Marie Et Hervé (2)
Hervé et Marie 2
Jean nétait pas parti depuis plus de 10 minutes que Marie mappelait au téléphone « nos hommes sont partis, je tattends à la maison, jai envie de toi » cest elle tout craché, un ordre sans appel et elle sait que je vais lui obéir ; pour loccasion, je fais le max ; une petite jupe, limite des fesses, un string et un boléro noué sur le ventre, cachant un soutien- gorge sans bonnet, entourant simplement mes seins dun ruban et laissant une totale vue sur les globes ; je me regarde dans la glace, après mon maquillage limite pute. Le tableau est chaud, et jespère ne pas rencontrer des amis ainsi affublée. Une heure après, je sonne à la porte.
Surprise, ce nest pas Marie qui mouvre, mais une grande femme, assez mince, joli visage, mais le regard dur et profond, avec pour tout vêtement, une guêpière et un string ; je nai pas le temps de métonner ; me plaquant contre le mur, elle me roule une pelle, sa langue me fouillant la bouche.
« Elle est mignonne ta petite pute, on va bien samuser » et sans hésitation, elle soulève ma jupe et écartant le bord du string, elle enfile deux doigts dans la chatte
« Et en plus elle mouille déjà » il est vrai que lattaque de cette femme na pas tardé à me faire mouiller et mon ventre est déjà en effervescence ; cest une experte car ses doigts minfligent un véritable supplice ; elle me fouille avec frénésie et son pouce mécrase le clito ; les jambes écartées, je me livre, cambrant mon bassin, à la recherche de la pénétration. Puis dun seul coup, la jouissance me ratt et dans un long gémissement, les vagues du plaisir me prennent et un flot de cyprine inonde sa main.
« Elle part au quart de tour « . Me tirant sur les cheveux, elle me renverse la tête et à nouveau sa bouche vient sécraser sur mes lèvres ; enfin elle me lâche et je découvre Marie, un sourire aux lèvres.
« Je te lavais promis et ce soir je te toffre ; elle est à toi » cest Marie qui sadresse à son amie (elle sappelle Martine) « nous avons la soirée pour nous, nos hommes étant partis en goguette, je le suppose » et se retournant vers moi « soit gentille, et fait ce que nous voulons ; nous allons tavoir pour nous deux et tes trous vont sen souvenir »
« Déshabille toi » cest Marie qui vient de parler ; je remarque alors quelle ne porte pour habit quun porte jarretelle avec des bas noirs ; ses seins sont libres de toute entrave et comme dhabitude, jai envie de les toucher ; le rappel est cinglant « je tai dit à poil » : mon boléro tombe à terre et ma jupe suit le même chemin ; je sentais les regards sur mon corps ; derrière moi, Martine a vite fait darracher mon string et je reste nue devant elles, mon soutien-gorge sans bonnet ne cache rien et bientôt quatre mains minvestissent ; je suis terrorisée, humiliée mais bizarrement excitée ; coincée entre la guêpière devant et les seins de Marie derrière , je ne peux plus bouger ; mes tétons sont pincés , tiraillés, et des mains descendent sur mes hanches, avant que deux doigts me fouillent le ventre avec brutalité ; cest Martine qui à nouveau me pénètre non seulement la chatte mais aussi, avec autant de méchanceté mon petit trou ; jessaie de me débattre, mais une claque me sonne les fesses et Marie en profite pour me tordre les mamelons ; la douleur me fait hurler, et à nouveau mes fesses sont claquées .
« Tais toi et écarte les jambes » jobéis et un orgasme foudroyant me saisit quand ses doigts me remplissent à nouveau la chatte. Marie sest allongée sur le divan et écartant ses cuisses «suce-moi, nettoie moi le minou » et Martine me pousse la tête entre ses jambes ; jaime sa chatte et sans hésitation , ma langue sinfiltre dans les petites lèvres, je mordille le clito, puis jaspire sa mouille ; ma langue va dans le sillon et lui lèche lillet ; puis va dun trou à lautre ;lanneau souvre sous les caresses de ma langue ; elle jouit et mouille abondamment et je bois sa cyprine ; Marie est déchainée « avale tout, , lèche moi encore » tout à mon plaisir de satisfaire ma maitresse, jai oublié un moment Martine ; jai eu tord car soudain, un objet froid vient se poser sur mon sillon et force lanneau ; jai limpression que mon cul va éclater, tant il est gros ; Martine pousse sans douceur, puis dun seul coup me perfore et je sens son pubis sur mes fesses ; je hurle ma douleur , mais rien ny fait, au contraire mes cris doivent lui plaire, car son mouvement saccélère et toujours plus fort, elle me viole comme un homme, puissant et membré. « Cest trop gros martine, arrête, jai trop mal » ; rien ny fait « cest moi qui décide, tais toi « je dois être ouverte à lextrême car petit à petit la douleur est remplacée par une douce chaleur ; le plaisir est là et ses vagues commencent à me submerger ; Martine , elle ,commence à gémir, son plaisir arrive « oh je jouis , salope ton cul est bon , suce moi maintenant » elle se retire ; un grand vide brusquement ; son sexe me manque ; en me retournant pour lui lécher son plaisir, je maperçois quelle a un gode culote et quà lintérieur, un petit sexe devait lui rentrer dans la chatte ; la garce , elle se branlait en menculant. Elle a gardé son bustier, mais ses seins petits, ronds et fermes ont sautés des balconnets, et ma bouche sen empare et je les mordille ; sa main me pousse vers le bas et cest une chatte trempée, ruisselante que ma langue ouvre ; je lui titille le minou, puis je rentre ma langue le plus loin possible, aspirant les sécrétions de son plaisir.
Marie ne reste pas inactive, ses doigts me pénètrent et me fouille la chatte détrempée ; jen demande plus car le souvenir de sa main dans ma chatte me hante et déjà mexcite ; elle le sait et sa main se presse dans lentrée, accentuant la pénétration ; jécarte au max mes cuisses et la main gagne du terrain ; voulant être tout à mon plaisir, je fais jouir Martine en lui mettent deux doigts dans le petit trou ; elle ne résiste pas et part dans un feulement continue et à nouveau sa chatte se remplit de cyprine. La main est maintenant presque rentrée, je suis dilatée , ouverte comme lautre soir et soudain, la main entrée en entier , me branle comme un sexe, ses va et viens saccélèrent et mon plaisir revient ; cest son privilège et jaime être fistée et le déferlement commence ; à chaque mouvement ,ma jute sort de mon vagin et sécoule le long de mes cuisses « jaime ce que fait , continue , baise ta petite salope, je taime, je pars ...puis plus rien, le noir.
Toute la soirée, ces deux femelles mont soumise, me pénétrant à tour de rôle, sans que je puisse le faire, je suis leur jouet et pour finir, comme deux males en rut, elles mont prise en double, avec leur godes, sembrassant à pleine bouche par-dessus mon épaule ; jai les deux trous investis ; soumise, jencaisse leurs baises sans frémir, le plaisir est continu, et peu après leurs jouissances les submergent , elles aussi et cest ainsi enchevêtrées que le sommeil nous prend ; peu de temps après jentends nos hommes rentrer, mais je ne bouge pas ; demain il fera jour.
Coincée entre les deux femelles, je me réveille de bonne heure, et jai envie de retrouver mon homme ; doucement, je me glisse hors du lit et en silence je rentre dans la deuxième chambre ; ils dorment encore , mais je constate que le sexe de jean est à demi tendu ; ses rêves sans doute ; mallongeant contre lui, je lui caresse le dard, lui chatouille les bourses ; jai vite le résultat souhaité ; il se réveille et ne tarde pas à avoir le mat dressé ; je nai quune envie : le chevaucher ; je massoie sur son ventre et ma chatte na aucun mal pour avaler le chibre tendu ; jai envie de diriger la saillie et lui bloquant les épaules avec mes mains , je rythme le combat ; je me branle littéralement, la chatte dilatée de plaisir ; je sais que je suis maitresse de la situation et quen raison de son éveil récent, je sais que cela peut durer longtemps ; je me fais jouir, je prends mon pied , oubliant la domination de mes deux femelles encore endormies.
Quand je reprends mes esprits, Jean se fait sucer par Hervé, avec beaucoup de plaisir si je me fis à son gémissement ; prenant de ma mouille dans ma chatte encore dégoulinante, je lui caresse lanneau ; jai envie de le voir pris par la poutre dHervé ; jai envie de voir son cul dilaté par cette bite qui vient de me défoncer. Lanneau sous mes caresses se dilate et je enfonce deux doigts et en les tournant ,jagrandis le passage; le résultat est immédiat et avec un grognement , il éjacule, enfoncé dans la gorge dHervé ; celui-ci bande comme un taureau, son gland est turgescent, et la grosse veine qui coure le long de sa tige est gonflé. « encule jean, jai envie de le voir jouir sous ta grosse bite » Hervé ne bouge pas, son regard va de jean à moi, interrogateur ; je lui prends la bite et je lapproche du cul, mais il résiste ; il attend .
« Vas-y, pour une fois et pour le plaisir de Mico, tu as le droit » je suis surpris de lobéissance de celui-ci, car il obéit à son maitre et enfin il force lanneau, doucement, laissant lanneau souvrir
« Plus fort, défonce le , il ta donné le droit, baisse le comme tu sais le faire » mes paroles font leur effet ; et dune seule poussée, il senfonce jusquà la garde ; sous la brutale pénétration jean hurle sa douleur, mais ne se défend pas et quand Hervé commence à le pilonner à grand coup , sa respiration saccélère ; agrippé à ses hanches, Hervé se déchaine, il le bourre avec vigueur ; lanneau est dilaté au max, maintenant la queue coulisse facilement et jean encaisse avec bonheur ; il gémit et ce nest plus de douleur ; la bouche entrouverte , il jouit sous les poussées dHervé ; celui-ci est prêt à jouir, et soudain un grondement envahit la pièce et le corps arqué, il se repend dans les entrailles offertes. Ce nest plus des gémissements, mais un long cri qui s'échappe des lèvres de jean ; il jouit longuement dautant plus que Hervé est toujours en action ; sa queue est toujours raide et il continue à le pilonner
« Continue, fais moi du bien, jai encore envie ; profite sen « la queue de jean a repris de la vigueur et en me glissant sous lui , je le pompe avec frénésie ; les couilles dHervé me battent le visage et je vois le monstre aller et venir ; Hervé a gardé toute sa vigueur ; il continue longtemps la saillie ; dans ma bouche , la queue de jean grossit, je sens quil va jouir et je menfonce le plus loin à la limite du possible et ses jets viennent sécraser sur mon palais ; à demi étouffée, je me retire pour avaler la semence et je lèche le gland gluant ; jean nest plus que jouissance, il râle en continue et ce nest que lorsque quHervé lâche sa purée une deuxième fois que jean sécroule sur le lit épuisé le cul rempli de sperme ; ses cuisses sont couvertes de sécrétions et prenant la tête dHervé, je loblige à lécher les cuisses souillées ; il se rebelle , mais jai compris que sa docilité envers jean est un signe de domination et je ne cède pas ; soumis, il sexécute et sa langue nettoie mon jean ; ma chatte dégouline et je machève en les regardant.
De retour à la maison, nous nous racontons nos deux soirées, pleines dévénements. Il ne faut pas longtemps pour que notre désir revienne et le reste de la soirée a été loccasion denvisager lavenir, mais aussi de reprendre nos relations amoureuses, accentuées par les plaisirs extérieurs.
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