Tatie Sylvie

La soirée bat son plein. Ma femme se libère et danse tour à tour avec ses neveux. Vers 11 heures, je me décide à aller me coucher tandis que Sylvie reste avec les deux ados qui sont loin d’être fatigués. Leur oncle parti, les deux cousins se regardent complices. Jean-Marc, le plus hardi, invite sa tante pour un slow des plus langoureux. Un peu éméchée, Sylvie le laisse l’embrasser dans le cou.
Jérémie les regarde en se caressant la queue par-dessus son jean.
Elle se rend compte que son neveu va un peu loin dans le flirt quand il lui caresse les fesses mais elle a attendu trop longtemps pour protester et l’ado l’embrasse sur la bouche.
- Non Jean-Marc ! arrête !
Elle tente de le repousser mais le deuxième est maintenant de la partie et elle se retrouve prise en sandwich par les deux ados en rut. L’un l’embrasse sur la bouche, étouffant ses protestations, le second lui emprisonne les seins dans ses mains fébriles. Elle gémit, proteste, mais déjà sa jupe est retroussée et ses neveux louchent sur le string minimaliste de Sylvie. Les mains des deux cousins se disputent l’entrecuisse de ma femme. Elle tente de serrer les cuisses pour les dissuader de continuer mais ses tortillements ne font qu’exciter davantage les deux ados.
Ils la poussent sur le clic-clac. Elle est couverte par les deux ados qui la caressent ou plutôt la tripotent partout. La culotte est arrachée sans ménagement…
- Tu es épilée !
- Laisse-moi voir ! putain, la salope !
- Nonnn, laissez-moi ! arrêtez !
Jean-Marc s’allonge contre sa tante et l’embrasse sur la bouche…
- Nonnn !...
Il lui retrousse le corsage et lui caresse ses seins nus. Sylvie persiste :
- Nonnn, arrête mon chéri !...
Elle sent la queue raide de son neveu contre sa cuisse. Malgré ses protestations, cette raideur lui fait envie. Elle prend Jérémie à témoin :
- Jérémie, aide-moi ! dis-lui d’arrêter.
- Bien sur Sylvie…
Et Jérémie déplie le clic-clac pour venir s’allonger de l’autre côté de sa tante.

Tour à tour, les deux cousins embrassent leur tante sur la bouche tout en la pelotant. Le corsage est ouvert, laissant apparaître les petits seins de ma femme. Ils la tètent, la sucent, lui mordillent les bouts de seins. Laissant Jean-Marc embrasser sa tante, Jérémie retire la jupe et embrasse le pubis imberbe.
- On dirait le pubis d’une gamine !...
- Votre oncle aime ça !
- Nous aussi ! pas vrai Jean-Marc ?
- Pour sûr !
Sylvie se détend et laisse ses neveux r d’elle.
Jérémie ouvre son pantalon et le baisse aussitôt avec son slip. Il écarte les cuisses de sa tante et sans ménagent lui introduit sa pine dressée dans son fourreau chaud et humide. Il lime comme un forcené et ne cesse de murmurer « hummm tatie, ma tatie adorée » pour s’exciter encore plus si cela était encore possible.
Jean-Marc la main emprisonnant un sein de ma femme, regarde amusé la queue de son cousin aller et venir dans le vagin de tata Sylvie. Ma femme est pilonnée par Jérémie, caressée, embrassée par Jean-Marc. Elle gémit et enfouit ses doigts dans les cheveux de Jean-Marc.
- Jean-Marc, prends-moi en même temps que Jérémie !
- Comment ?
- Par derrière mon chéri.
- Tu veux dire…
- Oui, entre mes fesses. Ton oncle me l’a jamais fait… il bande trop mou…
Jean-Marc ne se le fait pas dire deux fois et se met à poil.
Sylvie enlace Jérémie et ils se mettent sur le côté. Jean-Marc les rejoint et se colle derrière sa tante. De sa main gauche elle écarte sa fesse pour dégager l’accès à l’anus sans lâcher Jérémie. Mouillé par son foutre, l’anus n’oppose pratiquement pas de résistance au gland de son neveu qui s’enfonce en elle. Les deux cousins vont et vienne en elle. Ils s’embrassent, se touchent, gémissent. L’un après l’autre les ados déchargent dans leur tante. Ils s’effondrent tous les trois sur le clic-clac, ruisselants de sueur, ma femme dégoulinant de sperme.
- Hummm, mes chéris ! venez que je vous nettoie tout ça.
Et passant des paroles aux actes elle att leurs queues et les sucent tour à tour…