Les Histoires Érotiques Du Couple Warda Et Slim Episode Six : Kamel, Le Jeune Frère De Sofiane
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Episode six : Kamel, le jeune frère de Sofiane
Warda mit un certain temps pour donner signe de vie. Il sétait passé environ un mois, avant quelle ne mappelle et me donne rendez-vous, toujours au restaurant, pour, dit-elle, me raconter la suite que Slim avait donné à ses aveux indirects, sur son premier cocufiage. Et bien comme je lavais prévu, le mari, cocu magnifique, prit très bien les choses et sexcita tellement à la lecture de lhistoire quil en devint fou de désir. Il sauta sur sa femme dès quil termina la lecture de lhistoire - il voulait absolument la lire en sa présence « il s'était transformé en taureau en furie qui ne voulait rien dautre que tirer sa génisse à tous moments » (il sagit là de sa propre formule employée par Warda).
Warda voulait aussi me révéler la suite des histoires que son groupe le quatuor, formé de Slim, Sofiane, Aïcha et elle - avait vécu avec un couple exceptionnel, constitué par Kamel, le jeune frère de Sofiane qui venait davoir vingt-deux ans et par sa petite amie du moment, Emilie Emmy, pour ses intimes une splendide plante issue dun couple mixte franco-cambodgien, de deux ans son aînée.
Tout le temps que jattendais un signe de Warda, je me morfondais et rongeais mon frein. Elle me manquait vraiment. Je savais que jétais devenu accro à elle; mais là cela dépassait tout ce que je mimaginais. Je savais que javais envie delle; que son corps mobsédait; que je rêvais delle pratiquement toutes les nuits; que jétais même très amoureux delle. Mais jamais encore, elle ne mavait tant manquée.
Javais besoin de sa présence; même sil ne sagissait que dune heure ou deux , de temps en temps, dans un lieu public où aucun dérapage ne pouvait mêtre permis (en admettant que jaie le courage de dér, ce qui nétait pas évident, compte tenu de mon statut décrivaillon et de mon éducation). Une ou deux heures quelle consacrait à me raconter ses nouvelles aventures amoureuses et le nouveau bonheur quelle avait vécu, ou quelle était entrain de vivre.
Jétais sûr quelle était consciente de mon état desprit, de la situation inconfortable dans laquelle elle mavait mise et probablement, de mes sentiments pour elle, mais elle ne laissait rien paraître. Elle se comportait avec moi, comme avec un ami fidèle, complètement dévoué et à ses ordres. Et jétais cet ami dévoué, totalement à ses ordres. Mais il valait mieux cette situation ambigüe, que pas de situation du tout. Javais besoin de la rencontrer, dêtre à ses côtés, même pour un court moment. Et pour cela, je ne pouvais pas me rebiffer et la perdre définitivement.
Un autre problème se posait à moi : mon manque de jalousie par rapport à toutes les aventures amoureuses quelle vivait et quelle me racontait. Jétais étonné, moi qui dans la vie était très jaloux, de ne pas avoir ce sentiment vis-à-vis delle. Je narrivais pas à mexpliquer une telle situation. Il est vrai que je suis surtout un être de raison; plus que ça : un intellectuel libre penseur; un peu iconoclaste. Jai toujours défendu, dans mes articles de presse, la liberté de penser et dagir, tant quelle ne dépasse pas les limites de linacceptable. La plus grande de ces limites est lasservissement de lêtre humain à un autre ou à dautres êtres humains. Et cela est vrai dans tous les domaines, y compris politique et social.
Transposé à la vie sexuelle des personnes, je ne pouvais quaccepter les désirs et les envies des uns et des autres, de vivre leur vie amoureuse comme ils lentendent. Avec les conditions posées plus haut : pas dasservissement. Mais cela nest quune position intellectuelle. La jalousie dépasse toujours la raison. Donc même si théoriquement, je devais accepter toutes les aventures conjugales et extra conjugales de Warda, le fait que jétais amoureux delle aurait dû me conduire à être jaloux et à exprimer cette jalousie dune manière ou dune autre. Or, il nen était absolument rien ! Jacceptais de bon cur que Warda, que jaimais damour, ait des amants qui la transportent de plaisir et qui lui font vivre les meilleurs moments de sa vie.
Je nai pas envie daller plus loin dans la réflexion et lintrospection. Jai trop peur de devenir neurasthénique et de tomber dans la déprime. Je veux profiter pleinement des deux heures que la merveilleuse Warda / Shahrazade me consacre pour me raconter la suite de ses aventures érotiques et me dise son nouveau bonheur.
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Notre histoire à quatre continua dans un bonheur presque parfait, pendant longtemps. Aïcha, Slim, Sofiane et moi vivions une vie de rêve, faite damour, de passion et de sexe. Et du sexe, nous en consommions sans modération. Il ne nous était pas encore arrivé daller, chacun de notre côté, butiner pour connaître dautres sensations. Nous nen avions pas encore besoin. Nous nous suffisions à nous mêmes. Seule Aïcha, à chaque retour intempestif de son mari Mohand, nous faisait, malgré elle, mais avec plaisir, une infidélité. A son retour, elle nous racontait combien son mari lavait faite jouir et combien elle avait aimé. Slim, Sofiane et moi, nous nous regardions pour savoir, si lun de nous était jaloux du bonheur extra groupe que venait de prendre notre compagne. Aucun de nous ne trouvait à redire, ni néprouvait de jalousie.
Bien au contraire, nous étions heureux pour elle. Mais cela nous rappelait à tous, que le bonheur pouvait aussi être ailleurs, en dehors de nous quatre. Slim, qui était le plus fervent défenseur de ladultère ou du cocufiage, nous rappelait que si lun de nous avait une envie irrépressible daller baiser ailleurs, quil ou quelle le fasse sans hésiter. A condition que tout se fasse dans la transparence absolue. Lhomme ou la femme qui prendrait son plaisir ailleurs, devrait auparavant en informer le groupe et, par la suite, raconter dans le détail tout ce quil ou quelle avait vécu et ressenti. Cétait cela les termes du contrat que nous avions passé entre nous.
Mais jusque là, à lexception de Aïcha, aucun de nous navait été voir ailleurs. Et cette fidélité navait été que le fait du hasard: elle nétait absolument pas volontaire.
- Ma mère, expliqua Sofiane, lasse des dérives permanentes de mon père, avait fini par se lasser et lavait quitté pour aller vivre à Paris, dans un appartement que son mari avait acheté quelques années auparavant, au centre de la capitale française. Elle avait emmené avec elle le plus jeune de ses deux s Kamel devait avoir alors neuf ou dix ans et mavait laissé avec mon père. Cétait cela leur arrangement pour le divorce. Jen avais voulu longtemps à ma mère, mais javais fini par accepter la séparation. Surtout que toutes les années, elle revenait passer quelques temps chez ses parents à elle, pas très loin dici, et que je pouvais lui rendre visite.
Et puis, un jour, elle ne revint plus. Elle sétait remariée avec un entrepreneur français et mavait oublié complètement. Seul Kamel, venait tous les deux ans passer un mois de vacances chez son père. Et puis vous connaissez la suite : le mariage de mon père avec Aïcha et mon départ pour les Etats-Unis. Je ne revis Kamel que deux ou trois fois pendant toute cette période. Et voilà quaujourdhui, il arrive, accompagné dune superbe plante, quil dit être sa fiancée. Je les ai vus tantôt. Elle est vraiment splendide ! Je leur ai laissé lappartement de Staoueli, pour quil nait pas à dépendre de notre père.
Et puis, connaissant ses murs, je suis sûr quil ne résistera pas à lenvie de se payer (au sens littéral du terme) la fille. Il est capable de tout ! Je les ai invités à dîner au restaurant ce soir. Si vous voulez, nous pouvons y aller tous les quatre. Plus on est de fous plus on rit ! Quen dites-vous ?
- Cest ok ! Répondit Slim, qui venait de décider pour nous.
El le soir vers dix-huit heures, nous partîmes tous les quatre, dans la fameuse voiture noire de Sofiane, récupérer le couple de lappartement quils occupaient à Staoueli. Nous devions aller manger du poisson à la Madrague. Sofiane donna deux coups de klaxon très sonores, pour avertir son frère quil lattendait au bas de limmeuble. Il éteignit le moteur et nous attendîmes en silence larrivée du couple. Slim, Aïcha et moi, étions curieux de découvrir le fameux couple (Aïcha connaissait bien sûr Kamel, mais cela faisait maintenant quatre ans quelle ne lavait plus vu. Quand à sa fiancée, elle était dans le même état dignorance que nous). La surprise ne fut que plus totale pour nous trois ! Sofiane aurait dû nous avertir quil sagit vraiment dun couple de mannequins de mode. Il nous avait bien dit quelle était superbe; mais cétait beaucoup plus que cela: autant elle, que lui, étaient dune beauté éblouissante ! Cétait un couple harmonieux de beauté; ils étaient vraiment faits lun pour lautre !
Elle, Emilie, avait les traits dune magnifique eurasienne. Elle avait pris de chacune des races de ses parents, ce quelles avaient de meilleur : de sa mère, elle tenait le teint mat, les yeux noirs, très légèrement bridés, les cheveux noirs corbeau, longs, raides et lisses et tout lexotisme de lAsie. De son père européen, elle avait hérité une grande taille, les épaules larges et rondes, la minceur, les hanches étroites et rondes, les jambes longues et superbement galbées, le fessier de pouliche rond et haut perché. Tout comme sa grande bouche pulpeuse et son petit nez bien droit, quelle tenait probablement de son ascendance européenne. Elle était non seulement belle, mais elle avait la démarche gracieuse des asiatiques, doublée du pas décidé des femmes européennes.
Sur le moment, nous pensâmes tous quelle devait être mannequin; nous sûmes par la suite quelle était styliste dans une grande maison de couture et quil lui arrivait de faire des photos de mode, comme mannequin. Tout en elle était élégance et grâce. Slim et Sofiane (qui pourtant lavait déjà vue) avaient ouvert tout grands leurs yeux et leurs bouches, devant tant de beauté. Aïcha et moi, de même ; mais pas pour les mêmes raisons. Pour nous, il sagissait avant tout de curiosité féminine, doublée de jalousie, devant plus belle que nous !
Quand à Kamel, cétait le portrait, en plus jeune, de Sofiane. Un Sofiane qui aurait fait beaucoup de sport et qui aurait sculpté son corps, façon top model, travaillant pour les grandes marques de parfum de luxe masculin, comme on les voyait dans les spots publicitaires à la télévision. Il avait un merveilleux corps dathlète: grande taille, épaules larges, taille fine, hanches étroites, longues jambes et un superbe petit fessier, qui donnait envie dy mettre la main, pour en tester la fermeté. Il avait les cheveux coupés très courts, comme cétait la mode et le visage superbement bronzé (le reste du corps aussi, jimagine !). Il prenait un soin infini de son apparence physique. Il était beau et il le savait ! Il faisait tout pour le rester. Nous sûmes par la suite queffectivement, il avait fait du mannequinat son métier. Quil travaillait beaucoup pour des grandes marques de cosmétiques masculin pour lesquelles il faisait surtout des photos, qui paraissaient dans les revues de mode masculine spécialisées.
- Je vous présente Kamel, mon jeune frère et Emilie, son amie. Je vous présente Slim, mon ami, Warda, sa femme et Aïcha notre belle-mère à Kamel et moi !
Kamel tendit la main pour serrer les nôtres. Quand à Emilie Emmy, dit-elle elle nous fit une bise à tous les quatre. Nous remontâmes dans la voiture noire un quatre/quatre de sept places, suffisant pour nous transporter tous les six et Sofiane démarra sur les chapeaux de roue. Direction La Madrague. Nous arrivâmes, aux environs de dix neuf heures trente, dans limmense restaurant fréquenté par toute la bonne société algéroise. Sofiane avait réservé; notre table nous attendait donc. Nous commandâmes plein de plats de poissons et nous mangeâmes avec appétit. Au cours du trajet et pendant le repas, nous parlâmes de tout et de rien. La discussion était sympathique et lalcool aidant sauf pour Aïcha et moi, qui naimions pas nous nous lâchâmes et abordâmes tous les sujets. Et devinez quel est le sujet qui avait le plus de succès : le sexe !
Des deux, cétait Emmy qui parlait plus librement de sexe. Kamel semblait plus discret sur ce sujet. Cest vrai quil était le plus jeune dentre nous; même Emmy avait deux années de plus que lui et semblait avoir plus dexpérience. Elle parlait de la liberté sexuelle, devenue un véritable mode de vie en Occident ; même si ça et là, il y avait encore des résistances, dues surtout aux restes de morale judéo-chrétienne et au puritanisme de quelques groupes sociaux bien déterminés. Mais là-bas, disait-elle, personne ne soccupe de savoir comment et avec qui vous faites lamour.
- Jai appris quici, par contre, cest très différent. Le rigorisme religieux, le puritanisme exacerbé et les tabous sociaux sont encore très forts. On dit même que cela est entrain dempirer, avec la montée irrésistible du fondamentalisme islamique. Cest vrai ?
- Oui, cest vrai répondit Slim, qui était celui dentre-nous qui avait le plus réfléchi à la question. La morale la plus rétrograde est entrain de prendre le dessus. Et cela risque de durer encore très longtemps. Heureusement quil y a encore des îlots de résistance dans lesquels les choses se déroulent normalement ; mais très discrètement. Comme nous quatre, par exemple !
- Ah oui ? Tu veux dire que pour vous quatre, les choses se passent différemment ? Que vous avez des relations sexuelles plus libres que pour le reste de la société ? Raconte !
Et la discussion sinstaura entre Emmy et Slim qui était vraiment à son aise dans ce genre de discussion « philosophique ». Le reste du groupe, y compris Kamel et Sofiane ne fit quécouter et suivre les arguments que défendait Slim et quacceptait avec empressement Emmy qui trouva en face delle un véritable libre penseur, capable dargumenter sur des idées réellement iconoclastes pour notre société. En fin de compte, il apprit à Emmy donc aussi à Kamel que tous les quatre nous formions un groupe harmonieux damoureux et damants qui vivait une sexualité débridée et libre.
- Nous sommes un groupe parfaitement heureux de vivre notre sexualité comme il nous plait de la vivre et de plus, un groupe qui reste ouvert à toutes les bonnes volontés qui aiment le sexe et lérotisme libres. Notre seule limite est le refus de lasservissement humain.
Tout le monde avait compris que Slim venait de les inviter à rejoindre le groupe, durant toute la durée de leur séjour. Emmy était heureuse dentendre tout ce que lui avait dit Slim et elle accepta immédiatement linvitation. Kamel était un peu plus hésitant, bien que très tenté lui aussi. Il finit par dire un oui très timide. Nous nous empressâmes de finir de diner et, impatients comme des collégiens à leur premier rendez-vous galant, nous rejoignîmes notre appartement du centre dAlger. Durant le trajet, Slim continua un moment sa discussion très animée avec Emmy, tandis que les quatre autres étaient restés silencieux. Chacun de nous pensait à quelque chose de précis : moi je pensais à Kamel, en le regardant de manière directe et éhontée, pour lui montrer que javais envie de lui que je voulais quil me fasse lamour à moi la première. Aïcha aussi regardait Kamel avec gourmandise: elle voulait certainement la même chose que moi. Sofiane lui regardait la belle eurasienne, en se demandant à quelle sauce il allait la consommer. Je voyais à ses yeux globuleux et à son sourire de carnassier, quil était déjà entrain de bander comme un âne et quil avait décidé de passer à laction, immédiatement. Slim lui, était toujours égal à lui-même, il nétait pas pressé. Il savait que son heure de prendre du plaisir, allait arriver bientôt.
Il restait Kamel. Personne ne pouvait deviner à quoi il était entrain de penser. Si même il était excité à lidée de faire lamour avec trois belles nanas. Il était resté calme et silencieux. Il semblait réfléchir à des choses sérieuses, pas à batifoler. Il était tellement beau ! Il était assis entre Aïcha et moi. Et comme si nous nous étions concertées, nous lançâmes toutes les deux une main vers le devant de son pantalon. Elle et moi voulions tester sa virilité. Nous voulions lexciter, pour quil arrive à point à la maison. Il se laissa faire sans rien dire. Ma main était arrivée la première sur le devant du pantalon; celle de mon amie était venue se poser sur la mienne. Toute les deux nous fîmes le mouvement de caresser le sexe du beau garçon, qui nous paraissait bien trop sage, afin de le réveiller. Aïcha retira sa main et alla soccuper de la poitrine du beau mec. Elle se mit à déboutonner sa chemise et à dénuder sa poitrine dathlète : elle découvrit une poitrine sans un seul poil, avec de formidables pectoraux fermes et frémissants. Elle se mit dabord à les caresser très légèrement, comme elle savait si bien faire. Elle utilisa ses doigts électrifiés pour réveiller le désir qui, elle le savait, était seulement entrain de sommeiller. Puis elle se mit à promener ses lèvres et sa langue, titillant au passage ses petits tétons très durs et descendit furtivement vers son ventre, ses muscles abdominaux qui ressemblaient à une tablette de chocolat et sur son nombril tout rond et mignon.
Je crois que plus que la pression que je faisais sur son sexe, ce furent les caresses et les baisers très légers de Aïcha qui le firent bander. Mais quimporte ! Quand je vis comment le sexe que je sentais sous mes doigts à travers le tissus du pantalon, grandissait et palpitait, jen fus toute émoustillée. Je voulus le sortir pour le contempler, le caresser et, pourquoi pas, lavaler. Jentrepris donc de défaire sa ceinture et douvrir sa braguette pour le sortir de sa cachette. Quelle récompense ! Je me retrouvais devant le même sexe, que celui de son grand frère et de son père, en plus soigné, parce que de toute évidence, il prenait autant soin de son sexe que de tout le reste de son corps. Long, dur et surmonté dun gland très large. Une immense promesse de bonheur pour nos chattes, nos culs et nos bouches !
Je le pris dans ma main et vit que cela lui faisait de leffet. Il se mordit les lèvres pour ne pas avoir à gémir ou à crier. Il aimait vraiment ce que nous lui faisions, Aïcha et moi. Mais il semblait encore coincé; peut-être parce quil craignait la réaction dEmmy, quil ne semblait pas trop croire quand elle acquiesçait au discours libertin de Slim. Il ne connaissait pas cette facette de son amie : il croyait certainement quil sagissait de leffet de lalcool quelle avait bu tantôt, pourtant modérément, comparé aux trois hommes qui avaient descendu gaillardement deux bouteilles de vin blanc.
Kamel, ne se laissa aller au plaisir quil ressentait à se faire masturber et embrasser par deux belle femmes, que quand il vit, sur la banquette avant, Sofiane qui tripotait Emmy et celle-ci qui poussait des petits cris de plaisir en tripotant elle-même le sexe de Slim, qui conduisait la voiture noire, à la place de son ami. Tous les cinq donc, à lexception de Slim qui devait faire attention à la route, et aux patrouilles des motards de la gendarmerie qui étaient nombreuses sur ce tronçon la nuit, nous nous excitâmes en nous tripotant et en échangeant des baisers torrides, attendant avec impatience le moment darriver à la maison et de nous lâcher. Kamel mattrapa par les cheveux et tira dessus pour que je mette ma bouche à hauteur de son superbe sexe. Le bougre, il voulait que le suce !
Je ne me fis pas prier. Jétais devenue une véritable experte en fellation, surtout avec ce type de sexe long avec un chapeau large (Sofiane, son père et maintenant Kamel !). Je lui fis donc une superbe fellation, tandis-que Aïcha lui roulait pelle sur pelle, buvant au passage toute la salive quil sécrétait et lui offrant la sienne en compensation. Je sentais que Kamel ne pouvait pas résister plus longtemps à lenvie de lâcher son sperme dans ma bouche. Je ne voulus pas quil jouisse tout de suite, je voulais quil le fasse plus tard, dans ma chatte ou dans mon cul (ou même dans la chatte ou dans le cul de Aïcha). Jarrêtais la fellation et repris une légère masturbation qui lui fit tirer des petits cris de plaisir, chaque fois que Aïcha arrêtait de lembrasser.
Devant nous, Sofiane et Emmy étaient aussi au bord de lapoplexie, tant ils étaient excités. Emmy avait abandonné le sexe de Slim et ne soccupait plus que de celui de Sofiane. Elle lavait sorti du pantalon et en le voyant séchapper de sa prison de tissu, elle ne put sempêcher de pousser un petit cri de surprise et de se retourner vers Kamel, pour lui dire :
- Vous avez exactement le même zob, ton frère et toi ! Il est aussi beau que le tien ! Aussi long ! Aussi dur ! Et avec le même immense chapeau ! Jespère quil sait lutiliser aussi bien que toi !
- Mieux que quiconque ! répondit vexé, Sofiane, qui attrapa la tête dEmmy et la força à aller vers son sexe. Avale-le avec ta bouche, en attendant de le faire avec ta chatte !
Elle neut pas le temps de lui faire une vraie fellation. A peine avait-elle commencé à le sucer, que Slim arrêta la voiture et descendit ouvrir le garage. Tout le monde descendit en sarrangeant un peu pour ne pas paraître débraillés et dénudés devant tous ceux que nous allions rencontrer dans la cage descaliers. Nous montâmes les quatre volées descaliers à toute vitesse, pour nous retrouver très vite à lintérieur de lappartement. Seul Slim avait gardé son calme. Il referma la porte du garage, puis monta les escaliers, plus calmement que nous, et referma la porte dentrée de lappartement, que nous avions laissé ouverte, trop occupés à sauter les uns sur les autres.
Aïcha et moi, nous occupâmes de Kamel, qui se retrouva, en moins de cinq secondes, aussi nu quun ver. Et nous aussi, nous enlevâmes très vite nos habits pour rester toutes nues. Nous entraînâmes notre amant vers le canapé du salon et nous le violâmes presque, tant nous étions excitées. Aïcha sétait emparée de son sexe, brandi comme un javelot et sétait mise à le sucer et à lavaler. Elle lui faisait une fellation denfer, en faisant avancer et reculer sa tête, empalant ainsi sa bouche et sa gorge sur le long manche, surmonté de limmense chapeau. Il avait fermé les yeux pour mieux savourer le plaisir que lui procurait la belle bouche chaude et mouillée de Aïcha.
Moi je grimpais sur le canapé pour présenter ma chatte devant sa bouche, lui ordonnant de la bouffer. Je pris sa tête entre mes mains et la forçait à pénétrer entre mes cuisses que javais ouvertes très largement, au prix dun mouvement de gymnastique très fatigant et très difficile. Il mattrapa par les fesses pour bien caler ma chatte sur sa bouche et commença à me faire, dans cette position en équilibre précaire, un magnifique cunnilingus. Je sentais ses lèvres, comme des ventouses sur ma chatte, aspirer tout ce qui sy trouvait. Sa langue pénétra à lintérieur de mon vagin et se mit à lécher tout le jus quil contenait. Sa tête faisait de furieux mouvements de va-et-vient entre mes cuisses, multipliant ainsi lintensité du plaisir que jéprouvais. Mes mains ne lâchaient pas sa tête; elles appuyaient fortement sur elle pour la coller encore plus contre mon intimité. Ce que jéprouvais était merveilleux ! Tout mon bas ventre rayonnait de chaleur ! De cette chaleur qui concentrait tout le plaisir en un point précis de mon pubis, avant de lenvoyer par ondes successives sur tout le reste de mon corps, jusquà mes seins, qui étaient devenus aussi durs que de la pierre, tellement ils étaient gonflés de désir.
Jétais au paradis ! Même léquilibre instable dans lequel jétais et la difficulté physique que javais de garder mes cuisses ouvertes pour recevoir la bouche de mon amant, navaient plus dintérêt. Ce qui comptait, cétait lorgasme que je sentais arriver, aussi puissant que les vagues dun océan en furie. Et il arriva aussi fort que je le pressentais. Je déchargeais tout mon jus dans la bouche de mon amant. Je restais sur place tout le temps quil fallut pour que Kamel avale toute la cyprine que je sécrétais, sans en perdre une seule goutte. Je ne redescendis précautionneusement du canapé, quune fois quil ne restait plus une goutte de jus à boire. Jétais éreintée par leffort physique que je venais de faire. Mais tellement heureuse !
Je vins me mettre à genoux à côté de Aïcha, qui continuait son entreprise de pompage du magnifique zob de son partenaire. Elle y allait franchement en le faisant entrer très loin dans sa gorge, tout en lempêchant daller au-delà da la glotte, en le maintenant avec sa main droite. Elle adoptait maintenant un rythme de plus en plus rapide. Dévidence, elle voulait le faire éjaculer rapidement. Je voyais le visage de Kamel qui se crispait, ses lèvres qui sétiraient pour devenir toutes blanches. Des filets de salive séchappaient de sa bouche et allaient sétaler sur sa poitrine. Jallais les cueillir sur ses pectoraux, léchant au passage ses petits tétons très durs. Il se mit à parler tout doucement, comme sil ne voulait pas quon lentende :
- Cest bon de baiser avec deux femmes comme vous ! Je suce lune et je me fais sucer par lautre ! Je vais éjaculer dans une magnifique bouche et je voudrais que lautre bouche boive sa part de sperme !
Cétait comme sil se parlait à lui-même ! Comme sil ne faisait quexprimer un peu haut, les pensées intimes qui le traversaient, au moment où il allait avoir un orgasme et jouir en éjaculant une quantité impressionnante de sperme, brulant et visqueux, dans la bouche de deux belles plantes. Parce quen fait, je voulais moi aussi ma part de sperme bien blanc, bien chaud et visqueux. Je savais que Aïcha allait me laisser ma part. Elle le faisait toujours, quand elle suçait lun ou lautre de nos deux hommes. Elle me donnait toujours un peu du sperme quelle avait en bouche et surtout me donnait à lécher et avaler tout celui quelle recevait sur son corps. Tout comme moi, elle adorait être arrosée de foutre. Et tout comme moi, elle aimait que je vienne la lécher.
Et cest bien comme cela que les choses se passèrent. Aïcha sentit le zob de Kamel frémir plus que dhabitude et elle sut quil allait éjaculer. Dailleurs, il eut un râle dont il essayait encore de modérer lintensité et il eut un premier jet de sperme qui alla remplir la bouche de Aïcha. Il sortit son sexe pour le masturber et éjaculer le reste à lextérieur sur le visage et la poitrine de mon amie, puis sur mon visage et ma poitrine à moi. Le zob de Kamel était une vraie fontaine à sperme : il en éjacula une quantité incroyable ! Suffisamment pour que Aïcha et moi fûmes complètement aspergées ! Nous nagions littéralement dans des flaques de foutre ! Nous nous regardâmes en riant et nous jetâmes lune sur lautre, pour létaler sur tous nos corps avec nos doigts, que nous léchions et sucions avec délectation. Kamel nous regardait en souriant nous frotter lune contre lautre et nous lécher, comme si nous léchions du miel ou de la confiture. Il en était tout excité et nous vîmes que son magnifique queue était entrain de gonfler et de redevenir énorme.
Nous nous remîmes à avoir envie de cette queue. Aïcha me regarda comme pour me dire que cette fois-ci cétait à elle de jouir. A elle de profiter de la force et de la générosité de cette merveilleuse queue, qui frémissait pour appeler une de nos chattes à venir sempaler sur elle.
- Baise-là ! ordonnais-je à Kamel, en lui montrant Aïcha qui venait de se mettre à quatre pattes devant le canapé. Prends-là en levrette, pendant quelle me suce la chatte. je veux jouir moi aussi !
Il ne se fit pas prier pour aller se mettre derrière sa belle-mère et lenfiler dun seul coup, en force et sans précaution. Il la tenait par les hanches et la pilonnait avec de longs mouvements du bassin. Il faisait sortir sa queue à cinq centimètres environ de la vulve de mon amie et repartait, dun coup brutal, au fond. Aïcha criait, de douleur au tout début parce quil lui faisait vraiment mal, puis de plaisir : un plaisir qui prenait de plus en plus dintensité. Quand je vis quelle était maintenant dans le plaisir extrême, je saisis sa tête pour lamener au niveau de ma chatte. Jétais assise sur le bord du canapé et avait ouvert très largement mes cuisses pour offrir ma vulve à la bouche de mon amie. Elle se mit à me sucer, en même temps quelle se faisait posséder par lengin de Kamel. Il regardait la scène avec délectation : il tirait sa belle-mère en même temps que celle-ci broutait la chatte de son amie. Il navait jamais vécu une telle situation. Ni ne lavait jamais vue.
- Mon Dieu, ce que cest beau ! cria-t-il. Et que cest bon !
- Continue à la tirer comme cela ! Elle ne peut pas parler, mais si elle le faisait elle te commanderait dy aller encore plus fort et plus vite. Elle aime être possédée par des zobs comme le tien. Elle aime leur force ! Je voudrais que tu aies encore la force de toccuper de ma chatte ou de mon cul, après ça !
- Oui je vais tenculer après ! Jadore les culs ! Toute ma vie jai aimé les culs !
Ce fut à ce moment là que je vis Slim, qui était arrivé sans faire de bruit, le pantalon baissé et le zob dans la main ! Il bandait très fort. Je voyais ses yeux qui brillaient de désir et qui regardaient en direction des fesses blanches et luisantes de Kamel. Je savais dinstinct, connaissant le regard de Slim, quand il avait une idée lubrique en tête, quil allait lenculer. Jétais curieuse de voir comment les choses allaient se passer. Je lâchais la tête de Aïcha, qui se retira dentre mes cuisses, pour se mettre à crier son plaisir de se faire tirer par le magnifique zob de son amant. Elle ne savait pas ce qui était entrain de se préparer derrière son dos et était toute à son plaisir.
- Cest superbe ! Cest bon ! Bon ! Encore ! Plus fort ! Plus vite ! Cest bon les zobs ! Jadore les gros zobs !
Je la voyais qui dégoulinait de bave. Le plaisir lhabitait et je sentais quelle était sur le point de sévanouir, tant la sensation de plaisir était immense ! Insupportable ! Et puis elle déchargea très fort en criant quelle jouissait ! Comme si elle voulait que tout le monde sache quelle était entrain de jouir ! Kamel lui continuait à la pilonner; il nétait pas encore arrivé au point de jouissance. Il continuait donc à tirer la femme, même après quelle ait joui. Ce fut ce moment que choisit Slim, pour semparer des hanches de Kamel et de les mettre en position pour quil le pénètre. Kamel arrêta un instant son pilonnage et se retourna pour voir ce qui était entrain de se passer. Il eut une petite crispation, puis, à mon grand étonnement, il envoya à mon mari un superbe sourire. Il se positionna mieux, pour laisser Slim prendre possession de son anus, le mouiller avec un peu de salive et lembrocher dun seul coup. Il poussa un petit cri de douleur, laissa le gros zob de Slim faire quelques allers-retours dans son cul et reprit, au même rythme que celui qui le sodomisait, le pilonnage de la vulve de Aïcha.
Je navais encore jamais vu Slim enculer un garçon. Je lavais vu sodomiser Aïcha et le plaisir quil y prit. Il mavait très souvent enculée et il avait beaucoup joui. Mais là, cétait tout nouveau pour moi. Le spectacle que javais sous les yeux était magnifique. Même Aïcha qui ne savait toujours pas ce qui se passait, avait recommencé à gémir. Le désir la reprenait sous les coups de boutoir de Kamel. Ce dernier avait le regard lumineux de lhomme qui avait atteint le nirvana. Il tirait une belle femme et se faisait en même temps tirer par un bel homme ! Ses sensations étaient à leur comble ! Il savait quil allait avoir un double orgasme : par son zob dabord qui allait lâcher son foutre dans la superbe chatte quil pilonnait ! Et par son cul ensuite, quun autre magnifique zob remplissait et possédait.
A son visage tout rempli da sang, à ses lèvres qui au contraire avaient perdu le leur et à toute la bave quil narrivait pas à retenir, je voyais quil était sur le point de jouir. Il le fit bruyamment en poussant un immense râle, continua encore quelques allers-retours dans la chatte de Aïcha et seffondra sur son dos. Slim continua un moment à pilonner le cul de Kamel et poussa lui aussi un long gémissement, moins sonore que le cri de son partenaire, et éjacula en une seule fois tout le sperme quil avait emmagasiné. Il seffondra lui-aussi sur le dos de son ami. Ils restèrent ainsi de longues minutes à reprendre leur souffle et se séparèrent lentement, laissant Aïcha seule, encore à quatre pattes et qui avait beaucoup plus de mal à récupérer. Elle ne savait toujours pas ce qui venait de se passer dans son dos. Elle releva la tête et me fit un merveilleux sourire de femme heureuse. Je lui rendis son sourire et descendis du canapé pour aller lembrasser sur la bouche; tendrement, comme pour lui dire merci !
Kamel et Slim se regardèrent, presque avec tendresse et allèrent dans la salle de bain se nettoyer. Nous avions totalement perdu de vue Sofiane et Emmy. Ils étaient allés directement dans une chambre et ne soccupèrent absolument pas de ce qui se passait en dehors deux. Ils ne réapparurent quenviron une heure plus tard, bras dessus, bras dessus, nus comme des vers. Sofiane ne bandait plus. Jen déduisis que Emmy sétait vraiment bien occupé de lui et quelle lavait rassasié. Emmy était vraiment magnifique dans sa nudité ! Elle était la perfection même ! Pas la moindre trace de cellulite et de graisse, pas de culotte de cheval, pas de hanches trop larges ou trop étroites, pas de cul énorme ou trop petit ! Jen étais jalouse. Je me trouvais laide à côté delle !
Elle nous vit, Aïcha et moi, toutes nues nous aussi, serrées lune contre lautre et eut un sourire de carnassière. Cétait comme si ce quelle voyait avait réveillé tous ses désirs. Cétait comme si tout ce quelle venait de vivre avec Sofiane - qui est pourtant un véritable étalon, je peux en témoigner pour lavoir pratiqué avait été insuffisant pour la combler. Elle fonça sur nous et vint mêler sa nudité à la nôtre. Cette sensation de douceur de la peau de Emmy ! La fermeté de ses chairs ! La chaleur de ses caresses ! Lélectricité de ses baisers ! Aïcha et moi en fûmes toutes ébahies. Elle passait de lune à lautre, en nous caressant et en nous embrassant sur les seins, le cou et en nous roulant de superbes pelles électrifiées et mouillées. En quelques secondes, elle réveilla tous nos sens et nous nous mîmes à participer plus activement aux baisers et aux caresses. Emmy était non seulement belle, mais sa sensualité navait pas de pareil. Elle aimait le sexe et elle le criait par tous les pores de sa peau.
Elle remarqua la chatte de Aïcha qui dégoulinait encore du sperme de Kamel et mit sa main pour en ramasser un peu et le porter à sa bouche. Elle lécha ses doigts avec gourmandise et délectation.
- Jadore le sperme des hommes. Je viens den boire une tonne avec Sofiane et je ne résiste pas en voyant celui que Aïcha a encore sur elle ! je veux la lécher ! Je peux ?
- Nous allons la lécher toutes les deux ! dis-je. Jen veux moi aussi ma part !
Nous fîmes monter Aïcha sur le canapé et nous nous mîmes à tour de rôle à lui lécher la chatte et à ramasser tout le sperme et la cyprine quelle avait en elle. Il nous arrivait même de nous repasser ce que nous venions de ramasser dune bouche à lautre. Y compris celle de Aïcha. Et puis Emmy sen prit à mes seins, quelle trouvait très beaux et sexy. Elle savait comment sy prendre pour me donner du plaisir, en me caressant les tétons, sans appuyer, en les prenant entre trois doigts et les enroulant longuement, avec douceur. Elle tirait de moi des petits gémissements de plaisir. Elle savait les titiller avec le bout de sa langue et en les prenant entre ses lèvres, quelle serrait en les accompagnant, de temps en temps, par de toutes petites morsures de ses dents de carnassière. Elle savait me caresser la chatte avec ses doigts de fée et me branler tout doucement, rien que pour maintenir mon excitation à son sommet. Elle savait me faire un cunnilingus aussi bien que les trois hommes de ma vie, me faire pâmer de plaisir et me faire monter au septième ciel.
Avec Aïcha, cétait moi lHomme. Avec Emmy, jétais la Femme ! Elle aimait mener le bal et diriger nos ébats. Elle était devenue en quelques minutes notre maîtresse à toutes les deux. Elle ordonnait et nous obéissions ! Et elle nous donnait tant de plaisir ! Je navais jamais éprouvé, avant Aïcha et maintenant Emmy, de désir pour une femme. Mais avec ces deux là, jétais presque devenue lesbienne. Jaimais tripoter et me faire tripoter par ces deux amazones. Cétait une autre sensation quavec les hommes ; mais cétait tout aussi délicieux ! Avec les hommes, cétait la force de leurs zobs et leur manière de me pénétrer et de me posséder, qui me donnait du plaisir. Avec mes deux amantes, cétait surtout leur douceur et leur parfaite connaissance du corps de la femme et de ses points faibles, quelles savaient exploiter, qui me faisaient monter au ciel. Et puis elles sont tellement belles !
Sofiane qui était resté à côté de nous, sétait remis à bander en nous regardant nous tripoter à trois. Il voulait satisfaire son désir sur lune de nous trois. Il se demandait laquelle. Il venait de prendre du plaisir avec Emmy et de lui en donner Il aurait bien voulu recommencer, mais Emmy ne semblait pas prête à ça maintenant, elle était occupée avec nous. Il me fit signe à moi, qui navais pas encore eu de zob en moi de la journée. Je me levais avec empressement pour me jeter dans ses bras. Il me serra très fort, membrassa tendrement et me dit à loreille :
- Je vais tenculer très fort ! Je viens de voir Slim entrain de tirer Kamel dans la salle de bain et cela ma donné des idées ! Jai besoin dun cul ! Ce sera le tien !
- Oui, mais allongée sur le dos ! Je veux en même temps pouvoir voir la scène et me masturber pour prendre plus de plaisir.
Il me souleva avec force et me jeta sur le canapé. Il me fit lever les jambes presque brutalement, pour les plier et les poser de part et dautre de ma poitrine. Il resta un moment à regarder, en bavant, le spectacle de mes deux trous ouverts et offerts, puis porta son index droit sur mon anus, comme pour en tester lhumidité. Il sembla satisfait du résultat et sans plus tarder, prit son immense engin dans sa main pour venir le positionner sur mon cul. Je savais quil allait me faire très mal et je voulais quau moins, il mouille son zob avec un peu de salive, pour faciliter la pénétration de limmense chapeau.
- Mouille-le un peu avec de la salive ou même avec mon jus ! Tu vas me faire très mal comme cela !
- Cest bien ce que je veux ! Te faire mal ! Parce quaprès, quand la douleur sera partie, tu apprécieras encore plus tout le plaisir que Popaul va te donner !
Et sans plus soccuper de moi et de mes cris de douleur, il entreprit de me démolir lanus. Il y alla à la hussarde, avec de longs mouvements de son bassin. Il me tenait fermement par le haut de la taille, en laissant mes cuisses de part et dautre de ses bras, pour quelles restent largement ouvertes et aussi pour que je ne puisse pas méchapper, et continua imperturbablement son pilonnage de mon cul, sans se soucier de la douleur quil provoquait. Je criais très fort un moment, accroissant lexcitation de mon amant, puis rapidement la douleur sen alla et fut remplacée par une magnifique sensation de plaisir. Jadorais cette sensation danus qui me brulait à chaque mouvement de Popaul et de rectum complètement occupé et rempli par un gros manche, qui limait avec force toute la paroi rectale. Je me sentais défaillir tellement cétait fort et délicieux.
Mais cela ne me suffisait pas; je voulais encore doubler mon plaisir en y ajoutant une belle masturbation. Jenvoyais ma main droite vers ma chatte et introduisit trois doigts à lintérieur de mes grandes lèvres et de tout mon vagin. Je les faisais aller et venir furieusement à lintérieur, accompagnant ainsi le mouvement de va-et-vient du beau zob de Sofiane dans mon cul. Dun côté je regardais le magnifique manche sortir complètement de mon anus et y retournant plus fort encore, poursuivant imperturbablement son uvre de démolition de mon rectum. De lautre je voyais ma main qui faisait la même chose à lintérieur de ma chatte inondée, provoquant au passage des clapotis sonores et impudiques, qui ajoutaient à notre excitation à tous les deux. Cette sensation de double pénétration ! De mes deux trous totalement remplis ! De rencontre entre mes doigts dans le vagin et du zob à Sofiane dans mon cul ! Le bonheur complet !
Je regardais le spectacle avec des yeux brillants de luxure. Je me tournais vers Emmy et Aïcha pour leur demander de regarder elle aussi et de participer, au moins par les yeux, à mon plaisir et à mon bonheur. Elles étaient trop occupées à se faire du bien lune à lautre. Elles ne jetèrent même pas le plus petit coup dil vers moi et mon amant. Je regardais donc Sofiane qui bavait comme une fontaine ! Il avait lair farouche du bûcheron entrain dabattre un arbre centenaire. Il en avait les mêmes ahanements, à chacune de ses pénétrations dans mon cul. Il me regardait avec ses yeux brillant de luxure et je voyais quil voulait parler, mais que toute la salive qui remplissait sa bouche, et quil sefforçait de retenir, len empêchait. Et puis, il ny tint plus; il laissa toute la salive séchapper en ouvrant la bouche pour mieux respirer; elle vint sétaler sur ma poitrine et mon ventre.
- Cest bon ! Jaime ton cul ! Jadore ton cul ! Popaul est heureux dans ton cul ! Dis-moi que tu aimes que je te défonce le cul ! Dis-le, salope ! Dis-le ! Tu aimes Popaul qui démolit ton cul !
- Oui ! Jaime Popaul ! Je vais lattr à lintérieur de mon anus ! Je vais le masturber pendant quil mencule ! Jaime sa force ! Il me fait mal ! Mal ! Bon ! Booon !
Je ny tins plus et me mis à décharger sur mes doigts en hurlant très fort. Aïcha et Emmy arrêtèrent de se bouffer mutuellement la chatte pour regarder ce qui se passait au dessus delles. Elles sourirent et reprirent aussi vite leur activité linguale. Moi je continuais à crier mon plaisir de jouir, tout en essayant de ne pas . Javais vraiment du mal à respirer, tant ma jouissance était énorme. Sofiane continuait à faire aller et venir Popaul de plus en plus vite. Il sentait lui aussi quil nallait pas tarder à déverser ce qui lui restait de foutre. Il le fit avec un petit râle, qui avait du mal à sortir de sa gorge. Je sentis le sperme brûlant se déverser dans mon tunnel pour ressortir aussitôt expulsé par les va-et-vient rageurs de Popaul. Il seffondra, à bout de souffle, sur ma poitrine et resta ainsi un moment à essayer de retrouver son souffle et un rythme cardiaque normal. Il se releva, me donna au passage un tout petit baiser sur les lèvres, en signe de remerciement et se leva pour sassoir à côté de moi sur le canapé.
- Les filles, cria-t-il, laquelle veut nettoyer Popaul avec la bouche ? Elle aura droit de le recevoir dans sa chatte dès quil se remettra debout !
Il nobtint aucune réponse des deux femmes qui étaient trop occupée à se bouffer mutuellement la chatte. Un tremblement de terre, naurait pas pu les séparer. Elles étaient complètement perdues dans leur plaisir. Elles nétaient plus avec nous ! Elles étaient quelque part au paradis ! Je compris que rien ne les séparera, tant quelles seront ainsi plongées dans le plaisir et entrain de se faire mutuellement du bien. Je me mis à genoux entre les jambes écartées de Sofiane et entreprit de lui nettoyer le sexe avec ma langue et toute ma bouche. Il me caressait tendrement la nuque et me fit lever deux ou trois fois le visage pour me regarder dans les yeux et menvoyer un merveilleux sourire de gratitude.
Slim et Kamel revinrent quelques minutes plus tard, juste pour voir Emmy et Aïcha se tortiller de plaisir et jouir en même temps, la bouche de chacune dans la chatte de lautre. Elles se séparèrent enfin, en nous voyant tous les quatre, elles poussèrent de petits rires de femmes heureuses.
- Oui ! dit subitement Emmy, comme si elle éprouvait le besoin de se justifier, jaime autant les hommes que les femmes ! Je suis parfaitement bisexuelle et jadore ça ! Ces deux là sont vraiment à mon goût et je nai pas pu mempêcher de les séduire !
- Cest nous qui tavons séduite ! répondis Aïcha en riant. Tu nas pas su nous résister. Tu es absolument comme nous ! En plus belle ! Nous tadorons !
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