La Mystèrieuse Jeune Fille
La mystérieuse jeune fille.
Je n'avais pas eu le temps de me rendre compte que les vacances étaient finies et déjà mon cur se mis à battre rapidement. Elle se tenait en face de moi, au milieu du couloir de la FAC : une petite jupe écossaise, un chemisier blanc et des bottines marron. Ses longs cheveux noirs avaient immédiatement attiré mon regard.
Je semblais planer, elle était parfaite. Sa tenue permettait de contempler ses longues jambes, son décolleté, suggérait une poitrine généreuse sans vulgarité. Léclat de sa peau bronzée parfaitement lisse me fit perdre toute maîtrise, je restais un long moment planté sur place, fixant ma huitième merveille du monde, comme un idiot, la bouche légèrement ouverte.
Soudain, la belle tourna la tête dans ma direction, je n'ai pas eut le temps de faire croire que je regarder autre chose. Et là, surprise, il me semblait quelle m'avait souri. Très étonné, je fermais les yeux un instant et lorsque je les rouvrit, la fille nétait plus là. Je ne la revit pas de la matinée et inutile de préciser que je ne fut guère attentif en cours
Tout laprès-midi, je m'évertuais à revoir ma mystérieuse inconnue. Elle semblait sêtre envolée dans la nature. Je passais le temps en me demandant qui elle était, où elle habitait, quelle était son origine, ce quelle aimait, etc. En fin daprès-midi, alors que je m'interrogeais, je la vis soudain dans le hall de la fac.
Malheureusement, je me trouvais à l'étage et, mon cour, la politique lui avait parue inutile. Je me collais à la fenêtre vue sur le hall. Je la vis encore devant moi, sa chevelure était dégagée. Elle discutait avec une copine. Elle portait un chemisier bleu ainsi quune jupette noire. Elle sétait changée à midi, donc, elle devait habiter dans le quartier. Rapidement, le prof mit fin à mon regard en me donnant du travail à faire.
A peine rentré chez moi, je pris une bonne douche sous laquelle en pensant à mon inconnue, je me masturbais.
Alors que je nétait pas vraiment endormi, je me mit à imaginer une horde de jeunes femmes en tenue légère qui, se présentaient à moi. Pendant que deux brunes se relayaient pour me faire chacune une fellation, une grande blonde remuait son derrière au-dessus de ma bouche. Son souffle et ses cris se faisait rapide elle agitait sa langue.
Lorsquelle me rendit ma liberté, je me jetais sur les deux brunes, elles se livrèrent à toutes sortes de caresses sur moi, infatigable, je résolus de leur faire lamour à toutes. La première qui avait de belles courbes, je lui fis une levrette. La seconde une allure sportive avec un cul bien ferme. Je la sodomisais en lui pressant les seins.
Pendant que je finissais de défoncer le cul superbe qui m'était offert, la blonde qui m'avait chevauché se coucha sur la brune. Elle lembrassa tout en lui caressant les seins. La brune, se laissait faire. Mais lorsquelle sentit la blonde faire glisser sa langue le long de son corps, elle sentit lexcitation monter en elle.
Je venait de finir de me vider les bourses, et me rendit compte du spectacle qui se déroulait devant mes yeux. La brune était sur le dos, la blonde sur la brune. Je me mit à quatre pattes et commença à pénétrer cette dernière. La brune ne tarda pas à me caresser mes testicules, ce qui multiplia mon plaisir. Ensuite, il y eut un grand flou, puis plus rien. J'étais à présent dans son lit. Je me levais machinalement, me doucha, prit mon petit-déjeuner et me rendit à lécole. Quelle nuit ! J'étais complètement knock-out.
En arrivant, personne dans létablissement, qui était pourtant ouvert. Il y avait quelque chose de bizarre dans lair. Sans doute était-il tout simplement trop tôt.
Elle était vraiment exceptionnelle. Je ne réalisais pas ce qui m'arrivait. Je lui ôtais sa culotte et sa chemise. Totalement excité, Je lui arrachais son soutien-gorge avec mes dents tandis quelle me caressait les cheveux et me griffait de son autre main. Soudain, elle se baissa et me descendit mon pantalon. Comprenant ses intentions, je posais mes mains contre la colonne et la laissa me faire la meilleure fellation de ma vie.
Ensuite, elle se releva et me laissa lui relever sa jupe et la prendre par derrière. Elle se mit à respirer rapidement puis à hurler comme une chienne. J'étais au septième ciel. Je lui prit le cou de ma main droite et lui caressa les seins de lautre. Puis, comme elle semblait elle aussi parvenir à lorgasme, je me mouillais les doigts et moccupais de son clitoris. Alors que nos soupirs étaient forts, je me demandais soudain, comment une telle chose était possible, comment cela avait pu m'arriver. Et cest à cet instant que je me réveillais dans mon lit, et comprit, dépité, que je nétais pas au bout de mon travail de séduction si je voulais pouvoir soulever véritablement la jupette écossaise. Tout depuis le début, n'était qu'un rêve !
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