Duo Torride Au Bord De La Piscine...

Elle était en train d'attr un article dans un rayon du supermarché, sur la pointe des pieds et appuyée à la poignée de son chariot. Il faisait chaud en cette fin d'été et elle était vêtue de sandales plates et d'une robe en coton uni grise, droite et sans manches retenue par deux fines brides sur les épaules. Sa position faisait relever sa robe déjà assez courte haut sur ses cuisses. C'était une femme ronde d’environ 40 ans et son corps dégageait une grande sensualité. Ses cheveux châtains clairs étaient tirés en arrière et attachés en queue de cheval. Elle ne portait aucun bijou à l’exception d’une très fine chaîne en or à sa cheville gauche. Lorsqu’ elle se reposa à plat sur ses pieds et se retourna pour poser son article dans son caddy je pus constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge et sa poitrine opulente gonflait le tissus de sa robe. Je pouvais deviner très distinctement ses tétons au travers de l’étoffe tendue. Ses seins, malgré leur volume imposant ne tombaient absolument pas et je sentis immédiatement mon sexe durcir, excité non seulement par cette vision exquise mais également par le fait très coquin à mon sens qu’elle ne porte pas de sous-vêtements… Du moins c’est ce que je me mis à imaginer et il me fallait savoir si elle portait ou non une petite culotte. Je me mis à la suivre discrètement dans les allées, essayant au gré de ses mouvements de distinguer la trace d’un string ou autre lingerie enveloppant son très joli cul. Aucune trace alors je me dis qu’il semblait logique que, soit à cause de la chaleur, soit par coquinerie elle ait décidé de ne porter aucun sous-vêtement pour aller faire ses courses. Il me fallait absolument le savoir et je ne pouvais pas continuer à la suivre ainsi dans tous les rayons…Il ne me restait donc plus qu’une chose à faire : lui adresser la parole et le lui demander ! Facile à dire mais beaucoup moins à faire surtout lorsque comme moi, malgré mes 48 ans, il ne m’était jamais arrivé auparavant d’être confronté à une telle situation.

Mais ma queue était toujours aussi raide et c’est elle qui me dictait alors ma conduite, ce qui est bien connu chez les hommes… Il fallait que je sache et tant pis si je me ramassais une claque. Elle était arrivée à la caisse et avait déposé les produits sur le tapis. Je profitais qu’elle se penche pour saisir un article en tête de gondole pour en faire de même, tout prêt d’elle. Je lui dis alors doucement : bonjour… elle tourna la tête vers moi et nos regards se croisèrent pour la première fois. Ses yeux gris bleu exprimèrent à la fois un léger étonnement mais surtout une grande douceur alors je lui glissai immédiatement, sans réfléchir : je vous trouve très belle. Elle se redressa, sa poitrine arrogante gonflant sa robe et démarra un rire joyeux et très spontané. Ses seins se balançaient au rythme du rire m’offrant ainsi un magnifique spectacle et mon érection en redoubla d’ardeur. Elle arrêta de rire en s’excusant et en me disant que le compliment était charmant mais qu’elle n’avait pas l’habitude qu’on le lui dise dans ce genre d’endroit… Sa voix était chaude et très douce. Elle me dévisagea alors avec plus d’attention, ses lèvres gourmandes affichant un charmant sourire. La caissière attendait pour encaisser alors elle récupéra ses articles et commença à s’éloigner. Je réglai rapidement mes achats et sortais sur ses talons, admirant encore une fois le balancement somptueux de sa croupe. Elle devait me savoir derrière elle et arrivée sur le parking elle se retourna brusquement et me lança : Vous êtes de passage dans le coin ? Avez-vous le temps que je vous offre un café ? Je répondis par l’affirmative aux deux questions et nous marchâmes jusqu’à sa maison qui était tout près du commerce et j’appris qu’elle se prénommait Sophie et qu’elle passait tout l’été dans cette propriété qu’elle avait hérité de ses parents. C’était une charmante villa de plain pied assez isolée au fond d’une impasse et plantée au milieu d’un jardin très joliment arboré et clos sur les quatre côtés par une épaisse haie de troènes odorants.
Nous contournâmes la maison pour rejoindre la terrasse arrière et une magnifique piscine s’offrit à ma vue. Quel havre de paix !!! Je félicitais Sophie pour ce magnifique endroit qui lui correspondait bien. Elle me remercia et me confirma qu’effectivement c’est elle qui avait choisi l’emplacement et l’essence de chaque plante ou arbre composant son jardin, notamment le très joli albizzia orné des ses fleurs roses et qui dispensait une ombre rafraîchissante sur une partie de la terrasse. Elle me confia aussi avec un sourire espiègle que sa deuxième passion était la cuisine et qu’elle suivait en cela le conseil de sa mère qui lui avait dit lorsqu’elle était jeune femme qu’un homme se tenait par sa queue et par son ventre… Cela déclencha à nouveau un énorme éclat de rire qui eût le même effet qu’au magasin de m’offrir le charmant spectacle de ses seins dansant sous sa robe légère… En terme d’homme continua t’elle, j’en ai tenu un par le ventre pendant 20 ans mais apparemment le sexe avec moi ne le satisfaisait plus puisqu’il m’a plaquée depuis un an pour partir avec une jeunette de 25 ans… Mais c’est la vie soupira t-elle, l’avenir est devant moi et je compte bien en profiter… Nous étions confortablement assis dans des chaises basses à siroter le café que Sophie nous avait préparé, celle-ci balançant nonchalamment sa jambe gauche croisée sur celle de droite et je regardais la fine chaîne danser à sa cheville. Je trouvais le spectacle charmant et je sentais mon sexe durcir à nouveau. J’ai toujours été très attiré par les femmes qui portent de tels bijoux à la cheville. Je trouve cela à la fois très féminin et très coquin. Voir une jolie chaînette danser à la cheville d’une femme qui marche dans la rue est très classe et raffiné d’autant plus si la dame porte des sandales à hauts talons. Il semble que pour certaines femmes ce type de bijoux donne une signification sur leur orientation sexuelle comme le lesbianisme ou le libertinage. Moi je trouve cela tout simplement magnifique sur une peau bronzée surtout si la chaîne est très fine et pas du tout ostentatoire.
Mais si on on se baignait ? lança soudain Sophie. Je lui dis que je ne rêvais que de cela, même si ce n’était qu’un demi mensonge… Je lui faisais remarquer que, hélas, je n’avais pas de maillot. Sophie se leva d’un bond en me disant que cela n’avait aucune importance puisqu’elle se baignait toujours toute nue et joignant le geste à la parole elle attrapa les bas de sa robe de ses deux mains croisées et l’ôta par-dessus tête comme on le fait avec un tee-shirt. J’eus alors la réponse à la question qui me taraudait depuis notre rencontre au supermarché : elle était intégralement nue sous sa robe !!! Avant qu’elle ne plonge dans la piscine, j’eus le temps de découvrir un corps tout en rondeurs au bronzage couleur caramel sans aucune trace de maillot, deux magnifiques seins lourds avec des tétons très saillants au milieu de larges aréoles, un sexe totalement lisse et détail qui me tétanisa, une très fine chaîne en or à la taille qui soulignait parfaitement le galbe de ses hanches généreuses… Elle s’était mise sur le dos et m’invitait à la rejoindre. Je ne suis plus un gamin mais mon sexe était toujours dans une demi érection et j’hésitais à enlever mon bermuda devant elle. Oh et puis après tout… D’un geste qui ne fût pas aussi rapide que je l’aurai souhaité, et les lecteurs masculins qui ont déjà essayé de se déshabiller avec une érection me comprendront, je me mis nu et plongeai à mon tour dans l’eau claire et fraîche ou m’attendait cette splendide naïade. Emergeant de l’eau devant elle je découvris un regard gourmand qui m’enveloppa de sa douceur et Sophie me demanda d’un air mutin si c’est elle qui me mettait dans cet état. Je lui répondis par l’affirmative et je me décidai à lui raconter l’histoire depuis le début au magasin. Alors que je lui parlais, je sentis une main douce envelopper mon sexe et ses doigts se refermer sur ma hampe. Je continuais mon récit en faisant mine de ne pas y prêter attention et Sophie ne quittait pas mon regard de ses jolis yeux bleus alors que ses doigts entamaient une très douce masturbation, emprisonnant tel un fourreau mon sexe tendu, s’attardant parfois sur mon gland totalement décalotté.
Sa bouche vînt se plaquer à la mienne et une langue agile s’insinua entre mes lèvres pour venir à la rencontrer de la mienne et s’y enrouler. Sa bouche était très douce et ce baiser expert. Associé à la douceur de la caresse de mon sexe c’était divin. Se détachant de moi après de très longues secondes, elle me confia qu’elle avait eu quelques réticences à se rendre au magasin ainsi vêtue en imaginant ce que l’on allait penser d’elle mais qu’elle s’était couverte au plus vite à la sortie de la baignade dans sa piscine lorsqu’elle s’était aperçue qu’il lui manquait des ingrédients pour préparer le dîner, sa fille arrivant en vacances pour un mois le soir même… Mais elle me rassura en me disant qu’elle n’arriverait que vers 20h et qu’on avait tout notre temps pour faire plus ample connaissance. Sophie lâcha mon sexe et se hissa des deux bras pour s’asseoir sur le bord de la piscine et me demanda d’un air coquin si j’avais pu imaginer au supermarché qu’elle soit aussi nue sous sa robe. Elle faisait allusion à sa jolie chatte totalement imberbe et me demanda si cela ne me choquait pas. Je me rapprochai d’elle et vînt lui glisser à l’oreille en me hissant à mon tour que j’adorai ça et mes lèvres vinrent à nouveau se joindre aux siennes pour un nouveau baiser fougueux. Je me laissai glisser en lui couvrant la peau de petits baisers et je m’arrêtai sur ses seins, décrivant de petits cercles autour de ses tétons qui durcissaient et que je me mis à téter avec délectation, les aspirant et les mordillant. Ils étaient vraiment longs, d’un rose profond et Sophie gémissait de satisfaction. Ma bouche continua l’exploration de son corps, s’attardant sur son nombril que j’explorai avec la pointe de la langue. La belle continuait à gémir et elle semblait vraiment très tactile et réceptive à mes douces caresses. Repliant mes bras progressivement j’arrivai finalement entre ses jambes qu’elle avait écartées, les pieds posés bien à plat sur le bord et, emprisonnant chacune de ses chevilles dans mes mains, je me mis à lui lécher délicatement sa jolie fente toute rose du bout de ma langue. Son parfum était exquis et je distinguais parfaitement le nectar subtil qui humidifiait sa chatte et qui n’avait rien à voir avec l’eau de la piscine. De sa main droite aux longs doigts manucurés d’un joli vernis rouge carmin elle écarta ses grandes lèvres et de son autre main posée sur ma tête m’invita à la fouiller sans retenue. Je pris beaucoup de plaisir à lapper cette fleur ouverte et enivrante. Je guidai ses doigts pour maintenir hors de son capuchon son clitoris tout rose que je me mis à sucer tel un bonbon. Il était d’une taille impressionnante et se comportait tel un sexe d’homme miniature en érection. C’était divin et ma queue était toujours aussi tendue malgré la fraîcheur de l’eau dans laquelle j’étais toujours immergé. Sophie poussait maintenant de véritables cris de plaisir et cela m’excitait énormément de voir cette si jolie femme se transformer en garce en chaleur. Je continuai à lui lécher son sexe désormais béant, ma langue couvrant par de longs va-et-vient son pubis lisse et si doux, ses lèvres écartées et son petit trou étoilé dans lequel s’insinuait le bout de ma langue qui tirait de ma douce des cris aigus. Ses mains plaquaient de plus en plus fort ma tête sur son sexe et je sentais les ondes de la jouissance approcher par la crispation sporadique de ses doigts dans mes cheveux. Dans un hurlement terrible et animal Sophie jouit longuement sur ma bouche et je recevais cette liqueur chaude tout en sentant les contractions de son vagin sur mes lèvres et ma langue enfouie dans sa moiteur. Elle s’allongea plaquant ses mains sur son ventre qui n’en finissait pas de lui renvoyer les vagues du plaisir qu’elle venait d’obtenir par ce terrible orgasme. Elle resta ainsi allongée de très longues minutes et, étant sorti de l’eau et étendu à ses côtés, je regardais sa respiration retrouver un rythme normal et paisible, ma main jouant avec la chaîne de sa taille. Sophie me regardait paisiblement, ses yeux remplis de reconnaissance et sa main vînt à la rencontre de ma virilité qui s’était un peu assagie après cet évènement torride. Très vite mon érection fût complète et Sophie se mit à genou entre mes cuisses et entreprit tout de suite une magnifique fellation. Sa bouche chaude enveloppait mon sexe tendu en faisant des allers et retours, ses mains posées bien à plat de chaque côté de moi. Sa langue tournoyait autour de mon gland gonflé de plaisir et sa bouche m’avalait alors jusqu’à ce que ses lèvres touchent mon pubis. Jamais une femme ne m’avait englouti de la sorte et j’avais l’impression de sentir le fond de sa gorge avec le bout de mon pieu. C’était divin et j’aurais rester ainsi à me laisser sucer ainsi pendant des heures mais nous ne sommes que des hommes et hélas l’afflux de notre sang ne peut pas rester bloqué ainsi… Sophie vînt alors s’accroupir au dessus de moi et sa main guida mon vit à l’entrée de son sexe qu’elle frotta à plusieurs reprises afin qu’il s’imprègne bien de sa lubrification abondante. D’un seul coup elle s’empala sur ma tige que je regardai disparaître au plus profond d’elle. Elle commença des petits mouvements de son bassin d’avant en arrière et j’avais l’impression que son sexe possédait sa propre vie tant les sensations de palpation interne étaient fortes. Lentement elle se redressa et je pus admirer ma queue trempée de sa mouille sortir tout doucement de cette chatte si accueillante. Puis, mon gland étant hors d’elle, Sophie s’empala à nouveau et entama des va-et-vient avec un rythme de plus en plus endiablé. Je me délectai de ce spectacle si excitant, mes mains pétrissant ses magnifiques seins et mes doigts pinçant ses tétons tendus. Mais je ne voulais pas jouir trop vite alors je me libérai de son emprise et l’invitai à se mettre à quatre pattes. Je présentai mon sexe devant sa bouche et elle recommença à me sucer goulûment. Je me dégageai de sa bouche et venant à genou derrière elle toujours en position de levrette je présentai ma queue à l’entrée de sa chatte, mes mains posées sur ses magnifiques hanches. C’est elle qui fît le mouvement de bassin afin d’avaler mon dard. Je lui laissai imprimer le rythme et elle accéléra ses mouvements, ses fesses venant claquer de plus en plus fort sur mon ventre, mes mains ferment cramponnées à ses hanches, regardant sa chaîne d’or danser à sa taille sous son ventre. Je regardai le décor magnifique qui s’offrait autour de moi. La chaleur de l’été, une piscine dans un très beau jardin et une magnifique salope qui redoublait d’ardeur pour me faire atteindre le septième ciel. Que la vie est parfois belle… Sophie criait de plus en plus fort et je sentais mon plaisir monter au creux de mes reins. Au bout de quelques minutes de ce rythme si trépidant, ma queue labourant sa chatte si gourmande, j’éclatai dans un cri rauque et répandait en elle en longues saccades mon foutre brûlant qui inondait son ventre dans une jouissance incroyable, me donnant un sentiment d’étourdissement proche de l’évanouissement et je compris un peu mieux l’expression « petite mort » qui décrit cet instant. Ma chienne jouit en même temps que moi dans un hurlement, son vagin emprisonnant mon sexe dans des contractions saccadées. Elle s’allongea sur le ventre et moi sur elle et nous demeurâmes de longues minutes ainsi, épuisés mais comblés de ces instants magiques. Sophie était assise à côté de moi lorsque je me réveillai et elle arborait un sourire conquérant. Je m’étais assoupi pendant de longues minutes et elle était restée à me regarder dormir, heureuse que le destin ait permis que nos routes se croisent. Elle me proposa que je reste dans sa maison durant le mois, me disant qu’elle serait ravie de me présenter à sa fille Marie, âgée de 20 ans qui venait passer ses vacances en sa compagnie avant de rejoindre son université en Angleterre. Après quelques objections de principe de ma part je me décidai à accepter et Sophie arbora alors un sourire radieux, battant des mains comme une petite fille, me jurant qu’elle allait bien s’occuper de moi et qu’elle fonçait à ses fourneaux préparer un bon dîner. Me souvenant du début de notre conversation je me dis que ce mois de vacances risquait d’être orgiaque à tous les sens du terme…

La suite bientôt...

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