Une Expérience

Land end, c'est le dernier cap juste à coré de San Francisco, on longe les cotes de l'océan
pacifique. Je profite de la matinée pour y aller sinon je risque de trouver le brouillard qui chaque
après midi commence à envahir la baie et Alcatraz. Je remarque un homme assez bien baraqué qui lui
aussi semble regarder la mer. Au passage je me retourne pour le regarder, quoique je n'apprécie pas
particulièrement les hommes. Lui aussi s'est retourné. Je ne sais ce qui me prend, je vais vers lui.
Je n'ai pas besoin de parler: il me tend sa main que je prends. Je ne sais même pas pourquoi. Arrivés dans une petite clairière, il défait ma braguette et
sort ma bite. Je commence à bander d'autant plus qu'il s'accroupit pour me sucer. Je me laisse
faire. Il arrête souvent comme pour me laisser savourer ce qu'il fait. Je reconnais qu'il suce bien,
très bien même. Il a sorti tout mon matériel et me caresse les couilles lentement en faisant
attention de ne pas me faire mal. Je reste sur la corde raide, toujours à deux doigts de jouir. Il
est très habile pour sucer. Je me demande si je vais pouvoir lui en faire autant. C'est le premier
homme qui me fait une chose pareille. Je le laisse me donner du plaisir.
Il arrête tout; nous entendons un bruit venant vers nous. Sa bouche m'a lâché. Dommage. Le bruit
s'éloigne: des promeneurs sans doute. Je n'ai que peu débandé, il me reprend encore. Il me semble
qu'il suce mieux que tout à l'heure. Je sens mieux sa langue qui lèche le gland et ses lèvres qui se
transforment en véritable sexe féminin. Il arrête souvent, plus souvent que tout à l'heure. J'ai beau
enfoncer ma bite dans sa bouche, il ne me fait rien, pour reprendre au moment où je m'y attends le
moins. Il doit avoir avalé ma queue depuis au moins une demi heure quand enfin je sens ma pine
gonfler: je vais jouir. Je suis gêné. Alors tant pis, je me laisse aller: je jouis dans sa bouche.

Je m'attendais à une engueulade, tien du tout, il se relève en avalant tout mon sperme.
Je n'ai jamais sucé un homme, je n'ai pas envie de commencer maintenant,
surtout après avoir joui dans sa gueule. Je me sens obligé de lui rende un peu de ce qu'il m'a fait.
Je lui sorts sa bite, une beau morceau ma foi. Plus grosse que la mienne, en tout cas: j'espère
qu'il ne va pas vouloir m'enculer.
Ce qu'il me demande est simple, il s'assoit sur l'herbe, pend ma main la met sur sa queue. Je
comprends ce qu'il veut: une masturbation. Je suis à sa droite , bien pratique pour la suite. Je saisi
bite, la caresse un peu, passe ma main sur ses couilles bien pleines. Il me regarde faire, sa queue
a des soubresauts de désir. Je ne veux pas qu'il pense que je ne vais rien lui faire. Je prends sa
pine dans ma main droite et au début très lentement, je descends son prépuce vers ses couilles. Il a
comme un soubresaut de bien être. Je laisse ma main en bas, près de ses couilles. Je continue comme
pour moi. J'arrête souvent, je descends rapidement sa peau vers le bas en tirant dessus. C'est quand
je vois le liquide pré séminal qui sort que j'accélère à fond en dirigeant son méat vers les herbes
à sa gauche. Il jouit brusquement en longs jets. Je continue la masturbation jusqu'à la dernière
goutte. Satisfait il se relève, tend une main pour me relever. Nous redescendons vers la route où
maintenant passent de nombreuses voitures. Il s'en va en disant simplement thank you. A mon tour je
le remercie en français.
C'était ma première et unique expérience homo. Je ne la regrette pas: il me suçait aussi bien sinon
mieux qu'une fille. N'empêche qu'il m'arrive souvent de penser à cet "incident" qui me fait bander
et me donne l'occasion de me branler.