Vacances Entre Potes.

Quelques temps plus tard j'avais décidé d'inviter mes trois potes Antoine, Lucas et Yann pour deux semaines dans la maison de vacances de mes parents près de Sérignan, dans le Sud. La maison était assez grande mais les cinq premiers jours nous devions la partager avec ma soeur et une bande d'amis à elle qui étaient déjà là depuis plus de deux semaines. Mes potes et moi devions dormir sur les canapés du salon ce qui était non seulement assez inconfortable mais aussi pas très intime.
Les trois premiers jours se passèrent très bien, on s'est bien marré, il a fait beau et chaud, la mer était parfaite. Tous les matins c'était la queue à la salle de bain, on était en tout 1O à devoir se doucher en un temps record pour pouvoir en suite vaquer à non occupations qui ne variaient pas beaucoup, plage, restau, piscine, restau, piscine, plage et de temps en temps des ballades en ville.
Le seul bémol était qu'au bout de trois jours sans pouvoir coucher avec quelqu'un ou me branler, je commençais à sentir mes burnes assez lourdes, en temps normal j'avais l'habitude de me branler plusieurs fois par jours ou, au moins, tous les matins et tous les soirs. Tous les matins je me réveillais avec une gaule d'enfer ce qui ne manquait pas d'attirer les réflexions de mes potes qui voyait très bien mon caleçon tendu comme une tente de camping. Mais bon, on était tous les trois dans le même cas et vu le degré d'intimité qu'on avait atteint depuis plusieurs années il en fallait beaucoup plus pour me gêner vis à vis d'eux.
Le dernier soir, ma soeur et ses potes décidèrent d'aller en boîte avant leur retour, il devaient partir le lendemain dans la soirée, on a donc décidé de les accompagner puisqu'il restait des places dans une des voitures. On est revenu assez tard de la plage et comme ils voulaient aller au restau avant ils nous on dit de nous dépêcher de nous préparer. Nous sommes donc aller tous les quatre dans la salle de bain pour nous changer et nous doucher, j'avais une trique d'enfer mais bon, les gars ne s'en sont pas formalisés puisque de leur côté c'était pareil, on était tous en manque et de toutes façons on se connaissait déjà par coeur.

J'ai commencé par prendre ma douche avec Lucas puis Yann a pris la sienne avec Antoine. Pendant que les deux derniers se lavaient je me séchait avec Lucas, a chaque fois qu'on se tournait ou qu'on se rapprochait nos queues se touchaient ou touchaient une autre partie du corps de l'autre. Le chibre de Lucas était tellement long que de toutes façon c'était inévitable. Au moment de mettre nos sous vêtements j'ai dit à Lucas :
- Ca me saoule, je débande pas, j'arrive pas a tout faire rentrer dans mon boxer !
Ca faisait bien rigoler Lucas qui de toutes façons avait renoncé depuis bien longtemps à "tout faire rentrer" sa queue sortait de son boxer et remontait jusqu'à son nombril. Les deux autres venaient à peine d'entrer dans la douche, on avait quelques minutes pour se faire gicler, de toutes façon, dans mon état, il ne m'en aurait pas fallu beaucoup plus. J'ai lancé à Lucas :
- Faut que je me branle !
J'ai enlevé mon boxer, me suis approché du lavabo et ai commencé à me branler. Lucas m'a rejoint en me disant :
- Moi aussi j'en peux plus mais faut qu'on se dépêche !
Au bout de trente secondes de grosse gouttes de liquide transparent commencèrent à suinter de mon membre, puis ce fut carrément un filet de liquide, dense et continu qui coula de mon gland, Lucas regardait ça avec des yeux ébahis :
- T'en avais vraiment besoin ! M'a-t-il dit.
C'est à ce moment là que les deux autres sortirent de leur douche, eux aussi raides comme des piquets. Yann nous vit et dit :
- Bonne idée, j'en avais trop envie !
On s'est donc retrouvé tous les quatre autour du lavabo à nous poger. Au bout d'une minute Lucas déchargea quatre bonnes doses de sperme, suivi bientôt par Antoine. Moi je continuais à mouiller comme un dingue avec Yann qui secouait son morceau à côté de moi. Sa queue était assez grosse et plûtot longue, mais c'était surtout sa circonférence qui choquait, son ventre et son torse poilu ainsi que sa barbe de 3 jours cumulés à ce gros membre lui donnaient vraiment l'air virile. Il avait de grosses couilles nerveuses, groupées à la base de son pénis qui formaient un paquet assez impressionnant. Il se caressait les boules d'une main mais n'arrivait pas à les tenir toutes en même temps. Il était brun au yeux bleus, la peau très blanche et les poils très noirs mais sa queue et ses bourses étaient presque noires elles aussi et son gland écarlate. Son corps était notoirement plus musclé et fort que le mien et il lui était souvent arrivé de me porter à bout de bras pour me jeter dans l'eau.
Ses muscles commencèrent à se contracter et il éjecta de bonnes doses de sperme très blanc et visqueux qui se collèrent contre la paroi du lavabo. Il me lança en suite :
- Toujours le dernier ! Bon dépêche toi !
- Je fais ce que je peux ! Lui ai-je répondu.
Il est alors passé derrière moi, a empoigné ma bite et a commencé à me branler frénétiquement. Je voyais son visage dans le mirroir en face, il prenait visiblement beaucoup de plaisir à faire ça et moi je gémissait en silence, sa main sur ma bouche. Puis il a commencé à rentrer son index et son majeur dans ma bouche, je les ai lêché sans trop savoir ce qu'il me voulait. Une fois sa main retirée, il enfonça ces deux doigts dans mon anus, je commençais à me débattre mais il me retenait et m'a dit :
- Tu vas voir, ça va te faire gicler en deux-deux.
Entièrement dans mon cul, il remuait ses doigts, touchant la parroie et appuyait avec son pouce sur mon périnée tout en me branlant de l'autre main.
- Ma copine me fait ça parfois quand elle me suce. T'aimes ?
- Ouais, putain, continue je vais gicler !
Le filet de liquide séminal s'est fait de plus en plus dense, mon anus se contractait autour des doigts de Yann, je sentais ma queue se raidir encore plus et le sperme monter de mes couilles. C'est à se moment là qu'il s'arrêta net de me branler et retira ses doigts. Enervé je lui ai dit :
- T'es fou, continue, mets moi tes doigts, t'allais me faire gicler !
Je n'aurais d'ailleurs jamais pensé dire ça une fois dans ma vie. Il m'a répondu : " Tais toi !", a baissé son boxer et a enfoncé sa grosse queue dans mon trou encore vierge d'un seul coup. J'ai lâché un cri qu'il étouffé en posant sa main sur ma bouche, j'ai retiré sa main pour lui dire :
- T'es pédé ou quoi ? Vire ta bite de mon cul je suis pas comme ça moi !
- Je vais te faire gicler, tu vas aussi me faire gicler, mais avec ton cul. De toutes façon t'as pas le choix, tu vas voir, ça va te plaire.
- Je suis pas ta pute, alors casse toi ! Ca me fait trop mal !
- Je suis plus fort que toi alors laisse toi faire et ça se passera bien, si tu jouis demain c'est toi qui m'encule.
Il m'a maintenu très fortement et a commencé à me ramoner les fesses, j'étais déjà chaud et mon trou serrait sa grosse pine au maximum. Il prenait son pied et, au bout de trente secondes qui parrurent une éternité, j'ai commencé à prendre du plaisir aussi. Il avait arrêté de me branler mais ma queue restait dure, je la touchait, je recommençait à me branler. Sa main m'empêchait de faire du bruit, je sentais le jus monter de mes boules. Le filet de liquide se faisait plus puissant, presque une éjaculation...il a viré ma main de ma bite et a retiré la sienne de mon cul.
- Bon je vois que t'aime pas ça, je vais te laisser finir tout seul hein ! M'a-t-il dit.
Du tac au tac, je lui ai répondu : Ta gueule ! en agrippant son membre pour me le remettre dans le cul. Puis j'ai ajouté :
- Maintenant t'as une minute pour me faire juter, les autres attendent alors dépêche toi.
Il m'a ramoné en me branlant, en quelques secondes j'étais en train de remplir le lavabo de foutre, ma bite n'en finissait plus de trembler. A chaque accoup elle déchargeait un flot de sperme bien blanc et liquide.
Yann s'est retiré, s'est branlé et m'a éjaculé sur l'anus et l'arrière des couilles.
Tout cela à duré en tout et pour tout 5 ou 1O minutes, j'étais exténué, je suis allé reprendre une douche et nous sommes sortis comme prévu.