximum du moment. Mes baisers se centrèrent alors, remontant le long de sa fente qui
commençait timidement à se dévoiler. J'arrivais enfin au meilleur endroit et y sorti ma
langue pour lui titiller délicatement le clitoris, ce qui causa à Madeleine un premier
soupir de plaisir. Encouragé, j'immiscais alors ma langue entre ses lèvres, les lui séparant
sur toute la hauteur dans un baiser passionné avec la chatte de ma meilleure amie. Ma langue
allait et venait de haut en bas et de bas en haut, s'attardant tout particulièrement sur son
bouton du plaisir. Je savourais pleinement l'instant, appréciant de pour la première fois
découvrir un autre sexe féminin que celui de ma copine de toujours, c'était bon. M'arrêtant
un instant pour m'assurer de son plaisir, je me relève et la regarde. "Ca va ?". Elle me
répondit simplement "C'est bon.", en souriant d'une façon radieuse qui restera longtemps dans
ma mémoire. Je repris alors mes caresses buccales sur son sexe, rassuré de savoir qu'elle
aimait ça, jouant principalement de ma langue sur son clitoris jusqu'à lui provoquer des
gémissements incontrôlés un peu plus fort que ses soupirs, accompagnés de quelques
tressaillements de ses cuisses. J'interprétais cela comme un orgasme et remontait alors vers
elle, la couvrant de baiser le long du corps pour venir embrasser son visage et ses lèvres.
Elle me rendit à nouveau mon baiser passionnément, ajoutant un "Merci." qui me surpris assez
visiblement.

La suite ne se fit pas trop attendre, mon sexe avait largement repris de sa vigueur et
Madeleine tendit le bras vers la table de chevet, sortant d'un tiroir un préservatif qu'elle
sortit de son sachet. Me précisant, un peu confuse, qu'elle ne savait pas trop comment
enfiler la chose, je m'en occupais alors en riant un peu. L'instant était magique : nous
allions consommer cette relation purement sexuelle, j'allais coucher avec une autre femme
que la future mienne, nous étions meilleurs amis et l'interdit de la chose rajoutait la
touche d'excitation qui rendait la chose si délicieuse. "C'est pas bien" commenta d'ailleurs
Madeleine en écho avec ce qu'elle commentait déjà précédemment. Je répondis de la même
manière aussi. Madeleine s'allongea sur le lit en me demandant d'y aller doucement, car elle
n'avait pas fait l'amour depuis longtemps. Je décidais en conséquence de plutôt me mettre
dessous, elle me chevauchant. "Vas-y à ton rythme comme ça". Elle acquiesça et se mit donc à
califourchon au dessus de mon sexe encapoté et dressé.

Ça y était, elle porta la main à mon pénis pour le guider vers l'entrée de son intimité,
s'arrêta lorsque mon gland se glissa entre ses lèvres. Madeleine était sur moi, vêtue de son
seul soutien-gorge me camouflant encore sa paire de seins assez plats, moi je n'avais plus
que ma chemise ouverte et mon sexe recouvert de son préservatif s'apprêtait à pénétrer ma
meilleure amie, pour le meilleur et pour le pire. Y allant à son rythme, Madeleine commença
à descendre le long de mon pénis, se faisant pénétrer centimètre par centimètre, tout
doucement. Son vagin était serré et mon pénis se retrouvait contracté et au chaud dans la
grotte la plus désirable qu'il soit. C'était bon. Très différent de ce que je pouvais vivre
avec Céline d'habitude et même si nous n'en étions qu'à une phase préliminaire de la
pénétration je ressentais déjà énormément de plaisir. Madeleine continuait à faire entrer
mon pénis dans sa petite chatte poilue pour finalement arriver au bout lorsque ses cuisses
entrèrent en contact avec les miennes. "Ça va ?" lui demandais-je ? "Oui", me répondit-elle,
mais c'était clairement assez difficile pour elle. "Ça va aller mieux après", me
promit-elle. "A ton rythme", lui rappelais-je, et nous continuions ainsi, tout doucement à
commencer des vas et viens de haut en bas plus pour lui ouvrir le vagin pour le moment que
pour réellement s'envoyer en l'air. Mais ça venait et je ressentais déjà de mon côté
beaucoup de plaisir. A mesure que nous progressions, je voyais l'expression de son visage
évoluer, d'abord concentrée sur ce qu'elle nous faisait pour faciliter l'introduction, elle
avait l'air de se libérer de plus en plus jusqu'à ce qu'elle puisse réellement profiter. A
partir de là, les montées et descente s'accélérèrent et elle repris ses soupirs,
elle qui avait visiblement le plaisir très discret. Elle se pencha pour m'embrasser, nous
échangions un long baiser complice pour concrétiser l'instant : nous faisions l'amour. j'en
profitais pour passer mes mains derrière son dos et dégrafais son soutien-gorge pour me
débarrasser de la derrière barrière qui la séparait de la nudité. Je découvrais ainsi pour la
première fois ses mignons petits seins pleins de charme, preuves si il en est besoin qu'une
poitrine n'a pas besoin d'être opulente pour être terriblement excitante.

Maintenant que c'était "revenu", je lui indiquais de se retirer pour s'allonger sur le lit,
ce qu'elle fit en écartant les jambes pour que je puisse m'installer entre celle-ci. Cette
position du missionnaire allait être notre concrétisation et je présentais mon pénis au bord
de son sexe. Ses lèvres me laissèrent glisser en elle cette fois sans peine et nous pouvions ainsi
profiter tous les deux du plaisir de l'autre dans cette position où nos regards ne se
quittèrent jamais. Je la pénétrais ainsi jusqu'au bout, en faisant attention à ne pas y
aller trop fort pour le premier aller, mais ne rencontrant aucune résistance autre qu'un
"Han" de plaisir de sa part, j'ai su que je n'aurais pas à me retenir, libre de lui prodiguer
autant de plaisir que j'en serais capable. "C'est bon", me fit-elle part à nouveau, et un
sourire se dessina sur mon visage. J'entrepris alors d'entamer mes aller-retour, orientant
mon corps de façon à la stimuler du mieux que son point G me le permettrait. Son visage ne
reflétait alors plus que du plaisir, ses soupirs se transformant en halètements ininterrompus.
J'accelerrais mon mouvement à mesure que je la sentait s'abandonner dans la luxure et le
plaisir charnel, ses mains étaient sur mes fesses, me caressant sans m'imprimer de rythme,
m'encourageant tout en me laissant toute liberté de lui faire du bien. Je sentais mon propre
plaisir monter à mesure que je poursuivais, mon sexe emprisonné dans sa chatte serrée me
procurant un plaisir rare que je savais apprécier à sa juste valeur. J'adorais ça, et
j'adorais qu'elle semble aimer aussi. Soudain, son visage se crispa et ses halètements se
muèrent en un gémissement long et sincère trahissant son second orgasme que je trouvais
magnifique vu de si près. Presque au même moment, mon plaisir atteint lui aussi son
paroxysme et je jouis en elle, plusieurs saccades se déversant dans le préservatif qui nous
séparait encore de l'intimité totale. Les yeux dans les yeux, nous profitions chacun de
l'orgasme de l'autre dans cet instant de plénitude interdite que nous nous offrions en
cédant à notre désir. Nous finissions l'un sur l'autre, dans un nouveau baiser envoutant.

C'était fait. Nous avions commis l'irréparable en cédant à la tentation. Et c'était divinement
bon pour tous les deux. Je me retirais rapidement pour me débarrasser de l'encombrant morceau
de plastique souillé pour revenir au câlin que nous partageons pendant de long moment. De
meilleurs amis, nous venions de passer amants et aucun de nous ne regrettait ce geste.
Quelques baisers et promesses conclurent cet après-midi fondateur et je m'en allais
retrouver la Céline que je côtoie depuis 3 ans. Ce soir là nous étions ensembles chez moi
mais nous n'avons pas fait l'amour car j'essuyais un visible manque de motivation de sa
part. Encore une occasion manquée, au sortir d'une si délicieuse journée qui me fit prendre
conscience que Madeleine et moi risquons de ne pas se contenter d'une simple fois.

Et en effet, les années qui suivirent nous ont vu devenir amants réguliers. Madeleine et moi
nous voyions, en cachette de Céline la troisième amie du lycée et ma petite amie, à chaque
fois que l'occasion se présentait. En sortant du boulot lorsque Céline était à la fac, ou
bien à mon appartement que j'occupais seul quand Céline était encore chez ses parents. La
distance entre nos lieux de résidences habituels réduisait nos rendez-vous à Madeleine et moi à quelques deux ou trois fois l'an à l'occasion de vacances mais nous ne manquions jamais la possibilité de nous abandonner charnellement à cette liaison interdite. Nous aimions nous dire que nous couchions ensemble "en toute amitié". Et c'était bon, nous étions amoureux uniquement le
temps de nos étreintes, copains comme cochons le reste du temps, restant parfaitement
naturels lorsque nous nous voyions à tous les trois.

Notre relation dura et dura encore. En 6 ans, Madeleine avait plusieurs fois eu des
relations plus ou moins suivies de son côté et moi j'étais toujours avec et toujours amoureux de
Céline (bien que le sexe était moins fréquent que ce que je pourrais espérer, ça ne m'a
jamais empêché de l'aimer profondément), mais cela ne nous a stoppé qu'une fois, un été ou
Madeleine avait eu un peu plus de remords qu'habituellement par rapport à son amie et avait
voulu mettre un terme à nos relations. Notre break aura duré 6 mois, au sortir duquel le sexe aura été encore meilleur entre nous car inespéré et toujours aussi interdit. A ce jour cependant,
après 6 ans de relation illicite, Madeleine a trouvé un homme dont elle est plus amoureuse
que les précédents. Sentant qu'il se pourrait que ce soit sérieux entre eux, nous avons
décidé, cette fois-ci tous les deux, d'enfin nous arrêter d'être amants, non sans en
profiter une dernière fois lors d'une après-midi particulièrement savourée dans le lit même
où je fais habituellement l'amour avec Céline. Nous avons donc d'un commun accord mis fin à
cette belle relation entre nous, mais au fond de moi j'espère que, par sa future
hypothétique rupture avec son copain ou bien par une possible tentation qui se ferra trop
forte plus tard, cela ne soit que notre second break.

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