Mes Vacances En Bretagne

J'étais en train de ma balader et prendre des photos le long du port et de la plage d'une ville de Bretagne. Alors que je regardais mon appareil photo, je fus bousculée par un homme.
Surprise, je n'eu pas le temps de dire un mot qu'il s'excusa de m'avoir bousculée. Je lui dis que c'était rien que c'était moi qui ne regardais pas ou j'allais mais il me dit que si, c'était lui, qu'il était vraiment désole. Et que si je voulais il m'invitait à boire un café pour se faire pardonner.
Apres quelques hésitations, j'acceptais. Il se présenta comme s'appelant marc, étant architecte, habitant juste au coin de la rue et qu'il rentrait chez lui quand on c'est bousculés. Après quelques petites excuses on discuta de tout et de rien quand son téléphone sonna. C'était un client et il s'excusa de me laisser aussi précipitamment. Il me laissa sa carte et me dit de venir chez lui pour 20h30 - 21h pour continuer notre conversation.

Le lendemain, arrivée à l'heure fixée, je constatais qu'il n'habitait pas loin de notre bousculade.
Un mot était marqué sur la porte : rentrez, la porte est ouverte. Traversez la maison, je suis au jardin. Je traversais la maison et arrivais à une véranda qui donne sur le jardin. Et sous cette véranda ce trouvait marc dans un bain à bulles.
Accompagné de champagne, il me demanda de venir le rejoindre. J'enlevais ma jupe courte et mon gilet et mon débardeur et me retrouva en petite tenue.
J'allais entrer dans le bain quand il me dit : allons, prends tu ton bain habillée ? Suis-je habillé moi ?
Il se leva et me montra fièrement son anatomie. Je ne pus que céder et enlevais ce qui me restait de vêtements. Je me glissais dans le bain à coté de lui, assise sur un rebord situé sous l'eau et il m'offrit le champagne. Au cours de la conversation, il commença à me taquiner, m'attrapant les mains, on chahutait en fait. Pendant qu'il me taquinait, je senti qu'il se rapprochait de moi. D'abord ses genoux qui me touchaient et qui devenaient de plus en plus insistant, puis sa cuisse.

Maintenant il me faisait à moitié face et je senti le contact de son sexe contre ma cuisse. Puis sa main se posa sur ma cuisse et la caressa légèrement. Cela commençait à me troubler. Je ne laissais rien paraître dans la conversation et lui retira la main. Il jouait avec en essayant de la remettre et après quelques essais sans réussite cette fois ci il me fit face, sexe à moitié dressé. Je lui demandais s'il n'avait pas fini. Il me répondit en me demandant si ça me gênait. Je lâchais sa main et lui dit que : comment veux tu qu'on parle si tu t'amuses comme ça ?
De là, il se rapprocha de moi, son sexe à quelques centimètres du mien, et posa sa main sur mon sexe en me regardant droit dans les yeux : dit moi que tu n'aimes pas...
Je n'eu pas le temps de répondre que j'avais déjà deux doigts dans la chatte qui remuaient. Et il avait raison. Dès le moment où je l'avais vu nu et que j'étais rentée dans le bain, je m'y attendais. Je pris son sexe dans la main et le branlais, lui caressant les bourses. Sa queue sortait de l'eau et il faisait des coups de bassin. Je me relevais et l'enfournais en bouche.
Je le léchais et le suçais comme une folle au point qu'il était prêt à jouir quand je lui glissais un doigt dans la raie de ses fesses, se qu'il ne refusa pas. Il se retira de ma bouche et frotta son gland contre ma chatte. Il m’attrapa la nuque et me lècha les lèvres. Je tentais de goûter sa langue mais il me retient pour m'exciter et enfonça sa queue d'un coup net. Il jouait avec ma chatte en changeant continuellement de cadence. Je ne contrôlais plus rien. J'avais envie qu'il garde le rythme et m'embrasse mais il préférait faire autrement, ce qui me rendait folle. Apres quelques minutes il se lâcha enfin. Il m'embrassa fougueusement et commença à remuer sa queue en moi plus rapidement et profondément. Je commençais à gémir dans sa bouche. Sa queue n’était pas trop grosse mais assez longue. Quand il sentit que je montais en jouissance, il plaqua sa main pour me branler le clito.
Sa pratique me fit venir rapidement... puis il m'invita à me mettre à quatre pattes. De là, mes mains posées sur le rebord du jacuzzi, fesses tendues et cambrées vers lui, il passa son gland sur ma fente. Puis remonta vers la raie de mes fesses pour y faire passer longuement son gland de haut en bas en insistant bien sur mon trou. Après quelques minutes de ce traitement, je senti positionner son gland sur mon anus. Sa queue bien calée sur mon trou, il se pencha totalement sur moi, s'accrochant comme moi au rebord du jacuzzi, me bloquant les épaules par ses bras pour m'empêcher totalement de bouger. Quand je senti son souffle chaud dans mon oreille, il poussa toute sa queue dans mon cul jusqu’au bout. Il la retira mais quand il me la remit, il me chuchota à l'oreille qu'il aimait enculer les petites salopes avec un cul comme le mien. Il fit quelques vas et viens puis posa ses mains au creux de mes reins en m’ordonnant de cambrer davantage mon cul, ce que je fis avec du mal. J'étais très excitée, c'est la première fois que je me laissais sodomiser sans rechigner. Son sexe m’excitait vraiment très fort. Bien en place, il allait et venait de toute sa longueur dans mon cul. Excitée comme une folle, je l'encourageais d'avantage. Il attrapa alors mes hanches en enfonçant ses pousses dans mes fesses et accentua le rythme. Il se déchaînait dans mon cul et mes cris l’encourageaient. Après quelques dizaine de minutes, après avoir le cul littéralement défoncé par cette queue et bien ouvert, je ne pus me retenir de jouir, dans un grand râle, contractant mon anus pour le retenir en moi le plus longtemps possible, en mettant des coups de fesses en arrière pour qu'il vienne s'enfoncer au maximum en moi. Ceci eut pour effet de le faire jouir sans plus attendre. Et c'est par longs jets qu'il se rependit en moi. Cette sensation, première pour moi, d'avoir du sperme chaud dans les fesses, me fit frissonner.
Puis on prit un bon bain chaud et bouillonnant, orné de champagne. Après quelques sujets de discutions, je rentrais chez moi tard.
Mais il fut prévu de se revoir mercredi soir, car un couple d'ami venait dîner et il ne voulait pas être seul en célibataire.

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