Les Histoires Érotiques Du Couple Warda Et Slim Episode Cinq : La Première Aventure Extra Conjugale De Warda
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Episode cinq : La première aventure extra conjugale de Warda
Quand je revis, quelques jours plus tard Warda, je compris tout de suite quelle nétait pas venue me raconter la suite des aventures de son couple, quelle mavait promis de me narrer à notre prochaine rencontre. Je la vis arriver de loin, dans le salon de thé dans lequel elle mavait donné rendez-vous. Elle avait toujours ce pas chaloupé et cette démarche ondulante qui faisaient se retourner les hommes et les femmes quelle croisait. Mais son visage semblait plus fermé que dhabitude. Elle ne souriait pas. Elle avait un air sérieux que je ne lui connaissais pas encore.
- Bonjour ma grande ! fis-je en me levant pour laider à sassoir et face de moi. Tu ne me sembles pas très contente aujourdhui ! Pourquoi cet air sérieux et farouche ? Tu as un problème ?
- Non mais, il faut que je tavoue une chose que je nai encore dite à personne. Pas même à mon mari ! Une chose que je garde en moi depuis des années et que jai aujourdhui besoin davouer. Jai essayé, cette nuit encore de la dire à Slim, mais quelque chose me retient. Peut-être la peur quil soit déçu et quil men veuille de ne pas lui avoir raconté tout de suite la chose. Cette nuit, il ma posé innocemment la question de savoir si je ne lavais jamais trompé avant que nous commencions ensemble nos histoires de cocufiage mutuel. Je ne savais pas quoi lui répondre. Dun côté, je voulais lui raconter, avec lespoir quil réagira comme il la toujours fait jusquà maintenant : en bandant très fort et en me tirant en conséquence. Dun autre javais peur quil soit mécontent du fait que je naie pas été honnête vis-à-vis de lui et de lavoir trompé (au sens littéral du terme).
- Pourquoi veux-tu en parler maintenant ? Tu peux très bien continuer comme cela et garder cette aventure secrète. Rien ne toblige à le faire. Surtout si tu as peur des conséquences sur votre couple.
- Je ne sais pas. Mais depuis quelque temps, cette histoire mobsède. Jy repense à chaque fois que Slim me pose une question sur mes fantasmes et mes envies de me faire tirer par les beaux mecs que je rencontre ou que nous rencontrons ensemble. Le prénom de Fayçal est tout le temps sur mes lèvres. Il faut que mon mari apprenne ce qui sest passé, il y a longtemps avec ce cousin, dont par ailleurs, il connait lexistence. Comme je narrive pas à le lui dire moi-même, je te charge de le faire en écrivant cette histoire et en la lui envoyant en priorité à lui. Tu veux bien ?
- Oui ! Pourquoi pas ! Mais je ne voudrais pas être le responsable dune éventuelle rupture avec ton mari ! Jen serais vraiment désolé !
- Je prends le risque ! Je suis à moitié sûre quil sera compréhensif, comme il la toujours été !
- Alors raconte !
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Quand javais vingt deux ans, une année avant de rencontrer Slim et de me marier avec lui, javais fait la connaissance de Fayçal, un cousin éloigné, qui vivait en France et que je navais encore jamais vu. Il venait davoir vingt ans et venait passer un mois de vacances au sein de notre famille. Il était vraiment beau. Le genre de beauté virile qui mavait toujours fait fantasmer. A vingt deux ans, jétais encore vierge et navait connu que de petits flirts sans lendemain. Des flirts parfois poussés avec cunnilingus et fellations, parfois avec frottements furtifs de beaux zobs sur ma chatte en chaleur, mais pas plus. Je refusais de me laisser aller à des relations sexuelles qui mauraient conduite à perdre mon pucelage et auraient entrainé un immense scandale sur ma famille et la honte sur moi. Les conséquences en auraient été terribles.
Mais en voyant Fayçal avec son superbe corps dathlète, sa petite moustache qui le vieillissait de quelques années et sa bouche de carnassier affamé et gourmand, je sentis immédiatement mon corps frémir et mon bas ventre me faire mal. Rien quen le regardant je sentais ma chatte couler et culotte se mouiller.
Ma mère sétait rendue compte de leffet que mon cousin me faisait et semblait contente. Elle voyait dun bon il une relation sérieuse entre nous et voulait me voir épouser le garçon. Comme cela, je resterais dans le cocon familial, tout en allant vivre en France, rêve de toutes les mamans dAlgérie. Fayçal se rendit lui aussi compte quil me plaisait terriblement et cela satisfaisait son égo de jeune homme qui avait conscience de son pouvoir de séduction. Il jetait parfois un coup dil interrogatif vers moi, en me souriant de son terrible sourire de prédateur.
Il devinait quil navait quà lever le petit doigt pour que je me précipite dans ses bras et pour quil fasse de moi, ce que bon lui semblera. Maman nous laissa un moment seuls Fayçal et moi, pendant quelle soccupait de faire le ménage. Nous parlâmes de choses et dautres, nosant pas soulever le seul sujet qui nous intéressait réellement lui et moi : lamour. Parce que pour moi, cétait bien damour quil sagissait. Le sexe était le complément nécessaire de lamour. Je voulais moffrir à lui par amour. Je ne voulais pas seulement baiser avec lui. De toutes les façons, je ne le pouvais pas; cétait une chose qui métait interdite, à moi, jeune fille de famille. Pour lui, garçon, cétait autre chose. Il pouvait se permettre de coucher avec une fille, la dépuceler si elle était vierge, sans que la honte ne retombe sur lui. Cest toujours la fille la fautive dans ces cas-là.
- Je ne savais pas que javais une cousine aussi jolie ! Tu as quel âge ?
- Vingt deux ans ! Et toi ?
- Vingt ans !
Cétait comme si je venais de recevoir un coup de massue sur la tête. Il était plus jeune que moi ! Et dans nos traditions il ne se pouvait pas que dans un couple, lépouse soit plus jeune que le mari !
- Tu fais plus vieux que ça ! Je te donne facilement vingt-cinq ans !
- Cest la moustache !
Jétais réellement déçue. Je venais de trouver lhomme de ma vie (cétait vraiment ce que je ressentais en ce moment là) et voilà que le mauvais sort sacharne sur moi pour me lenlever. Cette nuit là jallais dormir découragée de ne pouvoir rien faire pour séduire Fayçal et en faire mon futur époux. Cette nuit là était remplie de rêves érotiques avec mon Fayçal qui me faisait lamour dans tous les coins de la maison et qui était insatiable de mon corps et de mon cul. Je me réveillais plusieurs fois en nage et la chatte qui coulait comme une fontaine. Je crois que cette nuit là jai dû me masturber une dizaine de fois pour calmer le feu qui consumait tout mon corps.
Je retrouvais Fayçal le lendemain soir, à son retour dune promenade dans la ville. Après le diner maman nous laissa encore seuls quelques temps, devant, affirma-t-elle rendre visite à une voisine malade. Dès que nous fûmes seuls, je me rapprochais de Fayçal qui était sagement assis sur un côté du sofa, alors que joccupais lautre côté.
- Comment me trouves-tu ? questionnai-je sournoisement mon cousin. Je te plais ? Tu as envie de moi ? Tu veux mépouser ? Tu veux me niquer ?
Je posais comme cela toute une série de questions mêlant ma beauté, mon amour, mon désir de me faire épouser par lui et
le sexe. Jétais dans un état de chienne en chaleur. Je voulais sentir le corps de Fayçal collé au mien. Je voulais sentir ses mains me caresser la poitrine et surtout, venir se poser entre mes cuisses.
Agacée, je pris sa main droite et posai entre mes cuisses, que je serrais sur elle pour lemprisonner. Elle resta un moment inerte, puis je sentis quelle sanimait et quelle voulait aller plus haut. Jétais heureuse et écartais les genoux pour quelle puisse aller là où elle voulait aller. Sa main était ferme, chaude et douce. Elle transférait toute sa chaleur sur le haut des cuisses. Chaleur qui allait irradier sur mon mont de vénus et sur ma chatte. Je sentais cette dernière palpiter et couler. Je sentais ma culotte qui commençait à se mouiller. Et surtout jétais dans une attente impatiente de voir cette main arriver sur ma chatte et sen emparer. Je tremblais littéralement en attendant la rencontre de ma chatte en émoi et de sa main.
Et quand cela arriva, je ne pus mempêcher de pousser un petit cri de plaisir et de serrer très fort mes cuisses pour la retenir prisonnière sur lendroit. Je regardais Fayçal pour voir ce quil ressentait. Il avait le regard voilé et la bouche légèrement ouverte. Il regardait en direction de sa main, tentant dapercevoir ma chatte. Il me semblait quil avait du mal à retenir la salive qui coulait de sa lèvre inférieure. Je le voyais qui tentait davaler sa salive en utilisant sa langue. Jécartais encore une fois mes cuisses pour prendre sa main et la forcer à semparer de ma chatte par-dessus le tissu de ma culotte. Je voulais quelle la caresse fortement et quelle fasse des allers-retours le long de la fente entre mes grandes lèvres. La culotte me gênait : javais envie que sa main sapplique directement contre ma chatte et quelle lui communique tout son désir.
Je lui pris la main pour léloigner un très court instant dentre mes cuisses; juste le temps denlever ma culotte et de ly remettre. Il se laissait faire sans rien dire. Maintenant il voyait très bien ma belle chatte. Il avait les yeux exorbités tellement il était excité par cette vision. Pas un poil; des grandes lèvres longues, dodues, fermes, légèrement mates, brillantes de mouille et palpitantes de désir. Il sempara presque avec violence de ma chatte quil serra très fort, me faisant au passage très mal. Puis il relâcha la pression et fit promener ses doigts le long de la fente, en leur faisant faire une série dallers-retours qui me donnait énormément de plaisir. Il ne disait rien, mais bavait de plus en plus. Et puis, ny tenant plus, il vint se mettre à genoux devant le sofa mécarta plus encore les cuisses et plongea sa tête à lintérieur et posa sa bouche gloutonne sur ma chatte.
Je métais déjà fait sucer la vulve par quelques uns des garçons avec lesquels javais eu de flirts assez poussés. Mais jamais encore je navais reçu une bouche aussi gourmande et aussi experte. Il ne fallut pas longtemps à Fayçal pour me faire grimper aux rideaux. Je ne me contrôlais plus. Jattrapais ses cheveux et tirais dessus violemment pour obliger la bouche de mon amant à y aller avec plus de force et de fermeté. Il fit tout ce que je voulais quil fasse. Il y ajouta même la langue que je sentais pénétrer dans mon vagin et essayer daller aussi loin que possible. Je la sentis même qui alla cogner contre mon hymen, déclenchant immédiatement une superbe décharge électrique qui alla électrifier tout mon corps. Je crus un moment quil mavait dépucelée, mais je fus vite rassurée par la langue qui vint encore cogner contre la membrane de lhymen : elle était toujours en place !
Je ne mis que quelques minutes pour atteindre le sommet du plaisir et sentir arriver un orgasme dune très forte intensité. Jamais encore auparavant, soit sous mes propres caresses, soit sous celle de mes flirts, je navais atteint un tel degré de plaisir. Cétait vraiment la première fois que je jouissais autant. Je criais mon bonheur en renforçant mon étreinte sur la tête de mon amant que jobligeais à aller et venir encore plus vite et plus fort. Je déchargeais en hurlant et me mis à couler comme une fontaine sur la bouche de mon amant. Il but tout ce quil put, tout en continuant à me sucer la chatte comme une superbe ventouse. Il ne sarrêta que quand il vit que jétais devenue inerte et que je métais arrêtée de tirer sur ses cheveux. Il releva la tête pour me regarder. Sa moustache portait encore les stigmates du cunnilingus forcené quil venait de me faire: elle brillait de mouille. Cétait tellement érotique ! Je me baissais pour lui donner un baiser torride sur la bouche, avalant au passage toute la cyprine qui restait sur ses lèvres et sa moustache. Je le regardais avec des yeux illuminés du plaisir que je venais de prendre. Mais lui navait pas eu de plaisir identique. Il était excité. Et voulait lui aussi jouir.
- Cest à ton tour de me faire jouir. Avec ta bouche ! Je voudrais bien te niquer par la chatte, mais comme tu es vierge, je ne peux pas. Je veux donc éjaculer dans ta bouche ! Je veux te voir avaler mon sperme, comme je viens de boire ton jus.
Je ne me fis pas prier pour me mettre à mon tour à genoux devant lui, qui se tenait debout, et sortir son manche qui frétillait et simpatientait à lintérieur de son pantalon. En moins de cinq secondes, javais dégrafé sa ceinture, déboutonné le pantalon, ouvert la braguette et descendit le tout en une fois pantalon et slip sur ses chevilles. Je découvris alors son énorme zob. Le zob le plus grand que javais vu jusque là : long et gros avec un gland pointu qui faisait ressembler lensemble à un javelot. Jaurai tant aimé que ce javelot me transperce la vulve et déchire mon hymen. Mais cest seulement ma bouche quil transpercera. Il mattrapa par les joues et vint placer le gland dur et doux sur les mes lèvres, les forçant à sécarter. De même quil força mes dents à sécarter elles-aussi et à ouvrir la voie de ma bouche et de ma gorge.
Fayçal semblait avoir lhabitude de se faire faire des pipes. Il savait sy prendre. Il ninsistait pas au moment où son gland arrivait sur la glotte. Il faisait immédiatement demi-tour, de manière à ne pas me donner envie de vomir. Mais petit à petit, sentant que je mhabituais à la présence du gros zob dans la bouche et la gorge, il augmentait le rythme et lamplitude des allers-retours du sexe. Maintenant, il le sortait totalement dentre mes lèvres, prenait un élan et repartait à lassaut de ma bouche et de ma gorge.
- Je te nique par la bouche ! Jadore ça ! Cest comme si je niquais ta chatte ! Cest la même sensation ! Superbe ! Je vais jouir dans ta bouche ! Je vais te remplir de sperme ! Je vais ten mettre partout sur le visage ! Tu vas tout avaler ! Je veux que tu avales tout !
Et il déchargea une première fois dans ma gorge, me donnant la sensation d tant le sperme était abondant, épais et brulant. Je mis du temps à avaler tout, découvrant pour la première fois le goût bizarre du foutre dhomme, ainsi que la sensation de viscosité qui restait longtemps dans la bouche. Je navais encore jamais bu le sperme de mes flirts antérieurs, qui se contentaient déjaculer sur mon visage ou ma poitrine et que jessuyais avec un mouchoir ou lavait à grande eau. Jai immédiatement aimé le foutre de mon cousin. Celui quil répandit sur mon visage (y compris sur mes yeux) et quil mobligea à ramasser avec mes doigts et à lécher, était aussi délicieux. Javais vraiment adoré. Je me promettais même de continuer longtemps à me nourrir de ce sperme, laiteux, visqueux et chaud. Je voulais que ma relation avec Fayçal dure toute ma vie. Je me repris à rêver à un mariage damour avec lui.
Malheureusement les choses ne se passèrent pas comme lui et moi lavions souhaitées. Il disait quil maimait il répétait plus souvent que jétais un super coup et quil voulait me niquer sans retenue et moi jétais folle de lui. Nous en parlâmes à maman, qui en était vraiment contente. Elle en parla avec la famille du garçon et ce fut là que les choses se corsèrent. Le problème pour les parents de Fayçal, cétait notre différence dâge: jétais plus âgée que lui de deux ans ! Ce problème, réellement insignifiant, fut tellement grossi par la famille, quil devint insurmontable : surtout que ma mère, vexée, vint à sopposer à notre mariage. Elle minterdit de revoir Fayçal, qui entretemps, les vacances étant finies, était reparti en France. Jessayais de lutter seule parce que Fayçal semblait avoir cédé à la pression de ses parents et puis jappris quil avait été fiancé avec une autre cousine de Constantine qui, elle, avait deux ans de moins que lui. Mon histoire avec Fayçal, du moins sa première partie, finit donc ainsi en queue de poisson.
Elle avait laissé en moi un goût dinachevé et beaucoup de frustration. Je lavais réellement aimé, dun amour passionné et entier. Jai aussi adoré nos étreintes, lesquelles malheureusement étaient restées superficielles. Des mois plus tard je rêvais encore de Fayçal qui métreignait, me caressait, sortait son énorme engin et me perforait lhymen. Javais même rêvé une fois quil menculait en force, ce qui mavait beaucoup étonné à mon réveil. Je navais encore jamais pensé à la sodomisation, comme partie intégrante de la sexualité, ni bien entendu fantasmé dessus. Et puis le temps fit son affaire et mit un voile sur mon histoire avec Fayçal. Je recommençais à flirter avec des garçons qui me plaisaient et puis fis la connaissance de Slim, qui devint très vite le centre de ma vie. Nous nous mariâmes très vite (avec lui, tout avait été possible dès le début, y compris me faire dépuceler par lui, longtemps avant de devenir son épouse) et eûmes une vie amoureuse vraiment libre et heureuse. Et cela dure toujours. Je touche du bois, pour que cela dure éternellement.
Je revis Fayçal, environ cinq années après mon mariage. Il était venu rendre visite à maman et resta quelques jours chez elle. Il était accompagné de sa femme, la cousine avec laquelle il avait été fiancé depuis plus de cinq ans et quil avait finie par épouser une fois quil avait décroché son diplôme de pharmacien. Ils habitèrent chez ma mère pendant environ une semaine, le temps semble-t-il pour que sa femme fasse toute une série danalyses médicales, quil était trop cher de faire en France, où ils étaient installés. Maman minforma de la présence sous son toit de Fayçal, mon cousin.
Tout ce que javais cru disparu, oublié, enfoui au fond de ma mémoire, remonta dun coup. Fayçal ! Le beau Fayçal ! Mon amour de jeunesse ! Létalon dont jespérais la saillie mais qui nétait jamais venue ! Mon cur se mit à battre la chamade. Je ne savais pas ce qui était entrain de marriver. Pendant toute la journée, je ne pensais plus quà lui. Javais envie de le revoir. Je me disais quil fallait absolument que je le revoie, rien que pour massurer quil nétait plus rien pour moi. Je voulais me prouver à moi-même quil nétait plus rien pour moi. Au fond de moi, je savais que je me mentais et quil y avait encore, enfouie au fond de ma mémoire, la frustration du départ et surtout la frustration dun amour inachevé. Inachevé physiquement, bien entendu. Je navais pas pu sentir son bel engin dans ma chatte et dans mes boyaux. Je crois que cest surtout cette frustration qui mobsédait : ne pas avoir été niquée par le gros zob de Fayçal. Ne pas avoir grimpé aux rideaux grâce à son magnifique engin. Toute ma vie, cela restera un manque, quun jour où lautre il faudra bien que je colmate.
La nouvelle que venait de mannoncer maman me donna loccasion déchafauder un plan pour revoir mon cousin en cachette ou en présence de mon mari, je ne savais pas encore et massurer quil ne restait plus rien de mes sentiments passés pour lui. Cest du moins comme cela que je présentais les choses à maman, en lui demandant de lui indiquer où je vivais et de lui suggérer de passer me voir. Je parlais vaguement de Fayçal à Slim, en lui disant que cétait un cousin éloigné pour lequel, javais eu jadis le béguin et que probablement il allait passer nous rendre visite. Je ne voulais pas lui dire que jespérais être seule, au moment où il viendrait.
- Tu las beaucoup aimé ? Cest lhomme dont tu mas parlé en me disant quil te faisait bander ? Tu bandes encore pour lui aujourdhui que tu sais que tu vas le revoir ?
Slim, comme à son habitude, posait beaucoup de questions sur les sentiments qui pouvaient manimer quand il sagit dun homme. A lépoque, il ne me disait pas encore clairement, quil aimait que je prenne du plaisir entre les bras dautres hommes. Tout ce quil faisait cétait de me pousser à lui dire que je fantasmais sur dautres hommes et cela le faisait bander plus que dhabitude. Javais bien sûr remarqué quen ces moments là, il devenait un véritable taureau au lit et quil me prenait pour sa génisse. Je sentais, sans trop bien comprendre, quil y avait en lui un côté bizarre qui le faisait bander en imaginant sa femme entrain de se faire tirer par dautres hommes. Mais il ne le disait pas encore aussi clairement quaujourdhui où toute notre vie sexuelle est bâtie sur le principe de moffrir à dautres hommes.
- Tu me diras comment la rencontre se sera passée ? Tu mavoueras tout ce que tu auras ressenti ? Y compris le fait de mouiller pour lui et davoir envie quil te nique ? Jure-moi que tu me le diras !
Jétais étonnée dune telle demande, mais ny tins pas beaucoup compte. Je lui promis et me préparai à accueillir mon ex petit-ami avec tous les honneurs qui lui étaient dus. Je me fis belle, mhabillais de manière super sexy (de quoi faire bander un aveugle, me dis-je, en voyant limage de vamp que me renvoyait le grand miroir du couloir) et attendis impatiemment le coup de sonnette qui mannoncerait son arrivée. La sonnette vibra effectivement à lheure entendue, mais, horreur ! Fayçal nétait pas venu seul ! Il était accompagné de sa femme. Une grosse chipie, toute blanche et antipathique (En fait jexagère parce quelle nétait pas grosse, mais plantureuse. Et elle nétait antipathique que parce que jétais jalouse).
Faisant contre mauvaise fortune bon cur, je les fis entrer dans le salon, embrassai mon cousin sur la joue et fis deux bises à sa femme. Jétais furieuse, mais nen laissais rien paraître. Je me comportais en bonne maîtresse de maison, servis des rafraîchissements et des gâteaux, fis la conversation et
gardait au fond de moi toute ma frustration. Dautant que Fayçal était devenu un homme superbe ; encore plus beau quil a huit ans. Sa moustache était devenue plus drue et lui donnait un aspect encore plus viril quautrefois. Sa bouche était restée celle dun carnassier en attente dune proie à dévorer et son regard était tout aussi inquisiteur et impudique quavant. Il continuait à me regarder comme avant : comme une proie quil aimerait bien attr.
Il ne disait rien qui pouvait faire penser quoi que ce soit de ce qui se passait en lui. Mais connaissant mon bonhomme, je savais quil ne pensait quà la chose ! La même chose à laquelle moi je pensais sans arrêt. Lui il voulait me tirer et moi je voulais quil me tire ! Il savait que jétais contrariée. Que jétais déçue. Que jétais frustrée ! Il en souriait. Jenrageai. Cest à ce moment que je vis quil avait un téléphone portable, quil avait posé négligemment sur la table basse du salon. Je me dis quil fallait absolument que jaie son numéro. Je me levai pour faire visiter lappartement à mes invités et quand nous fûmes dans la cuisine, je mexcusais auprès deux, prétextant avoir oublié quelque chose dans le salon jy retournais en vitesse, pris le téléphone que Fayçal avait laissé sur la table, formai mon numéro de portable et laissa sonner une fois avant de le reposer là doù je lavais pris. Je venais davoir son numéro de téléphone, sans avoir eu à le lui demander.
Ils partirent au bout dune heure environ, après mavoir fait promettre de leur rendre visite avec mon mari, bien entendu, à Paris. Je promis ce quils voulurent et refermai la porte derrière eux. Jattendis environ une heure puis appelais le numéro que mon téléphone avait enregistré.
- Allo ! Oui !
- Fayçal ? Cest toi ? Tu es seul ? Cest moi Warda !
- Oui je suis seul. Je viens de déposer mon épouse à la maison. Elle est entrain de papoter avec ta mère. Elles parlent certainement de toi ! Comment as-tu eu mon numéro ? Je ne savais pas comment te le communiquer en cachette de ma femme.
- Pourquoi nes-tu pas venu seul ? Tu savais bien que je voulais te voir seul !
- Ma femme avait exigé de venir avec moi, sinon elle sopposait à ce que je te revoie. Elle sait pour nous et elle avait peur quil en reste encore quelque chose.
- Quen reste-t-il pour toi ? dis-je, saisissant au vol, la perche quil venait de me tendre.
- Lenvie de te niquer !
Cétait bien là tout Fayçal ! Direct et brutal ! Lenvie que javais ressentie en le revoyant tout à lheure, venait de se réveiller et de prendre une ampleur telle que je commençais à couler. Ma chatte était complètement mouillée en écoutant la voix de Fayçal qui décrivait tout ce quil voulait me faire. Tout ce quil navait pas pu me faire quand nous étions jeunes. Il me parlait de sa frustration de navoir pas été le premier à pénétrer dans ma chatte et à méclater lhymen. Il parlait de mon cul quil trouvait toujours aussi magnifique et quil voulait entreprendre et défoncer sans ménagement ; de ma bouche quil voulait baiser comme il baiserait ma chatte !
- Viens demain matin, vers neuf heures, nous passerons la journée ensemble. Invente ce que tu veux, pour convaincre ta femme que tu dois tabsenter toute la journée et viens, nous allons rattr le temps perdu. Je veux connaître ce que jai perdu toutes ces années. Tu viendras ?
- Bien sûr que je viendrai ! Rien ne men empêchera ! Je bande pour toi comme un âne ! Ce soir je baiserai ma femme en pensant à toi ! Elle en sera toute étonnée !
- Moi aussi je baiserai avec mon mari en pensant à toi ! Mais moi je pense que je lui dirais
Quand Slim revint le soir, il me posa tout de suite la question de savoir si Fayçal était venu et sil sétait passé quelque chose entre nous. Je lui dis que malheureusement, il était venu avec sa femme et que donc, il ne pouvait rien se passer. Il me questionna sur mes sentiments et si javais bandé pour lui.
- Tu avais envie quil te baise ? Quil te tire à la hussarde, devant sa femme ? Tu voulais prendre sa femme par la peau du coup et la chasser de la maison pour rester seule avec lui ? Pour quil te nique comme un taureau ? Dis-moi la vérité !
- Oui !
- Oui quoi ?
- Quil me nique comme un taureau ! Quil sorte sa grosse queue et quil me baise comme cela, debout contre la porte dentrée ! Quil me fasse sentir toute la puissance de son zob ! Quil me fasse grimper aux rideaux ! Quil me fasse hurler de plaisir !
Slim ne résista pas longtemps. Il mattrapa par la main et memporta vers la chambre où nous attendait notre lit damour. Ce lit que je voulais souiller avec un autre homme. Il sortit son zob qui était devenu monstrueux, tant il était excité. Il ne me déshabilla pas. Il releva le bas de ma robe, rabaissa ma culotte sur mes genoux, me fit retourner et me mit à quatre pattes à travers le lit. Il me prit en levrette et me pénétra brutalement. Il tira de moi, un grand cri de douleur, dont il se fichait pas mal. Il continua à pilonner ma chatte avec de plus en plus de force et de vitesse.
- Imagine que cest Fayçal qui te nique comme ça ! Imagine que cest son gros zob qui prend possession de ta chatte ! Dis-moi que cest lui !
- Oui Fayçal ! Continue ! Tu vas me faire mourir de plaisir ! Fayçal ! Fayçal ! Encore ! Fais jouir ta fleur ! Ta Warda !
Et Slim et moi eûmes un superbe orgasme qui nous fit hurler de plaisir (moi surtout ! parce que mon mari a toujours été plus discret dans ses jouissances). Nous déchargeâmes tous les deux mélangeant à lintérieur de mon vagin nos sécrétions. Le tout ressortit en grande partie de mon vagin pour aller sétaler sur le drap du lit. Nous étions fourbus et heureux ! Slim me regardait avec ses yeux brillants damour et de tendresse. Il me remerciait silencieusement pour le plaisir que je lui donnais, en entrant dans ses fantasmes. Deux fois de suite cette nuit, Slim honora la chatte et le cul de sa femme. Deux fois de suite, il lui donna des tonnes de plaisir en se transformant en Fayçal ; et en prit autant. Le lendemain, il partit au travail, comme à son habitude, vers huit heure trente. Je me levais, le cur battant, sachant que ce matin là jallais commettre lirréparable : tromper mon mari pour de vrai. Coucher avec un autre homme dans notre chambre et sur notre lit conjugal. Javais conscience que jallais faire quelque chose dinterdit et dimmoral.
Mon cur nen battit que plus fort ! Le goût superbe de linterdit ! A neuf heures tapantes, Fayçal sonna à la porte. Jouvris, le pris par la main, le tirai rapidement à lintérieur, refermai la porte et sautai sur mon homme. Javais faim de lui. Javais envie de le manger tout cru. Jattrapais sa tête et lui donnai un de ces baisers que nous avions lhabitude de nous échanger, quand nous étions ensemble. Rien, absolument rien navait changé ! La même ardeur ! La même passion ! Les mêmes langues qui se défiaient et se poursuivaient dune bouche à lautre ! La même quantité de salive qui passait de lun à lautre, que nous avalions avec délectation! La même difficulté à respirer, tant le baiser était torride et long !
Quand nous arrêtâmes de nous embrasser, parce quau bord de l, nous restâmes un moment à nous contempler, revivant inconsciemment nos amours passées. Et puis le désir revint, encore plus fort.
- Nique-moi, là debout contre la porte ! Jai dit hier à mon mari que cétait comme cela que je voulais que tu me niques pour la première fois !
Il ne se fit pas répéter ma demande. Il mattrapa par la taille, me souleva et me colla le dos contre la porte dentrée. Je maccrochai solidement à sa nuque et attendit la suite avec impatience. Il souleva ma jambe gauche en me tenant sous le genou. Il en profita pour me soulever de quelques centimètres pour mettre ma vulve au niveau de son pubis. Il ouvrit sa braguette avec sa main gauche, sortit le monstre qui sy cachait et le plaça entre mes cuisses. Il venait de remarquer que je ne portais pas de culotte et cela le fit bander encore plus. Il plia légèrement les jambes pour placer son gland juste sous ma chatte et brusquement il me pénétra en force, faisant atteindre à son immense sexe le fond de ma cavité vaginale. Javais limpression davoir été pénétrée par un long tuyau, gros et dur, qui allait ressortir pas ma bouche.
Slim mavait souvent niquée comme cela debout. Mais je navais encore jamais ressentie cette sensation de vagin pénétré complètement. Il me semblait que le zob de Fayçal avait atteint la limite de mon boyau. Et que sil allait plus loin, il me déchirerait quelque chose. Il me faisait mal, en même temps quil me remplissait de plaisir. Jétais entrain de me dire que cétait cela que javais manqué pendant des années. Et que cétait une pimbêche qui profitait de ces séances de bonheur qui nétaient dues quà moi seule. Ce que je ressentais dépassait tout ce que javais connu ; y compris avec Slim, mon merveilleux amour. Slim qui mavait ouverte à lérotisme le plus torride. Mais avec Fayçal cétait autre chose : le goût de linterdit qui donnait encore plus de saveur à un plat - lamour - qui en avait, naturellement, déjà beaucoup.
Je ne sais combien avait duré la séance, mais au bout dun temps très long, pendant lequel, nous ressentîmes tous les deux le plaisir le plus parfait, nous eûmes, en même temps un orgasme tellement fort, quil nous fit tomber par terre. Fayçal avait éjaculé une tonne de foutre qui était retombé par terre en coulant le long de ma cuisse droite, mélangée à toute la cyprine que javais produite. Nous nous étalâmes par terre un moment, pour reprendre notre respiration et permettre à nos curs de reprendre leur rythme normal. Puis je susurrais à loreille de mon amant, ce que je voulais faire depuis le début : souiller la couche conjugale.
Il me semblait que tromper son mari dans la chambre et sur le lit même de leurs amours, était le summum du cocufiage. Je voulais atteindre ce summum. Au fond de moi, je ne savais pas pourquoi, je tenais tant que ça à me faire tirer dans la chambre et sur le lit conjugal. Peut-être parce quinconsciemment je pensais que cétait cela qui ferait le plus plaisir à Slim. Mais comme javais décidé de ne rien lui dire, une telle explication ne pouvait pas tenir debout. Mais, les choses étant ce quelles étaient, je me fichais absolument du pourquoi de la chose. Je voulais que Fayçal me nique sur le lit conjugal et il le fit !
Il le fit comme à son habitude, en force et sans précaution. Surtout quil avait décidé de menculer. Il me fit allonger sur le dos en travers du lit, me releva lui-même les jambes quil plia de part et dautre de ma poitrine, enleva son pantalon, resta un moment le sexe brandi comme un glaive, à admirer mes deux orifices, se demandant probablement lequel des deux était le plus accueillant, puis se décida à poser le gland pointu de son engin sur lanneau de mon anus. Il donna un fort coup de rein, qui fit pénétrer le gros zob jusquau fond de mon cul. Je sentis son pubis venir cogner sur mes fesses et arrêter la progression du manche. Que cétait bon ce zob qui occupait tout mon cul et qui allait et venait en limant très fortement la paroi de mon rectum ! Toute la force de Fayçal était dans cet engin ! Cétait grâce à lui quil me possédait ! Quil était devenu mon maître !
- Tu as été souvent niqué par le cul ! Il est bien ouvert ! Mais il est tellement élastique que jai limpression dêtre son premier occupant ! Jaime tenculer ! Dis-moi que toi aussi tu aimes le gros zob de Fayçal dans ton cul ! Dis-le ! Ça me fait bander encore plus !
- Jaime le zob de Fayçal dans mon cul ! Je laime partout ! Dans mon hatchoun ! Dans ma bouche ! Mais je laime surtout dans mon cul ! Dans mon cul ! Dans mon cul !
- Masturbe-toi pendant que je tencule ! Fais-toi encore plus de bien ! Jaime sentir les doigts dune femme qui farfouille dans sa chatte, pendant que la prend par derrière ! Cest une sensation merveilleuse ! Paradisiaque ! Continue comme ça ! Essaie dattr mon zob ! Oui, comme ça ! Je vais éjaculer ! Plus vite avec ta main !
Et pendant quil pilonnait mon cul à la hussarde et de plus en plus vite, je faisais faire à mes trois doigts qui étaient dans mon vagin des va-et-vient frénétiques et rapides qui ne tardèrent pas à memmener très haut vers les cimes du plaisir. Je sentis venir lorgasme encore plus puissant que celui de tout à lheure devant la porte. Il menvahit dun seul coup, me couvrant dun épais voile de plaisir. Je hurlais que jétais entrain de jouir ! Que cétait merveilleux de jouir comme cela ! Que son zob était un Diable, qui savait me posséder et me faire monter au septième ciel ! En réalité je crois que je navais prononcé que des bribes de phrases, complètement incompréhensibles pour celui qui les entendaient. Mais cétait ce que je voulais dire avec ces bribes de phrases : jétais au firmament du bonheur et du plaisir ! Et je voulais que mon amant le sache ! Nous jouîmes une fois de plus comme des bêtes !
Fayçal, exténué et repus, tomba sur ma poitrine mobligeant à rester dans la position que je tenais quand il pilonnait mon anus. Jaccrochais sa nuque et lui caressais les cheveux avec tendresse et reconnaissance. Je lui étais en effet reconnaissante, pour tout le plaisir quil venait de me donner et quil allait encore me donner, parce que jétais décidée à le garder encore avec moi toute la journée et de mavoir fait rattr tout ce que javais raté, il y a des années.
Nous nous séparâmes vers dix sept heures et, malheureusement, ne nous revîmes plus. Il repartit le lendemain matin pour Paris avec sa femme et laissa en moi un vide difficile à remplir. Quand Slim rentra de son travail, il me trouva un peu triste du départ définitif de Fayçal, mais ne me posa aucune question. Il devinait quil sétait passé quelque chose dimportant durant la journée, mais attendait que cela soit moi qui en parlasse la première. Or javais décidé de ne pas en parler du tout. Craignant quil prenne mal la chose. Et puis les années ont passé et notre couple a évolué vers ce quil est aujourdhui. Le secret na commencé à me peser que depuis que Slim ma ouvertement autorisée à prendre mon pied partout où je le trouve, y compris auprès dautres hommes. Il faut donc quil apprenne que lavais déjà cocufié avant même quil ne mautorise à le faire.
Et maintenant à toi de jouer. Ecris lhistoire et envoie-la-lui par mail. Je veux quil la lise et quil sache que cest moi qui aie décidé de lui avouer ce que jai fait, il y a des années, derrière son dos. Jespère quil me pardonnera et surtout que cette histoire le fasse bander plus que de coutume et quil me montre quil ma pardonné en me donnant encore plus de bonheur dans notre chambre et sur notre lit conjugal.
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En guise dépilogue :
Jai effectivement écrit lhistoire que jai envoyée à Slim à son adresse mail. Jen suis encore à attendre sa réaction, si réaction il y a. Je ne voudrai pas que le fait davoir rendu lhistoire publique, crée un problème au couple. Mais je pense que Slim a, depuis très longtemps, dépassé le genre de susceptibilité que craignait Warda.
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