Ma Primière Fois
Ma première fois
Je suis un jeune étudiant de 18 ans je pars en vacances dans un club de vacances en compagnie de mes parents et ma sur, qui n'a que 16. Malgré ma majorité je nai pas encore perdu ma virginité. Est ce parce que je ne plais pas ? peut-être mais je ne crois pas. Je pense plutôt que c'est moi qui me suis pas encore intéressé aux filles.
Tout les copains autour de moi se ventait de leur conquête, moi je nai pas osé assumer mon inexpérience. Je fuyais les relations afin de ne pas être démasqué minventant au passage quelques histoires avec les filles.
Il est vrai que je nai pas su remarquer des jeunes filles qui mintéressaient, du moins pas comme je lespérais, au lieu de leur donner envie de sortir avec moi je devenais seulement le confident de mes copines. Cétait bien sur un grand honneur pour moi quelles maccordent leur confiance mais ça narrangeait pas ma timidité pour pouvoir en séduire une.
Cette année javais décidé de prendre les choses en main en travaillant ma musculature. Comme si les filles ne regardaient que cela ? Convaincu que mes pectoraux motiverait plus certaines copines à venir maborder, mais pour autre chose que de me raconter leur petites histoires.
Me voici dans un club de vacances, avec mes parents et ma sur. Je partage ma chambre avec ma frangine, nos relations sont très bonnes, jamais de dispute, il faut dire que lon se voit peu juste le soir, et en coup de vent le matin. Elle est très belle, aux yeux verts, un sourire ravageur. Une poitrine avantageuse et de jolies fesses bien rondes. Elle a la qualité de savoir bien shabiller et se mettre en valeur sans jamais être provocante. Je crois même que si elle n'était pas ma sur j'aurais envie de sortir avec elle.
A notre arrivée, au moment des présentations avec plusieurs GO (gentil orgonisateur) je regarde avec attention chaque personne des nouveaux arrivants. Les filles dabord pour repérer celles qui dans notre groupe mintéressent.
La deuxième fille répond au nom de Corinne, elle est brune, avec des tâches de rousseur, des fesses comme je les aime. Cette jeune femme avec un joli sourire simple, elle a plus de vingt ans. Elle a énormément de charme, une forte poitrine aussi. Aucune de ces demoiselles ne mintéresse vraiment, moi je les préfère chétives, gamines ou jeunes filles, mais pas femmes.
Ensuite, la sur de Corinne. C'est une fillette, elle n'a que treize ans. Il y a aussi cette jolie fille Lina qui ressemble à une tahitienne. Cheveux noirs et élancée elle a déjà un corps à faire craquer nimporte quel homme derrière ses seize ans. Elle mattire mais sans plus !
Ensuite c'est Martine qui est petite avec des petits seins qui pointent, elle a quinze ans et va rentrer au lycée à la rentrée. Elle est en maillot de bain, un deux pièces classique. Le haut lui modèle bien ses petits seins elle porte un boxer qui lui dessine les fesses en laissant apparaître un léger trait du haut de ses fesses, elle me plait beaucoup ! Sa crinière brune tombe au milieu du dos. Un visage de gamine, une tête dange sur un corps de femme. Je suis sous le charme de cette fille.
Martine et ma sur se sont vite liées damitié. Un soir après le diner, nous étions assis avec Lina et son frère sur des transats au bord de la piscine éclairée loin du bar, nous profitions de la nuit étoilée en discutant. La discussion dériva sur le sexe
Jécoutais avec attention, Un des garçon qui avoua quil navait jamais eu dexpérience et portait plus dattention à ses études et à la musiques qu'aux filles. Un autre garçon nous parla de sa copine, qui est restée avec ses parents pour les vacances. Ce fut le tour de Corinne. Elle nous raconta ses frasques de lan dernier avec un GO.
Pour répondre à leurs pulsions le Go et Corinne entreprirent de chercher un logis libre ou personne ne peut les surprendre pour sadonner à leurs ébats. Cétait décidé ils iraient dans la chambre du GO. A peine la porte passé, il lembrasse tout en se dirigeant vers le lit. Peu délicat plutôt bestial, il la jette sur le lit avec force et elle pousse un cri. Elle nest plus une petite fille, alors, excitée par un homme dexpérience, bronzé et au corps musclé. Elle est là sur le lit quand il se déshabille pour montrer son sexe. Elle ne voit plus que ça et le dévore des yeux pendant que des frissons parcourent son corps. Il approche sa verge fièrement lui faisant face.
Les frissons de Corinne grandissent, ses poils se dressent. Elle en a la chair de poule. Elle sapproche et regarde d'abord avec dégout ce monstre devant ses yeux puis avale ce sexe qui soffre à elle. Il est gros pour sa petite bouche mais Corinne sen accommode fort bien. Elle la en bouche et le garde tout en caressant de sa langue le gland. Lui, debout les genoux la regarde. Elle a accéléré et amplifié le mouvement de sorte quelle laisse son membre presque sortir avant de se lenfoncer au maximum au fond de la gorge.
Corinne sy donne avec passion et elle aime ça. Ses seins sont durs et lèvres gonflées. Tous ses sens sont en éveils au point que le moindre contact avec sa peau pourrait conduire à lorgasme. Sentant la pression monter, le GO la repoussa violement sur le lit. Il sallonge dessus et lembrasse puis introduit son membre aussitôt dans le vagin de Corinne sans autre préliminaire. Il entame alors un va et vient rapide et bestial.
Corinne est très excité par cette domination et nen peut plus, elle empoigne les draps de toutes ses forces. Il accélère et accélère encore
Un bruit de clefs dans la serrure vient perturber le moment dextase du couple. Instinctivement elle le repousse. Il a compris att son short et court dans la salle de bain.
Elle nous expliqua quelle voulait retenter lexpérience cet été en espérant une meilleure fin.
Ma sur resta timide devant moi et ne raconta pas grand-chose. Martine aussi resta timide. Toutes deux avouèrent ne plus être vierges mais sans rentrer dans les détails. Pour ma sur, je l'apprend, un peu déçu mais je ne lui en veux pas.
Un des garçons me demanda si le récit de Corinne ne me gênait pas. Je lui répondis que tant que je ne la vois pas au lit avec plusieurs hommes ou en train de se donner en spectacle, elle était jeune et avait le droit de samuser.
Je jouais l'habitué au sexe, un sourire aux lèvres, en disant quils ne pouvaient pas imaginer tout ce que jai pu faire. Il me regarda avec de grands yeux et me dit :
- Raconte ! quoi par exemple ?
Je souriais de plus belle en poussant un soupir amusé. Pour changer la conversation, Je proposais daller chercher un verre pour ceux qui le souhaitaient étant le seul à avoir le droit d'acheter de lalcool au bar.
Le même garçon nous raconta alors une anecdote qui lui était arrivé juste avant son départ.
- je suis allé à une soirée avec des potes et on est rentrés complétement bourrés. En rentrant je suis allé chez ma copine. On a commencé à sembrasser. On était sur le lit et ma main a commencé à descendre doucement dans son dos. Elle ma dit que je puais lalcool dun air amusé et j'ai répondu en lui pinçant les fesses.
L'intello faisait bande à part avec sa musique sur les oreilles. Moi je suivais, amusé tandis que les trois filles le regardaient avec intérêt et envie. Elles brûlaient denvie de connaître la suite. Il continua son récit :
- Jai commencé par lembrasser goulument, puis mes lèvres sont descendues. Dabord sur son cou, je la léchais tout en lembrassant. Je sentais quelle aimait ça, elle avait les yeux fermés. Ensuite je suis passé à ses tétons tous durs. Mon travail avait commencé à porter ses fruits, lexcitation était montée, elle ne savait pas ce qui lattendait ! Jétais déterminé à lui faire prendre un pied denfer. Tout en continuant de lécher ses petits tétons de plus en plus durs japprochais mes mains de sa toison. Je caressais doucement le dessus de son sexe. Jai glissé ma main vers son entre-jambe où jeffleurais une fois de plus sa peau toute douce. Ma bouche était restée sur sa poitrine. Elle nen pouvait plus ! Je sentais que ça montait. Elle se cambrait de plus en plus au fur et à mesure que ma main effleurait ses zones érogènes. Ses lèvres étaient gonflées ses tétons durs comme du béton. Tout dun coup elle poussa un cri qui, à coup sûr, réveilla toute la maisonnée. Cest alors que je passais à létape suivante, excité comme elle létait je rentrais mon sexe dans le sien
elle poussa un autre gros cri mais différent et me mis une grosse gifle. Je ne compris pas sur le moment, mais vite je maperçus que ce nétait pas le bon trou
Ouille ! Javais gaffé !!! Peut-être étais-je un peu plus bourré que je ne croyais. Son père est arrivé en courant inquiété par le cri violent de sa fille
Ce n'est rien papa, je me suis cogné. puis je suis parti.
Pendant son récit. Javais remarqué que Martine savait bien shabiller, un petit haut blanc assez moulant et légèrement décolleté elle portait un jean mettant ses fesses en valeur. Le hasard a fait quelle partage mon transat, elle se plaignit davoir mal à une épaule suite à son cours de tennis. Ce nétait pas tombé dans loreille dun sourd et jentrepris de lui faire un petit massage. Trop bien élevé ou trop timide je ne sais pas, mais je me suis limité à ses épaules et à sa nuque. Alors que la conversation se prolongeait tardivement elle était fatiguée et posa sa tête dans mon cou. Je savourais le moment.
La journée qui suivit fut, pour moi le matin sportive, je me consacrais pour la première fois au plaisir de la voile. A lheure du déjeuner nous nous retrouvons les ados tous pour manger ensemble. Tout en restant le plus discret possible, jessaye de me mettre en face de Martine, raté ! la place est déjà prise, je massis donc à côté. Jétais en diagonale ce qui nétait pas si mal sur une grande tablée de douze personnes. Je la regardais fixement avec insistance puis ce fut son tour.
Je fis mine de ne pas la voir, elle souri, et continua. Elle ne se mêla pas à la conversation, des autres trop occupés à jouer avec moi. Mais que voulait-elle, cette petite ? Je décidai daffronter son regard et la dévisageai à mon tour. Ses yeux noirs pétillaient, en me voyant mal alaise, elle esquissa un sourire, ses lèvres sécartèrent laissant apparaître de petites dents blanches qui souvrirent à leur tour et elle sortit le bout de sa langue. Elle ne ma pas quitté des yeux avec même pas le moindre clignement de cil. Je fis de gros yeux ronds pour manifester mon étonnement. Martine éclata de rire, je la suivis. Cette gamine ma bien eu ; elle ma appâté, elle ma ferré, elle ma accroché.
Je suis allongé sur un transat au milieu de la plage écoutant tranquillement de la musique lorsque Martine et Lina commencent à discuter. Martine sest assise sur le bord de mon transat et Lina sur celui dà côté. Je coupais immédiatement le son de mon baladeur pour les entendre, en faisant semblant de continuer à écouter ma musique. Lina interrogeait Martine sur sa première fois. Miam ! miam ! Un sujet qui me passionnait.
- Je sortais avec mon copain depuis sept mois et je voulais faire lamour avec lui il n'avais que quinze ans. Il était mignon mais trop timide et voulait attendre malgré mon insistance. Je profitais dun voyage scolaire pour prendre les choses en main. Mes camarades de chambre étant en shopping, je lentrainais dans ma chambre. Le lit était petit mais quimporte je le voulais depuis trop longtemps ! Je commençais par lembrasser goulûment sa langue caressant la mienne. Je marrêtai et posai ma tête sur son épaule savourant ce moment délicieux. Je savais que jallais me faire déflorer et cela mexcitait. Le bout de mes seins était dur, mes lèvres toutes gonflées, je savourais mon plaisir un instant dans ses bras avant de lui offrir ma virginité. Il prit linitiative et descendit ses mains sur mes fesses, que je contractai un court instant sous leffet de la surprise. Jétais contente quil commence, quil manifeste son envie daller plus loin. Mon copain passa alors sa main dans mon pantalon pour caresser mon petit cul, je mouillais. Ses mouvements étaient lents et tendres, ma petite culotte était trempée. »
A lécoute de ce récit, je sentais ma verge se gonfler. Il me fallu mettre sur le côté pour masquer mon érection. Je coinçai mon sexe dans lélastique du short. Ni vu, ni connu, je repris ma position initiale et tendit de nouveau loreille :
- Son autre main sapprocha doucement de mon bas ventre, il commença à la glisser dans mon jean
Je me déshabillai. Il fit de même et reprit ses caresses, il ne sest pas intéressé à mon clitoris et sest concentré sur mon petit trou, il y glissa sa langue, cétait exquis ! jétais comblée. Cétait le premier que jinvitais dans mon intimité, je navais jamais senti de telles sensations. Je nen pouvais plus, cétait trop, ma respiration saccélérait de plus en plus, je gémissais et je jouissais. Mon état lui donna confiance en lui et il mit un doigt puis deux, cétait infiniment plus bon ! il effleura sans le vouloir mon petit clitoris, sen était trop pour mon petit corps et un raz de marée lui inonda le visage. Courageux mais pas téméraire il se releva un peu écuré. Il se déshabilla complètement, puis me regarda fièrement arborant son sexe. Sans me laisser reprendre mes esprits, mon copain membrocha et commença soigneusement ses va-et-vient il accéléra et
cétait déjà finit après moins de trois minutes ! Ayant perdu son regard fier, il était devenu aussi rouge que moi. Je le pris par la main et lallongea à côté de moi en lembrassant. Je lui glissai merci mon chéri dans le creux de loreille et me collai à lui. Nous restâmes un bon moment lun contre lautre serré sans dire un mot. Une fois calmée, je mapprochais de son sexe redevenu mou et commençai à le chatouiller avec ma langue. Il se redressa rapidement et jentrepris ma première fellation. Je commençai par embrasser son gland, puis mes baisers devinrent des petits coups de langue. Je sentais son excitation à son dos qui se cambrait de plus en plus. Jai commencé à avaler son sexe, puis à le recracher. Le gout de son gland entre ma langue et mon palais me plaisait. Je continuai avec plus dentrain, je mettais tout mon cur à louvrage. Soudain une substance se répandit dans ma bouche, cétait étrange et un peu dégoutant mais je lavalais sans me poser plus de question.
Cest ainsi que sacheva le récit de Martine. Pour ma part lélastique de mon short ne suffisait plus à contenir mon érection. Elle mavait tellement excité avec son histoire que jai dû mettre mon T-shift histoire de masquer tout ça. Jétais fortement embarrassé et jattendais que ces demoiselles sen aillent. Heureusement il était lheure de laqua-gym et Lina demanda à Martine de laccompagner. Cette dernière déclina linvitation. Mais pourquoi ? Va t-en !!! criai-je en mon fort intérieur.
- Mon histoire ta plu ? me dit-elle
Je ne répondis pas et feignant de continuer à écouter la musique. Elle sempara du baladeur, le mis sur lecture puis de nouveau sur pause.
- Ca ta plu ? répétât-elle.
Je souris puis répondit :
- Tu ne veux pas aller me chercher un coca sil te plait.
- On y va ensembles si tu veux. Attend ! Je vais te mettre de la crème.
- NON ! je veux dire non merci, cest gentil. Jétais terrifié à lidée dêtre démasqué mais excité en même temps par la situation ce qui narrangeait pas mon problème. Je pensais alors à un subterfuge :
- Ben vas-y mets en moi un peu de crème dans le dos.
Elle se pencha alors de lautre coté du transat pour attr la crème prenant appui sur ma verge pour me montrer quelle nétait pas dupe. Elle ma eu, avant que je naie temps de me retourner. Je souris en disant dun air taquin :
- Ca y est tu es contente ?
- Oui assez. Puis elle répondit à mon sourire par le sien.
Elle se lève et me laisse seul.
Jentrais dans le restaurant en même temps que Lina. En arrivant à notre table nous nous aperçûmes que nous étions les premiers et nous prîmes place au milieu de la table. Quelques instants plus tard dautres jeunes arrivèrent. Ma sur et un copain sassirent en face de nous. Je sentais quils se rapprochaient petit à petit. Cétait assez évident quils allaient finir ensembles. Lorsque Martine arriva il ne restait plus tellement de places. Elle sassit assez loin de moi ce qui nétait pas pour me déplaire.
Je profitais de ce moment pour réfléchir pendant que tout le monde discutait. Je ne savais pas quoi faire ! Elle était sexy mais trop jeune sous ses belles formes. Cest vrai, elle ne connaissait même pas encore le lycée ! Elle ma surpris à plusieurs reprises par sa maturité, de toute façon, ca reste une amourette de vacances, il ne sagit pas vraiment de sortir avec mais fleureter, de trouver un peu de tendresse dans ses jolis petits bras
lâge ne compte pas vraiment pour ce genre de relation !
Je suis resté bien pensif pendant le repas, mon absence se fit remarquer. En allant chercher le dessert Lina me demanda si quelque chose nallait pas. Elle navait pas remarqué le jeu de Martine. Personne dailleurs, jappréciais que ce petit diable à la gueule dange aie su rester discret. Je lui expliquais que tout allait bien, javais juste un petit coup de fatigue mais cétait fini. Elle me dit alors :
- jespère parce que la soirée va être longue.
Je ne savais pas encore ce quils avaient prévu mais je nallais pas tarder à le découvrir. De retour à table nous étions moins nombreux, il ne restait que notre petit groupe. Martine qui était un peu éloignée vint sasseoir à coté de moi. Ils mexpliquèrent quils avaient décidé de boire ce soir. Ils voulaient « se bourrer la gueule ». Je ris ! Je voyais où ils voulaient en venir, en tant que majeur jétais le seul à pouvoir leur ouvrir les portes du bar. Je dis que jallais essayer mais que ce nest pas très discret daller chercher les verres deux par deux.
Le barman, un camarade de cuites, mavait gentiment passé quatre bouteilles de vodka ce qui mévita de faire la navette. Quand la troisième était presque vide mes acolytes étaient méconnaissables. Lalcool faisait son effet
Lina, Martine, deux garçon et ma sur étaient de plus en plus dévergondés. Je mentirais en disant que, moi aussi, je nétais pas très net.
La discussion était de plus en plus délurée et un garçon proposa un jeu. Il avait toujours un jeu de carte. On joua trois ou quatre parties, installés sur un catamaran au milieu de la plage. Les équipes étaient tirées au sort : Lina et un garçon, Martine et ma sur Le copain de ma sur et moi. Cétait assez amusant, mais ce nétait pas assez pour Lina qui proposa une nouvelle règle.
On commença par écrire tous des gages sur des morceaux de papier. Les gagnants désignent léquipe qui sera gagée. Lune des personnes devra ôter un vêtement et lautre tirer un petit papier.
Nous gagnâmes la première partie. Nous avions les mêmes intérêts, car lui sintéressait à ma sur et moi à la sienne. Si je ne cédais pas à ses avances je pouvais tout de même mamuser un peu. Il ignorait tout du petit jeu entre sa sur et moi, aussi je veillais à ne pas éveiller ses soupçons. Nous désignâmes gentiment léquipe de nos surs. Martine enlevai ses chaussures et ma sur pris un petit papier.
« Bois un verre cul-sec ».
C'est mon coéquipier qui lui servi un verre bien rempli. Elle sexécuta et bu lintégralité de son verre. Nous rîmes tous devant la tête quelle fît.
Ensuite Lina et le garçon gagnent, Martine tire une carte et ma sur enlève ses souliers à son tour. La carte dit « enlève un vêtement ». Cétait un peu de la triche mais aucune règle navait été fixée concernant les gages. La demoiselle sexécute en enlevant son pantalon. Elle se met debout, déboutonne ce jean sur lequel nos regards sont tous braqués et le descend doucement laissant apparaître un petit string noir. Il était écrit love. Cétait mignon et follement excitant de voir ses petites fesses fermes.
Quelques tours plus tard, le copain de ma sur et moi navons plus que nos jeans et nos chaussures. L'autre garçon est encore tout habillé et Lina seulement pied-nu. Personne ne les désigne, à croire quils sont là pour décorer. La partie se joue entre frères et surs. Ces dernières ont toutes deux perdu leurs souliers et leurs pantalons. Mon coéquipier bande comme un fou comme le témoigne la petite bosse que lon devine sur son jean. Il ne quitte pas ma sur du regard et elle le lui rend bien. Ils sont lun à coté de lautre pour ne pas dire lun sur lautre. Nous gagnons et désignons une fois de plus les filles. Elles se regardent. Ma sur propose denlever un vêtement, Martine acquiesce et tire une carte. Sans la montrer, elle se lève et sapproche de moi. Elle sassoit sur mes genoux, met ses bras autour de mon cou et approche sa bouche de la mienne.
Je sentis mon sexe se gonfler de sang, il ne lui manquait pas grand-chose pour se mettre au garde à vous. Elle était là, en string assise sur mes petites cuisses et commençait à membrasser. Ses lèvres se posèrent doucement sur les miennes, sa langue sorti pendant que jouvrais ma bouche et vint caresser la mienne. Je jouais le jeu, je lembrassais avec un certain plaisir. Mon sexe était à présent dressé comme un pic. Elle le sentait sous ses petites fesses musclés et cela lexcitait davantage. Les autres ne ratèrent pas une seconde de la scène mais nous ne les voyions plus. Jétais concentré sur sa bouche et elle sur la mienne. Je mis discrètement ma main dans mon jean afin de masquer mon érection. Après un très long baiser nos bouches se refermèrent. Elle me fit alors un petit smack et sassit à coté sans prendre la peine de regagner sa place.
Ma sur enleva son haut laissant apparaitre son petit nombril et sa poitrine à travers son soutien-gorge. Son copain nen perdait pas une miette, il la dévorait des yeux. Javoue que moi aussi elle mexcitait ma petite frangine avec ses beaux petits seins bien ronds et fermes
Pour mon gage, je devais baiser le cou dun de mes voisins. Javais un garçon à ma droite
Je préférai ma voisine de Gauche. Alors, je me penchais vers Martine la couchant sur le flotteur du bateau et je lui lécher lépaule. Je mattardai visitant chaque morceau de chair. Je léchouillai sa peau jusquà ce quelle nait plus de gout. Lentement, je passais à son cou. Martine mavait abandonné son corps, elle avait la tête en arrière, la bouche à moitié ouverte, les yeux fermés. Je continuais à lembrasser gentiment. Elle appréciait et moi aussi. Je fini par un petit coup de langue sur ses lèvres.
Le jeu repris son cour. Tous attendions la fin de la partie avec beaucoup dimpatience. Ce nétait plus quun prétexte. Au tour suivant on gagnât une fois de plus. Daccord nous avions un peu la chance, mais dans létat où elles étaient elles ne risquaient pas de sen apercevoir. Martine dû retirer son haut. Ouah
elle navait rien en dessous ! Pour la première fois je pouvais voir ses petits tétons rouges. Jétais touché par la pureté de ses formes et terriblement excité à la fois. Mon sexe nen pouvait plus, il était si dur, si congestionné quil me faisait presque mal. Elle avait les yeux baissés, elle était gênée, cétait terriblement attendrissant ! Son innocence me charmait davantage encore.
La carte que tira ma sur lui demandait de se caresser le sexe. Elle mit alors la main dans son string et commença à jouer avec son clito. Le fait dêtre sous nos yeux lémoustillait énormément. Je voyais ma petite sur en sous-vêtements se chatouillant la chatte avec ses petits doigts de fée. Je voulais mettre la main dans mon jean pour me soulager mais nen fis rien. Jétais captivé par le spectacle. Elle émit quelques gémissements sous leffet de ses frottements habiles.
Elle sessuya avec ses doigts, les apporta à la bouche puis lécha son miel avec un grand plaisir. Jétais en transe ! La partie suivante tarda un peu, personne nobtenait les cartes qui lui permettrait de gagner. Martine se plaignit davoir froid et sans nous laisser le temps de réagir elle se coucha sur mon épaule. Tenant mes cartes de la main droite, je lenlaçais avec mon bras gauche. Je sentis un frisson en effleurant ses seins. Elle était collée à moi, cest peut-être stupide mais jétais fier !
Ma fierté nallait pas durer puisque quelques secondes plus tard je dus retirer mon jean. Tout le monde pouvait à présent admirer la forme de mon sexe. La carte du copain de ma sur lui ordonnai dembrasser la personne en face de lui
jétais en face de lui ! Il sapprocha de moi, mon cur battait de plus en plus vite. Mais quest ce quil est en train de faire ? Son pénis était de nouveau en érection. Arrivant à moi, je fus soulagé : il choisi sa sur Martine qu'il embrassa avec précaution. Elle découvrait un nouveau visage de ce frère quelle côtoyait depuis toujours et il tint à faire bonne impression, il était fier de montrer sa technique à sa chère sur. Je les regardai se caresser la langue. Ma sur était jalouse de son amie alors que moi jétais stimulé par ce baiser interdit.
Chacun reprit sa place et la partie recommença. Bizarrement, nous gagnâmes très rapidement ! Martine ne portait plus que son string, ma sur enleva donc son soutient gorge, la miss pris un petit papier. Il était écrit mot pour mot :
« carte chance, tu peux mettre la main dans le pantalon de la personne de ton choix ».
Une carte chance comme, on nétait plus à ça prêt. Plus personne navait de pantalon, alors, Martine adapta la règle à la situation et mit sa main dans mon boxer. Elle caressa furtivement mon gland. Ce dernier bouillait depuis déjà depuis un bon moment et nen demandait pas tant pour cracher son venin.
Jétais affreusement gêné ! Elle me fit un petit smack puis se lécha les doigts. Je ne voulais pas aller plus loin
la voir en string mexcitait follement mais je ne voulais pas voir son petit sexe. Ce qui me faisait fondre en elle était son côté juvénile et puis
souvenez vous, javais décidé de ne pas aller trop loin. Le jeu était fini.
Ma sur proposa un bain de minuit. Je déclinai loffre mais son copain, accepta. Ils séloignèrent dans lobscurité pendant que je restais allongé sur un transat avec Martine. Elle ne disait rien, moi non plus. Nous regardions les étoiles en silence. Un moment comme je les aime ! Jétais sur le dos et elle de côté, la tête posée sur mon torse. Elle me caressait le ventre et moi son petit dos. Le temps sétait arrêté, japprenais la géographie de son dos, me nourrissant des frissons qui la parcouraient parfois. Elle caressait mes poils avec douceur et sensualité comme pour les coiffer. Elle nexcitait plus ma verge mais mon cur, je savourais chaque seconde en absorbant toute la tendresse de ses caresses.
Les deux tourtereaux ma sur et son copain, ne revenaient pas de la baignade, probablement cherchaient-ils un peu dintimité. Je ne pensais plus du tout à eux et elle probablement pas plus que moi. A vrai dire, en ce moment nous ne pensions plus, nous vivions notre histoire d'amour !
C'est ce jour sur cette plage ou j'ai perdu ma virginité, avec martine qui m'a tout appris bien que plus jeune que moi.
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