Ma Belle-Soeur

Mon frère va se marier. On pourrait croire que c’est une bonne chose, sauf qu’il y a un problème. Je désir follement coucher avec cette femme. Elle m’obsède depuis le jour où Tyler est venu nous la présenter. Son beau 95D bien rond, ses fesses qui semblent fermes et musclées, son beau visage et sa bouche pulpeuse qui semblent faite pour lécher mes seins et mon sexe. Je fantasme souvent sur elle la nuit et me caresse avec passion en imaginant que c’est ses doigts qui courent sur mon corps. Mais la soirée de fiançailles arrive, me coupant tout espoir. Il y a beaucoup de monde, peut-être deux-cent personnes. Et encore, il n’y a pas la moitié des personnes invitées pour la cérémonie du mariage. A mon grand malheur, je suis à la table des mariés et je suis e de les regarder se faire des papouilles tout le long du repas. Dégoutée, je me lève au milieu du plat de résistance pour aller aux toilettes. Il n’y a personne. J’en profite pour me recoiffer et rajouter du glosse sur mes lèvres charnues. On ne sait jamais. Si jamais Lila se rend compte enfin qu’elle aussi me désir, je préfère être parfaite quand elle m’embrasserait. Mais je me reprends très vite. Jamais cette femme parfaite venue d’une grande famille de riches, tout comme nous, ne tromperait son futur mari, et encore moins avec la sœur de celui-ci. C’est à ce moment que je vis le fruit de mes désirs entrer dans les toilettes.
- Pourquoi es-tu partie sans rien dire ? demande-t-elle en me regardant de ses grands yeux verts.
Elle a relevé ses longs cheveux bruns et bouclés en un beau chignon lâche, découvrant son cou délicat qui ne demandait que mes baisers. Quant à sa robe courte, elle est dotée d’un décolleté vertigineux qui me rend folle et est tellement mini, que l’on voit presque son string.
- Je me sentais un peu mal.
- Ça va mieux ? s’inquiéta-t-elle.
Elle s’est rapprochée de moi et pose son regard in sur moi. Sa poitrine est juste en face de mes yeux (elle est grande et porte des talons, je suis de taille moyenne et n’en porte pas).

- Oui, merci, je réponds en reculant pour reprendre mon souffle.
- Tu sais, je n’ai pas l’impression que cela te réjouis beaucoup que je me marie avec Tyler. Je sais que vous êtes très proches tous les deux. Si tu penses que je vais te le piquer, ne t’en fais pas, il m’a toujours dis qu’il t’aimait beaucoup plus que moi, et que s’il avait un choix à faire, ce serait toi parce que tu es sa jumelle, sa moitié et qu’il tient à toi plus que tout.
- Ne t’en fais pas, ça n’a rien à voir avec toi.
- Alors qu’y a-t-il ?
Je ne peux tout de même pas lui dire la raison… Mais si je veux avoir une chance de coucher avec elle avant le mariage, il faut que je me lance.
- Tu me promets de ne pas m’en vouloir si je te le dis ?
- Promis. Moi aussi je tiens beaucoup à toi. Tu es un peu comme ma meilleure amie.
- Alors voilà. Je te désir follement depuis la première fois que je t’ai vue. J’ai bien essayé de t’oublier, mais tu es partout : dans mes rêves, dans ma tête, dans mes pensées… Tu es l’objet même de mes fantasmes. Alors tu comprends, savoir que tu vas te marier et que je n’aurais aucune chance de faire l’amour avec toi avant cela, ni même après, ça me frustre énormément. Je me masturbe tous les soirs en pensant à toi, pareille le matin. Et cela m’est même arrivé au bureau. J’ai envie de toi comme je n’ai jamais eu envi de quelqu’un auparavant. Je suis désolée de te dire cela.
J’ai dit cela en baissant la tête. Je n’ose plus la regarder en face. J’ai peur de voir ce dégoût sur son visage. Mais au lieu de cela, elle se rapproche encore de moi et soulève mon menton. Je rencontre son regard. Elle sourit.
- Tu en as mis du temps.
Alors elle me pousse dans une des cabines de toilette et m’embrasse. Pas un petit baiser d’écolière. Non. Elle m’embrasse passionnément, avec la langue. Une langue délicieusement douce et tendre, qui joue avec la mienne, passe sur mes lèvres et rentre à nouveau dans ma bouche pour en explorer chaque recoin. La surprise passée, j’ose entourer sa taille fine de mes bras. A part sa grandeur, je n’ai pas grand-chose à lui envier. J’ai le même âge qu’elle, 27ans. Brune, comme elle, j’ai les yeux d’un noir profond, de beaux seins (90C), un postérieur dont je peux être fière et je suis svelte comme les mannequins. Ajoutez à cela une souplesse incroyable due à vingt ans de gymnastique rythmique que je pratique encore. Elle passe sa main sur la naissance de mon sein pour remonter jusqu’à ma nuque, qu’elle saisit pour me faire pencher la tête encore plus et m’embrasser plus profondément. C’est si bon de la sentir contre moi, de l’embrasser, de pouvoir goûter à ses lèvres douces.
- Enlève ta robe, m’ordonne-t-elle.
Je ne me le fais pas dire deux fois. A la hâte, je fais passer la robe par-dessus ma tête et la lâche par terre. Je ne porte pas de soutien-gorge. Lila se penche pour prendre mon téton droit dans sa bouche et titille l’autre en le pinçant entre ses doigts fins et froids. Je cris de plaisir. A son tour, elle retire sa robe, puis son string. C’est la première fois que je vois son corps nu. Il est parfait. Elle s’assit sur les toilettes et écarte largement ses jambes, me montrant qu’elle aussi est souple.
- Montre-moi que tu me désires vraiment, et fais moi jouir, me dit-elle avec un ton impatient.
Heureuse comme jamais je n’aurais cru l’être un jour, je m’agenouille devant elle et observe son sexe de plus près. Epilé à la perfection, il ressemble à un mignon petit abricot mur et près à être dégusté. J’écarte les lèvres avec deux de mes doigts et hume le parfum délicat de ce con déjà dégoulinant. Sentant qu’elle s’impatiente et qu’elle veut jouir, je commence à lécher le contour des lèvres, pour qu’elle me désir davantage.
- Oh je t’en prie ! Enfonce ta langue !
- Sois patiente ma chérie, ça va venir, je lui réponds avec un sourire de satisfaction.
- Ça fait si longtemps que j’attends ça !
Je n’en croyais pas mes oreilles.
- C’est… C’est vrai ? je bégaie.
- Oui ! Et maintenant, lèche-moi. Fais de moi ta petite chienne préférée !
Je ne me le fais pas dire de fois. Je me remets à lécher ses contours, en évitant soigneusement de toucher son clitoris et en passant juste à côté. Frustrée au plus haut point, elle att mes cheveux et colle ma bouche à son bouton déjà tout dur. Répondant enfin à sa demande, je l’aspire longuement tout en le caressant du bout de ma langue. Elle crie de plaisir. Je glisse mes mains le long de son ventre jusqu’à ses seins et en en titille les pointes. Je lèche longuement ce petit clitoris qui m’avait attendu si longtemps. Sentant qu’elle est prête, j’introduis un doigt dans son vagin, puis deux, et trois, sans cesser d’aspirer, de lécher, de mordiller son bouton.
- Mets-y toute ta main, possède-moi toute entière ! me prie-t-elle.
J’enfonce un quatrième doigt, pour l’habi, puis ma main entière la pénètre. A mon grand étonnement, elle entre facilement et en entier, jusqu’au poignet. Mon frère en a une si grosse que cela ? Sentir son sexe couvrir ma main toute entière me procure une grande joie. Je commence à bouger à l’intérieur d’elle, ce qui provoque en elle de grand frisson de plaisir.
- Mmh… Oh ouiii ! Plus fort, Lynn ! Plus vite !!! Baise-moi ! Possède-moi !
J’obéis, allant et venant en elle. Quand je ressors, dix minutes plus tard, après qu’elle ait joui, il y a un gros trou d’où s’écoule un liquide blanchâtre que je bois avec gourmandise. C’est le jouis de ma petite Lila. Il a très bon goût. Sucré et salé à la fois. C’est la première fois que j’en bois un de si bon. Je lève la tête vers elle. Elle regarde derrière moi. Inquiète, je me retourner. Je vois alors deux filles, environ dix-sept ans, qui se caressent séparément en nous regardant. Quand elles s’aperçoivent que nous les avons remarquées, elles rougissent et arrêtent.
- Allons, les rassure ma partenaire, n’ayez pas peur. Vous auriez pris plus de plaisir en le faisant à deux.
Sans gêne sur sa nudité, elle sort de la cabine (dont les portes sont restée ouvertes tellement nous étions pressées) et prend une des filles par la main. Les deux sont très jolies. L’une brune aux yeux bleus, l’autre blonde aux yeux verts, elles on toutes deux des corps de femme qui semblent digne de mannequins. Lila avait pris la blonde.
- Occupe-toi de l’autre, ma chérie.
Alors elle déshabille l’adolescente et l’installe sur le bord des toilettes. Puis elle se baisse sur sa petite chatte à la pilosité réduite. Cinq secondes plus tard, on entend de petit gémissement de plaisir venant de la jeune blondinette. Je me retourne. Vers la brune. Elle me regarde timidement. Avec un sourire d’encouragement, je lui prends gentiment la main et l’emmène sur un des fauteuils mis à la disposition des dames. Elle s’assoit et me regarde, ne sachant pas quoi faire.
- Est-ce que tu veux le faire ?
Elle me sourit timidement et me fais oui de la tête.
- As-tu déjà couché avec quelqu’un ?
- Non…
- Je vois. Alors je te promets d’y aller doucement.
Je lui enlève sa petite robe rouge, puis son string et son soutien-gorge. Elle a de joli petit sein haut-perchés. Je commence à lui téter le bout. Sa réaction fut immédiate. Elle gémit de plaisir. J’entends Lila qui va fermer les toilettes à clé. Heureusement, il y en a huit dans le bâtiment, et les autres dames penseront que c’est un petit problème technique. Puis les gémissements de la petite blonde reprennent, m’informant que Lila s’était remise à la tâche. Je trace un sillon jusqu’à son petit sexe qui sort tout juste de la puberté et qui est fraîchement épilé. Il est doux et sent bon. J’introduis ma langue dans son vagin. Sa mouille a bon goût, même s’il n’est pas comparable avec celui de Lila. J’aspire son clitoris tout dur. Elle crie et s’agrippe à mes épaules.
- Je ne vais pas m’enfuir, ne t’inquiète pas, je lui dis en souriant contre son sexe.
- C’est… Trop bon !
- Je sais, et tu n’as pas tout vu.
Aussitôt, j’enfonce un doigt dans sa chatte, tout en léchant goulument son bouton rose. Elle hurle. J’enfonce un deuxième. Elle a mal au début, mais s’habitue très vite et le plaisir reprend le dessus. Au bout de deux minutes, elle jouit dans ma main et dans ma bouche. Je lève les yeux vers elle. Elle a les yeux fermés et son visage rayonne. Je suis fière de moi. Je me redresse et l’embrasse. Ses lèvres s’ouvrent instantanément sous la pression de ma langue. Elle embrasse bien. Elle ose me caresser. Ses mains se promènent fébrilement sur mon ventre, mes seins.
- Tu veux essayer ?
- Oui, je veux vous rendre ce que vous m’avez fait vivre, dit-elle timidement.
Je ris, sous le charme. Nous échangeons de place. J’ouvre mes jambes en grand pour lui facilité la tâche. Je lui explique comment faire et elle se met au travail. Pour une débutante, elle est très douée. Elle lèche d’abord le contour, comme je l’ai fait pour Lila un peu plus tôt. Puis, sous mes indications, elle aspire mon clitoris. Le plaisir se manifeste immédiatement.
- Oui, comme ça, je soupire. C’est bien, continue.
Elle introduit sa langue dans mon sexe et la fait tourner à l’intérieur. Elle l’enfonce aussi loin qu’elle le peut et revient aspirer le clitoris.
- Oui !! Comme ça ! Mmmmmh !!!! Haaannnn !!! C’est trop bon ! Enfonce ta main, maintenant.
Elle me regarde, surprise.
- Je suis une habituée, ne t’inquiète pas.
Elle m’obéit et enfonce sa main. Elle entre facilement. La jeune fille dont je ne connais même pas le nom entame un va-et-vient. Dix minutes plus tard, je jouis. Lila a déjà fini. Elle et sa partenaire nous regarde.
- Je crois que nous pouvons les laisser seule, me dit-elle. Nous les avons bien formées, il faut les laisser se débrouiller seule.
Elle a raison. Je me rhabille et embrasse une dernière fois la jeune fille, en lui glissant dans les mains un bout de papier dans lequel il y a mon numéro et mon adresse. Puis nous sortons, les laissant seules (elles ont déjà commencé). La salle était encore bondée et la musique résonnait. Tyler nous aperçoit et vient vers nous. Il est grand. Nous sommes jumeaux, mais Tyler doit me dépasser d’au moins trois têtes.
- Où étiez-vous ? Je vous ai cherchées partout !
- Nous étions aux toilettes. Lynn avait besoin de consolation.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu as, ma chérie ? me demande-t-il en se penchant devant mon visage pour m’examiner de plus près.
- Elle avait envie de moi.
Je rougis.
- Quoi ?
- Eh oui, ta sœur est lesbienne. J’espère que cela ne te pose pas de problème, je réponds avec, je l’espère, de l’assurance.
- Non, bien sûr que non mais…
- Tyler, interrompt Lila. Ta sœur avait et a toujours envie de moi. Et moi de même. Je t’aime, c’est sûr et je veux me marier avec toi. Mais si tu veux bien, j’aimerai que tu me laisse fréquenter ta sœur également, dans la plus grande discrétion. C’est une femme, et en plus ta sœur. Alors ne vois pas cela comme un adultère, mais plutôt comme une façon différente de prendre du plaisir. Bien sûr, tu passes en premier et je serais toujours là pour toi. D’ailleurs, si tu refuse, je ne le ferais pas. Mais cela feras beaucoup de mal à ta sœur… Et à moi, d’ailleurs. Accepte, je t’en prie. Mon cœur est toujours à toi, c’est juste que mon corps ne le sera qu’à moitié si tu dis oui.
- Mais… Enfin… Oui, pourquoi pas.
Nous lui sautons au cou, toutes les deux. Sous le cou de l’émotion, je l’embrasse très fort sur la bouche, comme quand nous étions petits, avec la langue. Il passe ses bras autour de ma taille et me serre contre lui. Le baiser se prolonge et Lila nous regarde, surprise mais avec une lueur excitée dans les yeux. Tyler adorait me faire cela quand nous étions au lycée. Il crânait devant ses copains, tous fous de moi, et m’embrassait avec la langue en me caressant. Ça avait toujours été ainsi entre nous. Mais ce soir, c’est plus passionné, plus intense. Il n’y a plus personne d’autre au tour de nous. Même Lila a disparu à mes yeux. Il n’y a que Tyler. Et c’est pareil pour lui aussi, je le sens. Quand nos bouches se décollent enfin, nos regards se soudent.
- Lynn, chuchote-t-il… Tu es seule, ce soir, non ? Julia est partie chez son copain pour la nuit, n’est-ce pas ?
- Oui… je réponds encore sous l’effet du baiser.
- Alors viens dormir à la maison. Je pense que Lila en serait très heureuse.
- Avec plaisir.
J’attends la fin de la fête avec impatience…