Marie Et Herve (1)

Hervé et Marie 1

Peu après à notre dernière soirée, j’ai eu l’occasion de le revoir seul ; une question nautique l’avait amené à me téléphoner, ce qui m’a surpris car il était aussi féru en voile que moi. Peu importe, je le convie à venir prendre l’apéro pour en discuter.
Coup de sonnette vers 18h, c’est lui, un peu gêné ; il doit avoir en mémoire nos derniers jeux ; je n’en fais pas cas et afin de le mettre à l’aise, le l’embrasse ; c’est la première fois, il est surpris, mais finalement cela le détend. La question bateau est vite réglée et comma je le pensais cela n’était qu’un prétexte ; je le laisse venir et enfin il se découvre. C’est d’abord pour me remercier de lui avoir fait découvrir le plaisir avec un homme, puis petit à petit il me questionne sur ce sujet, cherchant à découvrir plus précisément ce que j’avais abordé l’autre soir. Après lui avoir raconté en détail le hammam, je remarque que sa bosse est de plus en plus visible ; je n’ai pas beaucoup de temps car je dois retrouver Mico chez des amis, mais j’en profite cependant pour le provoquer et sortant ma queue déjà elle aussi en érection, je lui dis :
« Suce-moi » il a un instant d’hésitation j’insiste :
« Si tu veux aller plus loin, il faut que tu m’obéisses »
Je prends des risques car c’est un Monsieur dans la ville et je ne suis pas sur qu’il accepte de subir et j’enfonce le clou :
« Je suis prêt à te faire participer et jouer avec toi, mais il faut que tu acceptes que je sois ton maître comme Marie est la maîtresse de Mico. » Il ne bouge pas et sa réflexion me fait penser que je suis allé trop loin. Puis subitement il se penche vers popaul, qui pendant la discussion a perdu de sa vigueur et maladroitement, il pose ses lèvres sur le gland ; le contact a vite fait de redonner vie à ma bite et c’est maintenant un cierge bien droit qu’il a entre les lèvres.
« je ne sais pas comment faire » je lui prends la tête et en poussant doucement , je lui demande de la mettre au fond de sa gorge ; j’ai fait tomber mon pantalon et lui prenant les mains , je les pose sur mes boules ; il comprends vite et bientôt sa bouche s’active autour de mon sexe ; lui tenant la tête je me branles sur ses lèvres, pendant que sa main me tripode les couilles et que l’autre a investi mon sillon et me caresse l’anneau ; j’ai envie de jouir vite et j’accélère le mouvement, poussant le plus loin possible, et ne me retirant que quand je le sens hoqueter ; c’est moi qui dirige et je veux qu’il comprenne que je suis le maître et qu’il doit encaisser ; je ne tarde pas à jouir et lui bloquant ma queue au fond de sa gorge , je lui déverse mon jus, l’empêchant de se retirer ; il doit avaler ma semence jusqu’au bout ; à bout de souffle, je le laisse s’écarter.


« Prend-moi, j’ai envie de toi « je comprends que j’ai gagné la partie.
« Non, je n’ai pas envie aujourd’hui (ce n’est pas vrai) ; tu vas attendre que je t’appelle et il faut que tu acceptes tout ce que j’ai envie et quand je le veux, sinon j’arrête de jouer ! » je sais que mes propos sont durs mais j’ai envie qu’il souffre. « Es-tu d’accord ? As-tu envie de subir et d’accepter mes ordres ? Par contre je te promets de ne rien faire qui pourrait te nuire dans ta réputation
Suffoqué, Hervé se tait ; lui le grand bonhomme d’1.95m et de 120 kilos est devenu un gamin devant la vitrine de bonbons ; il a envie mais il a peur ; je ne bronche pas, et en me reculottant, je lui fais comprendre que j’en ai fini ; surpris par mon comportement, il se lâche enfin
« D’accord, je ferais ce que tu veux ! ». Je suis presque surpris de sa réponse et pour seller son accord, je lui roule une pelle, le forçant à recevoir ma langue. Il ne se dérobe pas, mais qu’en je le raccompagne, je ne suis pas sur, qu’après réflexion, il ne fasse pas machine arrière ; l’avenir, proche le dira. Je l’espère car sa queue me défonçant l’autre soir, m’a laissé sur ma faim et j’ai à nouveau envie de la sentir dans mon anneau, mais aussi, j’ai envie de le posséder et de le faire prendre par d’autres hommes.
Lui ayant promis de ne pas avoir de contact dans notre ville, je me suis mis à la recherche sur la toile, d’un contact possible, pas trop loin et répondant à certains critères. Après moultes réponses farfelues, ou peu fiables, grâce à la webCam, j’ai fixé mon dévolu sur un homme de soixante ans, bonne présentation et ancien policier ; notre conversation, débridée, m’avait laissé penser que c’était notre homme. Rendez-vous est pris, même si Hervé se dégonfle, je pourrais toujours en profiter ; après en avoir parlé à Mico, qui en outre, était satisfaite qu’il soit dominé, je lui téléphone et lui ordonne de se rendre libre pour vendredi suivant en soirée. « Pas de costume, ni cravate, tenue décontracté, je passe te prendre à16h, salut « et je raccroche.

16h, je sonne à sa porte ; va-t-il venir ? Hervé est en jean blanc et polo ; lui toujours en costume, je comprends que c’est gagné ; Marie, qui n’est pas au courant de mes projets, me dit sa surprise de le voir ainsi ; « je ne sais pas ce que vous allez faire, mais à priori, Hervé est partant « ; ma réponse est évasive et je lui dis de ne pas nous attendre de bonne heure ; « pas de problème, je vais téléphoner à Mico ».
Sur la route, Hervé me questionne, mais je reste évasif, pas question de lui donner des indications ; je lui rappelle simplement qu’il doit faire ce que je lui dis. Le trajet est assez court et j’arrive chez notre contact ; une jolie maison, ancienne ferme restaurée avec goût ; notre hôte est un grand gaillard, sans doute comme Hervé vers les 1.95m, assez rond, visage affable ; son accueil est chaleureux, et il nous convie à entrer ; le salon me surprend ; dans plusieurs vitrines, de vieux objets me rappellent son ancienne profession ; en effet les pistolets de tout genre, parfois très anciens, côtoient de nombreux objets de contention, à savoir vieux cadenas, menottes et autres systèmes d’attache ; « ce sont des objets de collection, nous rassure-t-il, ils ne sortent pas des vitrines. » Hervé a un petit soupire de soulagement. Un verre à la main la conversation s’installe ; je lui révèle alors le but de la visite : le livrer aux mains d’un inconnu, sans retenue en toute obéissance, à notre gré. Un peu crispé, il comprend ce qu’il l’attend. Phil a sorti sa queue et se caresse doucement ; il n’est pas encore tendu et pourtant je suis surpris par sa taille, et je me mets à envier Hervé car s’il s’est bien s’en servir, ce dont je ne doute pas, la soirée ne va pas être de tout repos pour lui ; elle mesure au moins 25 cm au repos et sans doute plus de 5 cm de diamètre ; Hervé est lui aussi surpris et son regard vers moi est éloquent ; « suce le ! » l’ordre claque et timidement il s’approche de Phil, ses mains s’emparent du sexe qui prend de la vigueur et quand Phil, lui prenant la tète lui plaque son gland sur les lèvres , il doit faire un effort pour l’avaler ; ressortant il s’applique à lui lécher la hampe ; sa langue parcourt le gourdin, lèche le méat puis, guidé par Phil, il l‘enfourne à nouveau ; le va et viens se fait plus vite et quand Phil se propulse au fond, des nausées montent chez Hervé ; le retirant par les cheveux, il lui laisse reprendre souffle pour mieux s’y enfoncer ; je me branle doucement , ma queue , plus petite que nos deux comparses n ‘en ai pas moins tendue ; Phil soudain se retire et lui dit de se dévêtir ; je suis surpris car il ne bande pas ; lui-même se déshabille et j’en fait de même ; Hervé ne sait plus où il est, il attend, effaré en voyant le monstre de Phil ; en effet, il a pris des centimètres et une grosse veine bat tout le long ; son gland est turgescent et déborde de la queue.

Retournant Hervé, et le faisant mettre à genoux, je lui présente mon sexe à sucer ; il s’y prend mieux ; sa bouche coulisse mieux et cette fois son sexe réagit ; il bande et il retrouve une sensation connue , celle de me sucer ; il y prend plaisir et son rythme est plus rapide ; derrière lui Phil glisse un doigt dans son sillon ; le contact surprend Hervé qui se cabre ; « laisse toi faire, tu vas connaître ma bite dans ton cul et je te promets que tu vas aimer « , il crache dans ses doigts et les tournent dans l’anneau ; celui –ci est à peine ouvert, que Phil y frotte son gland , puis s’accrochant aux hanche, il pousse violement son zob ; Hervé hurle sous la douleur et se débat, il a quitté ma queue et cherche à se libérer de l’étreinte, mais celle –ci ne s’arrête pas, bien au contraire, Phil continue à pousser et petit à petit l’anneau s’ouvre laissant pénétrer la tige tendue ; Hervé n’arrête pas de se plaindre, mais petit à petit, il ne lutte plus. Enfin les boules viennent contre le fessier ouvert ; Phil s’arrête, puis doucement commence son va et vient ; la douleur doit être moins forte car Hervé commence à geindre ; une bite énorme lui défonce le cul et il semble y prendre plaisir ; maintiennent , il se fait pilonner avec violence, le chibre lui défonce la rondelle, ressort de l’étau pour s’y engouffrer sans douceur ; Hervé râle sous les poussées répétitives et quand Phil accélère son enculade et jouit dans ses entrailles, Hervé crie son plaisir, les yeux révulsés, il encaisse les coups de butoirs qui ne semblent pas vouloir s’arrêter et il gémit la tête sur le plancher ; il ne me faut pas longtemps pour prendre la place et je n’ai aucun mal pour le perforer ; sa rondelle est dilatée et s’en écoule le sperme de Phil ; graissée ainsi, je peux me déchaîner ; mes couilles lui tapant sur le fessier , et cette fois c’est lui qui en réclame « plus fort défonce moi, je t’appartiens » il ne me faut pas longtemps pour jouir et en grognant, je lui déverse à mon tour ; Phil, à l’écart nous regarde, pensif : à quoi pense –t-il ?
Moment de repos et nous en profitons pour nous restaurer ; la conversation tourne sur les collections et Phil nous apprend que certains objets ont été trouvées dans de vieux cachots, situés sous une vielle propriété d’un de ses amis ; parfaitement conservés, mais sinistres ; devant notre intérêt et ayant sans doute une arrière pensée, il nous propose de nous les faire visiter.
Sans attendre, j’acquiesce et après un appel à son ami, nous prenons la route ; Hervé est silencieux, sans doute repense –t-il à tout à l’heure et à son plaisir d’être possédé. Il nous faut peu de temps pour arriver et un homme nous attend auprès d’une grille, ouvrant sur un parc ; 100 m de marche, il commence à faire nuit et nos deux guides prennent des lampes à l’arrivée d’une porte s’ouvrant sur des escaliers s’enfonçant sous terre ; la lumière éclaire des murs en pierre et nous arrivons devant des trois grilles, derrières lesquelles se trouvent trois cachots voûtés ; le décor est à la fois superbe, et impressionnant ; ces cachots datent de la révolution ; aux murs sont celés de gros anneaux et au fond un socle de bois devait servir de couchage et fixés sur la grille à l’extérieur, deux support ans doute pour les torches ; anachronique, une palliasse est jetée sur le sol.
Notre guide nous demande alors d’imaginer la vie de ses prisonniers ; je dois reconnaître que l’endroit devient vite lugubre. « Et si Hervé jouais le prisonnier ? » c’est Phil qui vient de parler et sans attendre, prenant ses poignets, le plaquant face contre la mur, il les attache avec des lanières de cuir sorties de sa poche ; Fred devait être au courant car s’approchant de ‘’ son prisonnier’’, il lui passe la main sous les fesses et vient lui caresse le sexe à travers le tissu ; puis lui descend le pantalon et le slip, il lui écarte le jambes et vient le branler alors que sa deuxième main s’infiltre dans le sillon culier ; il est brutal , sa main claque sur les boules à chaque branlée et son doigt s’est engagé à sec dans l’anus ; la douleur doit être extrême car son cul doit sentir encore les effets de l’enculade de Phil ; il se rebiffe, se retirant de l’anneau, Fred lui assène une grande claque sur les fesses ; et sans attendre, il reprend possession de l’anneau, engageant cette fois deux doigts directement ; malgré tout , Hervé bande et bientôt commence à gémir sous le traitement que lui inflige son bourreau ; puis il de détache , le fait mettre à genoux et lui reprend les poignets sur les anneaux inférieur ; ainsi, il offre son cul, déjà un peu dilaté ; en peu de temps Fred a quitté ses vêtements et il se présente à l’entrée ; sa queue n’est pas aussi grosse que celle de Phil ; longue, noueuse, nerveuse ; le chevauchant il lui plante son dard d’une seule poussée, provoquant un cri de douleur chez Hervé ,passant ses mains sous la poitrine, il vient lui pincer les tétons ; la pénétration est violente ; à chaque fois le ventre de Fred claque contre les fesses ; non contant de le violer, il l’humilie en parole « tu l’aimes ma queue ; je vais te défoncer le cul, et après les autres vont te saillir à leur tour » ;
Phil, lui a sorti sa queue et se branle ; j’ai envie de lui et je viens le sucer ; sa queue m’emplie la bouche et je ne peux l’avaler en entier ; la mienne est aussi à l’étroit dans sa prison et je me désape ; Phil me retourne et crachant sur sa queue, il présente son gland ; je sais qu’à mon tour je vais déguster ; pourtant il n’en ai rien ; Phil lubrifie plusieurs fois avant de s’engager dans le tuyau qui se dilate ; la douleur arrive quand son gland enfin emprisonné, mon anneau se resserre sur lui ; d’une poussée il se propulse au fond, alors commence une baise qui très vite déchaîne ma jouissance ; j’avais envie de sa queue et je ne suis pas déçu ; il me laboure avec méthode, s’arrêtant quand il est prés à jouir pour mieux me pistonner après ;je jouis en continue et ma queue crache sa semence sans qu’il me touche ; mes gémissements se mêlent aux cris d’Hervé qui maintenant gueule sous les coups de bagnard ; ce n’est plus de douleur, c’est de plaisir. Soudain Phil se retire, un grand vide m’envahit, il n’a pas jouit pour garder sa bite tendue ; en effet Fred a quitté Hervé et Phil est venu prendre sa place ; sans difficulté il le pénètre, l’anneau est dilaté et Hervé encaisse sa grosse queue sans coup frémir ; au contraire il se rue au devant de la pénétration « vas-y bourre moi, ta queue me remplit, je jouis « les deux hommes doivent jouir en même temps car Phil haanne alors qu’il est parcouru de soubresauts. Il reste en Hervé, sans bouger, et quand il se retire un flot de jute s’écoule de l’anneau ouvert en grand et coule sur les cuisses ; le visage d’Hervé est défait et comme un automate, sans un mot, il se habille :
Après avoir ramener Phil chez lui , en lui promettant de se revoir, le retour se fait en silence ; Hervé semble dormir et c’est avec soulagement que nous arrivons chez lui ; la voiture de Mico est encore là, sans faire de bruit nous entrons dans la chambre ; trois femmes dorment, deux d’entre elles ont un gode culotte et Mico dort au milieu , mais c’est une autre histoire; devant ce tableau, nous allons nous coucher dans l’autre chambre ; c’est alors qu’Hervé , enfin parle : « c’est la première fois que je jouis autant ; grâce à toi ; tu ne m’as pas aimé ; j’ai envie que tu me prennes avant de dormir , fais moi mal, donne moi du plaisir« La queue, de nouveau tendu, je lui donne un baiser avant de l’enculer ; j’avais gagné.

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