Mon Propriétaire
Dans les années 60 je louais une chambre de bonne à Paris dans le 7ème,...2,50 mètres sur 3..le tour était vite fait un lit une place, une petite table, un réchaud camping gaz,une chaise pliante quelques étagères, des patères. Un lavabo(eau froide)..les wc sur le palier.. une fenêtre donnant sur une cour intérieure.faut pas se plaindre j'étais dans un immeuble cossu d'un quartier huppé.je bossais de nuit aux anciennes halles et regagnais mes pénates après avoir profité de la matinée selon le temps et dormir jusqu'à 20 heures avant de retourner au boulot.je payais mon loyer à la concierge avec toujours du retard elle me le disait gentiment (je lui ramenais des légumes des halles)un matin elle me dit que le propriétaire était passé pour me voir la veille au soir alors que je venais de partir,et elle lui explique que travaillant la nuit je dormais le jour et que le mieux serait de venir un samedi matin,ce qu'il fit aussitôt en se présentant à ma porte le samedi suivant.j'étais assis près de la fenêtre ouverte en buvant un café,on frappe,je me lève, ouvre et me trouve face à un prêtre en soutane de type asiatique d'une trentaine d'années,très mince,il se présente en tant que vicaire d'une paroisse propriétaire de plusieurs chambres de bonne et chargé de gérer les comptes de la dite paroisse et de récupérer les loyers.je le fait entrer et lui propose la chaise tandis que je m'assied sur le lit.il me dit qu'il trouve inadmissible que je ne règle pas mon terme en temps voulu que ça occasionnait du retard dans sa comptabilité et que si je ne faisait pas un effort il se voyait contraint me signifier une rupture de bail..je me penche en avant près de son visage et en élevant la voix lui dit qu'il peut aller se faire voir avec son bail vu qu'il n'y en a pas que tout s'est fait verbalement avec la concierge,que même en retard j'ai toujours payé..surpris il me répond que ça n'est pas la peine de se fâcher en posant sa main sur ma cuisse,c'est l'été ,je suis en short et chemisette ouverte,de sa voix suave il me dit que on peut toujours s'arranger tout en me caressant la cuisse de plus en plus haut,je ne dit rien,sa main va arriver à la limite autorisée il me regarde en souriant et remonte dans mon short je commence à bander il vient s'asseoir près de moi sur le lit et s'enhardit en me déboutonnant,il me déculotte , enlève mon slip et voit surgir ma queue qu'il découvre au garde à vous dans une belle érection.
arrière pour m'aider,ça glisse tout seul je met un troisième doigt,qu'il accepte sans broncher,il a certainement de la pratique,j'enlève mes doigts,me positionne derrière lui,pose mon gland sur sa rondelle et pousse,ma bite est aspirée dans son rectum jusqu'aux couilles...oh! oui vas y encule moi fort!!elle est bonne ta grosse queue ça me fait du bien j'adore ...tu as un bon petit cul de salope, je vais t'en donner espèce de petite chienne,te défoncer comme tu le mérites,te la mettre bien profond...prend moi encore plus fort! pilonne moi, je veux te sentir au fond de mon cul,hummm! oui n'arrête quelle bite!!je sors de son cul et le retourne de face; lui relève les jambe et m'enfonce d'un grand coup et lui bourre le fion à coups de reins puissants je sens mon gland au bord de l'explosion je bande au maximum, encore quelques coups de boutoirs et je vais jouir dans son cul,,je le préviens et il me répond de me vider entièrement il veut me sentir décharger et l'inonder de mon jus,ce que je fais sans retenue en jets saccadés et abondants il râle de bonheur..
je me passe un coup de gant a l'eau fraîche et m'habille pour sortir,en passant devant la loge de la concierge celle ci me voit et me fait signe et me dit ...alors ça s'est bien passé,? ça a duré longtemps dites moi c'étais bon il me semble je suis monté et j'ai écouté derrière votre porte et entendu j'aimerai bien en profiter aussi vous revenez à quelle heure...
une suite vous intéresse ??
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