Un Bon Bain Suite3 Et Fin

Un bon bain (suite3 et fin)

Marie était devenue ma maitresse, au plein sens du mot et je dois dire que j’y prenais beaucoup de plaisir ; ses désirs étaient sans appel et je lui appartenais ; il faut dire qu’elle savait me faire jouir et avec elle je découvrais la plénitude, mais aussi la rage des amours lesbiens. Jean était un peu sur la réserve et souvent il me m’était en garde contre l’isolement que souhaitait Marie pour moi, mais comme d’habitude, il me laissait ma liberté ; j’avais réussi à éviter les rapports avec Hervé, trop brutal à mon gout, alors que jean, lui au contraire avait envie de revoir sa grosse queue me prendre.
L’automne était là et plus question de baignade et ce jour là, nous étions tranquillement devant la cheminée, quand la discussion est venue sur Herve, mes refus et les désirs de Jean à son sujet ; toujours aussi directe selon son habitude, marie me demande si je suis bi et devant ma réponse positive, me demande de lui raconter mes aventures. Rapidement les paroles ont fait place à nos envies et la fin de la journée s’est terminée en une partie de jambes en l’air. Toute à ma jouissance, je ne retiens pas ses dernières paroles « cela fait longtemps que je n’ai pas vu jean, je vous invite samedi soir »
C’est elle qui nous ouvre la porte, et à nouveau, je suis conquise par sa beauté ; elle a mis une jupe portefeuille et un corsage transparent, sans soutien-gorge ; sa poitrine, forte mais ferme, tend le voile et ses tétons pointent. Je sens la chaleur m’envahir et ce n’est pas le baiser sur mes lèvres qui calme le jeu ; j’ai déjà envie d’elle et Jean s’en aperçoit. Le même baiser à Jean me rend jalouse, mais l’arrivée d’Hervé me calme aussitôt. Galant, il me fait compliment de ma tenue, une robe blouse, peu fermée par trois boutons, laissant découvrir un soutien gorge pigeonnant, et cachant de peu un string ; je me suis habillée ainsi pour mon Jean et ma maitresse, mais je suis touchée par le compliment, et c’est avec élan que nous embrassons.


Comme d’habitude le repas est succulent et bien arrosé et nous prenons le café devant la cheminée ; assise entre jean et marie, Hervé en face je me laisse bercer par l’ambiance et quand la main de Marie se pose sur ma cuisse, je me glisse sur l’épaule de Jean, ouvrant ainsi le chemin vers ma chatte ; ma robe est largement ouverte ; Hervé et Marie peuvent apercevoir mon string ; c’est jean qui déboutonne le reste de ma blouse et découvre mes seins , qui maintenant débordent des balconnets, laissant apparaitre mes pointes tendues ; j’ai bientôt trois paires de mains qui s’emparent de mon corps, jean me caressant les seins, Hervé et marie s’intéressant à ma chatte ; mon string est très vite arraché et deux doigts s’infiltrent entre mes lèvres ; je reconnais ceux d’Hervé ;virils, sans douceur ils me fouillent le sexe, s’enfonçant profondément ; je gémis , de douleur et de plaisir, car en même temps, marie a investit mon sillon et me caresse l’anneau ; ses doigts tournent, glissent autour puis un doigt pénètre pour ressortir aussitôt ; le petit jeu dure et tout à la caresse de ma maitresse, j’oublie la douleur, au contraire la chaleur monte dans mon ventre ; j’ai envie qu’une queue me remplisse la chatte et glissant sur le tapis , j’écarte les cuisses appelant la pénétration ; j’ai perdu toute retenue « prends moi, j’ai envie de ton zob, baise moi fort ». J’ai oublié la taille de son sexe et quand il ma plante sa queue, je ne peux retenir un cri de douleur ; je suis dilatée mais pas pour ses 25 cm et sa grosseur ; je me cabre mais rien n’y fait ; jean me bloque les épaules et marie m’enfonce un doigt profondément dans l’anus ; Hervé a compris qu’il avait le champ libre et c’est à grand coup de piston qu’il me laboure le ventre ; plus je me débats plus la saillie est violente ; soudain la douleur disparait et une vague de chaleur monte dans mon ventre, le plaisir me prends et me submerge ; ma chatte se remplie de cyprine et soudain son chibre glisse sans douleur « plus fort, j’ai envie de ta bite , défonce moi » les coups de pistons se déchainent, je suis aux anges, mon corps est parcouru de frissons, j’avance mon bassin vers ce monstre qui me déchire la chatte ; soudain, plus rien, Hervé s’est retiré et mon ventre est vide ; il me manque et je l’appelle » encore, j’ai envie , bourre moi » et sans ménagement ,il se propulse d’un grand coup de rein, ses boules viennent frapper mes fesses et son gland me déchirent les entrailles ; comme une furie son rythme s’accélère ; je ne suis que jouissance, je râle sous les coups de butoirs et quand je le sens se raidir et me déverser sa semence, un grand cri de jouissance sort de moi, je m’agrippe à son corps pour qu’il continue, puis une onde me parcourt le corps puis plus rien.

Quand je récupère mes esprits, Marie est entre mes jambes et sa langue me nettoie le sperme qui coule sur mes cuisses ; sa douceur me fait du bien et je lui dis ; tout à ses caresses, je ne fais pas cas de sa réponse « tu ne seras pas la seule » ; Hervé a disparu et Jean, à poil, s’intéresse à l’entrejambe de sa voisine ; je ne vois pas ses mains, mais la respiration de marie s’est accélérée et des petits gémissements s’échappent ; sa langue est remontée et elle titille mon clito ; cette douceur me fait du bien, mais je m’intéresse maintenant aux mouvements du corps d marie ; elle ondule son bassin ; je sais qu’elle apprécie faire l’amour avec lui, et me glissant suer le coté tout en laissant ma chatte à portée de langue, je m’aperçois que la jupe est relevée sur son dos et que jean le sexe tendu lui fouille le ventre avec ses doigts ; marie s’agite et ses gémissements se font plus forts ; ouvrant son corsage, je lui pince les tétons, les tortille, les agaces ; son corps se cambre et quand Jean se présente devant la grotte, c’est un oui prend moi qui sort de sa bouche ; doucement son gland écarte les lèvres et s’enfonce dans la chatte ; il sait qu’elle apprécie cette façon de la prendre ; il la possède, il la vrille , son gland ressortant pour mieux pénétrer ensuite ; tout en sensualité il fait tourner son sexe à l’entrée de sa chatte, lui frottant le clito, puis lentement à nouveau la pénétrer ; marie maintenant râle, elle demande le male et cette douceur la transperce ; elle veut jouir, mais il la maintient sous pression ; son corps n’est que frisson ; elle ne s’occupe plus de moi, seul son amant compte et quand brutalement il change de rythme, la pénétrant à fond de sa chatte ,son corps se tend et soudain un feulement sort de sa bouche ; jean sait la prendre et sa brutale accélération a déclenché sa jouissance ; son jus coule entre ses cuisses à chaque mouvement de son mâle ; il la suit dans sa jouissance et en rugissant il se répand dans son ventre, le corps tendu, la verge enfoncée au max dans la chatte ; à chaque giclée de sperme, marie se cabre, les yeux dilatés par le plaisir, la bouche grande ouverte criant son plaisir.

Tout le monde reprend son calme, calé dans las bras de son mari ; la cheminée répand une douce chaleur et malgré notre nudité, nous sommes bien ; notre conversation est anodine, rappelant simplement le plaisir passé ; soudain marie s’adressant à jean, le questionne sur sa bisexualité ; un peu gêné au départ, il prend la décision de répondre simplement
« Comment as tu découvert cette réalité ? » Jean leur raconte simplement l’épisode de Marrakech ; je ne sais pas où marie veut en venir mais elle revient à la charge
« Tu aimes prendre où être pris » le jeu commence à me plaire et sans hésitation « les deux, cela dépend des situations » Hervé ne dit rien, mais je m’aperçois que son sexe à repris des dimensions respectables, et marie elle aussi l’a vu et le fait remarquer
« cela te fait bander ; tu aimerais qu’un homme te prenne » Hervé ne répond pas , gêné, mais cette fois son sexe est énorme et parcouru de petits soubresauts ; jean a compris et il tend la main vers le sexe bandé et commence à le caresser ; Hervé ne bronche pas, mais ne recule pas ; pour jean, c’est le feu vert ; maintenant il le branle avec vigueur, sa deuxième main venant lui caresser les boules ; marie le fait allonger ce qui permet à jean d’avoir le champs libre ; il se penche et sa bouche vient courir sur la hampe dressée ; une décharge parcourt allongé ; la langue vient titiller le méat et s’infiltre entre les deux bords, puis courre à nouveau sur toute la longueur ; jean joue, prend son pied à l’exciter ; puis d’un seul coup, il engloutit le gland et le suce, le lèche, puis doucement s’enfonce le dard au fond de sa bouche ; Hervé ne peut bouger , maintenu par marie et c’est jean qui le pompe, aspirant le max de ce sexe qui découvre pour la première fois le plaisir d’une pipe ; car maintenant Hervé jouit sous la langue de son ami, d’autant plus que marie a investi son fessier et lui caresse le sillon ; la queue de jean, sans être aussi grosse que celle d’Hervé, n’en ai pas moins conséquente et son excitation est évidente.
Hervé geint sous les succions et il veut se retirer sans doute près à jouir, mais jean s’accroche à ses hanches et accélère les pompes ; soudain Hervé se cabre et je vois jean avaler la semence ; du moins le crois, car le retournant sur le ventre, il recrache le sperme sur l’anneau, dilaté par le doigt de marie et présente son gland à l’entrée du boyau ; Hervé grogne son refus mais il n’a pas le temps de réagir, car d’une seule poussée, jean s’est enfoncé dans son cul ; Hervé hurle sous la douleur, mais jean ne s’arrête pas, sa queue s’enfonce sans précaution dans ce fion vierge, et son bassin vient buter rapidement sur les fesses enculées ; se servant du sperme rejeté pour le graisser, jean commence à le pilonner ; sans pitié, il le baise, ne s’arrêtant que pour éviter de jouir ; il veut le défoncer comme il nous défonce, sans retenue ; curieusement, Hervé ne semble plus souffrir, au contraire, il commence à geindre, acceptant le chibre qui l’encule et même reculant son basin au devant de la pénétration.
« Tu aimes, » c’est Marie, refugiée dans mes bras depuis qu’Hervé participe ; un grognement est la seule réponse, mais maintenant il jouit sous la pénétration ; Jean ne peut se retenir plus longtemps et il se libère dans ce cul dépucelé, enfoncé jusqu’à la garde ; sa jouissance est aussi brutale que bruyante ; quand il se retire un flux de sperme s’écoule de l’anus dilaté. Quand Hervé se retourne, avec stupeur, nous constatons qu’il a éjaculé sur le tapis. Marie s’est absentée et les deux hommes sont écroulés, épuisés. Je suis fière de mon homme et doucement je viens déposer deux baisers sur les deux sexes, maintenant au repos.
Une bonne douche en commun nous remet en forme et je constate qu’Hervé ne refuse pas les contacts de jean sous les jets d’eau ; excité par les caresses que se prodigue les deux hommes , je me laisse branler par marie qui me prenant par la main m’emmène dans la chambre ; le grand lit nous accueille t elle s’assoie sur ma bouche ; sa vulve est déjà mouillée et ma langue lape ses sécrétions, puis se retournant, en 69, sa langue vient me prodiguer les mêmes plaisirs ; il ne nous faut pas longtemps pour jouir ; c’est à ce moment que mon jean se présente derrière marie ; devant mes yeux, je vois son sexe qui se frotte sur la vulve béante et avec ma langue je peux le lécher ; il ne s’attarde pas et d’un doigt, il enduit de salive l’anneau culier, puis présente son gland et doucement pousse sur le sphincter ; celui-ci s’ouvre sans difficulté, habitué à une pénétration plus violente ; ma langue lèche la queue et l’anneau à tour de rôle ; parfois je prends les boules dans ma bouche et je les suce, tels des bonbons ;i l la pistonne avec force mais sans violence ; sa verge s’enfonce et ses couilles viennent frapper la vulve , d’où s’écoule un ruisseau de cyprine ; je quitte Jean et ma bouche se pose sur la vulve et je lui lèche les lèvres essayant d’enfoncer ma langue au plus profond ; son clito et est saillant et je le mordille ;mon sexe est délaissé par Marie, tout à sa pénétration et à mes caresses ; sous cette double action , elle part d’un seul coup et je reçois un jet de cyprine ; sa jouissance a devancé celle de Jean ; celui-ci se répand dans le cul offert, mais il se retire avant la fin et son dernier jet m’éclabousse ma bouche, j’aime le gout âpre de sa semence ; Marie est sous l’effet de son plaisir, elle ronronne dans les bras des ses deux amants.
Tout à notre plaisir, nous avons oublié Hervé ; en retrait ,il a regardé sa femme se faire enculer ; cela doit lui rappeler sa propre pénétration, il bande et son sexe est énorme, son gland turgescent ; il se caresse doucement et brusquement j’ai envie de voir jean pris par ce zob ; Jean lui aussi a vu le sexe de son ami et à nouveau, il s’empare de sa bite et sa bouche embouche le gland et descend doucement vers la racine ; il ne peut le mettre en entier dans sa gorge vue sa longueur, mais en voyant sa bouche dilatée, je comprend que le gland doit toucher le fond de sa gorge ; près de la nausée, il se retire et après avoir respiration, il commence une turlutte qui manifestement plait ; me glissant derrière jean, je glisse mes doigts dans ma chatte et je les enduit de ma jute, puis je viens graisser l’anneau ; jean va se faire enculer, mais je le prépare, mes doigts dilate le passage et bientôt c’est trois doigts qui se frayent le passage ; je les vrille afin d’agrandir au max le passage et sous ma main je sens le sexe de jean reprendre de la vigueur ; la séance va être douloureuse pour lui et j’essaye de l’exciter le plus possible ; son trou est maintenant au max de mes possibilités et regardant Hervé, je fais retourner Jean le présentant à la queue bandée ; Hervé a le regard brillant, déjà excité par la bouche sur sa queue et quand le prenant par son vit, je le pousse contre l’anneau ; j’essaie de limiter la violence de la pénétration , car jean n’a jamais pris un si gros membre, mais il semble qu’Hervé à décider d’aller doucement ; il pousse régulièrement mais sans violence, sur l’anneau, incomplètement dilaté pour la taille ; Jean grimace et soudain pousse un cri de douleur ; le gland vient de franchir le passage et maintenant s’enfonce dans le conduit ; la poussée est continue et l’anneau est écartelé et enfin le bassin d’Hervé s’écrase sur le fessier de jean ; celui-ci grimace encore mais il a envie de cette possession et il demande à Hervé é de le forcer « vas-y défonce moi, ta queue est bonne , baise moi, venge toi de tout à l’l’heure » les mots stimulent Hervé et s’il avait été doux au début ; le souvenir de la cuisante enculade le déchaine ; maintenant il va et vient dans le cul offert, avec vigueur , puis brutalité ; les coups de butoir sont effrénés et claquent sur les fesses ; jean gueule, d’abord de douleur, puis rapidement de plaisir ; je le connais , il aime la violence de cette pénétration ; son anneau enserre le zob énorme qui le prend ; il se donne, se lance vers le pieu qui le défonce ; il gémit, se plaint quand Hervé se retire et encaisse avec bonheur quand le gland s’enfonce brutalement à nouveau ; Hervé a compris les désirs de son compagnon et la violence de la pénétration m’inquiète, à tort car les regards des deux hommes prouvent leurs plaisir ; jean a la bouche grande ouverte et des gémissements sortent en continu ; Hervé lui profère des mots obscènes ; accélérant son va et viens, il se cambre et se répand dans les entrailles offertes ; cette libération bruyante ne calame pas jean ; « encore, défonce moi le cul, j’aime ta bite dans mon cul » Hervé est déchainé et chaque poussée déséquilibre j en ; enfin un long cri s’échappe des lèvres de jean, la tête rejetée en arrière , il jouit, longtemps, et quand Hervé se retire c’est un non de regret que jean prononce . Nos deux hommes sont épuisés ; à leurs cotés, ébahies par la puissance de leur rapport, nous n’avons pas bougé, mais de ma chatte s’écoule un filet de jus ; je ne me suis pas touchée, j’ai simplement joui à voir leur plaisir.
Cette soirée a ren notre union et les relations avec nos amis seront de plus en plus fréquentes ; Marie m’apprenant les plaisirs de la domination, jean faisant découvrir les possibilités de l’amour entre hommes ; mais ce sera l’occasion d’autres récits ; mon Jean m’a fait découvrir l’amour mais aussi le plaisir de le raconter et la lecture de ce récit va sans aucun doute l’occasion de nouvelles joutes entre nous.

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