La Ferme D'Esclaves 3

Mais quelle était donc cette surprise que Jacky nous clamait haut et fort du haut de sa table alors que nous étions tous nus et en pleine érection au beau milieu de la grande salle à manger (voir récit précédent : La ferme d'esclaves 2).
Une fois toutes les esclaves attachées aux murs latéraux, Jacky descendit de sa table, l’a poussa et ouvrit la grande tenture murale derrière lui au fond de la grande pièce. Il nous invita à s’approcher pour nous montrer dix trous dans ce mur espacés d’une soixantaine de centimètres chacun et tous d’un diamètre identique d’une balle de tennis. Tous ces orifices muraux étaient bordés de velours et tous étaient au niveau du bas de la ceinture. « Enfilez, chacun de vous, votre belle queue dans un des trous de ce mur, vous allez être sucés comme jamais vous ne l’avez été. Et voici ma surprise : Celui qui résistera le plus longtemps sans éjaculer deviendra le maître incontesté de ces lieux pendant une semaine et aura une vingtaine de soumises à sa disposition. Il fera tout ce qu’il voudra avec son harem de chiennes pendant 7 jours, je lui laisserai les clefs. Quand aux autres, ils quitteront cette maison avec moi pour laisser l’heureux gagnant vivre une semaine d’orgies, et il pourra inviter qui bon lui semblera. Mais je le rappelle, le dernier de vous qui jouira sera le gagnant. Avez-vous des questions avant que je donne le départ aux chiennes derrière ce mur afin qu’elle vous sucent du profond de leur gorge ? »
Un grand black prit la parole : « Jacky, tu rigoles, j’ai la réputation d’être un véritable étalon, je peux tenir très longtemps et les autres n’auront aucune chance ! dit-il en enfilant son énorme sexe dans un trou et en riant à pleines dents. Quant à moi, sans rien dire, je me préparais à essayer de tenir le plus longtemps possible comme tous mes compagnons de fortune. Je mis ma queue dans le trou mural et quand Jacky s’écria : « Attention vous êtes prêts ? Les chiennes derrière, allez-y sucez, et sucez bien faite jouir ses messieurs ! » Je sentis des lèvres entourer mon gland et une langue commencer à me titiller le bout de celui-ci.

Quel délice ! De mémoire je n’ai jamais été sucé ainsi, il est à parier que la soumise qui me suçait devait, comme les autres ? Être une experte dans ce genre d’exercice. Jacky avait réussi à « recruter » de véritables salopes qui avaient toutes acceptées la soumission complète. Je pensais à la chance qu’aurai le gagnant. Mais je ne me faisais pas trop d’illusion pour réussir à jouir le dernier car malgré ma réputation de bon baiseur, je n’ai jamais prétendu être un étalon « qui tient longtemps » comme le black par exemple.
La langue passait le long de ma verge qui bandait à son maximum. La fellation commençait à devenir de plus en plus jouissive et je me concentrais pour ne pas décharger trop tôt. Au bout de quelques minutes à tour de rôle j’entendis autour de moi, des gémissements de mâles en pleins orgasmes. D’autres criaient de plaisirs quand ils déchargèrent de longs jets de spermes. Jacky s’écria au bout de 5 minutes : « il ne reste en course que Jordanne (c’était le nom du black) et Philippe (c’était moi), que le meilleur gagne ! » Mais hélas le noir était trop fort et je ne pus tenir bien longtemps quand je sentis monter mon orgasme très intensément, à l’instar de mes voisins, je me mis à hurler de plaisir et de mémoire, il y avait longtemps que je n’ais pas joui ainsi. Des râles de bonheurs sortirent de ma bouche et je sentis ma liqueur s’éjecter puissamment et je sentis également la chienne qui me suçait qui avalait tout (je pense qu’elles avaient toutes l’ordre d’avaler le sperme de chacun). « C’est Jordanne qui gagne ! » Dit d’une voix ravie Jacky « et désolé pour les autres mais il est vrai qu’en invitant mon ami Jordanne, je savais que le jeu n’était pas tout à fait neutre !
C’est pour cette raison qu’en accord avec lui, car il était le seul à savoir que ce jeu allait se dérouler, ce sera le second qui gagne, c’est donc Philippe ! Mais la seule condition que Jordanne a exigé, c’est qu’il reste ici toute la semaine, ici avec le vainqueur et les 20 soumises. Et c’est ainsi que je me retrouvais au rang de grand gagnant et je commençais, après les félicitations de fair-play des perdants, à bien me demander ce que j’allais faire d’une semaine d’orgies. Quelques idées vicieuses et perverses me traversèrent l’esprit mais ce sera pour mon prochain récit…