Les Retrouvailles Avec Boris
Nous étions en fin d'été, la journée était belle, le temps était doux je me préparais à revoir un ancien ami à qui, suite à une dispute, je n'avais pas reparlé depuis 3 ans. À l'époque j'avais 17 ans nous étions ensemble en cours, j'étais une fille peu sur d'elle c'est pourquoi j'étais assez introvertie et n'avais à l'époque aucune expérience sexuelle. Lui, Boris, était un coureur de jupons très réputé pour son infidélité, mais très gentil avec qui j'avais rapidement liée une forte amitié sans que çà n'aille jamais plus loin. Malheureusement une triste histoire sans pourtant réelle importance a créé de grandes tensions. Je ne l'avais plus revus jusqu'à il y a quelques jours à l'anniversaire d'un ancien ami que nous avions en commun. il avait souhaité que l'on reparle une fois en tête à tête, et le simple fait que grâce à son franc parlé j'avais réussi à passer au dessus de mon manque de confiance en moi, m'avait donné envie de lui reparler une foi.
Je l'attendais donc à un endroit clé, le terrain de foot de son village, où nous avions pour habitude de traîner. J'étais dans une petite voiture bleue et je vis au loin arriver un coupé sport. C'était lui, il se garait et je le rejoins.
Nous passions 2 bonnes heures à parler de tout et rien. Nous avions bien changé tout les deux. Il s'était stabilisé depuis un an avec une fille qu'il n'avait encore jamais trompé et sortait moins, il était aussi plus calme mais son franc parlé était toujours là, son corps avait peu changé, 1m85, les yeux noirs les cheveux bruns épais, un corps fin et peu musclé. Moi en revanche j'avais changé sur les deux plans, j'avais gagné de l'assurance et j'osais montrer ma joie de vivre. Je n'avais pas vraiment grandi, il faut dire que je suis suffisamment grande avec un mètre de jambes à perte de vue, mais ma poitrine avais gonflée passé d'un petit 85 A à un joli 85C, des bras fins un ventre plat, des cheveux blonds et des yeux gris perçants. Il avait du mal à me reconnaître.
En parlant il appris avec étonnement qu'à l'époque j'étais encore vierge :
- j'étais pourtant sur que tu avais eue quelques aventures
- et bien non.
Il ajouta:
- ton premier devait être bien chanceux alors et tous les autres qui suivirent aussi.
Je devins alors toute rouge n'osant rajouter quelque chose, je finis par dire :
- je ne sais pas trop, il n'y en a eu qu'un seul, et il n'a jamais rappelé.
Boris semblait déçu pour moi :
- c'est un connard il ne sait pas ce qu'il a loupé, une fille aussi belle...
Je me crispais un peu, Boris me plaisait beaucoup mais je pensais à sa copine et savais que si je ne changeais pas de sujet tout de suite, je ne pourrais lui résister, pourtant je l'encourageais même :
-tu n'es pas mal non plus.
Il me regarda profondément, un long silence s'installa, aucun de nous deux ne bougeait plus. Je n'osais rien faire mais craignais que les battements de mon coeur ne me trahissent tellement ils étaient forts. Il commença à caresser mon ventre d'une main et ma cuisse de l'autre, je n'osais même pas le regarder, puis levais mon regard, je me penchais vers lui et l'embrassais en lui caressant, le torse, le dos.
J'avais très envie de lui et, au vu de l'énorme bosse dans son pantalon, c'était réciproque.
- viens, allons chez moi il n'y a personne.
Je répondis simplement que j'étais d'accord.
Le chemin était court, en à peine 2 minutes nous étions chez lui mais nous en profitions pour nous jeter des coups d'oeil. La maison n'avait pas changé, une longue allée de gravier au bout de laquelle une grande maison rose se tenait. Il se garait devant la porte d'entrée.
Nous nous dépêchâmes d'entrer. La même odeur de vanille. À peine avait il fermé la porte que je me jetais sur lui pour l'embrasser. Notre étreinte était forte.
-j'ai soif, lui dis-je.
Il m'emmena dans la cuisine. Pendant que je buvais mon verre d'eau, je sentais son regard me détailler.
Il retira ma culotte trempée et entrepris un cunnilingus, mon premier. Il passait entre mes lèvres avec dextérité, sa langue explorait mon hantre, puis il remonta et s'acharna sur mon clito. Je n'en pouvais plus et dans un soulèvement de mon corps, je lâchais un cri démesuré à la hauteur de mon orgasme.
J'étais aux anges, mais il n'en avait pas encore terminé avec moi, il voulait me faire rattr tous les orgasmes que j'aurais du avoir. Il sortit alors sa queue que je voyais pour la première foi.
Il était long épais, bien dur et je le voulais en moi, j'étais assise sur le plan de travail, il se posa face à moi et sans ménagement, enfonçât sa queue en moi, je sentais cet engin envahir mon vagin et le plaisir ce décuplait au nombre de coups de boutoir qu'il m'assignait, il allait de plus en plus vite et notre plaisir montait de plus en plus. Il me fit changer de position, je m'appuyais sur le plan mais étais maintenant dos à lui, en même temps de ses vas et viens je me sentais bouger la voulant de plus ne plus profond, c'est alors que mon corps se raidis à nouveau et que pour la deuxième fois j'eus un violent orgasme.
Il n'était pas loin non plus de l'orgasme mais je ne voulais pas qu'il éjacule en moi, c'est alors que, les jambes encore tremblantes, je m'agenouillais présentant sa bite à ma bouche, je le léchais le long de la hampe puis jouais avec son gland, je n'étais pas experte mais lui disait qu'on aurait dit que j'avais fait çà depuis toujours.
J'entrais sa bite dans ma bouche et sans savoir pourquoi, y éprouvais un grand plaisir, ses allers et venues pourtant m'étouffaient un peu plus, sa queue allait de plus ne plus profond dans ma gorge, c'est alors que je sentis son nectar se libérer dans ma bouche en plusieurs longs jets, il y en avait beaucoup et j'aimais le goût, j'avalais tout, lui montrant en même temps ma reconnaissance. Je me relevais, il m'embrassa, cela me faisait étrange de l'embrasser après qu'il ai jouis dans cette bouche mais je m'y fis vite toute les autres fois où nous nous sommes revus.
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