Ma Première Maitresse

Dans mes jeunes années, il était plutôt difficile de se trouver une petite amie pouvant ou acceptant de faire l'amour facilement. Je n'étais plus vierge depuis un bon moment et j'en profitais pour parader devant me copains, la plupart encore puceaux.
Par un heureux hasard, je trouvais un jour une belle fille, un peu plus jeune que moi. J'ai eu aussitôt envie d'elle, de sa poitrine, de son bas ventre et de son cul. Elle semblait sensible à mes "charmes" et surtout, je crois au baratin idiot que je lui sortais. Elle s'appelais Nancy, avait 19 ans, travaillait dans une étude de notaire. Elle vivait seule dans un petit appartement, ce qui me laissait entrevoir des possibilités de passer une nuit chez elle. Nous nous retrouvions presque tous les soirs dans un jardin public, sur un banc, à l'abri des regards indiscrets. Nous nous embrassions sans arrêt. Je commençais à la peloter jusqu'à arriver à lui mettre une main dans sa culotte. Elle n'attendait que ça. Je pouvais enfin lui caresser le sexe: je fouillais partout, de son anus, jusqu'au clitoris. Elle tendait son ventre vers ma main. Nos baisers devenaient plus profonds. Elle gémissait quand je caressais son bouton.
- C'est bon, n'arrêtes pas. Encore. Plus vite………..
J'arrivais à la faire jouir assez rapidement. Pour une première ce n'était pas mal. J'en voulais un peu plus: je lui plantais un doigt dans la vagin. Je l'enfonçais pour m'assurer qu'elle n'était pas vierge. Cette petite vérification effectuée je n'hésitais plus à la doigter. Je mettais deux autres doigts dans son vagin, je les faisais aller et venir. Elle accompagnait mes mouvements, pour se tendre encore en jouissant.
Elle posait sa main sur ma queue bandée depuis un moment. Elle me massait légèrement avant de la sortir assez facilement de mon pantalon. Elle commençait à me branler maladroitement, mais avec une certaine conviction. J'allais jouir et lui demandais d'arrêter, sinon j'aurais sali mon falzard.

J'ai en une bonne surprise, elle se penchait sur ma bite, continuait à me branler lentement, pour la prendre dans sa bouche.
C'est ainsi que j'ai jouis en elle pour la première fois.
Je ne sais si c'était un effet de la fellation, elle m'entraînait chez elle. C'était un vieil appartement assez bien disposé, tenu comme seules savent le faire les femmes. Il devait être 22 heures. Nous étions dans son séjour, elle venait encore dans mes bras. Nos langues s'entendaient fort bien dans la bouche de l'autre. La sienne avait encore le goût de mon sperme. Je commençais à défaire la fermeture éclair de sa robe, placée comme il se doit au dos de la robe. Elle ne m'aidait que pour sortir sa robe de ses pieds. Elle m'apparaissait avec une paire de bas noirs, une culotte note et un soutien gorge noir également. Pour l'époque elle était plus que sexy. Je lui enlevais le soutif. Ses seins était parfaits et attiraient mes lèvres. Je lui suçais les tétons: elle tendait sa poitrine vers ma bouche. Une main revenait sur son sexe: je la masturbait encore et encore elle jouissait.
Elle me faisait enlever ma veste et ma chemise. Je me baissais pour lui faire tomber son slip: je pouvais voir son pubis, poilu (pas comme maintenant où de nombreuse filles se croient obligée de se raser pour présenter un sexe de façon gynécologique). Elle ne portais donc sur elle que les bas.
A son tour de s'occuper du reste de mes habits: je me trouvait nu plus qu'elle. Je l'emmenais vers le lit, la baiser et se coucher. J'avais à la fois envie de la prendre et de lui faire des choses, comme le sucer, la sodomiser et autres.
Je n'avais pas à choisir, d'elle-même elle demandait ce qu'elle désirait: ma queue dans sa moule. Elle était sur le dos, les jambes écartées pour m'accueillir. Pourtant, malgré l'envie de la baiser je voyais son con humide. Je ne pouvais plus en détacher mes yeux. Du coup ma langue comme un organe indépendant venait se loger entre ses lèvres intimes. Je léchais ses lèvres avant de la lui mettre dans le vagin où je l'entrais et la sortais. Enfin je venais sur son clitoris. Je la léchais comme si c'était un sucre d'orge, avec seulement un goût différent. Elle me tenait la tête, en me caressant les chevaux. L'excitation sans doute lui faisait mettre ses jambes sur mes épaules. Elle était totalement offerte à ma bouche. Cette nouvelle position me permettait de lui caresser l'anus. Je n'osais pas trop en faire pour cette première fois, sauf qu'elle me demandait de lui mettre un peu de doigts dans l'anus.
J'étais tombé sur l'affaire du siècle: une fille jeune et sensuelle. Je la sentais jouir longtemps. Quand elle était calmée, je pouvais enfin lui faire l'amour.
Elle me guidait lentement vers sa grotte, en passant ma bite sur son clitoris. J'étais presque en elle. Je voulais la faire languir un peu. Pas question: elle en mourrai d'envie. Elle appuyait sur mes fesses. J'entrais donc dans ce con mouillé. Nous faisions ensemble les mouvements parfaitement synchronisés. J'étais bien dans cet abri chaud et confortable. Elle ne se gênait absolument pas pour jouir. Je commençais à aimer ses crispations autour de ma bite. Elle agissait tellement bien que je ne pouvais plus me retenir: je jouissais en elle. Elle serait ses jambes autour de moi pour que je reste dans son abricot.
Comme je débandais elle était insatisfaite. Pour que je bande encore, elle me suçait, me caressant les couilles. Finalement elle me donnait encore sa fente à sucer. Ce doit être le goût de sa cyprine qui m'a fait bander.
Je me doutais bien de l'endroit à aller explorer. J'attendais qu'elle me le demande. Elle se mettait en levrette, se mouillait l'anus:
- Encules moi. J'ai envie.
Je ne pouvais raisonnablement refuser ce qu'elle désirait. Je venait sur elle: elle reprenait ma queue en main pour me guider. Ma pine passait dans la raie des fesses avant de venir sur son petit trou.
- Fais attention, c'est ma première fois.
- Détends toi complètement. Ouvre bien ton cul.
C'est-ce qu'elle a fait: pour sa première fois elle se faisait enculer. J'y allais doucement, tellement doucement que ce n'est que quand j'étais entré qu'elle sent de ma présence dans son anus. Je la limai doucement quand elle jouissait encore. Elle s'écroula sur le lit, à plat ventre, ma bite toujours dans son cul. Elle se laissait faire cette fois sans bouger. Quand je jouissais encore, je me relevais.
Elle se tournait vers moi, les jambes bien ouvertes et sans rien me dire, elle se touchait le sexe. Je voyais deux doigts sur son clitoris qui la faisaient jouir encore rapidement. C'était une découverte pour moi de voir une fille se branler devant moi. Elle aimait se branler depuis toujours;
Nous nous sommes revus souvent, plusieurs moi, jusqu'à ce que je trouve une autre fille et elle un autre type. Il n'empêche que quelques fois il nous arrive de tirer un coup.