Une Autre Rencontre
C'était il y a vingt-cing ans. Nous étions en famille sur la plage de la Baule. Nous y venions tous les ans en
septembre dans une maison de famille. Quand nous étions assez bronzé, venait le temps d'y faire des photos et
nous nous y photographions dans toutes sortes d'activités, en train de faire des châteaux de sable pour mon mari ou
de se baigner pour les s.
Il n'y avait pas beaucoup de monde et j'étais restée pour garder nos affaires pendant qu'ils se baignaient quand pas
loin de nous est arrivée une jeune femme tirant un bébé dans une poussette. Elle a planté son parasol et étendu une
serviette puis allongé son bébé dessus avant de retirer ce genre de short à bretelles qui était à la mode à l'époque
ainsi que son T-shirt.
Elle n'avait rien d'autre à l'époque qu'un bas de maillot de bain très mini et j'ai vu sa longue et forte poitrine et ses
aréoles très larges. La femme s'est assise et a pr!s son bébé sur ses genoux et lui a donné le sein.
C'était une scène magnifique et je n'ai pas pu m'empêcher d'empoigner l'appareil pour les photographier. La jeune
femme continuait de donner le sein et je prenais des photos d'eux puis elle a reposé son bébé et a tiré la poussette
sous le parasol et a mis son bébé dedans. Elle était penchée dessus et sa poitrine pendait, magnifique et nos regards
se sont croisés. Je me suis rendue compte que j'étais restée avec l'appareil à la main. La jeune femme est venue vers
moi et son corps magnifique était comme une offrande.
- Bonjour, m'a dit la femme ! Vous m'avez prise en photo, si je ne trompe ?
Elle me souriait et je me suis sentie comme une gamine prise sur le fait. Je n'ai pas nié et je lui ai dit qu'elle était très
belle et à ma grande surprise, elle s'est assise à côté de moi dans le sable.
- Mon mari n'aime pas le nu, a continué la femme ! Il dit que c'est du vice...
Je sentais bien que je ne pouvais qu'avoir confiance en elle et je lui ai parlé de moi et nous, avec mon mari, du fait
que depuis notre mariage nous nous étions photographiés nus dans toutes sortes d'endroits et aussi qu'on faisait du
nudisme.
- J'aimerai bien moi aussi, m'a répondu la femme ! J'en avais fait avec mes cousins et cousines, mais mon mari...
Elle jouait nerveusement avec son alliance.
- Et pour le sexe, m'a-t-elle demandé, il est comment votre mari ?
Elle avait rougi et s'est mise à rire de m'avoir demandé ça. Je lui ai répondu que mon mari était un vrai obsédé, ce
qui n'était pas vraiment exagéré et qu'il avait le cerveau dans les couilles. Ça m'a fait bizarre d'avoir dit ce mot-là
devant elle alors que je ne l'utilisais qu'en faisant l'amour avec mon mari. Il aimait bien les mots crus et moi! aussi
dans ces moments-là quand il disait mes mamelles ou mes loches et moi sa queue ou sa bite.
- Le mien ne m'a plus touché quand je lui ai dit que j'étais enceinte, a continué la jeune femme ! Vous avez fait
l'amour quand vous étiez enceinte ?
Bien sûr que j'avais continué à le faire, d'autant plus que j'en avais toujours envie, lui ai-je répondu !
- Je n'ai pas honte de raconter ça, ai-je continué ! J'avais l'impression d'être une grosse truie tout juste bonne à
baiser ! J'avais toujours envie qu'il me baise !
- Moi aussi, a ajouté la jeune femme ! Plus mon ventre grossissait et plus j'avais envie !
- Vous aviez déjà cette belle poitrine, l'ai-je interrompue ?
- Oh, ces gros seins, je les ai depuis l'adolescence, a continué la femme, je veux dire qu'ils ont grossi depuis, mais
ils étaient déjà là quand j'avais douze ans et les garçons se moquaient de moi et me traitaient de grosse vache !
La jeune femme riait en m'avouant ça. Elle a continué :
- Je n'aurais jamais cru que je finirais par tromper mon mari ! J'avais vraiment trop envie et j'ai fini par céder ! Il était
gentil, prévenant, tout le contraire de ce qu'était devenu mon mari ! J'avais l'impression que mon mari m'en voulait
d'être enceinte et de ne plus être celle qu'il avait épousée.
Elle s'est mise à rire nerveusement.
- J'étais arrêtée depuis une semaine et je revenais de faire mes courses. Mon voisin m'a rattrapé dans l'escalier et
m'a aidé à porter mes paquets. Il habitait déjà dans l'immeuble quand nous étions arrivés et je savais qu'il ne
travaillait que la nuit. Quand il a ouvert sa porte, je l'ai suivi chez lui et quand il m'a dit qu'il avait toujours fantasmé
faire l'amour avec une femme enceinte, je lui ai répondu qu'il ne pourrait pas me faire un autre et nous avons
fait l'amour. J'avais honte et j'ai rabattu ma robe et j'ai traversé le palier et je suis rentrée chez moi. Du coup ce
midi-là, j'ai oublié de manger et j'ai passé l'après-midi recroquevillée dans le fauteuil. J'avais vraiment honte et
quand je me suis relevée, j'ai vu que le sperme du voisin avait taché ma robe et j'ai pris une douche. J'avais vraiment
l'impression de vouloir me laver, comme si j'avais été violée puis je me suis souvenue que j'avais eu un orgasme
quand mon voisin avait joui. J'ai fini par me reprendre et j'ai préparé le dîner mais quand mon mari est rentré, ça a
été comme tous les autres jours. Mon mari s'est installé devant la télé et je suis allée me coucher mais j'ai eu du mal
à dormir parce que j'ai essayé de me souvenir de ce qui venait de se passer avec notre voisin de palier.
La jeune femme s'était arrêtée puis elle s'était levée pour aller voir ce que devenait son bébé.
- Il dort, m'a-t-elle dit avant de se rasseoir à côté de moi et de continuer son récit. J'ai regardé la mer et j'ai vu mon
mari qui faisait l'imbécile avec les s.
- J'ai rêvé que je faisais l'amour, a continué la jeune femme et j'ai dû parler dans mon sommeil parce que mon mari
m'a secoué le bras et m'a demandé si j'allais bien puis il a ajouté : "J'ai l'impression que tu te masturbais !" puis il
s'est retourné et s'est rendormi. Je n'avais plus sommeil. J'ai caressé mon ventre et je me suis touchée et j'ai pensé
que j'avais sans doute joui dans mon sommeil et j'ai repensé à ce que j'avais vu chez mon voisin.
y avait un poster avec une femme nue et enceinte, sur le dos et les reins appuyés sur un petit banc sans doute pour
accen l'arrondi de son ventre. Le genre de photo que j'aurais voulu faire... J'ai ensuite pensé que c'était peut-être
son ex... et que je n'avais jamais vu aucune femme avec ce type. Le lendemain, je ne suis pas sortie, mais le
surlendemain, alors que je remontais avec mes courses, mon voisin a ouvert sa porte quand je suis arrivé sur le
palier et m'a dit que ça lui avait beaucoup plu. "Et vous ? Vous n'avez rien dit, a-t-il ajouté ?" Je lui ai répondu que je
viendrais tout à l'heure ou cet après-midi et il m'a offert de m'aider si j'avais besoin de quelque chose, qu'il pouvait
m'emmener en voiture par exemple pour les...
Elle s'est arrêtée parce qu'elle était sans doute essoufflée puis j'ai croisé son regard :
- J'ai besoin d'en parler, a ajouté la femme ! C'est la vérité et c'est vraiment excitant !
- Il y a combien de temps que vous n'avez pas fait l'amour, lui ai-je demandé ?
- Depuis sa naissance, m'a-t-elle répondu en désignant son bébé d'un mouvement de la tête ! Trois mois ! J'étais
même en train de faire l'amour quand il s'est annoncé !
Elle s'est mise à rire.
- Et votre voisin, il n'a plus envie de vous, lui ai-je demandé ?
- Oh, que si, m'a répondu la jeune femme ! Mais j'ai peur ! Qu'est qu'il se passera si je suis enceinte de lui ?
Je la regardais. Elle s'appuyait sur sa main et le mamelon de son sein droit devait être enfoui dans le sable.
- Je suis allé chez lui et tous les après-midi on a fait l'amour, pendant deux mois, jusqu'à ce que j'accouche...
- Divorcez, lui ai-je conseillé ! Mariez-vous avec votre voisin ! Enfin, il faudrait mieux qu'il déménage et s'éloigne
quelque temps, ai-je insisté ! Vous pourrez toujours prétendre que votre mari vous délaisse ?
- Il faudrait que j'en ai le courage, a continué la femme ! Jusqu'ici, je ne m'étais pas beaucoup compliqué la vie.
mari, c'était aussi mon voisin. J'avais dix-huit ans. Il a demandé ma main à mes parents avant même de m'en parler.
Nous sommes restés fiancés pendant deux ans et comme mes parents voulaient que je me décide et me répétaient
sans arrêt qu'ils désiraient devenir grands-parents, je me suis marié et nous avons emménagé dans cet appartement
! Je ne savais pas ce que c'était que le sexe, à part ce qu'en disaient mes copines. J'avais toujours l'impression
qu'elles se vantaient. Mon mari s'est couché sur moi et quand il s'est relevé, je n'avais rien senti et je me suis
endormie. Quand j'y ai repensé, j'ai trouvé ça ridicule et ça a été comme ça tous les soirs jusqu'à ce que je découvre
l'amour avec mon voisin.
J'avais envie de lui dire que j'aimais sucé le pénis de mon mari et d'en avaler la semence, le masturber entre mes
seins ou dans ma main, voire même me faire sodomiser par lui.
- J'ai toujours eu honte de me masturber, a continué la jeune femme ! Si honte que j'ai toujours préférer oublier que
je le faisais !
Je n'arrivais plus à croiser son regard et j'ai baissé les yeux et j'ai vu sa poitrine magnifique et les poils qui sortaient
de son maillot. Son ventre était encore un peu marqué par les vergetures. Je ne peux pas nier que j'avais toujours eu
des pulsions lesbiennes mais là c'était plutôt l'envie de caresser ce beau corps. J'ai fermé les yeux et puis je les ai
rouverts et sa bouche était là, à vingt centimètres de la mienne parce que la femme s'était encore plus appuyée sur
son bras et penchait vers moi.
- Vous avez déjà fait l'amour avec une femme, m'ont demandé les jolies lèvres charnues ?
Ce n'était pas la femme qui me parlait. Elles ont continué :
- Mon voisin m'a dit que c'était très courant chez les femmes, bien plus courant que chez les hommes !
J'ai relevé mon regard et j'ai vu la jeune femme à nouveau. Elle s'était redressée et continuait :
- Il disait que les femmes ont deux bouches, une en haut et une en bas et qu'elles sont là pour le même usage dans
le sexe !
- C'est un peu ça, lui ai-je répondu !
- Il m'a prise dans la bouche et m'a fait avaler sa semence, a continué la jeune femme ! Au début, j'ai trouvé que ça
avait mauvais goût !
Elle s'est mise à rire et a continué :
- On commençait comme ça tous les jours puis après, il fallait bien qu'il se repose, non ?
J'ai acquescé.
- C'est dommage que les hommes doivent récupérer, a continué la jeune femme ! Parce que nous, on pourrait bien
se faire prendre par un régiment de Sénégalais qu'on pourrait jouir avec chacun d'eux !
Du coup, c'est moi qui ai rougi. Je lui ai demandé si elle espérait vraiment ça.
- Oh, non, pas un régiment, rien qu'une partouze, avec seulement moi et une douzaine d'amants, m'a répliqué la
jeune femme ! Non, un c'est bien, un seul homme qui fait bien l'amour. Ou deux ! Vous savez, quand il m'a
sodomisé, je l'aurais tué mais j'ai fini par ne plus lui en vouloir. De toute façon, il ne me l'a fait qu'une fois ! Ah, si
aussi, il m'a fait l'amour entre les seins et puis aussi, j'aimais bien qu'il s'allonge contre moi et me masturbe en me
répétant que j'aime ça !
Son exaltation l'avait reprise. Elle a continué :
- Il n'arrêtait pas de me traiter de grosse vache mais je ne lui en voulais pas parce que ça m'excitait et puis c'était
quand même vrai ! J'étais comme une grosse vache avec mes gros nichons et mon gros ventre, non ? C'est l'effet
que ça me faisait ! "Une grosse truie à la saillie" qu'il disait ! "Tu jouis, salope !" me disait-il aussi ! Il répétait sans
cesse que c'était ça que je voulais et puis il fallait bien s'arrêter parce qu'il devait partir travailler et je rentrais chez
moi !
- Mais votre mari, ai-je objecté, il ne s'en est jamais aperçu ?
- Non, m'a répondu la femme ! Il ne m'a jamais téléphoné à la maison...
Je me suis demandé comment elle pouvait le savoir mais après tout, si elle avait un téléphone un peu récent, elle
devait bien avoir un répondeur et... Son bébé s'est mis à pleurer et la femme l'a rejoint. J'ai vu mes baigneurs
remonter la plage et bientôt ils étaient assis autour de moi, à se chamailler et à m'envoyer des gouttes d'eau et je
trouve encore étonnant que mon mari ne m'ait pas parlé de cette femme. Ils étaient encore en train de se sécher
quand elle s'est rhabillée. Elle avait pris son T-shirt et l'avait hissé au bout de ses bras pour l'enfiler et sa poitrine
avait décollé de son torse puis elle a disparu et la femme s'est levée pour renfiler son short. J'ai pensé qu'elle avait
tout inversé, le maillot dessous et le short dessus alors que quand elle était arrivée... Enfin, je ne savais plus. Je l'ai
suivie du regard. Elle a tiré la poussette dans le sable, le parasol lui servant comme de canne et puis elle a disparu.
Le lendemain matin, en allant faire les courses, je suis allée porter la bobine à développer sans en en parler à mon
mari. J'avais épuisé les trente-six photos en photographiant cette femme. Je me suis dit que je les lui donnerais.
J'étais quand même émue. Heureusement, c'était une jeune fille qui tenait le comptoir et j'ai fait comme si... Après
tout, ce n'étaient que des photos de vacances. Il faisait mauvais et nous ne sommes pas allés à la plage et du coup,
j'ai fait un câlin l'après-midi, avec mon mari. Il m'a pris en levrette et m'a sodomisée parce que j'avais mes règles et
surtout il m'a répété que "j'aimais ça parce que j'étais une salope !" tout comme m'avait raconté la jeune femme.
- Je suis heureux parce que tu as de beaux nichons, m'a-t-il dit ensuite !
Je me suis étonnée qu'il n'y ait que ça qui comptait pour lui et il m'a récité toute la litanie de ce qu'il aimait en moi
pour se faire pardonner et moi j'ai fini par lui dire que je n'étais pas une putain mais ça n'avait pas d'importance. Je
ne pensais plus qu'aux photos de cette femme. Je les ai récupérées deux jours plus tard. Vu le mauvais temps, nous
avions fini par faire une excursion de l'autre côté de la Loire. J'avais la pochette dans la main et j'ai payé. La fille
n'avait pas bronché en me les donnant. Une fois dehors, je les ai regardées. Que nous, que nous, que nous... Enfin la
jeune femme et je pouvais l'observer sans problème. J'ai traversé l'avenue et je me suis assise sur un muret et j'ai
regardé la douzaine de photos que j'avais faite d'elle. Elle était encore plus belle que ce que j'avais vu ou presque. La
femme était assise et ses seins s'écrasaient sur ses cuisses. Elle refaisait son chignon et ses seins s'étaient écartés
l'un de l'autre. Elle... Je rougissais. J'ai caché la pochette au fond de mon sac et je suis rentrée. Il faudrait, me suis-je
dite, que je les lui donne et j'aurais toujours les négatifs pour en refaire tirer d'autres. Du coup, j'ai mis les photos
dans une enveloppe. Cet après-midi-là, la jeune femme n'est pas venue mais elle est venue sur la plage le jour
suivant et s'est installée à une dizaine de mètres de nous comme si elle voulait nous fuir mais quand j'ai été seule,
j'ai pris les photos et je suis allée la rejoindre.
- Bonjour, lui ai-je fait ! J'ai vos photos !
Elle m'a regardé et j'ai compris qu'elle avait pleuré. Elle avait les paupières toutes rougies.
- Je lui ai téléphoné et il ne veut pas de moi, m'a-t-elle avoué ! C'est bête, non, parce que j'avais décidé de
divorcer...
Je me suis assise à côté d'elle et j'avais une vraie pulsion. Il n'aurait suffi que d'un mot et je l'aurais consolée mais
elle n''a plus rien dit. Je lui ai tendu l'enveloppe et je suis retournée à notre campement. Je l'ai regardée de loin. Elle
a regardé les photos puis les a déchirées en menu morceaux puis elle a pris sa poussette et est partie et je ne l'ai
plus revue cette année-là.
L'année suivante, quelle n'a pas été ma surprise de la voir. Nous descendions sur la plage. Elle était assise à l'ombre
d'un parasol, l' que j'avais vu l'année précédente marchait tant bien que mal en se tenant au poteau du
parasol. La jeune femme avait le gros ventre puis un homme est arrivé près d'elle. Il sortait de l'eau et ils se sont
embrassé longuement sur la bouche et le type en a profité pour glisser sa main sur les seins de sa femme. Elle
n'avait plus d'alliance et j'ai pensé que le type, c'était son ancien voisin.
Ou un autre ?
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