Ma Première Anale Entre Filles.

Je m'appelle Patricia, 32 ans, mariée sans s, et sans me vanter, assez jolie.
Mon mari a un poste important dans une grande boîte, ce qui l'oblige à être souvent en déplacement pour de longues durées. Je me retrouve seule et, malgré mes caresses intimes, mes nuits sont de plus en plus longues. J'ai besoin de sexe, et avec toute ma volonté ne parviens pas à me satisfaire en solitaire.
J'ai décidé de prendre un amant. Enfin c'est ce que j'avais prévu au départ. Mais je n'arrivais pas à franchir le pas, à aborder un inconnu pour lui proposer de me baiser. C'est alors que Sandrine m'est apparue, ou plutôt réapparue. Je l'ai connue il y a dix ans. On était étudiantes, en collocation, avec chacune son lit. Après une soirée bien arrosée, on s'est retrouvée dans les mêmes draps, et on a fait l'amour entre filles. Le lendemain j'étais un peu honteuse, mais elle ma persuadée qu'il n'y avait aucun mal à cela, et on a recommencé jusqu'à ne plus s'en passer.
Elle avait un an de plus que moi, et quand elle a fini ses études, il me restait une année à faire. On s'est perdue de vue.
Je repense à elle, j'ai envie d'elle, qui m'a si bien aimée.
Je la retrouve grâce à internet, il me faut oser l'appeler.
Je me masturbe en buvant un apéritif pour m'encourager, et compose son numéro.
Elle décroche et je suis toute tremblante. Mais je n'ai rien à perdre, et l'alcool aidant, je lui dis clairement le but de mon appel, après avoir échangé quelques mots de retrouvailles.
Elle habite près de chez moi, est célibataire, lesbienne à 100%, et très heureuse de mon appel. Elle ne peut malheureusement pas me recevoir en tête en tête, car elle attend une copine avec qui s'envoyer en l'air. Il n'y a que du sexe entre elles, pas de sentiments profonds, et elle me propose de les rejoindre pour une partie à trois.
Je donne mon accord sans réfléchir, poussée par le feu qui brûle en mon ventre.
J'ai son adresse et suis chez elle moins d'une heure plus tard.


Elle referme la porte derrière moi, et je la vois entièrement nue, en toute impudeur. C'est vrai que l'on a été très intimes et qu'elle n'a pas à se gêner d'autant que ma venue n'est pas innocente. Je la regarde, bouche bée. Je me souviens il y a dix ans d'une jolie fille, mince, bien faîte. Aujourd'hui elle est vraiment belle, un peu plus en chair sans être grosse, délicieusement plantureuse, et les démons Lesbos me reprennent. Elle me prend dans ses bras, me donne un chaud baiser, je mouille.
Je la suis dans sa chambre où nous attend sa copine.
Elle nous tourne le dos, à quatre pattes sur le lit, avec un gode planté entre les fesses.
Sandrine la rejoint, sans même me la présenter. Elle se saisit de cette fausse queue, et la ramone tout en m'invitant à me déshabiller. Je ne perds pas une miette du spectacle: après l'avoir bien limée, elle retire le gode, un superbe engin plus gros et plus long que le sexe de mon époux, le seul que j'ai jamais connu. Elle le suce, penche la tête en arrière, et l'enfonce jusque dans sa gorge. Puis elle le ressort et lèche le cul de sa partenaire. Un cul ouvert comme pas possible et dans lequel elle enfouit sa langue. Je ne peux détacher mon regard, suis partagée entre dégoût et désir, mais à sentir ma petite chatte dégouliner c'est sûr que le désir l'emporte.
Je suis nue et les rejoint. Mon amie me demande de la remplacer, et en profite pour me couvrir de caresses et de baisers. Je prends un malin plaisir à sodomiser ce cul magnifique et inconnu, à sucer cette bite, à fourrer ma langue dans ce petit trou accueillant. Je me fais l'effet d'une salope, perverse et vicieuse, et ça m'excite encore plus.
Tandis que l'on continue à s'occuper de sa copine, Sandrine me propose de prendre sa place. Je lui confie alors que je suis analement pucelle, que mon petit œillet est vierge de la moindre insertion. Mon mari n'a jamais insisté, à part quand il avait un peu bu, et j'ai toujours refusé, effrayée à l'idée de son gros sexe qui me défonce.
Alors cet engin, non merci.
Elle ne s'avoue pas vaincue, et comme il y a dix ans, elle se surpasse de charme et de persuasion, pour me mettre dans sa poche et faire de moi ce qu'elle veut. Il y a dix ans on ne pensait qu'à nos chatounettes, et l'idée d'un autre orifice ne nous effleurait pas. Depuis elle a connu quantité de filles, dont certaines l'ont initiée au plaisir anal. Elle me jure qu'il n'y a rien de meilleur, et me conseille fermement d'essayer. Mais avant elle veut me démontrer que nos rondelles sont élastiques, et peuvent prendre des sexes encore plus larges. Elle glisse quatre doigt, les deux index et les deux majeurs, dans le conduit anal dont on a pas encore fini de s'occuper, et élargit ce trou à vu d'œil. Elle veut que j'en fasse autant, me disant de ne pas hésiter à forcer, que ce n'est une chienne lubrique qui ne demande qu'à en prendre plein le cul. Je ne suis même pas choquée du langage, je suis à fonds dans le jeu, et je l'ouvre à l'extrême. J'ai encore mes doigts en elle, Sandrine enfouit le gode au milieu sans le moindre effort, et me demande les faire aller et venir en évitant de les retirer.
Notre "chienne" gémit, m'encourage à continuer, jouit à n'en plus finir.
On stoppe enfin, et Sandrine s'installe pour subir le même traitement. Je vais enfin voir mon inconnue. Elle se présente, Corinne, elle a dans les 25 ans, très mignonne, et m'embrasse à pleine bouche pour me remercier de ma participation.
On refait la séance, presque à l'identique, sauf que je mets plus d'ardeur, que je prends encore plus de plaisir, excitée sans doute à l'idée que ce soit ensuite mon tour.
Je suis à quatre pattes, mon cul offert pour la première fois, et j'attends impatiente, sans inquiétude. Elles m'ont promis d'être très douces, et d'arrêter au moindre signe de ma part. Mais je sais déjà, après avoir vu le plaisir qu'elles ont pris, que j'irais au bout. Je n'aurais jamais imaginé prendre autant mon pied rien qu'à me faire lécher et fouiller de leurs langues expertes.
J'espère leur avoir apporté autant de bonheur avec la mienne inexpérimentée. Elle m'ouvre en douceur, un doigt, puis deux, trois.......... Je suis un peu contractée, et à force de patience, de caresses digitales et buccales, de mots gentils et rassurants, je finis par me détendre. Et pour me rassurer davantage c'est Sandrine qui va me dépuceler. Elle se saisit du gode, et m'informe de l'avancée, centimètre par centimètre. Elles ont salivé à flots dans mon petit trou et sur cette bite que j'espère. Je la sens me pénétrer et je serre les dents, plus de crainte que de mal. Le gland est passé, elle fait une pose, me disant que le reste n'est qu'une formalité. Je me relâche entièrement, soulagée de la bonne nouvelle. Je donne le départ pour la suite, et je sens avec délice ce gros manche souple envahir mes entrailles. Lentement il glisse en moi, frotte mon conduit encore étroit, va et vient, et je nage dans le bonheur. Corinne la relaie avec autant de délicatesse, mais à aucun moment, ni l'une ni l'autre ne le retire. C'est ma première fois, et elle craignent que des entrées et sorties comme elles se le font, soient douloureuses, et me dégoûte de l'insertion anale.
Elle me lime gentiment puis retire le joujou avec précaution.
C'est ma meilleure baise, je mouille de partout, et je remercie les filles par de chauds baisers.
Nos jolis minous tout rasés dégoulinent, et on se couche sur le large lit, en triangle, pour un 69 à trois.
La séance est terminée.
Corinne rentre chez elle, et Sandrine m'invite à passer la nuit avec elle. C'est le week-end, on ne travaille pas le lendemain, et tant pis (ou tant mieux) si on passe une nuit blanche.
Maintenant que l'on s'est retrouvées, j'espère que l'on va se voir le plus souvent possible, pour de bons plans, à deux, à trois, ou plus;)
Je ne suis plus pucelle, je suis une petite enculée, heureuse de l'être. A bientôt peut-être.

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