Une Soirée Réussie

Une soirée réussie

C'était très bien organisé. J'avais montré mon invitation à la grille et on m'avait laissé rouler jusqu'au vaste parking autour du château, une de ces vastes bâtisses que les bourgeois riches se faisaient construire au dix-neuvième siècle. Il faisait déjà nuit et je n'ai rien vu du jardin. On m'avait bien précisé que je devrais être entièrement nue, ni vêtements ni bijoux et je suis passée au vestiaire. Une soubrette vérifia que Roméo était bien sur la liste, et me désigna un vestiaire.
C'était excitant et bien que je sois un peu inquiète, je suis entrée dans une grande salle. Il y avait des banquettes et des lits répartis un peu partout et surtout des hommes et des femmes. Je les ai observés. Une femme qui était arrivée après moi m'a poussée et est allée dans la mêlée.
On m'avait aussi dit que je ne devais rien refuser, ni partenaire ni... J'ai eu un frisson et à mon tour, je suis entrée dans la mêlée. Il y avait ce type avec son pénis... Il y avait cette femme brune, si belle mais ils étaient tous les deux accaparés mais je n'ai pas pu réfléchir plus longtemps. Un homme avait posé sa main sur ma hanche et m'enfonçait son pénis et pendant qu'il me pénétrait, j'ai croisé le regard d'une jolie femme à la poitrine lourde mais il était sans expression.
On aurait dit une machine à baiser. Je l'ai suivie et elle passait des hommes aux femmes sans arrêt, même pas le temps de finir. Mon assaillant m'avait quitté et une femme m'a attirée à elle et m'a embrassée et quand on s'est décollées, je lui ai demandé comment elle s'appelait. Elle m'a répondu en posant son doigt sur la bouche : "Pas de nom, tu le sais bien ! Pas de suite non plus ! Pas de couple ! Tu es arrivée sans connaître personne et tu repartiras de même !"
La femme s'est mise à jouer avec mes seins et nous nous sommes mises en soixante-neuf mais à peine étais-je allongée sur elle qu'un pénis m'a pénétré l'anus. Le temps que je rouvre les yeux, ils étaient cinq ou six à nous regarder puis j'ai dû emboucher un autre pénis et avaler le sperme que le type à lâché.


Quand on m'a libérée, je voulais, je voulais... Je ne savais plus ce que je voulais. Tout le monde baisait autour de moi et moi je voulais baiser ! Je me suis précipitée sur un couple et je me suis glissé entre eux avant de m'apercevoir que c'était deux hommes qui s'enculaient mais mon intrusion ne les a pas gênés. J'ai été prise en sandwich et prise dans l'anus et le vagin et j'ai eu l'impression qu'une fois encore l'assistance m'a regardée avant de retourner à ses occupations.
J'ai fini par aller aux toilettes parce que je voulais me laver de tout ce sperme dont j'étais couverte et j'allais m'asseoir pour vider ma vessie quand une femme me l'a interdit et m'a dit que ça se faisait dans une autre pièce. J'ai suivi le couloir. C'était un autre genre de spectacle. Des femmes étaient allongées sur le sol et on leur pissait dessus de toutes les façons. J'ai pissé debout sur une rousse qui a cherché à capter mon jet d'urine puis je suis retournée dans le grand salon. Il y avait cette belle femme que j'avais vue au début. Elle restait seule, vautrée sur une des banquettes et les yeux fermés. Je n'ai pu résister et j'ai collé ma bouche sur son sein gauche et tout de suite, la femme a mis sa main sur mon cou pour m'empêcher de m'en aller et m'obliger à continuer et j'étais en train de la téter quand j'ai senti des doigts qui s'enfonçaient dans mon vagin puis ça a été la main toute entière et les doigts qui m'exploraient l'intérieur.
C'était si excitant que j'ai cessé de téter la femme mais elle ne m'a pas relâchée pour autant. J'étais penchée sur elle et elle me triturait la poitrine et me pinçait les mamelons et du coup je lui en ai fait autant. La main qui me pénétrait m'a faite exploser. Quand je me suis retournée, plusieurs hommes éjaculaient sur le visage d'une femme enceinte jusqu'aux yeux.
J'avais besoin de respirer. Je me suis assise dans un coin moins fréquenté que les autres endroits et je me suis contentée de regarder le spectacle même si une femme est venue vers moi pour me le reprocher vu que j'avais promis de participer du début jusqu'à la fin.

C'était hallucinant tous ces corps qui faisaient l'amour et s'accouplaient de toutes les manières. Ces femmes presque toutes épilées complètement et qui s'abandonnaient à leurs plaisirs. Une pendule a sonné les douze coups de minuit et les convives ont commencé à partir. Je suis retournée au charbon et j'ai encore eu plusieurs orgasmes et j'ai vidé plusieurs couilles. Il était une heure du matin quand je suis partie. J'ai récupéré mes vêtements et j'ai signé le registre et la soubrette m'a fait remarquer que j'avais promis de ne rien dire de la soirée avant que je ne sorte et retrouve ma voiture.
J'avais du mal à conduire et je me suis arrêtée au bout de quelques kilomètres pour reprendre mes esprits. J'avais mal partout. Je n'avais jamais participé à ce genre de fête et c'était ma première fois. J'étais venue à Clermont pour visiter un client de mon patron et le soir, comme je n'avais rien d'autre à faire, je suis allée dans un bar. Une femme s'est approchée de moi au comptoir et nous avions discuté. Au début, j'ai cru qu'elle voulait me draguer et j'étais presque certaine que j'allais finir dans son lit mais elle m'a demandé si je voulais vraiment m'amuser. "Appelle ce numéro, m'a-t-elle dit ensuite ! On te demandera ton adresse et puis tu verras si tu veux ! En tout cas, je ne peux que te recommander !"
Quelques semaines plus tard, de retour chez moi, j'ai fait ce numéro. "Tu t'appelleras Roméo, m'a dit une voix de femme !" J'ai donné mon adresse et deux jours plus tard, j'ai reçu les renseignements utiles pour la soirée. C'était en 1995 au fin fond du département de l'Oise.

Le plus drôle, c'est qu'en allant un jour à Senlis pour vérifier les comptes d'une société, je suis tombée sur une des femmes avec qui j'avais fait l'amour lors de cette soirée. C'était bien elle et elle n'a pas semblé me reconnaître, sans doute parce que c'était une habituée de ces partouzes et en fait, c'était la PDG et la propriétaire de cette boîte et c'était la femme à qui j'avais tété la poitrine pendant qu'on me fistait.


FIN

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!