La Copine De Ma Femme
La copine de ma femme
Ma femme que jaime tendrement, un jour m'a dit avoir retrouver une amie de jeunesse et elle aimerait bien me la faire rencontrer.
- Tu sais que cela fait presque dix ans que je ne l'ai pas vue ?
- Et alors ?
- C'était ma meilleure amie, et pourtant. Je l'ai souvent détestée, car elle n'arrêtait pas de me chiper mes petits amis.
- Et bien tu auras toute la journée pour la retrouver, moi je la verrai ce soir, après le bureau. Tu nas rien à craindre avec moi, tu sais que je taime.
Je ny pensais déjà plus. Ma femme avait invité sa meilleure amie denfance à passer une semaine chez nous. Oui c'est vrai, jen avais déjà entendu parler et vue quelques photos mais je ny attachais aucune importance. En rentrant le soir, j'ouvre la porte de notre logement et ne vois pas de suite ma femme mais croise dans le couloir une jolie brune encore inconnue pour moi.
- Je suis Pierre, le mari de Ginette, très heureux de faire votre connaissance.
Je suis surpris, l'amie de ma femme est habillée des plus sexy, et je la dévore des yeux. Elle porte une minijupe de cuir qui moule ses fesses. Ses seins débordent presque de son décolleté. Je devais avoir à peu près la même expression que le loup de Tex Avery, car elle me dit :
- J'espère qu'ils sont à votre goût.
Sa voix est douce. Je suis sous le charme de cette femme, je lève à regret mon regard et lui demande bêtement :
- Quoi donc ?
- Mes seins bien sûr.
La soirée commence bien. Je deviens tout rouge et lui dis en désignant son décolleté profond :
- Je vous prie de me pardonner, mais vous devriez vous attendre à ce genre de regard lorsque vous exposez une si jolie vitrine.
- Ce n'est pas une vitrine, car une vitrine empêche de toucher les objets exposés, alors que vous, vous pouvez les caresser si le cur vous en dit.
Elle sapproche plus prêt de moi, je sens maintenant la chaleur de son corps, son visage est levé vers le mien et elle me tend ses lèvres. Je fais un bon en arrière et lui dit :
- Attendez, vous oubliez que je suis le mari de votre amie.
- C'est une vieille tradition, elle ne vous a pas prévenu ? J'ai couché avec tous ses flirts.
- Et bien les traditions tombent à l'eau un jour ou l'autre, moi je n'ai pas envie de coucher avec vous.
- Menteur !
Il ne me reste que deux solutions pour men sortir. La première est de lenlacer, lembrasser, lui arracher ses vêtements. Je nai jamais désiré une femme comme elle, même pas la mienne. Pourtant je la repousse choisissant courageusement la seconde solution : Oui ! Je prends la fuite. Jentends alors deux éclats de rire qui marrêtent dans ma fuite. Ma femme et ma séductrice sont en train de se moquer de moi.
- Je te l'avais dis que mon Pierre était différent et que tu ne l'aurais pas.
- Oui ! Je dois dire que je suis un peu vexée.
- Pardonne-nous chéri, j'avais parié avec Marie-Christine qu'elle ne parviendrait pas à te séduire.
- Bon, maintenant, je vais ranger ma tenue de vamp !
- Chérie, ce n'est pas des choses à faire.
- Je sais bien mon chéri, mais c'est la première fois que j'ai le dessus sur elle, et c'est à toi que je le dois. Merci mon chéri.
Jaime tendrement ma femme. Je nai aucune envie de la tromper, notre vie simple et tranquille de couple me satisfait entièrement. Je lai quand même échappé belle, si je métais laissé aller, jétais bon pour une scène de ménage. J'embrasse tendrement ma femme, tandis que Marie Christine arrive.
- Me revoilà les tourtereaux, en tenue plus sage.
Marie-Christine porte une longue robe qui ne laisse effectivement aucune nudité au regard. Mais qui la moule si étroitement que cela ne fait guère de différence.
- Chéri je te présente Marie-Christine, vous pouvez vous embrasser, mais que sur les joues, pas de blague je surveille.
Je lembrasse sagement mais la traîtresse est collée contre moi. Mon dieu, toute une semaine avec elle, chez nous comment vais-je pouvoir tenir ? Je la connais que depuis quelque instant et je nai quune envie, coucher avec elle.
Le matin, je suis toujours dans le cirage tant que je nai pas bu mon café. Tout endormi je me dirige dabords dans la salle de bain. Je tâtonne un peu pour saisir mon rasoir quand jentends un clapotis. Zut ! Jai encore oublié de vider la baignoire hier soir. Je me retourne, la baignoire est pleine deau mais il y a aussi la copine de ma femme qui trempe dedans. Je tente den profiter pour me rincer lil mais leau est trop trouble, et ne peu rien voir avec la mousse.
- Pardon Marie-Christine, mais vous avez oublié de verrouiller la porte de la salle de bain.
- Non non je nai rien oublié, je sais que Ginette nest pas très matinale et je tattendais.
- Mattendre mais pourquoi ?
- Pour te montrer ça.
Elle se lève nue devant moi et je sens ma mâchoire se décrocher. Je fixe bouche ouverte ses seins ruisselants
- Tu peux me passer une serviette sil te plaît ?
Je saisis une serviette sans la quitter du regard.
- Tu serais gentil si tu messuyais.
Ma femme est peut-être cachée dans la douche. Alors je reste de marbre.
- Tu peux arrêter ton cinéma, ta nudité me laisse froid, je suis là pour me brosser les dents c'est tout.
- Et tu vas me dire que cest ta brosse à dents que je vois pointer sous ton pyjama ?
Oui bon cest vrai, elle ma mis dans tous mes états, et je bande comme un âne. Et lui dit :
- Cest une simple réaction chez lhomme, il sagit dune érection du matin.
Je me retourne pour me brosser les dents.
- Tient ! Ton érection matinale sest encore développée.
Et elle sen va en éclatant de rire. Je tire le rideau de la douche. Personne. Ma femme n'est pas cachée. Mais je ne regrette pas davoir tenu bon.
Je suis bien réveillé lorsque je prends mon café. Ma femme et sa copine me retrouvent dans la cuisine, habillées du même peignoir, mais celui de Marie-Christine baille. Ma femme membrasse sous le regard attendri de sa copine.
- Pierre, tu sais ce qui serait sympa ? Ce serait de déposer Marie-Christine, elle a rendez-vous sur Paris.
Mes soupçons redoublent, mais jaccepte. Dans la voiture, Marie-Christine ne tient pas en place, elle allonge ses jambes, sétire, se trémousse. Je louche un peu sur ses cuisses, puis sur lentrebâillement de son chemisier. Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein.
- Pierre ! Détend toi, laisses-toi aller, la vie est belle. Je sens ton regard sur moi et cela mexcite.
- Mon regard était machinal, ne prend pas tes rêves pour des réalités.
- Menteur me lance-t-elle.
Elle vient maintenant se coucher contre moi. Sa main se fait baladeuse. Il m'est bien difficile de l'ignorer.
- Marie-Christine s'il te plait, arrête.
Je fais faire un violant écart à la voiture avant den reprendre de justesse le contrôle.
- Voyons Pierre, concentre-toi sur la conduite, nous allons avoir un accident.
Elle se frotte contre moi. Elle est vêtue d'une combinaison qui la moule comme une seconde peau.
Mais elle me ratt, se pend à moi et recommence à se frotter. Elle ouvre le haut de sa combinaison, et me fourre un sein cette fois-ci nu dans la bouche.
- Vas-y lèche le, tu verras, comme c'est bon!
Je ne tiens plus, alors, je lèche la pointe de son sein. Mon autre main va caresser l'autre pour sa plus grande satisfaction.
- Mais que vois-je là, tu as encore ton érection matinale, Pierre, il va falloir faire quelque chose, tu ne peux pas garder ça toute la journée.
Et dun geste très naturel, elle défait ma braguette et en sort mon sexe. Elle se penche, l'avale tout entier puis le suce goulûment. Cest bon ! Je me raidis sous sa caresse. Je me cramponne au volant. Le plaisir monte dans une telle jouissance que jen ai des éblouissements. Je retombe sans force. Je caresse et embrasse sa croupe fabuleuse. Elle se redresse dun air satisfait. Je reprends la route en direction de Paris.
- Bon te voilà soulagé de ton érection du matin Pierre. Si cela te reprend nhésites pas à demander mes services. Tu peux marrêter ici, cest parfait.
Le soir je rentre à la maison un peu inquiet de voir si ma femme a été mise au courant mais je ne détecte aucun nuage sur son visage, ce nétait donc pas un nouveau piège ou alors ma femme est une très bonne comédienne. Pour linstant je suis serein, la vamp Marie-Christine nest pas encore rentrée. Elle napparaît quau souper. Et nous dit en arrivant :
- Bonsoir les amoureux.
Elle sassoit aux cotés de sa copine face à moi. Je sens bientôt un pied nu chercher avec insistance le miens, Ginette ou Marie-Christine ? Petit coup dil sous la table sous un prétexte d'avoir fait tomber ma serviette. Ouf ! Cest ma petite femme chérie. Mais en même temps je peu voir les cuisses de Marie-Christine qui sont bien écartées et elle n'a pas de culotte !
Le repas se poursuit tranquillement en petites caresses du pied, sans que je me pose la question si je joue avec ma femme ou sa copine. Toutes les deux me sourient dun air complice. Mais lorsqu'un pied me touche les testicules jai moment de recul involontaire puis je mabandonne à la caresse. Viens la corvée de vaisselle cest moi qui me propose, ma femme a préparer le repas alors elle prend un peu de repos. Je vois arriver Marie-Christine en renfort qui mannonce :
- Je viens juste pour lessuyer.
Je ne sais pas trop ce quelle veut essuyer, car elle se colle comme le matin dans mon dos, menlace et se frotte à moi doucement. Je reste avec lassiette et léponge dans les mains, électrisé de la sentir dans mon dos. Sa main touche la bosse de mon pantalon.
- Hé Dit moi pierrot, il y a ton érection du matin qui tas repris.
Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter dans mon dos. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire éjaculer. Elle messuie délicatement avec le torchon à vaisselle avant de disparaître. Jai toujours la même assiette et mon éponge, et je suis déculotté un torchon souillé à mes pieds.
Ma femme est dhumeur amoureuse cette nuit mais elle est un peu déçue car malgré son échauffement érotique du dessous de table, elle me trouve un peu mou. Le lendemain, je pénètre un peu inquiet dans la salle de bain. Personne. Jentame le cérémonial du matin, rasage et douche. Un corps nu entre sous ma douche.
- Bonjour Pierre, excuses-moi, je suis en retard alors je fais vite.
Cest Marie-Christine qui se colle à moi, par devant cette fois. Je lembrasse pour la première fois, nos langues se mêlent. Quelques frottis frotta puis je la pénètre en la maintenant fermement contre moi. Je suis tellement excité que jéjacule comme un lapin. Elle senfuie aussitôt et je reste là seul sous la douche, ma queue apaisée.
Et voilà, cette fois cest fait, jai trompé ma femme. Jai même envie de recommencer. Le petit déjeuner à trois se passe sans nuage et comme la veille je conduis lamie de ma femme à Paris. Comme la veille elle sétire sur le siège passager mais le texte a changé.
- Cétait super ce matin Pierre, jaime bien prendre une douche avec toi.
- Moi aussi, Marie-Christine, j'aime bien, moi aussi
- Tu sais Pierre ? Finalement je te préfère avec ton érection du matin
Comme la veille, elle ouvre ma braguette, en extrait mon sexe et commence une fellation denfer. Malgré la séance de la douche, je me sens durcir, je vais
- Stop ! Cest ici que je descends, à ce soir Pierrot.
Elle a appuyé elle même sur le frein, descend et disparaît en me laissant dans un état très embarrassant, le sexe dressé hors de mon pantalon. Je pense à elle toute la journée. Le soir je les retrouve toutes deux.
Ma femme est bien jolie dans sa nouvelle robe dont le décolleté laisse voir ses petits seins menus mais bien fermes. Marie-Christine continue de me troubler dans une robe sous laquelle on devine libres ses gros seins en poire. Mon excitation du matin nest pas retombée et comme je ne trouve pas doccasion de rester seul avec Marie-Christine, cest ma femme qui en profite dans notre chambre. Mais J'ai honte car cest à sa copine que je pense quand je lui fais lamour.
Ma femme sendort émue croyant à un retour de flamme et jai beaucoup de remords. Je narrive pas à dormir, je tourne et retourne dans le lit, mon désir nest toujours pas apaisé. Je descends à la cuisine, il y a déjà de la lumière. Marie-Christine est attablée devant une tranche de pâté. Elle porte une nuisette noire qui ne cache rien.
- Salut Pierre, toi aussi tu as faim, assieds-toi et partage avec moi.
Je reste hésitant devant elle, elle termine posément sa bouchée.
- Je vois, ce nest pas de pâté que tu as faim.
Elle range le reste du pâté au frigo, sessuie la bouche. Elle est debout, devant moi, provocante. Elle me sourie, ses seins palpitent sous la nuisette. Cest moi qui viens à elle pour lenlacer. Je me colle à elle et je lembrasse sur la bouche.
Je descends pour embrasser un sein. Jen lèche le bout jusquà ce quil se redresse, puis passe lautre. Jécarte les pans de son déshabillé à la recherche du clitoris. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre sa chatte. Je la suce avidement.
Elle se laisse glisser sur le sol. Je suis son mouvement tout en lembrassant jusquà la pénétrer dun seul coup. Je reste immobile, enfoncé en elle, nous savourons la sensation de sentir lautre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, de plus en plus vite. Je lentends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces jusquau cri qui nous laisse vidés lun contre lautre.
Nous remontons, me prenant par la main, elle mentraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit.
Elle se déshabille devant moi. Ses seins lourds se dressent. Elle est en nage ce qui rend sa peau luisante. Elle sallonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je lenlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps. Comment est-il possible je suis en train de faire l'amour avec une inconnue, et ma femme est couchée à quelque mètres de notre chambre.
Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Je crois finir épuisé, elle parvient à raviver mon désir. A la fin je mentends même dire des mots, que je laime, que je vais quitter ma femme pour elle. Elle me ferme la bouche dun baiser massurant que je suis le meilleur amant que Ginette ait jamais eut.
Le lendemain je me retrouve dans le lit conjugal sans savoir comment. Je ne me rappelle pas y être revenu. Il doit être tard, ma femme est déjà levée. Trop tard pour prendre une douche avec Marie-Christine. Je trouve Ginette seule dans la cuisine.
- Ben que tarrive-t-il aujourdhui, tu as eu une panne d'oreiller ? Marie-Christine a dû prendre un taxi.
Il est trop tard pour mon café du matin aussi. Jembrasse ma femme et part vite fait pour mon travail. Je pense toute la journée à Marie-Christine et suis pressé de la retrouver. Mais quand je rentre le soir, ma femme me dit :
- Marie-Christine a reçu un appel, elle a dû rentrer en urgence chez elle, elle tembrasse.
Je regarde ma femme les yeux dans le vague. Je pense à cette copine, elle est venue chez nous, elle a tout dévasté dans notre couple puis est reparti. Je suis sur maintenant que je nétais quun jouet pour elle, un défi, une tradition à perpé. (Ce faire les copains des copines)
Est-ce quau contraire le jeu était devenu trop sérieux pour elle aussi et a-t-elle préférée partir pour ne pas faire de mal à sa copine ?
Depuis un bon mois, nous n'avons plus de nouvelles de Marie-Christine, Un soir ma femme me dit :
- Tu sais chéri, Marie-Christine m'a téléphoné, elle m'a remerciée et m'a dit quelle sétait bien plut chez nous, je suis sûre quelle repassera un jour. Elle a aussi lancée une invitation chez elle.
Je me suis calmé et jai réappris à revivre calmement avec ma femme, mais il marrive encore parfois de repenser avec nostalgie à cette copine de ma femme. Alors je lance un appel : Si vous êtes une vielle copine de Ginette, passez la voir un de ces jours, car cela lui ferra plaisir et vous verrez, nous somme très accueillants !
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