Apprentissage
Avide de me prêter enfin à des pratiques sexuelles nouvelles voir bizarres, en tous cas libres et dans lobéissance, je surfais assidûment sur des site de rencontres à caractère pornographique et plutôt dans les rubriques domination, trans, bdsm, fétish, voir gay.
Jétais finalement entré en contact par mail avec un couple âgé dont la femme se présentait comme dominatrice et son mari soumis.
Ça mavait toujours plu denvisager de me soumettre et dêtre contraint sous les ordres dune dominatrice mature dans le cadre dun couple. Cétait pour moi un plus.
Par ailleurs il me semblait que travesti me permettrait plus facilement daccepter la contrainte ardemment espérée et de me lâcher complètement et encore mieux si possible dans le cadre d une promiscuité avec dautres soumis. Cela était de nature à me faciliter labandon de moi même et donc de réaliser mes fantasmes les plus fous et de satisfaire mes pulsions dexhibitionniste soumis .
Cette Maîtresse acceptait les hommes seuls, si bi-sexuel avérés et bien entendu passifs, appréciant en effet de temps à autres doffrir un cadeau à son mari et son mari en cadeau.
Elle était aussi daccord pour me féminiser et satisfaite que cela me permette un lâcher prise augurant une disponibilité absolue à ses exigences sexuelles et celles de ses partenaires éventuels
Ayant apprécié les photos de cette femme dans la soixantaine en tenue fétish sur le site et son allure très domina affirmée, en même temps que celles de son mari soumis javais sollicité de rencontrer le couple que dis-e je métais presque prostitué verbalement parlant pour obtenir un rendez vous et accéder à leur intimité assurant à la Maîtresse une disponibilité totale à toutes ses exigences quelles quelles soient. Mes réponses à ses questions précises sur mon acceptation de la soumission absolue semblant lui suffire dans un 1er temps. Elle me demanda de lappeler à un 06 quelle me confia.
Elle avait donc accepté de me recevoir à la condition réitérée dune docilité sans faille. Elle avait ajouté que selon ses envies, elle pouvait être aidée de partenaires et quelle exigeait une soumission totale de ma part vis à vis delle et évidemment des tiers. Il me fallait aussi être totalement rasé, la preuve de loffrande du corps pour un homme, selon elle.
Je devais donc je me rendre avenue de Breteuil dans le 7ième arrondissement le samedi suivant à 22.30 H précises. Elle mavait donné un autre numéro de téléphone fixe pour le contact.
Ayant appelé au numéro donné, le jour dit, quelques minutes avant lheure, elle mindiqua le numéro de lavenue et le nom sur lequel sonner sur le digicode, tout cela dun ton particulièrement autoritaire qui minquiéta quelque peu mais jétais lancé et pour tout dire avide dêtre utilisé tant javais fantasmé sur lobjet sexuel que je souhaitais être un jour..
Je sonne et je me présente. Jentends sa voix qui mindique quelle va mouvrir et dit: » désormais, nous sommes bien daccord tu fais tout ce que jexige, tu es à moi. sinon tu dégages tout de suite » « Répète après moi que tu veux être mon esclave dévoué et tu veux tout faire de ce que jexigerai de toi « Jânonnais à mon tour « Je suis votre esclave dévoué et je veux vraiment faire tout ce que vous exigerez de moi « « Très bien. Donc maintenant tu vas entrer dans le hall et une fois la porte passée tu deviens ma chose totalement soumise et pour faire bonne mesure tu te mets à poil tout de suite dans le hall , exécution »
Je suis pétrifié mais je ne peux reculer. Le penne souvre, je pousse la porte énorme et lourde et je me retrouve dans la pénombre dans un hall froid et impersonnel. La porte se referme jai limpression d être pris dans un filet. Craignant de rencontrer quelquun je tourne, je vire, mais finalement je suis ses instructions et me mets complètement nu.
A poil et complètent idiot avec mes vêtements à la main, je suis inquiet.
A cet instant, une jeune femme, dune trentaine dannée, habillée dune robe fourreau noire jusquà mi mollets, coiffée dun chignon blond stricte et cachée derrière des lunettes noires sort dun coin obscure et vient vers moi. On dirait une institutrice sévère dune BD érotique. Elle porte un sac et une petite cravache dans la main droite. et sans un mot elle prend mes vêtements et les fourre en vrac dans le sac. Elle minspecte en me faisant tourner sur moi même et sans un mot, me montre lescalier et me fait signe de monter. Elle appuie sur la minuterie. Je suis pétrifié en pleine lumière.
Je mexécute craintif. Elle me suit. Je lance des regards interrogateurs mais pas un mot. Arrivé au premier palier, la lumière séteint. Elle me met alors dans la lumière dun téléphone branché sur haut parleur sur lequel jentends Germaine, cest le prénom de ma dominatrice du soir.
« Alors, Lucie, montre moi notre soumis du soir » « Pas mal. Il est bien rasé, cest parfait. Donne lui lattribut du 1er étage. » La jeune femme me tend alors un collier de cuir avec une chaine en métal.
La chaine est réglable en longueur et la poignée de cuir est munie dun anneau coulissant qui permet de serrer, la suite va vous montrer comment. Germaine mintime de mettre le collier, bien serré, et de passer mes couilles et ma queue dans la poignée et me demande de serrer lanneau. Alors Lucie règle la laisse et je me retrouve ainsi avec un collier de chienne et une une laisse tendue sur le ventre qui tire mes attributs vers le haut.
Lucie montre le résultat à Germaine qui apprécie et me dit « maintenant que tu commences à ressembler à ce que est nécessaire, monte au 2ième, dard dard ! »
Je monte dans la lumière du téléphone qui fait danser ma silhouette sur les marches. Arrivé au 2ième, Germaine toujours en ligne demande à Lucie de me donner le 2ième attribut.
Lucie me tend une paire de bas noirs auto-fixant. Germaine se souvenait manifestement que japprécierais dêtre féminisé. Dailleurs cela semblait lui plaire de me travestir pensant sans doute avec expérience que je serai plus à sa merci psychologiquement, cest ce que je pensais de mon côté. Germaine mintime donc de passer les bas prestement. Je mexécute.
« Lucie, montre moi notre salope avec ses bas » « magnifique, allez monte la moi au 3ième avec des encouragements sil te plait »
Les encouragements, ce sont deux petits coups de cravache sur les fesses. Je monte plus rapidement.
Sur le palier du 3ième, Germaine demande par le téléphone à Lucie de me passer le 3ième attribut. Cest elle qui sen charge, elle menfile un corset poussant mes seins et mamelons en avant et quelle me lace dans le dos à me faire suffoquer. « Montre la moi. Mais cest quelle commence à ressembler à ce quil nous faut, notre pute du soir « « Cest parfait, maintenant au 4ième et que ça saute
avec encouragements sil te plait » 4 ou 5 coups de cravache sabattent sur mes fesses.
Au 4ième, Germaine me demande de jeter un oeil sur la 1ère marche du 5ième quillumine Lucie avec la lampe de son téléphone. Sur cette marche il y a un plug, acceptable de grosseur, il est agrémenté dune queue de chien en fourrure.
« Lucie, lubrifie lui le fion et quil sempale sur ce rosebud » Lucie menduit aussitôt le trou du cul largement et sans délicatesse aucune au contraire fouillant mon intimité, elle me pousse à masseoir. Je tombe presque dessus tant il est bas et je me contorsionne pour que mon cul absorbe lobjet confirmant ma condition de soumis ou soumise je ne sais plus. Je me relève à grand peine et lucie filme tous les détails que Germaine apprécie fort à distance.
« Maintenant nous allons pouvoir nous amuser de cette pute soumise et docile semble-t-il.
Monte la moi chez moi que je laccueille comme il se doit. La soirée va pouvoir commencer et noublie pas les encouragements dusage et appuyés sil te plait.
Je rentre dans un appartement spacieux et très chic par une double porte déjà ouverte. Je traverse une entrée sombre et me retrouve dans un grand salon luxueux aux lumières tamisées indirectes. Germaine trône au milieu sous un spot.
Je la découvre: la bonne soixantaine, cheveux blancs courts, un peu enveloppée. ça me plait. Elle est sanglée dans une guêpière seins dehors, sexe épilé et pas mal de bourrelets. Des porte jarretelles et bas noirs terminent le tableau dune sorte dadjudant qui mattend campée sur ses jambes tendues et écartées et avec un fouet quelle frappe dans son autre main. Je ne suis pas tranquille du tout mais je lai voulu
Dans un coin de la pièce, je découvre un homme nu, épilé, masqué, mains dans le dos qui mest présenté comme le mari cocu et soumis et qui adore son statut, ce quil confirme en se ventant et en disant quil a hâte de participer. Germaine le fait taire sans ménagement en le traitant de larve et de sous merde. Enfin, Lucie, mon accompagnatrice de lescalier, apparait à son tour, nue, épilée seulement vêtue de bas noirs, dun soutien gorge 1/4 de balcon soutenant une très belle poitrine et surtout bardée dun gode ceinture noir plus vrai que nature et assez conséquent
ça promet mais je lai voulu
Germaine matt par la laisse tendue sur mon torse puis me tire vers elle.
« Alors content de la mise en condition, tu nen espérais pas tant en arrivant hein?. Maintenant on va passer aux travaux pratiques de la petite chienne, de la petite salope, de la petite pute dont tu sembles avoir toutes les qualités du moins en apparence ». Elle dit ces mots avec une gourmandise certaine, heureuse de me rabaisser par ses qualificatifs pour son futur service sexuel et elle goûte cet instant cela avec délectation. Cest une vraie coquine comme je my attendais. Elle ajoute: » Tu ne men avais pas tant dit lors de nos échanges de mails. Jai limpression que tu es bien plus salaud que tu las prétendu. Tant mieux on na pas de temps à perdre en parlottes. Ce cher objet sexuel de la nuit va nous combler jespère. »
Elle détache alors ma queue et mes couilles de la poignée de la laisse, quelle prend en main et me forçant à me mettre à quatre pattes, elle me promène dans la pièce autour des fauteuils et tables basses.
Tu sais que tu as lair dune vraie chienne comme cela surtout avec cette queue dans ton cul. Cest seyant et surtout ça va tagrandir lorifice et lassouplir pour plus tard, jenvisage dailleurs de faire évoluer la taille dans la soirée pour notre confort »
« Pour lheure, bouge le ce cul ! quon lapprécie, quon le convoite.
Maintenant tu es notre objet de plaisir, donne nous lenvie den profiter, den r.
Montre toi désirable, montre nous ton corps gourmand que tu veux offrir à nos désirs lubriques.
Lucie va faire des photos ou des vidéos comme souvenir et comme pub des futurs services que tu pourrais nous rendre dans lavenir si tu nous donnes satisfaction.
Tu mas dit que tu étais bi, donc les queues nont pas de secret pour toi nest ce pas?, et que tu aimais particulièrement sucer des chattes, te considérant par ailleurs expert en la matière. On va juger de tout cela. Par contre tu mas dit être vierge du cul, nayant jamais été sodomisé. Mais quel dommage, quel manque, mais on envisage sérieusement dy remédier sinon ton apprentissage ne serait pas complet. Tu as un beau cul bientôt plein et pas que de promesses.
Tu es arrivé en amateur, tu repartira en pro. »
« Viens là toi, mon soumis » ordonne-t-elle à son mari « et garde ton bandeau tu dois seulement imaginer ce que se passe ou sentir sans voir, cest plus excitant ainsi. » Me faisant relever, elle lui ordonne de me tâter la bite et les couilles, de les flatter avec douceur, de les exciter » Mais point nest besoin, je bande comme un cerf. « Et toi », ajoute-t-elle à mon endroit « retiens toi sinon il va ten cuire ».
Le bougre est passé maître, il aime cela, il se régale, ses doigts sont électriques. Jai un mal fou à ne pas succomber. Germaine y met enfin un terme et me dit » maintenant à toi, tu vas lui montrer autant dexpertise que la sienne mais avec ta bouche.
Allez à genoux et doucement quon voit bien la progression. Je veux que tu lui embrasses le gland, puis que tu lui suces toute la hampe, dessus, dessous, que tu les gobes les couilles aussi et quenfin que tu lui engloutisses toute la queue et que tu la lui pompes jusquà ce quil te décharge au fond de la gorge. Allez vas y ma chienne, Lucie va timmortaliser en gros plan. Applique toi et sans les mains sil te plait »
Je magenouille et rapproche ma bouche de sa queue encore pendante et que je dois aller chercher. Je lui délivre des baisers sur son gland circoncis encore mou, ma langue suit et lèche les contours de son gland, il commence à bander et de plus en plus à mesure que mes lèvres humides coulissent le long de sa verge, dessus, dessous, à droite, à gauche. Je lui bouffe les couilles avec empressement et de temps en temps en bonne chienne bien lubrique qui apprécie sa condition voulue et consentie, je tourne les yeux vers lobjectif de Lucie pour montrer ma dévotion de soumis à ce que je fais qui me ravit.
Enfin son chibre est dur et passablement épais, alors je lengloutis et je le branle avec mes lèvres et laspire autant que je peux. Il est résistant. Il faut bien dix bonnes minutes avant que je sente, que dis je, que je goûte quil va bientôt éjaculer dans ma bouche. Je redouble dardeur quand Germaine me dit: » Attention, nous voulons voir son sperme dans ta bouche, donc quand il aura joui, tu navales pas tant que tu nen a pas reçu lordre, et tu nous montres ta bouche de salope bien pleine. Cest compris » Jopine autant que je peux et lexplosion arrive dans un grognement danimal. Jai du mal à tout garder, du sperme séchappe de mes commissures. Il se retire satisfait en me caressant la tête.
Je suis là, tête relevée, bouche entrouverte à montrer ma soumission à Germaine et Lucie qui nen perdent pas une miette et qui sourient. « Bien tu peux avaler, doucement, déguste et lèche tes babines de chienne et va finir de lui nettoyer la bite de la moindre traces et au passage lape ce qui est tombé parterre ». Le soumis ne se le fait pas dire deux fois il se rapproche et me tend sa pine mollissante à nettoyer. Je mexécute à la perfection, jy prends tellement goût que Germaine marrête avant de faire re-bander son soumis. « Hé là! il en faut pour les autres, la soirée ne fait que commencer. On se calme les chiennes. »
« Ce hors doeuvre ma excité, je mouille de la chatte, voudrais tu y goûter maintenant » dit Germaine en saffalant dans un fauteuil jambes écartées sur les accoudoirs. Je me jette à genoux pour lui bouffer la chatte mais elle me tire par la laisse vers elle. « Tout doux mon chien », dit-elle « continue ma préparation par une léchouille de mes nichons et nen profite pas pour laisser ta queue exciter ma chatte. Chaque chose en son temps. » Japproche mon visage de ses gros seins, au moins du 110 ou déjà les mamelons pointent. Je les lèche, les flatte les aspire et cela semble lui plaire et à moi donc!.
Cest le moment quelle choisit pour demander à Lucie : « Ma belle, change les outils sans des encouragements bien sentis auparavant veux-tu ».
Pendant que je suis occupé à lui sucer les seins contre lesquels Germaine tient fermement ma tête écrasée, Lucie menvoie quelques coups de cravache sur les fesses qui me permette non seulement de ne pas sentir le plug quelle me retire mais surtout dà peine sentir celui quelle mintroduit largement lubrifié sans doute car malgré la dimension hors normes que je devine il sinsinue jusquau fond de moi, il mécartèle et me rempli et pas que les pensées.
« Ne toccupe pas de ton fondement, continue de toccuper de moi ma salope de chienne, tu aimes cela hein? Alors maintenant montre moi ce que tu sais faire. Descend sur ma chatte et mets y moi le feu comme tu ten vantes »
Cest une grosse chatte baveuse que ma langue attaque. Une de celles que je préfère. Bien grosses avec des lèvres bien charnues, pleine de mouille qui permet de glisser de haut en bas, de passer en titillant le clito mais point trop pour faire durer le plaisir. Jaime prendre le temps de comprendre si la propriétaire est clitoridienne ou vaginale ou les 2. Jaime l amener à lextase et à ce quelle me jouisse abondamment sur mon visage en se sachant totalement prise.
Mais prise cest moi qui vais lêtre car je sens au bout de 10 mn de ce régime, un corps qui senlève du mien un autre qui veut y entrer. Germaine a senti mon inquiétude et mencourage à ne pas la laisser baisser de régime et à ne soccuper de ce que jai à faire dimportant pour elle. « Le reste nest que broutille pour linstant » dit-elle.
Lucie a du en effet sagenouiller derrière moi et est en train de faire glisser le gode le long de ma raie de haut en bas, de bas en haut puis elle présente le gland à mon trou et enfin mencule pour de bon. « Lucie, tu y es, pousse lui le gode bien au fond que sa langue puisse rentrer dans ma chatte » sexclame Germaine . Et je sens ce corps qui memplit doucement, le plug avait fait la voie. Germaine appuie sur ma tête en bougeant son bassin et Lucie commence à me pilonner.
Germaine va bientôt exploser et moi aussi. Elle jouit et moi aussi, jéjacule par terre. Je nimaginais pas que cela puisse être aussi bon. Je suis vidé et rempli en même temps.
« Eh bien mon salaud tu as été bon, jai rarement joui comme cela et toi comment te sens tu ? » Alors que Lucie sort le gode de mon cul. « Soumis viens là, lèche moi ce sperme sur le tapis et nettoie ce gode avec ta lange » Le soumis se précipite, heureux, et sexécute avec application. Et pendant ce temps Lucie me remet un plug bien plus large que le premier que mon cul accueille sans problème.
« Le Gode, cétait juste pour faire la voie et te désinhiber. Tu deviendras un vrai enculé heureux quand tu auras été sodomisé par de vraies bites. Mais jai pensé à tout car il faut battre le fer quand il est chaud et pendant que tu toccupais de moi jai donné le feu vert à Lucie pour confirmer le concours dOmar, un mec super monté, tu verras, Il sera là dans quelques minutes rien que pour ton petit cul, tu en as de la chance, toi tu as tiré le bon numéro et Omar cest toi quil va tirer
»
« Tu as été une bonne chienne jusquà maintenant, toutefois tu vas devoir te surpasser avec notre Ami Omar, un beau spécimen comme tu va voir. Tu peux continuer en pute offerte comme tu es ou redevenir un mec, mais toujours totalement soumis à mes ordres, tu garderas en tous cas ton collier de lopette. Tu es quand même venu pour subir et tu y prends goût nest ce pas ?
» "Je confirme » dis-je. « Ô moi juste le corset si vous voulez bien Maîtresse, je conserve les bas, le collier en effet et la laisse. Ce sont les marques de ma soumission acceptée et souhaitée. Ils mobligent à être docilement commandé et abusé. Japprécie. »
On sonne ! Germaine me dit: »va ouvrir et accueille Omar. Fais lui allégeance en te prosternant devant lui en lui présentant ton cul ouvert, il vient pour cela. Tu vas savoir ce que cest dêtre un véritable objet sexuel. Tu vas aimer petite salope, nest ce pas? « Je répondis : »Je pense que oui avec plaisir et envie ».
Omar est un Noir dau moins 1,80 m, très baraqué. Il mimpressionne tout de suite. Je me tourne, lui présente mon cul ouvert avec mes deux mains en lui disant: » Ma Maîtresse vous offre mon cul, faites en ce que bon vous semble, en fait tout mon corps est à vous ». Omar prend la laisse et mentraine dans le salon. « Cest cette petite fiotte que je dois baiser. Va falloir quil y mette du sien. Il ne m excite pas trop » dit Omar en se mettant nu.
Germaine lui répond : » ne tinquiète pas Omar cest une bonne salope qui a manifestement de bonnes dispositions pour le sexe sous toutes ses formes. Il est motivé pour exécuter tes ordres pour le reste de la soirée » .
Omar embrassa Germaine et Lucie qui avait quitté le gode ceinture et dit à ladresse du soumis: « alors cocu ce soir je ne tencule pas, tu regarderas ton copain se faire mettre. Tu ne perd rien pour attendre ».
« Alors, lapprenti, tu en as déjà vu des belles queues comme celle là » en prenant la sienne à pleine main. Une bite dun autre monde pour moi, en érection de presque 30 cm de longueur et de 6 à 7 cm dépaisseur. « Allez vient me la flatter, Lucie qui a connait bien et ladore va ty aider. »
A genoux devant cette montagne Lucie lui prend la bite dans sa main et commence à la lécher puis elle la dirige vers ma bouche. Elle était déjà énorme mais bonne et à tour de rôle nous la suçons, nous la branlons avec Lucie qui, elle même, me la remet en bouche sans cesse.
« Prépare la bien car elle va te défoncer le fion, salope. Tu suces pas mal ça va me plaire de te prendre mais cest toi qui va me le demander, nest ce pas Germaine ?: » Bien sûr , Omar, il va même timplorer de le prendre ».
En effet on était très excité en lui suçant la queue, avec Lucie que jembrassais aussi au passage. Elle mencourageais puis me sussurra: » vas y demande lui de te prendre, cest ton heure.»
« Omar, je toffre mon trou du cul, prend le, fais moi jouir par le cul » « Tu la veux, viens là petite pute, tu la veux vraiment », répondit-il « oui encule moi, je ten prie » Il commença par me titiller les tétons pour mexciter ce qui avait pour effet de me faire bander dur illico. « branle toi devant nous, salope, je veux voir ton abandon total. Tu jutes sur ma queue et tu la lubrifies pour te la mettre plus facilement dans ton petit trou. » « Pendant que je vais te défoncer tu feras minette à Lucie. Viens lucie allonge toi sur la table, ouvre tes cuisses, offre lui ta chatte ». Germaine filme le pour la postérité.
Il ne fallut pas longtemps pour que jéjacule sur sa queue sur laquelle je repartis partout mon sperme avec mes lèvres. Sans ménagement il mentraina vers la table me fit me pencher sur la chatte de Lucie, menfonça les reins pour faire ressortir ma croupe et mécarta les jambes.
Par goût je léchais déjà Lucie et je sentis son gland énorme tenter de forcer le passage dans mon cul. Il mit le temps nécessaire mais dun coup il me défonça et entra complètement en moi. Heureusement que louverture avait été agrandie mais quand même quelle sensation Ce grand noir était planté dans mon cul après que je lavais prié de le faire, je nen revenais pas davoir tant accepté. Jen arrêtais de faire mon office auprès de Lucie qui cependant me rappelait à lordre en menfonçant la tête dans sa chatte. La queue énorme me limait et me faisait tressaillir à chaque coup de boutoir. Cétait énorme et tout à coup je fus rempli dun liquide chaud et abondant en même temps quenivré je jouissais encore moi même dans la bouche du soumis envoyé sous la table opportunément par Germaine et je faisais jouir Lucie qui hurla de plaisir. Omar se retira avec ménagement et menjoignis de lui nettoyer la queue de son sperme et de mes propres sécrétions avec ma langue, ce que je fis avec empressement, appréciant davoir trouvé mon Maître auquel javais déjà envie de moffrir de nouveau.
Germaine était ravie de la soirée. Elle promit de re-convoquer chacun pour une prochaine soirée, dont jallais faire partie « toujours en élève docile » me confia-t-elle.
« Tu es décidément un bon objet sexuel, une vraie salope qui nous convient » me dit-elle.
"De nombreuses facettes sont encore à explorer, des scenarii que tu ne soupçonnes même pas mais pour cela, je te veux désormais comme mon esclave sexuel permanent, exclusif et toujours disponible « dit-elle en me tirant par la laisse près de son visage. « Daccord » ?« Tu acceptes, bien sûr ».
« Où et quand » répondis-je simplement, sûr de moi et plutôt flatté.
« Donc cest clair. Mais pour massurer de ta loyauté, Omar va matérialiser notre accord par une signature comme pour tout contrat. Il est tatoueur !. Cest ton cul qui va servir de parchemin, les termes ne laisseront personne dans lignorance de ta dévotion et de ton appartenance, ce qui massure dune certaine fidélité de ta part ».
Joignant le geste à la parole, il mempoignèrent et me lièrent les quatre membres aux pieds de la table. Ils mimmobilisèrent complètement par un bondage serré de ma taille à la table. Seule ma tête pendante dans le vide pouvait encore se mouvoir.
Pendant quOmar faisait son office avec ses aiguilles sur mes fesses, aidé de lassistante Lucie, Germaine se pencha et me précisa: « jenvisage très prochainement de parfaire ta formation par une soirée pluralité masculine avec des étalons gays de ma connaissance. Tu en seras le clou
Par ailleurs je suis lordonnatrice de soirées exhibition dans des Clubs libertins. Tu deviendras désormais mon faire valoir, acteur principal disponible pour toutes et tous et jai dautres idées encore plus folles à suivre te concernant
Deux heures plus tard, les fesses totalement en feu mais libéré de mes entraves, on mamena me positionner devant une psyché où je découvris en haut et sur toute la largeur de mes fesses, en lettres grasses, rouges, majuscules et au féminin: à gauche SOUMISE, en haut de la raie: DE et sur la fesse de droite: MAITRESSE.
On ne pouvait être plus clair et plus sûr de ma destinée précise, définitive et réservée.
Retournement difficile
à tous points de vue
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