Chien Et Chat

Depuis toujours j'ai des relations tendues avec ma cousine Berthe. je ne sais pourquoi, mais dès que nous sommes ensemble il se passe quelque chose entre nous: le ton monte jusqu'à ce que nous nous séparions sur le même constat: nous nous haïssons à mort.
Jusqu'au jour, où, pendant des vacances chez notre grand mère les relations sont devenues différentes. Pendant l'heure de la sieste je restais dans ma chambre en lisant un polar. Pour satisfaire un petit besoin naturel je passe devant la chambre de ma cousine Berthe: la porte est entr'ouverte. Je ne peux pas voir ce qui s'y passe, et à dire vrai je m'en fout totalement. En revenant je remarque que Berthe sur son lit est nue et une main est entre ses jambes: elle se masturbe. Comme tous les hommes, j'aime voir les filles se donner du plaisir. J'ouvre un peu plus la porte et je la regarde bien: j'en bande aussitôt. Je suis sur le point de ma branler quand elle ouvre les yeux, me voit et d'un clin d'oeil elle me fait rentrer et me demande de fermer la porte. J'examine son physique qui n'a rien de désagréable: elle est bien fichue,: belle poitrine pointue, belles hanches et belles jambes. Je ne parle pas de son pubis que je ne vois pas: elle a sa main dessus. Je rentre donc et vais
m'asseoir sur le lit, juste à coté d'elle. Elle reprend sa masturbation et voit très bien ma bite en érection sous mon pantalon. Elle continue sa branlette et pose l'autre main sur la queue.
Finalement je n'y tiens plus, je me mets nu moi aussi. Je me penche pour l'embrasser sur la bouche: mon baiser doit lui faire de l'effet: d'abord elle y répond et ensuite elle jouit. Je lui pose une main sur un sein durci et je le caresse en lui pinçant très légèrement la pointe. Elle se cabre et m'en demande davantage. Je ne sais
trop par quoi commencer: j'opte pour la sucer. Je me mets tête bêche pour être à la hauteur de son con. Elle ouvre les jambes en grand et me facilite la recherche de son bouton.

Il est assez gros, plus gros en tout cas de la moyenne. Je le prends entre mes lèvres et l'aspire pour en caresser le bout, dans ma bouche avec ma langue: elle frémit sans arrêt jusqu'au moment où elle murmure: je jouis...
A son tour elle me prend ma pine dans la bouche et avale mon mandrin. Elle suce formidablement bien. Nous faisons un 69 comme j'en ai rarement pratiqué. Bien sur je jouis mais je ne l'en avertis pas: j'ai la bouche très occupée avec son clitoris. Elle jouis à ce moment là, juste pendant que mon sperme se répand dans sa bouche. Je pense qu'elle va cracher, mais non elle laisse un moment mon sperme dans sa bouche et l'avale lentement.
Quand je reviens contre elle nous échangeons encore un ardent baiser: nous retrouvons le goût de nos sexe dans la bouche de l'autre. Nous restons sans mot dire un bon moment.
Elle se décide à prendre ma queue dans sa main et me fait bander: baises moi, s'il te plais. Comme si je n'en avais pas envie. Je me pose sur elle: elle écarte les cuisses et guide ma bite vers sa vulve. J'y rentre très facilement: elle est complètement mouillée. Elle commence à gémir et murmure qu'elle se régale de m'avoir en elle. Elle jouit deux ou trois fois. Je lui propose une sodomie. Elle aime. elle se met en levrette et se mouille bien la rondelle avec sa cyprine. Je trouve vite l'entrée de son cul et j'y fourre ma queue. Elle gémit encore et cette fois elle jouit bruyamment en criant presque je jouiiiiiiiiiiiiiiiis. A mon tour je
lui rempli le cul de sperme.
Nous arrêtons notre baise. Je l'invite à venir ce soir dans ma chambre. Elle accepte bien volontiers en disant qu'à partir de demain nous ne serons plus chien et chat. Le soir elle arrive nue chez moi: elle ne demande rien: elle impose. elle mène le bal. Ce soir je suis simplement son godemiché: je dois la faire jouir c'est tout. Ce n'est plus ma cousine, c'est un volcan que j'ai un peu de mal à suivre quand elle demande que je lui donne une fessée juste avant de demander de l'enculer. Elle veut être soumise par le sexe et donc me demande de lui faire des chose que je n'aurais jamais osé lui demander: lui mordre les
lèvres du sexe, lui faire mal en lui prenant les seins, où pire, lui pisser dessus. Là j'arrête n'ayant pas envie de me livrer à ce genre de jeux que je trouve dégradant. Elle est déçue et ne m'en veut pas du tout. Alors elle se branle encore devant moi, cette fois avec une serviette de toilette: elle s'en rentre une bonne partie dans le con. Je regarde avec
excitation, le linge va et vient en elle: la serviette bien dans son con fait qu'elle se branle à la fois le con, le clitoris et le cul. Je me mets à genoux entre ses jambes et je me branle aussi. Nous nous regardons l'un l'autre et en sommes très excités. Je jouis sur elle: c'est le moment où elle même jouit.
Nous nous voyons souvent pour baiser uniquement.