Duo Torride Au Bord De La Piscine... La Suite...
La maison embaumait dodeurs très agréables, subtil mélange dépices, de chocolat et de fruits rouges émanant de tous les plats concoctés par Sophie. Elle saffairait dans sa cuisine, nue sous un tablier quelle avait enfilé pour se protéger déventuelles projections brûlantes, la fenêtre ouverte offrait une jolie vue sur la piscine et elle était ouverte sur un salon immense où de grands canapés de cuir blanc étaient disposés en U autour dune cheminée surmontée dun immense écran extra plat. Le jour tombait lentement et Sophie avait allumé les projecteurs à lintérieur de la piscine et une douce lueur bleutée irradiait le joli jardin. Je me plaquais derrière elle, mes mains glissant sous son tablier pour venir emprisonner ses seins lourds dans mes mains. Sophie frémit de plaisir et tourna sa tête, ses lèvres à la recherche des miennes. Je fis rouler ses tétons entre mes doigts pendant que nos langues senroulaient. Ils gonflaient et durcissaient et le résultat fût immédiat concernant mon copain de létage en dessous
Laprès-midi sétait écoulé doucement à profiter du soleil allongé dans un transat. Marie nallait plus tarder à arriver et je me dis quil était peut-être temps daller nous préparer et surtout nous habiller. Je ne pense pas que notre première rencontre en tenue dAdam et Eve était la chose la plus convenable quil soit. Je me détachais de Sophie à regret et elle se pencha pour déposer un doux baiser sur ma hampe tendue puis lempoigna et commença à se diriger vers sa chambre, se servant de mon sexe comme dune laisse. Nous traversâmes le salon et gagnâmes sa chambre à coucher qui se situait à lextrémité de la maison. Elle était spacieuse et lumineuse, décorée avec goût et raffinement et une large baie ouverte donnait elle aussi sur la piscine. Sophie me dit que la maison avait été conçue délibérément pour que toutes les pièces à vivre donnent sur celle-ci. Un immense lit trônait dans la pièce qui affichait vraiment une sensation de volupté.
En face du lit je notais que de très larges penderies étaient disposées dans les murs dont les portes nétaient que des miroirs géants. Attenant à la chambre se trouvait une salle de bains dont les parois étaient elles aussi presque toutes recouvertes de miroirs et cela me plût beaucoup, imaginant toutes les images coquines pouvaient ainsi être renvoyées aux occupants de cette pièce. Nous nous dirigeâmes vers la douche à litalienne, disposée dans un angle de la pièce et séparée uniquement par un panneau en verre et Sophie sagenouilla devant moi et entreprît une très douce fellation. Cette salle de bains était le royaume des voyeurs et je me délectais des images multiples renvoyées par les différents miroirs de cette splendide femme dont la bouche si chaude avalait littéralement ma queue jusquà la garde, son nez venant caresser les poils de ma toison. Ma belle se redressa et attrapa sur une tablette le rasoir et la bombe de mousse dont elle se servait habituellement pour maintenir son sexe impeccablement lisse et me les présentant elle me dit que raser un homme de cette façon intime était un très vieux fantasme quelle adorerait réaliser avec moi. Je lui répondis que cétait également une première pour moi et que je lui faisais entièrement confiance pour ne pas blesser mon service trois pièces
Elle gloussa de bonheur et membrassa fougueusement en me jurant quelle allait prendre toutes les précautions nécessaires car elle souhaitait encore profiter pleinement de cet appareillage au complet. Sophie déposa dans sa paume une noix de mousse quelle commença à appliquer avec soin sur ma toison. Le passage des lames du rasoir sur ma peau procurait une sensation très douce et Sophie sappliquait, sa main gauche accrochée à ma queue toujours tendue pendant que la droite tenant le rasoir, à mes débarrasser de tous mes poils. Cette opération dura un bon quart dheure et ma belle me rinça méticuleusement sassurant que mes bourses étaient également parfaitement lisses. Avec un regard coquin et malicieux elle me demanda si sa prestation me convenait et pour toute réponse je lui pris sa tête entre mes mains pour la guider vers mon dard qui semblait encore plus grand ainsi.
Sophie me suça longuement, ses doigts si joliment manucurés venant caresser mon pubis lisse pendant que sa bouche faisait monter en moi des ondes de plaisir que je nallais bientôt plus contrôler. Le rythme était de plus en plus effréné et bientôt je pus voir limage hautement érotique de dizaines dhommes éjaculant en même temps dans une bouche brûlante emprisonnant une queue qui nen finissait plus de répandre sa semence en longs jets saccadés. Sophie déglutissait au fur et à mesure, ses magnifiques yeux affichant le plaisir quelle avait de boire ainsi à ma source jusquà la dernière goutte. Sa bouche libéra enfin mon sexe pour venir se plaquer sur la mienne et je pus ainsi goûter à ce liquide chaud et délicatement salé dont elle sétait régalée. Sophie vint se blottir contre moi et me dit combien elle se sentait bien et me promît encore bien des surprises durant mon séjour chez elle. Au vu de nos ébats torrides depuis laprès-midi, je fus enclin à prendre cette promesse très au sérieux et je men réjouis à lavance. Nous nous douchèrent et nous préparâmes pour accueillir sa fille qui venait juste dobtenir son permis de conduire et qui allait bientôt arriver avec une petite voiture achetée doccasion quelques jours plus tôt. Jétais assis dans un des canapés du salon, la nuit était maintenant complètement tombée et je profitais de la douceur, mon regard perdu dans les doux clapotis de leau bleue de la piscine engendrés par le système daspiration. Jentendis des talons claquer sur le carrelage du salon et tournant la tête, je fus instantanément subjugué par la vision qui soffrit à moi. Sophie arborait une robe asymétrique en satin blanc très fin descendant sous le genou droit et sarrêtant à mi cuisse gauche. Elle faisait ressortir magnifiquement son joli bronzage et le haut ne tenait que par une bride unique sur lépaule gauche. Bien évidemment elle était nue en dessous et contrairement à cet après-midi, je navais aucune difficulté à le deviner tant létoffe était fine et je distinguais nettement les tétons des ses seins si majestueux.
Elle était chaussée de magnifiques sandales dorées avec des brides enserrant les chevilles, dotées de fines semelles et de talons aiguille dau moins dix centimètres. Etant déjà naturellement assez grande, je voyais donc onduler vers moi une splendide créature toute en rondeurs dépassant le mètre quatre vingt et cela déclencha dans mon bas ventre les picotements si familiers du désir. Les cheveux tirés et retenus très haut sur larrière, de très jolis bijoux au oreilles, cou et poignets venaient parfaire la présentation ainsi quun maquillage aux paupières qui mettait en valeur son regard bleu et un gloss rouge sang brillant qui soulignait sa bouche pulpeuse que je savais maintenant être gourmande. Oui, cette femme rayonnait littéralement dune sensualité charnelle presque animale
Sophie pivota sur ses talons afin que je puisse ladmirer complètement et me demanda dun sourire espiègle si sa tenue me plaisait. Quel euphémisme
Mon pantalon en lin retenait avec difficulté mon érection et Sophie gloussa en se penchant vers moi pour caresser ma virilité à travers le tissu pendant que ma tête était littéralement happée par sa poitrine opulente. Soudain la sonnerie du portier électronique retentit et Sophie alla répondre. Cétait sa fille qui arrivait et elle lui actionna le système douverture du portail. Jentendis crisser les pneus dune voiture sur le gravier devant lentrée et je vis par la porte fenêtre une petite Clio sarrêter devant lentrée. Une jeune femme habillée en jean et portant une marinière St James en sortit et se jeta dans les bras de sa mère qui était venue à sa rencontre. Je les vis échanger quelques mots, lair visiblement ravies de se retrouver. Je pense que Sophie en profita pour lavertir de ma présence car Marie ne fût pas surprise de me trouver dans le salon. Elle était sensiblement de la même taille que sa mère, avait des yeux également bleu-gris mais était très brune et avec une corpulence beaucoup plus fine. Sa poitrine, bien quassez menue se dressait fièrement et dessinait délicatement le tissus de sa marinière.
Cétait une très jolie jeune femme souriante, manifestement joyeuse et pétillante et qui membrassa sur la joue dune manière très enjouée et naturelle. Marie nous dit quelle allait prendre un bain pour se rafraîchir du voyage et se changer pour le dîner. Je laissais Sophie accompagner sa fille dans sa chambre qui se trouvait à côté de la nôtre et jen profitai pour aller sur la terrasse en bord de piscine. Le ciel était magnifiquement étoilé en cette fin dété et la température était vraiment agréable. Sophie me rejoignit avec trois flûtes de champagne et me demanda comment je trouvais sa fille, mannonçant que celle-ci lavait bombardée de questions à mon sujet pendant quelle lui faisait couler un bain. Sophie bien évidemment navait pas pu raconter tous les détails de notre folle après-midi mais Marie lui avait fait remarquer quelle la trouvait rayonnante et épanouie et que je ne devais pas y être étranger. Nous restâmes de longues minutes à savourer notre breuvage, ma douce amoureusement alanguie dans un transat, ma main caressant doucement sa jambe et jouant avec la chaîne de sa cheville gauche. Je voyais sa poitrine tendre le tissu de sa robe au rythme régulier et détendu de sa respiration. Elle était sacrément désirable et je laurais bien reprise immédiatement en levrette si nous avions été seuls. Après un long baiser langoureux rempli de promesses, Sophie retourna dans la maison préparer la table pour le dîner et je restais à admirer le décor paradisiaque dans lequel je me trouvais. Jentendis des pas se rapprocher et Marie apparût sur la terrasse, venant à ma rencontre. Elle était vêtue dune mini-jupe noire, un caraco pourpre retenu par de fines bretelles aux épaules et assez échancré. Il était assez court, découvrant son ventre et on pouvait voir un adorable piercing en argent en forme danneau à son nombril. Elle sinstalla dans le transat en face du mien et nous commençâmes à faire connaissance. Elle portait aux pieds de très jolies sandales noires plates et je ne pouvais détacher mes yeux de ses longues jambes fines et musclées qui semblaient interminables. Marie se pencha en avant pour prendre sa flûte de sa main droite qui était ornée danneaux au pouce et à lindex et je ne pus mempêcher de laisser mon regard plonger dans son décolleté qui sentrouvrait. Japerçus de façon fugitive deux très jolis seins assez petits mais aux tétons pointus et totalement libres de toute entrave. Je ne sais pas si elle sen aperçut mais je vis un léger sourire coquin éclairer son visage lorsquelle reprit sa position dans le transat. Sophie nous avait rejoints et nous continuions à bavarder tranquillement, Marie croisant et décroisant régulièrement ses très jolies jambes. A un moment sa mère se coucha sur elle dans une longue étreinte maternelle et Marie tenta de se redresser saidant de ses jambes pour se dégager et je pus profiter à loisir de la magnifique vue dun joli string assorti au caraco. Nous nous levâmes et passâmes à table, les deux femmes se tenant par la taille et rigolant, manifestement heureuses de leurs retrouvailles. Le dîner fût exquis (et plus que parfait) et je me demandais comment cet homme avait plu plaquer une femme pareille, capable de combler à ce point tous les sens dun mâle. Lamour relève parfois dune alchimie qui ne fonctionne pas ment avec tout le monde de manière uniforme. Marie nous confia être fatiguée par le voyage et décida daller se coucher. Avec Sophie nous nous étions réinstallés près de la piscine, nous dégustions un délicieux cognac et je voyais les yeux de ma belle briller. Etait-ce lalcool, lexcitation ou bien tout simplement un mélange des deux. Son transat tournait le dos à la maison et elle releva grandement ses jambes, plantant ses hauts talons de chaque côté du fauteuil, sa robe masquant pudiquement son entrejambe. Sophie me demanda si la position me plaisait et me demanda de la prendre en photos avec lappareil numérique quelle avait amené en même temps que le cognac. « Ce soir je veux être garce pour toi et que tu gardes un souvenir de moi » me sussura-t-elle alors que ses doigts aux ongles longs griffaient délicatement ses jambes en de longs va-et-vient. Marie avait tiré les rideaux de sa chambre et on ne voyait plus quune fine raie de lumière entre les deux pans. Je me dis quelle devait bouquiner un peu pour sendormir et que nous ne risquions pas grand-chose. Je me mis à mitrailler Sophie, le flash crépitant régulièrement pendant quelle prenait toutes sortes de poses de plus en plus lascives et suggestives. Jadorais voir ses jolies mains jouer avec ses seins quelles avait découverts, roulant le haut de sa robe sur son ventre. Le spectacle devenait de plus en plus chaud et à un moment je regardais dans la direction des chambres et maperçus que la raie de lumière provenant de la chambre de Marie me semblait plus large que précédemment. Je métais arrêté de faire des photos depuis quelques secondes lorsque la lumière séteignit. Se pouvait-il quelle nous observe ? Je nen dis rien à Sophie et repris mon mitraillage, curieusement excité par cette situation nouvelle. De létat de voyeur impénitent jétais passé à celui dexhibitionniste et cela me plaisait finalement pas mal. Sophie sétait maintenant débarrassée complètement de sa robe et sétait mise à quatre pattes sur le transat, ne conservant plus que ses jolies sandales et ses bijoux. Les doigts de sa main droite fouillaient allègrement sa chatte déjà trempée au vu des doigts brillants de sa mouille qui allaient et venaient. De sa main gauche elle commença à caresser doucement laréole de son anus, décrivant de petits cercles autour de lillet brun et je bandais maintenant comme un fou. Je me débarrassai de mes vêtements, ne me souciant désormais plus dêtre épiés. Après tout ce nétait plus une et je suis persuadé que sous ses airs sages se cachait aussi une coquine. Je continuais à photographier ma belle sans compter (merci la technologie du numérique) et le majeur de Sophie devenait de plus en plus inquisiteur. Forçant un peu le passage, je le vis tout dun coup entrer dans son anus. Sophie marqua un temps darrêt, me regardant droit dans les yeux dans cette posture dune indécence folle. Une jolie femme avec quasiment tous les doigts dune mains dans la chatte et un doigt planté dans son joli cul
Ses doigts se remirent en mouvement et cest maintenant un deuxième doigt qui sinsinua faisant dilater létroit passage. Je lui demandai décarter maintenant ses fesses à laide de ses deux mains pour que je puisse avoir une belle vue sur son anus qui restait entrouvert. Sophie me demanda alors de venir remplacer ses doigts. Je mapprochai de son visage et lui présentai ma queue quelle engloutit puis commença à sucer avec la douceur que nous savons et je regardai ces rideaux entrouverts en me disant que le spectacle éclairé indirectement par la piscine devait être torride. Mes doigts sétaient maintenant immiscés dans les entrailles de ma belle garce et jadorais sentir la chaleur de son corps pendant quelle se caressait furieusement le clitoris dun mouvement circulaire de ses deux doigts. Sophie mimplora alors de la prendre ainsi, que son anus était prêt pour une sodomie et quelle voulait me sentir linonder de ma semence par cet orifice. Je lui demandai de sasseoir sur le bord du transat et venant me placer à genoux devant elle je relevai à la verticale ses jambes et présentai mon vit à lentrée de son anus. Cest elle encore une fois qui prit linitiative de la pénétration en balançant son bassin en avant. Je sentis sa rondelle forcer un peu puis souvrir dun coup et mon sexe fut avalé au plus profond delle dans un feulement rauque. Le spectacle était maintenant sans équivoque mais je décidais de lembrasser à pleine bouche pour limiter ses cris au cas où Marie serait réellement en train de dormir. Que ce fût doux de limer ainsi jusquà lextase cette jolie femme épanouie dans ce fourreau si étroit, si lisse, si chaud, si excitant
Nous restâmes quelques minutes blottis dans les bras lun de lautre et je me levai pour aller me coucher non sans un dernier plongeon avec ma douce amante dans leau fraîche de la piscine. Au sortir de notre trempette, Sophie manifesta son intention de rester encore environ une heure car elle avait besoin de travailler sur un article de mode quelle était en train de rédiger pour le journal féminin qui lemployait. Elle me dit de ne pas lattendre pour mendormir et quelle me rejoindrait dès quelle aurait terminé. Je lui fis un doux baiser quelle me rendit et je me dirigeai vers la chambre en fermant derrière moi la porte du long couloir qui menait aux chambres. Je passais devant celle de Marie et marquais un temps darrêt. Je toquais doucement à la porte pour lui souhaiter une bonne nuit. Pas de réponse. Le bruit dune douche parvint à mes oreilles et je me décidais à ouvrir la porte pour passer ma tête dans la chambre qui était plongée dans lobscurité. Le bruit était plus fort et provenait effectivement de la salle de bains au fond de la chambre dont la porte était entrebâillée. Je pénétrais dans la pièce et mapprochai du lit qui à mon grand étonnement nétait pas défait et sur lequel se trouvaient jetés les vêtements de la jeune femme ainsi quun minuscule string que javais eu le plaisir dapercevoir de façon fugace au cours de la soirée. Je contournai le lit et mapprochai de la baie vitrée constatant que les deux rideaux nétaient pas joints et je pus constater que lon disposait dune vue imprenable sur la piscine et ses transats
Cela se traduisit par un doux picotement au creux des reins que je connais si bien et qui témoigne dune excitation naissante. En dautres circonstances jaurais fait demi-tour mais mon instinct de voyeur me poussait à me rapprocher de cette porte entre-ouverte tel un insecte attiré par la lumière. Cette salle de bains était également parée de grands miroirs sur les différents murs et je découvris Marie, nue et debout dans la baignoire dirigeant le pommeau de douche sur les différentes parties de son corps. Les miroirs me renvoyaient des images multiples de toutes les parties de son corps et elle était effectivement très fine, des seins adorables nexcédant pas le bonnet B avec de petites aréoles et de jolis tétons bien formés. Cétait un charmant spectacle et je sentis ma queue durcir à nouveau dans mon pantalon dautant que la jeune femme ne se lavait pas vraiment mais utilisait plutôt le jet de la douche comme instrument de masturbation. Elle sassit sur le rebord de la baignoire, écartant largement ses cuisses découvrant ainsi un très joli sexe aux lèvres finement ciselées et soigneusement débarrassées de leurs poils pubiens. Elle ne conservait quune petite touffe très brune en forme de ticket de métro au dessus de sa jolie chatte. Ecartant des doigts dune main les lèvres de son sexe et découvrant ainsi son joli petit bouton rose, elle dirigea le jet deau tiède sur son intimité et commença à onduler du bassin. Le jet décrivait des cercles autours de son clitoris et parfois directement vers sa grotte dont je voyais parfaitement la couleur rose vif. Je sortis ma queue tendue et commençais à me branler doucement devant ce spectacle si excitant amplifié par le sentiment de transgression que jéprouvais. Après tout Marie avait lâge dêtre ma fille et je venais de baiser sa mère par tous les trous comme un fou depuis cet après-midi ! La jeune femme avait maintenant abandonné le pommeau qui continuait à couler dans la baignoire et se masturbait avec frénésie, ses jolis doigts fouillant vigoureusement son intimité pendant que son autre main jouait avec ses seins, pinçant les tétons pour les faire saillir. Je me branlai de plus en plus fort et sentis que jallais bientôt éjaculer. Je saisis sur le lit la première chose qui me passait sous la main, ne voulant pas souiller le carrelage de mon foutre. Ce fut le joli string et je me répandis dedans avec délectation au moment précis où Marie jouissait dans de petits cris aigus, ses cuisses enserrant de façon compulsive sa main demeurée plaquée sur son sexe. Il me fallait maintenant partir très vite. Je jetais le string maculé au pied du lit et ressortis discrètement de la chambre pour gagner celle de ma maîtresse. Jétais encore tout retourné par tout ce débordement sexuel depuis le début de laprès midi et je passais à mon tour sous la douche avant de me coucher dans ce grand lit et de plonger rapidement dans les doux bras de Morphée
admin
Jan. 31, 2023
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