Spectacle Privé
Il était un peu plus de minuit. Mon maître et moi rentrions tout juste de lanniversaire dun ami, et nous étions un peu joyeux. Comme toujours lorsque jai un coup dans le nez, jétais plutôt excitée, mais nous navions rien fait ce soir aucun de nos amis ne connaissait la nature intime de notre relation.
Nous venions de descendre du taxi et nous étions dans lentrée de limmeuble quand mon maître sortit mon collier et ma laisse de son sac.
Viens là.
Je le rejoignis et relevai mes cheveux pour quil puisse passer le collier à mon cou. Puis il attacha ma laisse. Jétais assez nerveuse de me retrouver ainsi dans lentrée de notre immeuble, mais à minuit en semaine, il ny avait pas de passage.
Déshabille-toi. Garde ton porte-jarretelles et tes bas. Et tes chaussures, bien sûr.
Ah. Décidément nerveuse, je retirai mon col roulé, déboutonnai mon chemisier et défis ma jupe. Et voilà ! Une esclave presque nue, en laisse, à la vue de quiconque passerait. Je roulai mes vêtements en boule et les tendis à mon maître. Il sourit, satisfait.
Tu es vraiment une belle chienne, me dit-il dune voix de gorge. À quatre pattes. Je temmène te promener.
Jobéis et attendis de voir où il memmènerait. Sil me faisait ressortir, je savais que ce serait difficile pour moi, mais javais tellement envie de le satisfaire
et je savais quun jour ou lautre, mon maître memmènerait nue en pleine rue. Mais non. Il appela lascenseur, et my fit monter lorsquil arriva. Sans lever les yeux, je lentendis appuyer sur un bouton, et sentis lascenseur descendre. Mon maître me fit sortir, et je le suivis toujours à quatre pattes. Le parking de notre immeuble occupait deux sous-sols, avec quelques caves. La plupart des places étaient vides, je le savais pour être déjà venue. Mon maître avançait nonchalamment, tenant ma laisse dune main décontractée. Je le suivis sur le béton. Je me savais exposée, mais dans un environnement où je doutais que qui que ce soit passe.
Écarte les cuisses. Je veux voir ta chatte ouverte quand tu es à genoux.
Jobéis rapidement, et restai le dos droit, les cuisses ouvertes. Cela me força bien sûr à tendre la poitrine, et mon maître le remarqua. Je le vis passer derrière moi, et sentis une traction sur ma laisse. Puis il revint, et je vis quil avait les mains vides. Puisque la laisse restait tendue, jimaginai quil lavait attachée à quelque chose. La rambarde entre deux places de parking, sans doute. Comme une vraie chienne, jétais attachée sur place. Devant moi, mon maître avait ouvert sa braguette et sortit son sexe. À lévidence, lui aussi trouvait lexercice excitant ! Puis il me dit :
Nathalie, je vais te baiser la gorge, et jouir dans ton ventre. Garde la bouche ouverte, et ne bouge pas avant que jaie fini.
Oui, maître.
Puis jouvris la bouche pour le laisser entrer. Je léchai un peu son gland, pendant que je le pouvais, car jaime sa douceur sur ma langue. Puis son gland passa ma gorge et métouffa. Je le sentis commencer à aller et venir au fond de ma bouche.
Pendant les minutes qui suivirent allez savoir combien mon maître fit exactement ce quil avait dit. Il me prit la gorge, en ressortant fréquemment son sexe pour me laisser reprendre mon souffle, goulée dair par goulée dair, avant de recommencer. Malgré l régulière il ne se retirait pas toujours avant que je commence à je fis de mon mieux pour rester en place et le laisser mutiliser à sa guise. Avec le collier autour de ma gorge, je sentais la pression de son gland qui descendait dans ma gorge, et je me sentais merveilleusement pornographique.
De son sac, il tira son appareil photo, et prit quelques clichés de moi, attachée à la rambarde, nue avec des traces de sperme et de salive sur le visage. Je regardai dans lobjectif, et fis de mon mieux pour exprimer, dans mon regard, mon amour et ma dévotion. Je me sentais à la fois dégradée et précieuse, unique. Javais la chatte en feu, aussi. Javais envie quil me prenne, là, tout de suite. Bien sûr, je ne dis rien. Au lieu me toucher, il rangea son appareil photo, et dit :
Bon, ne bouge pas. Je monte à lappartement ranger mon sac et tes vêtements. Je reviens te chercher.
Et sur ces mots, il fit demi-tour et retourna vers lascenseur. Je le suivis du regard, paniquée. Il allait me laisser là, comme ça ? Nimporte qui pouvait arriver, me voir
cela me paraissait beaucoup moins improbable, tout dun coup. Je me sentais abandonnée, et très en danger. Il se retourna vers moi.
Allons, ma chienne, sois sage. Ton maître taime, mais tu nes pas une personne, tu es une chose. Je peux te laisser là cinq minutes.
Et oui, il pouvait. Il pouvait se servir ou pas de moi comme il le voulait. Je ravalai ma fierté et mon inquiétude, et décida dattendre le temps quil faudrait.
Là non plus, je ne saurais pas vous dire. Une demi-heure, ou cinq minutes. Enfin non, sans doute un peu plus que cinq minutes. A son retour, effectivement, il navait plus son sac. Mais il sétait changé, et il tenait une chaise pliante et
une bouteille de champagne ! Il ouvrit la chaise, sy installa, et ouvrit la bouteille. Cétait une demie, et il en but une partie au goulot, en me regardant dans les yeux. Puis il se pencha vers moi, membrassa sur la bouche, et laissa le vin couler dans ma bouche. Javalais vite, et sentis la piqûre des bulles sur ma gorge. Cet acte, boire de la bouche de mon maître, maffole littéralement. Ça ne manque jamais. Il vida la bouteille, lentement, tout en me caressant les seins de lautre main. Quand la bouteille fut vide, il se leva, repoussa la chaise, et posa la bouteille par terre derrière moi. Puis il se remit devant moi, sortit lappareil photo de sa poche, et me dit :
Prends-toi avec la bouteille. Quand tu aurais joui, nous pourrons rentrer. Si tu fais ça bien, si tu as lair sexy et aguicheuse, je te baiserai dans le lit.
Je cherchai la bouteille à tâtons, la trouvai et la plaçai là où je pourrai lenfourcher. Puis, sans quitter mon maître des yeux, je fis lamour à cette bouteille comme sil sagissait de lui, et consciente quil me regardait. Je me mordis la lèvre, jactivai les hanches, je me pétris les seins. Et pendant tout ce temps, il me filma, dans ce parking souterrain où les échos de mes gémissements rebondissaient. Je jouis comme la pire chienne en chaleur que jaie jamais été, avec un cri rauque qui résonna autour de moi.
Mon maître rangea lappareil photo sans un mot et détacha ma laisse de la rambarde. Toujours à quatre pattes, il me ramena à lascenseur et chez nous. Comme promis, il me prit dans le lit, et me cracha au visage en jouissant au fond de moi. Je mendormis comme il me laissa, le visage poisseux de salive, et les cuisses collantes de sperme.
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