Fantasmes Et Vengeance.
Je suis en mauvaise posture. En effet, je me suis fait surprendre par ma femme à avoir une liaison extra conjugale avec une jeune femme rencontrée lors dune soirée entre amis. Cette dernière était venue me draguer en fin de nuit, sûrement pour que je la ramène chez elle.
Du coup, lalcool et les pulsions masculine aidant, jai fait plus que la raccompagner. Elle ma proposé un dernier verre. Jai fait lerreur de monter. A peine arrivé dans son appartement, elle ma pris par la nuque et collé ses lèvres aux miennes. Sa langue me cherchant, je nai même pas fait semblant de résister. Je bandais déjà.
Elle sest déshabillée en moins de dix secondes. Elle ma attiré vers sa chambre, sest allongée. Je lui ai relevé les cuisses et plongé mon visage vers une chatte déjà luisante. Je la dégustais. Parcourant le moindre plie de ce nouveau sexe, de cette quasiment inconnue. Je navais pas ressenti lexcitation de la découverte dun nouveau corps depuis celui de Sabine, ma femme. Ma langue et mes lèvres étaient gourmandes de nouveautés. Christelle gémissait. Je me redresse, je ne tiens plus, jouvre ma braguette et lenfourne. Je la baise, la bourre, je me lâche. Elle ouvre grand ses cuisses. Passive, elle jouit. Jatt les petits seins, je les malaxe, les serre, jétire les tétons, elle aime ça. Je me répands dans le minou bien chaud. Echange de douceur et de coordonnées. Javais une maîtresse.
Je lai vue pendant trois mois, à raison dune à deux fois par semaines. Elle nétait même pas jolie. A peine charmante. Pas très doué pour le sexe. Elle ne valait pas ma femme, sur aucun plan. Javais juste besoin de me rassurer quand à mon pouvoir de séduction.
Je me suis fait avoir par la technologie. Un SMS mal dissimulé. Une explication mal négociée et mes deux pieds étaient bels et biens dans le plat. Sen est suivi des engueulades, des pleurs et toute la douleur qui va avec. Malgré cela, le couple a tenu. Je navais plus besoin dêtre rassuré, je voulais juste être amoureux de ma femme.
Elle me semblait plus forte, son caractère sest endurci. Elle semblait aussi plus motivée par lamour, à chaque fois que nous unissions nos corps, elle y mettait beaucoup de cur, comme si elle défiait mon ex maîtresse, voulant me montrer quelle aimait ça, quelle savait y faire. Et elle savait. Cela devait être aussi sa façon dextérioriser ses craintes. Javais perdu une médiocre maîtresse et gagné une épouse plus sexualisée, plus encline à la bagatelle, plus imaginative. Cétait en elle, cétait sorti. Heureux homme, je men tirais plus que bien.
Les mois passèrent et la vie avait reprit son cours. Nous ne parlions plus de cette histoire et ma femme avait retrouvé son si joli sourire, celui que javais failli perdre par orgueils. Je redoublais defforts pour la satisfaire. Nous sortions plus souvent en tête-à-tête. Resto, ciné, théâtres, petite bouquet de fleurs par-ci, petit week-end en amoureux par-là. Jétais dans mes petits souliers et me consacrais au bonheur de ma douce et de notre couple. Elle me le rendait en ce montrant chatte, douce et sensuelle. Je débordais damour pour elle.
Nous nous autorisions également des sorties chacun de notre côté, afin de ne pas trop s. Cela lui a dailleurs permis de renouer des liens avec plusieurs amies quelle ne voyait plus souvent. Jen connaissais certaines, puisque nous sommes ensemble depuis neuf ans. Cela me faisait plaisir de la voir à nouveau heureuse. Mais cela nétait que la partie visible de liceberg ou plutôt du volcan.
Un matin, alors que je me préparais pour aller bosser, elle me dit quelle navait pas envie dy aller et quelle allait se faire porter pâle.
- Reste avec moi aujourdhui, sil te plaît ! Me lança-t-elle, tout sourire.
- Jai une réunion importante, je ne peux pas la manquer. Mais je tassure que je préfèrerais profiter de toi et de tes charmes.
- Tant pis pour toi ! Me dit-elle, avec son joli sourire, mais en coin cette fois.
Elle mattrapa pour un baiser des plus langoureux, collée à mon torse, je sentais la chaleur de ses seins traverser ma chemise et de sa nuisette, une main sur mes fesses, lautre sur ma braguette.
Vingt heures, la journée a été très longue, trop longue. Excité par ses avances du matin, je nai eu que ça en tête. Mais Sabine nest pas là. Elle est également injoignable. Dans la cuisine, un mot sur le bloc-mémo des courses mexplique que cette soirée, je vais la passer seul. Elle est partit dîner chez une de ses amies retrouvées. Cest ma punition pour ne pas être resté à la maison aujourdhui. Pour ne pas lui avoir fait lamour ce matin. Déçu de ne pas retrouvé son corps chaud, excité par la punition. Elle me reviendra encore plus chaude. Je sourie de nos prochaines retrouvailles torrides. Je me suis fait un plateau télé pour me poser devant des programmes plus inintéressants les uns que les autres. Je regarde sans les voir. Mon esprit échafaude divers scenarii érotiques pour son accueil. Le temps passe, mon sexe est gros dans mon caleçon.
Las, je suis allé me coucher vers 23h30, toujours seul. Dans ma chambre, le lit était fait, arrangé comme dans un catalogue déco. Ce qui nétait pas dans nos habitudes. En règle générale, le lit reste "aéré" tout le temps. En y rentrant, délicatement, mon pied a cogné quelque chose de dur. Cest mon caméscope. Il y a juste écrit "mon chéri" sur un post-it fraîchement collé. Aucun mot ne laccompagne. Curieux de la situation, je mempresse de le brancher sur lécran de la chambre. Lappareil mindique un film de 88 minutes et 16 secondes.
La première image me renvoie notre lit, là où je suis assis. Puis ma femme apparaît à lécran, sassoit sur le rebord du lit, comme je le suis et sadresse à moi:
- Bonjour mon chéri. Jespère que tu as passé une excellente journée. Moi, je tavoue, je me suis un peu ennuyée. Alors il a fallu que je moccupe.
Sur ces mots, elle se dresse devant lobjectif et entreprend un effeuillage plus que sensuel, qui ne manque pas de me faire tout de suite de leffet.
- Quest-ce que je peux être seule aujourdhui.
Elle écarte les cuisses pour moffrir une vue imprenable sur son sexe que je suis surpris de découvrir entièrement épilé. Une première. Elle se fait faire le maillot, mais habituellement ses lèvres et son pubis restent garnis. Il semble être déjà humide. Je suis excité comme un fou devant la télévision. Ma bite, très dur, est dans ma main active, face au spectacle imprévu de ma femme. Ca y est, elle se taquine le clitoris. Ouvrant lentement ses lèvres, elle les étire et mexpose impudiquement son vagin. Son doigt en fouille lentrée avant de pénétrer les chaires roses. Jamais, je ne lavais vu faire ce genre de chose. Jamais, je naurais osé lui demander. Je la trouvais magnifique. Je mastiquais comme furieusement devant les images.
Un deuxième doigt trouve sa place dans le fourreau que je sais étroit. Le pouce occupé à jouer avec son bouton damour. Les caresses sont efficace et la font jouir en lui arrachent des petits gémissements. Son autre main soccupait des ses seins, des ses tétons. Un troisième doigt vint rejoindre les deux autres. Elle souvrait, se dilatait le vagin en les écartant, en accélérant le rythme de la pénétration, les fourrant à une cadence folle. Un orgasme lemporta, un cri rauque séchappait de sa gorge. Cela dura quelques minutes. Ses doigts coulissaient maintenant en douceur dans la chaire luisante de sécrétion. Ses formes féminines couvertes de sueur. Torride, jétais sur le point déjaculer. 16 minutes 12 secondes de passés au compteur.
Elle se redresse, radieuse, avec se sourire que je lui connais si bien après lamour, les yeux mi-clos et sapproche de la caméra :
- Tu vois, mon amour, si tu avais été là, tu te serais plus amusé quau boulot.
Sur ces mots, elle sourit, me lâche un extraordinaire regard coquin en me disant:
- Jespère que tu es bien assis, mon chéri ? Profite bien, tout ça, cest pour toi. Je suis sur que tu as déjà quelque chose de dur entre les mains. Jai une belle surprise. Mais cest surtout moi qui vais en profiter.
Et cest là que jai compris que cela nallait pas se passer comme je limaginais. Elle jeta un regard vers la porte de la chambre qui était hors champ et fit un petit signe. Un homme est rentré dans la chambre. Un frisson glacial me parcourut le corps. Ce que javais entre les doigts était devenu mou et sans vie. Je nétais pas le seul spectateur.
Il était de dos, je ne pouvais voir son visage. Il était en chemise blanche, pantalon de costume noir, épaule large, plutôt grand. Impossible de le reconnaître. Mais je connaissais déjà la suite du film. Elle avait choisi de se venger, Quatre mois plus tard.
Elle sétait levée et lavait prit dans ses bras, commençait à le déshabiller. Dabord la chemise, découvrant un tatouage sur lomoplate droite, une sorte dessin tribal, je ne le reconnaissais pas. Puis le pantalon, puis le slip, dévoilant les fesses de celui que ferait de moi un cocu. Elle jetait de temps en temps des petits coups dil dans ma direction virtuelle. Son amant semblait savoir quil était filmé. Précautionneux, Il restait inidentifiable, le visage hors caméra.
Nus face à face, ils sembrassaient profondément, passionnément. Ca me serrait le cur, le brisant, le broyant. Il lui pelotait les seins. Ronds, charnues quel homme ny aurait pas aventuré des caresses. Et il ne sen privait pas, les caressant, les pressant, agaçant les tétons dardés, serrés entre ses doigts, étirés, maltraités. Excitée, elle aimait, elle ronronnait de ses s. Elle se donnait à ses grandes et puissantes mains. Les bras de Sabine sactivaient aussi, je ne voyais pas mais devinais ce quelle avait dans les mains.
Ils devaient avoir mit limage sur la télévision de la chambre car le visage du mec nétait jamais dans le champ. Régulièrement, elle utilisait la télécommande pour zoomer et le faire disparaître de limage avant quil soit visible.
Ils se retournèrent, elle de dos, il lui malaxait ses fesses bien en chair, comme un véritable amateur de derrières bien dodus. Il les écartait et parcourait la raie jusquà sa petite pastille brune. Son doigt la caressait en suivant le renflement de lanneau, déjà enduit par lexcitation de son précèdent show. Il en tâta un peu lélasticité en y vrillant le bout dune phalange. Elle gémissait. Mon cur saignait. Je craignais quelle accepte ce quelle ne ma accordée que si peu de fois. Cétait il y a longtemps, au début. Il avait maintenant les doigts sur les grandes lèvres glabres de ma douce. Il les écartait, caressait, fouillait son intimité. Deux dentre eux disparurent juste sous la petite étoile. Jétais aux premières loges. Ma main avait reprit un lent massage, comme animé de sa propre volonté. Elle se laissait faire. Pire, elle lencourageait par des baisers passionnés.
Ma belle sagenouilla, le guida de côté, un recadrage, un petit zoom. Après un petit clin dil à mon égard, sa bouche se posa sur le gland. Elle le fit entrer très lentement, me laissant voir ses lèvres sétirer et comprendre la taille de la chose. Au mouvement de la mâchoire, je devinais la langue active. Elle lui administrait une fellation de son cru. Ca, elle a toujours aimé. Son visage en gros plan, je voyais distinctement ses joues déformées par le vit imposant. Jétais à la fois meurtrie et excité. Comme subjugué par cette scène. Jétais cocu et je la regardais faire sen pouvoir agir. Témoin de son infidélité.
Elle sallongea sur le lit, lui entre ses cuisses. Elle avait fait attention de bien se placer, la chatte plein centre de lécran. Il voulait lui lécher. Elle le voulait en elle. Petite querelle damant. Il imposa sa puissance, maintenant les jambes grandes ouvertes. Il sy pencha et jeta quelques coups de langue, aspira le sexe luisant. Recueillant le doux nectar de femelle. Il se délectait de sa douceur, une douceur que je ne lui connaissais pas, la douceur dune chatte imberbe. 38 minutes de film.
Il se positionna et je vis la grosse queue de ce connard se frayer un passage dans le si doux minou de ma chérie. Il prenait son temps, il savourait létroitesse que je connais si bien. Il savourait la situation, amant filmé, mari cocu, épouse infidèle.
De lent va-et-vient les animaient maintenant. Se contorsionnant sous son amant, elle faisait de temps à autres des clins dil à la caméra. Cétait incroyable. Mon sexe me faisait mal tellement je bandais. Je voyais un porno avec ma Sabine comme héroïne. Elle senvoyait en lair avec un inconnu dans notre lit conjugal, devant mon caméscope et me donnait à le regarder pendant quelle était chez une de ses copines. Jétais stupéfait. Cocu, mais stupéfait. Stupéfait par laudace, par sa facilité à se laisser aller avec un autre homme, par la maîtrise de la situation, par le plaisir quelle prenait, par mon sexe tendu comme jamais. Je narrivais pas à décoller mon regard de lécran. Il lui manipulait les jambes, la faisant changer souvent de position, faisant attention quil ne soit pas reconnaissable, mais toujours avec une vue sur les détails sexuelles. Il variait sans cesse la cadence de ses va-et-vient. Parfois lents, langoureux, profonds, si profonds, parfois brutales, rapides, puissants. Sortant la colonne de chaire, il la replongeait, lui faisant ressentir toute sa longueur et sa force. Sabine jouissait. En missionnaire, en levrette, sur lui, elle jouissait de tout ce quil lui faisait. Enchaînant orgasmes, gémissements, cries. Elle aimait, adorait la façon dont ce mec la traitait. Moi je bandais, le cur vide. 62 minutes 58 secondes.
En missionnaire sur le lit, cest comme ça quil positionna ma femme. Les genoux de chaque côté du visage. Vision des plus impudique sur son vagin dilaté, rougies, ruisselants. Cétait le final. Il poussa sa queue très loin et pilonna comme un sauvage le minou si délicat de ma douce. Une de ses mains maltraitait les orgasmes autour de la colonne. Je regardais médusé, un doigt, puis rapidement un deuxième rejoindre le sexe trapu dans lantre. Bon sang, comment pouvait-elle supporter une telle dilatation ? La réponse je leu après quelques secondes. Elle le supportait en ayant un orgasme que je ne pense pas lui avoir jamais procuré. Lui aussi jouissait, se vidait, marquait son territoire. Il était le mâle dominant. Il retira ses doigts doucement, et saffala sur Sophie. Son sexe ramollissant, se fit expulser par les contractions vaginales. Laissant échapper le liquide blanchâtre sur le lit.
Il y eu une coupure, impossible de dire combien de temps, sur limage juste une seconde. Peut-être avaient-ils besoin de se remettre ? Le film continua. 72 minutes et 8 secondes.
Elle le fit sallongé sur le lit, sagenouilla entre ses jambes et le suça longuement. Prenant soin de parcourir le moindre centimètre de cette queue, de ces couilles et même de taquiner de longues minutes son anus poilu. Privauté dont je ne connais pas les sensations. Elle le pompa ensuite jusquà ce quil lui éjacule dans la bouche. Elle avala tout, montrant à la caméra quil nen restait plus une goutte. Ca aussi, je ne connaissais pas. Limage se coupa. Elle sétait bien vengée.
La caméra se rallume. Ma femme sapproche en se léchant les lèvres comme pour enlever les dernières gouttes de sperme :
- Voilà mon chéri, jespère de tout cur que cela ta plu ? Aujourdhui je mennuyais tellement que, ce midi, je suis allé te retrouver à ton travail pour déjeuner avec toi. Malheureusement, on ma dit que tu étais en rendez-vous extérieur. Cest dommage, non ? Je ne savais pas quoi faire et puis un de tes collègues est venu me parler. Enfin, je devrais dire draguer. Il ma fait un rentre dedans du tonnerre. Il était mignon alors je lui ai proposé de déjeuner avec moi. Comme tu as pu le constater, javais un petit peu plus faim que je ne le pensais. En tout cas, il a été très gentil avec moi, non? Quel surprise de découvrir un si bon amant et bien gâté en plus. Ce qui mamuse dans cette histoire, cest que tu ne sauras jamais quel est le collègue qui a sauté ta femme. Tu vas le côtoyer tous les jours sans savoir qui il est. Voilà ce que cest dêtre cocu, mon amour. Voilà ma vengeance. Je taime, à ce soir.
88 minutes et 16 secondes. Fin du film. Elle est rentrée très tard. Deux ou trois heurs du matin. Elle mavait laissé le temps de voir le film et jen ai fait une copie sur mon ordinateur.
Jai fait semblant de dormir. Je ne savais pas quoi lui dire. Quand elle sest couchée à mes côtés, jai tous de suite sentie la chaleur de son corps. Elle se colla à moi. Je bandais déjà. Partagé entre lexcitation et la tristesse dêtre cocu, je ne métais pas vidé les testicules. Elle promena sa main sur mon ventre, rencontra mon érection et sen saisit. Elle activa sa main en douceur.
- Tu as vu le film ?
- Oui !
- Cest bien mon chéri. Ca te plait que je me sois épilée le minou ? Ca texcite ? Me demanda-t-elle en continuant son uvre manuelle.
- Oui ! Beaucoup !
- Je me suis trouvé un peu grosse sur les images ! Tu ne trouves pas ? Ajouta-t-elle en baissant la couette et approchant son visage de mon sexe dressé.
- Non ! Tu
tu étais parfaite ma chérie !
- Parfaite ? Ah oui !
Elle emboucha mon gland. La chaleur menvahît. Deux coups de poignées et je jouissais contre sa langue, pour la première fois.
- On dirait que ce film ta bien excité, petit cochon. Ca te plait que ta petite femme se fasse baiser comme la dernière de salope.
- Cest que
Je ne sais pas trop comment
- Tinquiètes pas, moi je sais !
Elle sagenouilla sur moi et plaqua sa chatte lisse sur ma bouche. Son bassin sactiva. Elle se frottait, sexcitait sur mon visage. Je tendis la langue pour savourer le nouvel état de son intimité. Elle dégageait une odeur forte de sexe. Jeu un pincement au cur, un frisson me parcourut léchine. Je sentais sous ma langue les grumeaux de son après-midi infidèle. Elle ne sétait pas lavée, du moins pas à cet endroit. Je bus ma peine jusquau bout.
Elle bascula sur le côté, minvitait en elle en ouvrant ses cuisses. Je me précipitais dans sa chatte. Je voulais la sentir. Elle était chaude, très chaude, mais je ne percevais pas létroitesse que jaimais tans. Les marques de lautre sévissaient encore. Je glissai une main sous ses fesses. Caressai sa chatte et y glissa un doigt. Je retrouvais un peu de sa fermeté. Elle gémit et se contorsionna sous mon corps, poussa son bassin vers ma queue, comme pour en avaler plus de longueur, jétais au maximum. Je glissais un autre doigt, comme son amant lavait fait. Le sexe bien serré cette fois, je sentais ma semence monter. Je la bourrais de toutes mes forces, les doigts plantés en elle. Elle jouit, je reprenais possession de ma femme en la remplissant de foutre.
Elle me serre dans ses bras, membrasse amoureusement ;
- Dis donc toi ! Tu ne serais pas en train de copier les astuces dun autre homme ? Vilain cochon !
Epuisée par la longue journée, elle sendormit presque immédiatement. Le lendemain, elle ma expliqué quelle avait plein de fantasmes depuis des années et quavec mon escapade extraconjugale, elle sétait permit dassouvir. Ces fantasmes était de baiser avec un inconnu, de se faire filmer pendant lamour, de se caresser devant un homme et plus récemment, de me faire cocu et de mhumilier pour se venger. Elle avait tous réalisé en une seule fois et avait prit un plaisir quelle navait jamais connu. Elle en était même étonnée. Je ne posais pas de question, je lécoutais attentivement. Elle mavoua avoir bien dautres fantasmes quelle aimerait assouvir. Mais il fallait maintenant que je donne mon accord, que je pouvais participer, si je voulais
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