Été 1999, Randonnée Dans Les Pyrénées, 4 Hommes Pour Toi
Nous étions une bande dinséparables post ados, habitant des villes différentes à lannée, nous avions coutume de nous retrouver tous les étés pour des vacances communes.
Cette année cétait rando dans les Pyrénées, 4 journées et trois nuits daération totale de lesprit, de panoramas de folie, et je ne parle pas encore de ton cul !
Seule fille de notre groupe, tu avais du faire ta place, et sans être le moins du monde garçon manqué, tu avais bâti un caractère te mettant à labri de notre machisme groupal.
Aussi étions-nous tous très proches, très unis sans pour autant que la moindre ambiguïté aie jamais eu sa place entre nous.
Toi, Sophie, sirène blonde au visage mutin et au corps plantureux, bien caché néanmoins sous les habits de randonnée, nous, Marc, Benoit, Abdel et moi Paul, 4 garçons globalement pas trop vilains, mais dont au moins lun dentre nous avait une particularité anatomique disons impressionnante (ben oui, le foot, les vestiaires, enfin bref, on savait !), je ne vous dis pas lequel !
Pour notre dernière nuit nous avions atterri dans un de ces refuges plantés au milieu de rien, meublé de 3 lits superposés une place, et en face un lit 2 place, pour les randonneurs en couple certainement.
Dès notre arrivée, les blagues salaces avaient donc fusé, pour déterminer qui étaient les deux personnes qui allaient dormir ensemble :
- « moi jvous préviens, je dors pas avec Benoit, ça fait 6 mois quil est célibataire, trop dangereux ! », mesclaffé-je à la cantonade
- « moi jsuis la seule fille, jai le droit de choisir, cest bien ça ? »
- Abdel : « moi jdors pas avec Marc, je crains les serpents, surtout les anacondas ! »
Cette dernière blague fut accueillie par une espèce de gène collective, Marc faisant les gros yeux à Abdel, tandis que Sophie tirait un grand sourire à Marc, du style « on maurait pas tout dit ? »
Finalement on na pas tranché dans linstant, étant donné quune bagarre de polochon monstre a éclaté, et a eu le mérite de faire fuir les loirs.
La nuit tombant, et la température aussi, on décida de temporairement descendre le matelas 2 places devant la cheminée, et de se faire un feu léger, moins pour la température que pour le plaisir.
En effet, pour la température, il nous restait de cette terrible eau de vie acquise la veille auprès dun berger, et qui avait déjà supprimé tous nos problèmes de gorges, en supprimant également celles-ci !
Nous lattaquions donc avec entrain, et au fur et à mesure notre esprit masculin se libérait, on se racontait des aventures vécues ou pas, portions des appréciations grivoises sur certaines de nos connaissances, Sophie riant aux éclats si elle ne participait pas activement à labaissement du niveau intellectuel
Au bout dun moment elle nous interpelle :
- « pour de bon les gars, vous en êtes encore là ? Mais savez-vous vraiment ce qui fait rêver les femmes, ou vous préparez vous à désespérer vos compagnes à vie ? »
Devant cette attaque, autant sournoise quinattendue, nous tentions de nous défendre, expliquant quon réservait nos talents plus romantiques pour des occasions plus propices, finissant par traquer Sophie du coup :
- « ben dis-nous, toi, ne nous laisse pas mourir idiots ! »
Silence, il qui brille, langue qui humidifie ses lèvres
- « moi, mon kif, ce serait de faire ça avec une fille
»
Boulet de canon, déclenchement dérections pour linstant discrètes !
Devant notre absence de réactions, un peu médusés en vérité de cet aveu subit, elle nous relance :
- « oh, ça va, ne me dites pas que vous ne vous êtes jamais matés sous les douches, je suis sure que vous vous êtes mêmes mesurés, et pourquoi pas
»
Alors là non : indignation :
- « mais pour qui tu nous prends, on nest pas homos, tu prends tes fantasmes pour des réalités, etc
»
Bon il est vrai quavec Benoit nous avions à lépoque fait exactement ce quelle suggérait, rien de vraiment bien engageant, mais on sétait quand même masturbés mutuellement dans les douches de linternat
- « Ah bon, jaurais cru
» répond-elle faussement ingénue, « parce que moi jai essayé avec Léa, on nest pas allées jusquau bout, mais jen garde un souvenir
ému » dit-elle, les yeux dans le vague.
Léa, non, pas cette bombe !
Lespèce davion de chasse qui avait fait partie très brièvement de notre bande quelques années plus tôt, avant de changer de région : une magnifique rousse aux yeux verts, qui dégageait une sensualité à faire bander une momie !
Nos mentons à tous ont chuté de 20 cm, tandis que dautres parties de notre corps montaient elles dà peu près autant (sauf pour Marc qui, enfin vous voyez
)
- « raconte ! », dis-je
- « oh, cétait pas grand-chose, une aprème de révision chez elle pour le bac, on avait un peu chaud et on sétait mis en tenue légère sans mauvaises pensées
A un moment jétais sur le ventre, appuyé sur mes bras avec mon bouquin devant, elle est passée derrière moi pour soit disant choper un truc et ma fait sauter mon soutif avec une dextérité, cétait lhallu, avant de se remettre devant moi qui navais pas eu le temps de calculer ce qui sétait passé
»
- «
et ? », Marc, langue touchant presque le sol !
- « ben après je me suis vengée, puis tu vois le genre, on sest un peu débattues, frôlées, et on a fini par sembrasser, dabord doucement, puis tout est allé très vite, on a fini seins contre seins à se rouler des galoches, cétait
.mortel ! »
A ce moment là, la tension est devenue palpable dans le gîte, Sophie, dos au feu, illuminée par sa lumière, nous dévisage un par un sourire aux lèvres, qui sommes assis en demi-cercle autour delle, éclairés en plein.
Enfin quand je dis dévisage, cest une formule : elle a le regard droit sur nos braguettes toutes gonflées !
Complètement pris dans son récit et sa manière de nous le livrer, aucun dentre nous na pris garde à lérection grandissante dans son pantalon et donc conséquemment personne ne la cachée !
Nous avons simplement lair de 4 couillons, bandant comme des cerfs dans leurs futs devant cette nana qui nous a clairement aguichés sans que nous y prenions garde, et qui jauge nos dimensions en toute tranquillité
Un instant de flottement, nous nous rendons piteusement compte, et elle éclate de rire :
- « cétait pas vrai les gars, cétait juste pour voir votre libido carburer et pour voir comment vous alliez marcher ! Dailleurs vous navez pas vraiment marché, vous auriez plutôt gonflé que ça métonnerait pas ! »
On se regarde tous les 4, comme des crétins, une seule solution pour retrouver notre dignité dhommes bafouée : la force !
Aussi nous emparons-nous à nouveau de nos polochons et lui tombons dessus à bras raccourcis, les polochons étouffant à peine son rire cristallin
Fin du round, Sophie est allongée à moitié sur le matelas, à moitié sur nous, le rouge aux joues du combat quon vient de vivre, et peut-être de lexcitation résiduelle.
Son t-shirt légèrement remonté laisse apparaitre son délicieux petit ventre, nous sommes tous un peu débraillés en vérité.
- « pour de vrai, tas déjà fait ou pas ? » demande Marc qui décidément nen peut plus
- « Désolé pour votre fantasme les gars, jaime trop les mecs pour ça
jaime me sentir protégée dans des bras puissants » dit-elle en se calant encore un peu plus au fond des miens, « jaime les odeurs dhomme, autant les corps de femmes me dégoutent, autant ceux des hommes mexcitent »
Nous refaisons tourner la gnôle doucement
- « cest quoi ton vrai fantasme alors ? » demande Abdel ?
- « Je ne sais pas si je peux
»
- « Allez, vas-y, tas bien grillé le nôtre ! »
- «
»
- « Sophie, Sophie, Sophie !! »
- « Je voudrais faire lamour avec plusieurs mecs
, en fait je sais pas si je voudrais faire lamour, jaimerais voir plusieurs mec en érection devant moi, jaimerais voir leur désir pour moi, jaimerais les voir se caresser pour moi
»
Cette fois une chape de plomb tombe sur nous, tout le monde commence à comprendre ce qui va se passer
Abdel le premier se lève et, enlevant son t-shirt, dit :
- « vous avez entendu les gars ? On ne refuse pas les souhaits dune dame, surtout après quelle nous ait pigeonné comme tout à lheure ! », on sent quil a envie de prendre sa revanche
- « Vos désirs sont des ordres ! », lance Benoit enlevant lui aussi son t-shirt tandis quAbdel en est au pantalon.
Soudain, Sophie semble se rendre compte et se redresse, mains devant la bouche, face aux deux garçons qui ont lancé les hostilités.
Du coup, je me lève, entrainant marc qui a lair dhésiter :
- « on aura besoin de ta lance pour éteindre le feu ! », avec un clin dil
- « Ok »
Et en moins de temps quil nen faut pour le dire, nous voilà tous les 4 en caleçon devant Sophie dont les joues sont à nouveau des plus rouges : la gnôle, la chaleur du feu ou bien ?
- « les gars, je suis pas sur que ce soit bien malin, on est potes après tout, non, est-ce que ça va pas briser notre amitié ? », questionnedefille-t-elle
- « Ce qui pourrait briser notre amitié, cest de ne pas aller jusquau bout de ce moment magique », déclare Abdel très entreprenant décidément, « allez les gars, demi-tour ! »
Nous tournons alors tous le dos à Sophie, et lentement, sur le « tadadadada ! » mode Kim Basinger approprié, descendons lentement nos caleçons.
- « Attention, réalisation dun fantasme en approche », ricane Abdel, « on y va les gars ? »
- « Non, attendez ! » répond Sophie alors que nous percevons un bruit discret derrière nous
- « Alors on flippe ? » reprend Abdel de plus belle
- « Non, cest bon, vous pouvez y aller » répond Sophie
Alors dun beau mouvement coordonné, nous ne retournons tous vers elle, certains de la choquer, espérant lexciter, heureux de sexhiber ainsi en tous cas à sa « demande »
Et là, stupeur, alors que nos débuts dérection pointent droit devant nous, nous découvrons au bout de ceux-ci Sophie, nue, mains derrière le dos, lil plus brillant que jamais.
Elle a beau être notre pote, ses seins tendus de désir vers nous, ses hanches pleines et son cul quon devine ferme et rebondi nous désarçonnent complètement
- « Merci les gars, vous ne le regretterez pas », dit-elle en se mettant à genoux sur le matelas tandis que nous nous approchons delle
La suite dans vos imaginations, nhésitez pas à men proposer, je vous dirai si cest la bonne !
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