Mon Frère Et Ma Femme

Ce matin je dois emmener ma voiture au contrôle technique. Mon frère reste seul avec ma femme mais j’ai confiance. Plus même : je ne pense pas que quoi que ce soit puisse se passer entre eux. Ma femme et mon frère. Il faudrait vraiment être pervers pour imaginer un homme faire cocu son propre frère !
Ce que me raconta Sylvie le soir même me fit comprendre que j’étais bien naïf.
Sylvie porte une chemise de nuit ine avec des nounours mais qui s’ouvre sur le devant. Pierrot est assis dans la cuisine et la regarde préparer le petit déjeuner. Ne portant pas de culotte, la chemise de nuit de ma femme lui rentre entre les fesses, les moulant de façon indécente.
Pierrot fait glisser sa chaise pour se rapprocher de ma femme. Il étend le bras et lui caresse la fesse.
Sylvie s’en offusque mollement mais ne se met pas hors de portée.
Mon frère glisse sa main devant et attire ma femme sur ses genoux.
Il enlace Sylvie pour un long et tendre baiser.
- « hummm ma petite belle sœur… »
Leurs langues s’unissent. Pierrot descend sa main sur les seins de ma femme qu’il caresse longuement. Un à un, il fait sauter les boutons de la chemise de nuit. Il lui caresse le ventre, descend sur le pubis et glisse entre ses cuisses. Sylvie feint de se refuser et cela excite encore plus mon frère. Il lui enfonce les doigts dans sa chatte trempée.
- Mouillée comme tu es, tu veux me faire croire que tu ne veux pas baiser avec ton beau frère ?
- Tu as raison, viens, je veux que tu me baises dans le lit conjugal encore tiède. Je veux que tu le fasses cocu.
Ils vont dans la chambre et Sylvie s’allonge, offerte, sur le lit conjugal. Mon frère se met à poil et se couche entre les cuisses largement ouvertes de ma femme. Il l’a empalée sauvagement, lui arrachant un cri. Il la bourre violemment et Sylvie aime ça.
- Encore, oui, plus fort. Baise-moi ! fais le cocu !... tripote-moi les seins !... embrasse-moi !.

..
Il lui ramone la chatte et l’embrasse sur la bouche. Aucun recoin de ma femme n’est plus ignoré de mon frère : je suis cocu !
Sylvie enlace mon frère et lui murmure des mots doux comme elle le ferait avec un amoureux. Ce n’est plus un rapport sexuel : ils font l’amour !
Il lui caresse les fesses et glisse un doigt dans l’anus.
- J’ai envie de ton cul Sylvie !
- Oui, Daniel ne l’a jamais eu. Il bande trop mou !
- Salope ! comment parles-tu de mon frère ?
- Ho ! et toi ? comment traites-tu sa femme ?
- Tu as raison. Tourne-toi !
Le cul offert, les fesses écartées, ma femme se laisse enculer. Le trou est neuf et bien étroit et la queue de mon frère conséquente. Le résultat ne se fait pas attendre et Sylvie hurle sans pour autant émouvoir Pierrot.
Il la pilonne et peu à peu ma femme se détend. Le claquement du bas ventre de mon frère sur les fesses de ma femme rythme le va et vient de la queue dans le cul. Il se serre contre elle, halète, lui empoigne le pubis.
- Je vais décharger Sylvie !
- Oui, donne-moi tout ! inonde-moi le cul !
La giclée est fournie. Le cul est bien arrosé. Quand mon frère sort enfin du cul de ma femme, un long filet de sperme coule sur la fesse de Sylvie.
Ils se font face. Ils s’enlacent. Ils s’embrassent tendrement sur la bouche.
- Il est cocu ! lui dit-elle.
- Oui, je crois bien !