L'Abandon D'Une Femme Amoureuse Pour Un Jeune Collègue Devant Son Mari

Le collègue amoureux 1

Chantal avait invité un collègue de sa boite. Divorcé, jeune, seul, sympa. Visiblement amoureux en secret de Chantal d'après moi. Elle avait tenu à lui faire fête et à cet effet elle m'avait demandé de faire bon vin et bonne chère. De son côté elle avait fait l'effort de toilette : une jupe noire plissée avec une large ceinture jaune en cuir, un chemisier bleu France un peu transparent avec des poches au niveau des seins pour la respectabilité. On devinait dessous un soutien gorge noir emprisonnant une poitrine bien dessinée. En un mot, ma femme avait envie de plaire et cela me surprit un peu en me comblant d'aise néanmoins. Elle d'ordinaire si réservée et si peu enclin à se montrer, elle était ce soir classe et sexy en même temps
Le repas est bien arrosé et joyeux. On est gais tous les trois. Au salon pour les digestifs, la conversation passe sur la beauté des femmes, sur la féminité. Chantal prétend la féminité est une valeur intérieure. Pas besoin de montrer ses seins ou son cul pour être séduisante et sexy. Une femme qui s'exhibe est vulgaire et perd sa personnalité pour devenir un symbole sans âme. On n’est pas d'accord bien sûr. Notre invité avoue qu'une femme habillée de façon provocante garde sa classe si cette classe est en elle intrinsèquement. La séduction comme la vulgarité ne se forcent pas elles sont dans la personnalité de l'être. Une femme habillée sexy donne envie d'être déshabillée. Chantal s'emballe pour se faire entendre, elle a fort à faire devant ces deux hommes sexistes. Le débat s'anime, elle s'acharne. Elle provoque avec des mots et à cours d'arguments, elle passe à l'action.
Elle est assise, enfoncée dans un fauteuil face à nous. Elle est un peu saoule bien sûr et soudain elle se redresse et défait deux boutons de son chemisier pour nous montrer son soutien gorge, remonte sa jupe en haut des cuisses et veut nous prouver qu'elle apparaît pute ainsi exposée.
Un silence tombe dans le salon, les yeux de son collègue sont posés et rivés sur l'entrejambe ainsi dévoilé.

Chantal ne se rend pas compte de la situation et de l'effet qu'elle nous fait, superbe ainsi dévoilée.
Notre invité est le premier à se ressaisir pour lui confirmer qu'elle est toujours aussi classe ainsi. Elle insiste, je me fais discret tant je suis ébahis du comportement de mon épouse devant cet homme qui visiblement la dévore des yeux. Elle s'énerve, se lève et part dans notre chambre voisine. Quand elle revient elle porte toujours son chemisier mais cette fois on peut voir nettement qu'elle a ôté son soutien gorge, tandis que ses jambes apparaissent gainé de bas noirs.
La tension monte, je croise le regard de notre invité qui ne sait plus quelle contenance prendre. Je le rassure d'un sourire. On continue, jusqu'où ira-t-elle ? Le regard de Chantal est provoquant, sûr de lui. Elle est la maîtresse du jeu et elle le sait.
Quand elle se laisse tomber sur le coussin bas du salon, elle relève volontairement sa jupe pour découvrir le haut des bas, là où la peau blanche tranche brutalement avec la couleur noire du bas. Nos yeux sont rivés dans cet entre-jambe où l'espace d'une fraction de seconde apparaît le triangle noir de son pubis. Elle a ôté également sa culotte !
C'en est trop, on est tous les deux dans un rêve fou et Chantal s'en réjouit tout en feignant d'ignorer l'effet qu'elle produit. Elle sourit et provocante demande si elle est toujours classe ainsi dénudée ? N'est-elle pas vulgaire ?
Et bien non ! Elle reste toujours aussi classe et c'est ce qui la rend encore plus bandante. Agacée elle poursuit et en nous regardant fièrement dans les yeux, elle défait deux autres boutons du chemisier, écarte légèrement les pans du vêtement nous dévoilant en partie sa poitrine. Je suis au bord de l'éjaculation sans me toucher. Moi qui ai toujours eu envie d’exhiber ma femme.
Le collègue est immobile de peur de rompre le charme. Comme on ne bronche toujours pas et pour sûr, elle remonte encore un peu plus sa jupe pour nous exposer les poils noirs de son sexe nu.
Se soulevant, elle dégage la jupe de dessous les fesses pour s’asseoir à même le cuir du coussin. Ainsi dévêtue elle ne nous cache plus rien de son intimité. Mon voisin est tout rouge et ne détache pas ses yeux des jambes et du ventre nu là juste devant, presque à portée de main. On sent qu'il a du mal à se contenir. Elle rit triomphante sûre d'elle même, sûre de son effet. Elle est ravie de nous exciter tout en montrant combien elle est gonflée. Et soudain satisfaite et dégrisée elle se rajuste et prend congé de nous pour regagner sa chambre.
En raccompagnant notre invité qui est devenu mon complice en quelque sorte, je m'arrange pour le placer devant la grande baie vitrée de notre chambre entièrement éclairée.

On parle et je sais que placé de la sorte il a une vue directe sur la chambre et au fond la salle de bain où Chantal est en train de se déshabiller. Le fin rideau qui tapisse la baie vitrée ne cache rien de notre intérieur.
Chantal est dans la salle de bain, on la voit qui se peigne. Elle est déjà en chemise de nuit. C'est un long tee-shirt imprimé qui lui arrive à mi-cuisse. On est là tous les deux, silencieux et complices en train d'épier cette femme qui se couche. Cette femme qui est la mienne.
Quand elle se coiffe, ses bras levés font monter le vêtement découvrant le haut des jambes et par moment on peut apercevoir quelques poils du pubis. Mais on est loin et Chantal est à moitié cachée, mais c'est la situation qui est si excitante : j'exhibe ma femme à ce collègue amoureux d'elle. Elle passe dans la chambre, on est invisibles au dehors dans le noir, elle se couche.
Je raccompagne mon complice à la porte du jardin. Il m'avoue qu'il a apprécié cette soirée très extraordinaire pour lui, combien il a été troublé par la conduite de ma femme. Je lui demande s’il l'a trouve jolie et à son goût ? L'alcool aidant il me raconte qu'il est amoureux d’elle en secret depuis longtemps et qu’il a été excité par le spectacle aussi beau qu’inattendu.

Alors la folie me prend et je lui propose de revenir à notre poste d'observation et que j'allais m'arranger pour lui en montrer d'avantage. Il hésite un court instant, incrédule.
- Vous pourrez ainsi juger de sa classe même complètement nue.
L'excuse est grosse et personne n'est dupe. On retourne et je le laisse sur la terrasse à son poste d'observation. Rentré je joue les amoureux avec mon épouse en la félicitant de cette soirée merveilleuse qu'elle nous avait fait vivre. Je lui raconte que je pense que son collègue est amoureux d'elle et qu'il est tout malade de rentrer alors qu'il aimerait être à ma place. Je la sens flattée et émue mais elle n'ajoute rien.
- Ta classe, ta personnalité lui en imposent et il m'a avoué que tu lui avais fait beaucoup d'effets.
On se couche. Elle dort du côté de la porte fenêtre, à moins d'un mètre de la vitre. La lumière est pleinement allumée, les volets toujours levés. C'est l'idéal. Je la prends dans mes bras, elle tourne le dos à la fenêtre. Je lui caresse lentement le dos et les fesses. Elle ferme les yeux. Il me faut être prudent car elle n'accepte pas de faire l'amour volets ouverts et lumière allumée. On peut nous voir de la rue au bout du jardin. Mais ce soir elle est encore un peut grisée par l’alcool.
Lentement en m'aidant de mes jambes je m'arrange pour faire remonter les draps. On passe dessus. Elle est très excitée et un peu gaie. Elle oublie toute précaution. Je passe une main sous la chemise de nuit et remonte le vêtement pour mettre à la lumière les fesses bien rondes que j'expose ainsi au regard de mon complice. Le sillon qui sépare ses fesses est bien marqué, profond, long et arrondi. Je sens notre voyeur derrière la vitre et je le vois même tant il s'est rapproché pour ne rien manquer du spectacle. J'appuie ma caresse pour écarter les globes blancs des fesses de mon épouse pour exposer son intimité. Le voyeur a porté une main à son sexe et se caresse à la vue de ce sexe offert.
Je bascule sur le dos entraînant Chantal au dessus de moi. Ses jambes s'écartent de part et d'autre de moi, ouvrant son sexe qui se frotte au mien bandé. Je la sens toute mouillée et l'autre doit voir ce détail. Il a sorti son sexe et se masturbe lentement en jouissant du spectacle, silencieux.
Alors pour encore mieux l'ouvrir, je demande à Chantal de se mettre à genoux. Comme elle est bien dans l'axe de la vitre l'autre doit se sentir presque dans le sexe de ma femme. Elle se redresse, passe ses mains dans son dos, se saisit de mon sexe bandé pour se l'introduire dans le ventre en se laissant retomber dessus. Comme la chemise est retombée je la relève pour être sûr que son collègue ne rate rien du sexe perforé dont je sais qu'il est désiré par cet homme amoureux. Il a devant lui ce cul superbe dans lequel s'enfonce ce gland humide de sécrétions. Il doit lui aussi lui faire l'amour en ce moment présent. Je la pénètre brutalement et elle se couche sur moi, toujours à genoux ce qui doit l'ouvrir encore plus à mon sexe et au regard de son amoureux. Pour encore en rajouter, je lui saisis les fesses pour les forcer à s'ouvrir davantage et exposer cet accouplement. Avant de jouir, j'imagine une autre position pour aider mon complice à aimer ma femme par mon intermédiaire. Lui offrir encore plus de son intimité. Je la bascule sur le dos, ses jambes vers la fenêtre pendent au bord du lit. Je me retourne et me dirige vers son ventre entre ses cuisses que j'écarte pour les ouvrir à la vue de son collègue que je vois nettement en train de se masturber derrière la vitre, éclairé par la lumière de la chambre tant il est près. De mes deux mains, j'écarte doucement les grandes lèvres pour exposer le clitoris tout luisant de sécrétions. Chantal est très excitée et cela se devine clairement. De mon index je commence une lente masturbation allant et venant le long des lèvres, introduisant délicatement mon doigt pour le ressortir humide et reprendre le massage du petit bouton de plaisir. Par moments je quitte le sexe pour me diriger vers la raie chaude entre les fesses que j'écarte pour exhiber le petit trou noir que je caresse avant d'y introduire lentement mais avec fermeté mon doigt pour forcer ce passage si étroit et si chaud de mon épouse. Les lèvres sont béantes, toute luisantes. Chantal se trémousse sous les caresses, elle se contorsionne dans tous les sens sous ma caresse. Sa respiration s'accélère et elle me demande de venir en elle. Comme je suis moi aussi au bord de jouir, je me retourne et me précipite pour forcer ce sexe ouvert. Je lui prends ses deux jambes pour les lever bien haut, exposant les fesses et tout en les écartant, ouvrir ce ventre qui m'appelle mais aussi pour l'offrir au regard de l'autre et c'est sans effort que je la pénètre.
Au moment de mon éjaculation, la pensée de nous montrer ainsi à cet inconnu, décuple mon plaisir. Mais j'en veux plus et je quitte le ventre pour me diriger plus bas vers ce tout petit trou que je commence par forcer lentement pour laisser le temps à l'autre de comprendre mon intention. Et quand je sens le plaisir venir je pénètre les reins de mon épouse et l'idée de l'enculer devant son collègue pousse mon plaisir à son paroxysme et l'éjaculation qui s'en suit est interminable en durée et en abondance et c'est le moment que choisit également Chantal pour jouir violemment.
Je pense que le voyeur a dû jouir à son tour, car j'ai juste le temps de deviner plus que de voir une ombre s'éloigner.
(à suivre)
La voir ?

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